Vacances Avec Ma Mère

Enfin les vacances! Avec la routine quotidienne et le boulot, j'étais impatient de pouvoir me reposer. Ma mère, Natasha, m'a annoncé une surprise de taille : elle venait de réserver un sublime palace aux iles Baléares pendant 1 semaine. Elle avait cherché sur internet et trouvé ce voyage qui était en promotion.

Le jour suivant, nous avons donc pris la direction de l'aéroport. Le vol entre la France et les iles m'a semblé plus long que prévu : plus de 3h de vol.

Une fois arrivé à destination, étant exténué par le trajet, mais aussi par la chaleur qui pesait énormément, nous sommes directement allés nous coucher, voulant profiter un maximum les jours d'après.

Le lendemain, nous avons pu nous promener à travers le complexe. Le lieu était immense : Plusieurs bâtiments, de nombreux bars et au moins 4 piscines. Ce lieu n'était pas uniquement francophone. On y trouvait des vacanciers de toute nationalité, avec une bonne majorité d'espagnols.

Notre choix s'est porté sur une petite piscine où il y avait peu de monde.

Ma mère s'est allongé sur un transat avec pour objectif de passer son après-midi à bronzer.

Elle avait donc prit soin de mettre un maillot de bain 2 pièces rouge fluo très fin, qui recouvrait avec peine les parties intéressantes de son corps.

Il est vrai que son physique ne me laissait pas indifférent : femme de 40 ans bien conservée, elle restait fine avec pourtant une poitrine imposante. Elle prenait soin d'entretenir ses formes. J'avais souvent fantasmé sur elle. La voir dans cette tenue me faisait de l'effet.

Apparemment, je n'étais pas le seul dans ce cas : à quelques mètres de nous, 2 hommes d'une trentaine d'années étaient en train de mater ma mère. Ils la reluquaient tout en parlant.

A un moment, Natasha s'est retournée pour s'allonger sur le ventre. Les hommes et moi-même avons alors pu admirer la seconde partie de l'anatomie de cette sublime femme. Son fessier semblait ferme et bien proportionné, pas trop gras mais pas trop petit non plus. Ses fesses bien rondes étaient une invitation à venir la prendre par derrière. L'une des mains d'un des hommes a disparu dans son caleçon pour commencer à se branler.

Le soleil a fini par tomber et nous sommes allés manger puis, n'ayant pas envie de ressortir le soir, nous sommes allés nous coucher.

Quand le soleil s'est à nouveau levé, j'ai insisté pour retourner bronzer à la piscine. Malheureusement, il y avait trop de monde là ou nous étions la veille. Nous avons donc trouvé des places près d'une autre piscine. Quelques minutes ont passé avant que je ne remarque un détail intriguant : les 2 mâles de la veille étaient venus s'installer sur des transats à quelques mètres seulement des nôtres. Leur regard était à nouveau tourné vers ma mère. Parfois, ils échangeaient quelques mots entre eux, sans toutefois se détourner d'elle. Ils étaient espagnols. Mon niveau dans cette langue était très faible, mais en tendant l'oreille, j'ai très vite compris qu'ils disaient des vulgarités sur ma mère.

En découvrant que j'étais en train d'observer leur manège, ils ont subitement arrêté de parler. J'ai souris en leur faisant un clin d'œil. Les 2 espagnols, surpris, ont souris à leur tour et ont continué à débattre.

J'étais décidé à agir. Pas à passer mes vacances à regarder ma mère bronzer. Je voulais de l'action. Du sexe. Et j'allais être servi.

Je suis allé voir les espagnols pour leur parler. Dans un anglais hésitant, je leur ai fait comprendre que j'avais remarqué qu'ils étaient intéressés par ma mère. Je leur ai proposé un plan et ils ont vite accepté. Satisfait, je suis retourné vers ma mère qui continuait de somnoler, inconsciente que je venais de la vendre.

Le jour suivant, nous sommes encore retourné à la piscine. Je me suis arrangé pour être en plein soleil là où il faisait le plus chaud. Je suis ensuite allé ensuite chercher de l'alcool très fort. J'ai demandé au bar l'alcool le plus fort qu'ils avaient ainsi qu'un soda très sucré pour servir de diluant. Puis je suis allé donner le verre à ma mère. Elle a apprécié le geste et comme elle avait très chaud et très soif, elle a tout but en une traite. J'ai refais cela une fois sans qu'elle ne soupçonne quoi que ce soit. Elle a commencé à se questionner quand je lui ait ramené un troisième verre ;

« Pourquoi tu me sers autant?

- C'est des cocktails que la réception nous offre. Et du coup ce serait dommage de pas les boire. »

Cette excuse a semblé lui convenir car elle a prit le verre que je lui tendait?

Quand je lui ai tendis un autre verre j'ai même rajouté:

«Cette fois c'est le dernier verre »

Mais elle l'a prit sans rechigner pour le boire. Ses pensées étaient en train de se troubler. Elle souriait bêtement. Je lui ait donc donné encore un autre verre pour être certain du résultat.

L'alcool avait fait son effet. Elle était ivre, vulnérable au moindre prédateur.

J'ai patienté quelques minutes avant de continuer le plan.

D'un discret signe de la main, j'ai montré aux espagnols qu'ils pouvaient intervenir Sans demander leur reste, ils se sont présentés devant nous.

« Buenas dias senora

- Somos agentes de policia y llevamos a cabo controles aleatorios de las habitaciones de huéspedes en el hotel Agin para verificar si todo esta en orden. »

Ma mère ne parlait pas espagnol et de toute façon, elle était trop bourrée pour comprendre quoi que ce soit. Elle m'a demandé de traduire.

- C'est des agents de police. Ils contrôlent souvent les personnes de l'hotel et ils veulent vérifier notre chambre, histoire de voir si y a rien d'illicite, comme la drogue.

- Donne leur les clefs.

- Mais ils veulent qu'on viennent avec eux. C'est le protocole.

- D'accord. »

Elle était tombé dans notre piège.

L'un des espagnols nous a demandé de le suivre. L'autre homme, sourire au lèvre, nous suivait. Ils jouaient parfaitement leur rôle de policier.

Ma mère était sous l'effet de l'alcool et avait du mal à suivre l'homme devant nous. Elle zizaguait et ses pas étaient mal assurés. Elle était toujours en maillot de bain dans les couloirs des chambres.

Le premier homme ne nous conduisait pas à notre chambre. Ils nous emmenaient dans un couloir totalement opposé. Mais ma mère était trop ivre pour s'en apercevoir, se contentant juste d'essayer de ne pas tomber et de suivre l'homme qui menait la marche.

Ce dernier s'est finalement arrêté devant une porte. Il l'a ouverte et nous a invité à entrer. La chambre était petite. De nombreux vêtements étaient éparpillés sur le sol. Une odeur de renfermé régnait dans la pièce. L'un des 2 étalons a fermé la porte. J'ai entendu le son distinct d'un verrou.

Ma mère était prise au piège.

« Es un desastre!

- Il dit que c'est un peu le bordel..

- Je...oui.. on s'attendait pas à avoir de la visite.

Natasha n'avait même plus conscience que ce n'était pas sa chambre mais celle d'inconnus.

Les 2 hommes ont fait mine de fouiller la chambre. Quelques minutes après, l'un des 2 complices s'est approché dangereusement de ma mère.

« Tu habitacion se ve bien. Tengo que hacer una busqueda corporal.

- Il dit qu'il doit faire une fouille au corps pour vérifier si il n'y a pas de produits illicites sur nous. »

Ma mère a consenti avec un hochement de tête.

Avec un sourire, l'homme a posé ses mains sur les bras de la somptueuse femme devant lui. Ses mains ont parcouru le corps de ma mère en frôlant sa peau.

En arrivant à hauteur de ses seins, l'homme ne s'est pas arrêté, bien au contraire. Ses mains se sont infiltrés dans le maillot pour venir malaxer les mamelons. Natasha n'esquissait pas le moindre geste pour se détacher de son emprise. Elle semblait hypnotisée, se contentant de sourire de manière crispé.

Les mains se sont faites plus fermes tout en continuant à tripoter cette poitrine généreuse. Les seins de ma mère ont gonflé pour très vite gagner en volume.

Satisfait, l'homme a continué son exploration, descendant ses mains au niveau du ventre de ma mère puis de son entrejambe. Il a baissé la culotte, rendant visible la partie intime de ma mère. L'autre homme n'a pas pu s'empêcher de siffler d'admiration : son entrejambe était parfaitement épilée. Peu d'hommes avaient eu le privilège de voir son intimité, surtout récemment. Pourtant, ma mère faisait particulièrement attention à son épilation.

L'homme a placé un doigt entre ses cuisses. Il massait légèrement l'entré de son antre.

J'ai jeté un coup d'œil vers l'autre homme. Il avait discrètement retiré son pantalon et son caleçon, dévoilant une bite gonflé par l'envie. Il s'est rapproché du couple en prenant le plus grand soin à rester hors du champs de vision de ma mère. En comprenant que son partenaire venait de passer la vitesse supérieure, le 2ème espagnol a placé ses mains sur les épaules de Natasha pour l'inciter à se baisser devant lui. Elle était crispé, hésitante. Sans doute un réflexe, un dernier instinct qui lui conseillait de se méfier.

Alors, je suis intervenu :

« Agenouille toi devant lui!

J'avais dis cette phrase avec assurance mais avec une certaine fermeté. Assez doux pour qu'elle soit en confiance mais assez dur pour qu'elle obéisse sans discuter. Cet ordre venait de moi, son fils. Quelqu'un de confiance. Ses dernières résistances ont donc cédé.

Elle s'est exécuté sous le regard de l'homme. Il a lui aussi retiré ses vêtements pour libérer son sexe bien bandé également.

En voyant ce pénis surgir à quelques centimètres d'elle, Natasha s'est reculé. Elle s'est heurté au second homme, qui était nu aussi. Elle était entre les 2 hommes, entre les 2 bites. Comprenant qu'elle n'avait pas d'issu, elle s'est mise à trembler.

« Je... arretez...non... »

J'étais médusé par la scène. Le mâle qui était devant elle s'est encore rapproché pour placer sa queue à quelques centimètres de la bouche de ma mère. Son membre a touché les lèvres de Natasha. Il cherchait à pénétrer sa petite bouche. Pourtant, ma mère a refusé d'ouvrir, bougeant son visage pour s'éloigner. Sans se démonter, l'homme a agrippé ses cheveux avec autorité et l'a tiré vers lui. Finalement, le gland du mâle a finit par s'engouffrer entre les lèvres de ma mère. Ma mère a finie par emboucher ce pénis sans vraiment avoir le choix. Quel régal de voir la bite d'un homme disparaître au fond de la gorge de ma mère! Quel pied! Sans plus de retenu, l'hispanique a rythmé le mouvement d'entrée et de sortie de sa queue dans la bouche de cette femme. Il a imprimé un rythme soutenu et ma mère avait du mal à suivre . Le gland allait se loger loin au fond de sa gorge à chaque passe.

Il baisait sa petite bouche. Je restais en extase devant cette gorge profonde qu'elle était en train de subir.

Natasha toussait, tentant en vain de reprendre sa respiration. Il lui laissait quelques secondes de répit ou elle pouvait respirer sans avoir sa bite entre ses lèvres. Puis il replongeait de plus belle. Du liquide blanchâtre et visqueux dégoulinait de sa bouche. L'autre espagnol a fait en sorte que ma mère prenne sa bite entre ses mains pour la masturber. Elle massait son membre par réflexe, sans vraiment en être consciente, étant plus concentré à ce qui se passait dans sa bouche.

Quelques minutes ont passé quand soudain, l'homme entre ses lèvres a subitement accéléré ses mouvements. Ses coups de reins se sont fait plus insistant, plus violents. L'orgasme arrivait. Ma mère a essayé de se reculer mais l'homme lui maintenait fermement la tête. Dans un dernier élan, il s'est enfoncé au plus profond dans sa bouche et il a jouit. Sa queue a tressauté plusieurs fois en lâchant une quantité impressionnante de sperme. Elle a été forcé de tout avaler.

L'homme s'est retiré pour se faire remplacer par son collègue. Ma mère a subit à nouveau ce traitement. L'homme était plus expressif, lâchant de petits râles pour indiquer qu'il prenait son pied. Il a lui aussi joui sa semence dans sa bouche.

L'orgie s'est poursuivit. Après ces préliminaires, les 2 hommes ibériques ont soulevé ma mère pour aller la placer sur le lit.

Elle était toujours dans un état second, sous les effets de l'alcool, se pensant sans doute dans un rêve. Elle somnolait à moitié, begayant quelques mots :

« veux..dormir...mal... »

L'un des 2 hispaniques a fouillé dans une valise et en a ressorti des capotes. Il en donna une à son collègue avec un sourire. Ce dernier s'est ensuite avancé pour introduire sa queue au fond de l'intimité de ma mère.

« Laissez...moi...pas ça... »

L'ignorant complètement, Il a introduis son gland dans son antre. Il maintenait les jambes de sa partenaire avec ses mains. Il a poussé pour aller s'enfoncer le plus loin possible entre ses cuisses. Il coulissait au fond de son utérus en réalisant de puissants coups de reins. Ses couilles heurtaient la peau de ma mère à chaque aller et venu, produisant un petit claquement distinct. Il besognait sans ménagement cette pauvre femme qui était incapable de résister à ses pulsions sauvages. Ses seins bougeaient en rythme en réponse à ces charges. Quelques minutes ont suffis pour qu'il jouisse. Il s'est retiré en poussant un juron. Il n'avait pas réussit à contenir son orgasme et avait jouit trop vite à son goût.

Son collègue prit la relève, gardant un rythme toujours aussi élevé. Il agrippa les seins de ma mère pour jouer avec pendant qu'il s'accouplait. Contrairement à tout à l'heure avec la fouille ou il l'avait caressé, il était cette fois nettement plus dur, en malaxant et en pinçant sans ménagement ses tétons. A ma surprise, ma mère haletait. Sa respiration s'était accélérée et elle poussait de petits couinements. C'était là une preuve qu'elle prenait son pied.

Il a finit par jouir à son tour. Il a retiré la capote de sa queue et a présenté sa bite bandée comme jamais devant le ventre de ma mère. Dans un ultime orgasme, plusieurs jets de son foutre ont jaillit pour venir s'étaler sur les seins de la pauvre femme.

Les 3 personnes étaient exténuées. Chacun luisait de transpiration. Ma mère était elle aussi fatiguée et elle commençait à sombrer dans un sommeil pour cuver. Mais je ne voulais pas que ça s'arrête. Je voulais que ça dure.. encore et encore. Et j'allais très vite le faire savoir.

J'ai demandé aux espagnols d'aller se reposer. Avec un sourire, ils ont quitté la chambre, non sans m'avoir remercié et fait des clins d'œil.