Mon Aventure Avec Maman

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Un tendre moment devient en une aventure amoureuse toride.
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Jipai
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Ce matin j'ai enculé maman.

C'est arrivé comme ça, presque naturellement. Comme chaque matin je l'ai rejointe dans son lit, je me suis glissé entre ses draps chauds, de cette chaleur si particulière, comme si j'étais en elle tout à coup, habitant son corps.

Comme chaque matin je me suis lové contre elle. Elle m'attendait mais elle n'a pas bougé. C'est une habitude que nous avons prise, je viens contre elle dans son dos et je l'entoure de mes bras épousant les courbes que son corps dessine sous les draps.

Ce matin j'ai fait comme d'habitude, mon corps est venu au contact du sien et je me suis apaisé. C'est une sensation étrange qui m'est devenue indispensable, sentir son corps contre le mien est bienfaisant, rassurant. Je pose ma tête contre son épaule, je l'entoure de mes bras et nous restons ainsi soudés l'un à l'autre, hors du monde, hors d'atteinte des vilenies, juste nous deux.

Alors que s'est-il passé ce matin? J'ai fait comme d'habitude, je suis arrivé sans bruit dans sa chambre encore dans la pénombre. En trois enjambées j'étais au pied de son lit et j'ai pris le drap froissé dans ma main. Je l'ai soulevé et l'odeur familière de maman est monté dans mes narines. Elle était réveillée mais elle avait les yeux clos, ça j'en étais sûr. J'ai juste eu le temps de voir que sa chemise de nuit était relevée par derrière et que ses fesses étaient nues, tout cela dans l'obscurité, une vision presque fugace. Je me suis allongé avec cette image à peine entrevue en tête. J'ai senti son corps chaud venir au contact du mien. Mes mains ont entouré son corps et elle a soupiré, entre éveil et sommeil. A ce moment-là, j'ai eu la vision d'un sourire sur ses lèvres, je l'ai serrée contre moi pour qu'elle me transmette sa chaleur. Ma tête s'est enfouie au creux de son cou et j'ai respiré ses cheveux bouclés qui me chatouillaient le nez.

Pourquoi ce matin? Peut-être parce que j'avais aperçu ses fesses? Oui c'est sans doute ce détail qui a tout déclenché. La vision est restée gravée dans mon cerveau comme une persistance rétinienne et alors que je la serrais fort, j'ai senti mon sexe durcir. J'ai tenté de me contrôler mais le début de bandaison a persisté. J'étais contrarié, voire même un peu honteux, me demandant ce que maman allait penser de moi. Plus j'y pensais et plus je bandais. J'aurais voulu que mon esprit se détourne de cette image qui restait encrée dans ma mémoire, les fesses de maman dénudées. Au lieu de ça, elle devenait obsédante et à mon grand agacement, je me sentais de plus en plus dur. J'ai eu un mouvement de recul pour essayer de cacher mon état à maman. Elle a eue un mouvement qui lui a fait cambrer les reins, comme si elle me disait « Reste ». Je n'osais pas, tétanisé par la situation, je demeurais immobile, le corps tendu et ma bite qui durcissait au rythme des battements de mon cœur, plus forts, pulsant le sang dans ma verge bientôt si dure. Jamais elle ne le fut autant, de toute ma vie.

Que faire? M'en aller, prétexter une envie pressante, l'idée m'a effleurée, mais je n'ai pas bougé. De son côté, j'ai senti maman se tendre davantage vers moi. J'ai voulu éviter, j'ai eu un mouvement malheureux, mon sexe a jailli de l'ouverture du pyjamas, un vrai bâton qui pointait vers elle. J'ai eu conscience qu'elle venait se loger entre les fesses de maman. Je retenais mon souffle, n'osant plus, tétanisé, je sentais battre mon sang dans ma verge.

Je suis donc resté ainsi un long moment. J'ai fermé les yeux, concentré sur ma bite prise entre les fesses de maman. Par petites touches, elle a fait en sorte que nos chairs se rapprochent et je me demande même, si cette approche n'a pas été facilitée par nos cyprines mêlées.

Je me suis détendu, mon corps retrouvait son élasticité et à mon tour j'ai opéré un rapprochement. Mon torse est venu frotter le dos de maman, mes bras l'ont serré comme chaque matin et ma bouche a commencé à déposer sur son épaule de petits baisers chauds. Je sentais ma bite au contact de son sphincter. D'elle même, elle a ajusté nos positions et bientôt, sans trop y songer, j'ai commencé à pousser avec mes reins. De son côté, maman s'est offerte, mon gland s'est ajusté à son anus et doucement, j'ai pressé sa chair que j'ai eu la surprise de sentir s'ouvrir.

Une bouffée de désir m'a électrisé le corps. Soudain, ce n'était plus maman que je tenais dans mes bras, à la merci de mon sexe, mais une femme qui s'offrait à mon désir. J'ai poussé franchement et mon gland s'est ouvert l'espace pour se faufiler et écarter les bords de l'anus maternel. Il y avait encore une résistance, mais mon sexe avait la consistance du bois, j'ai poussé plus fort, mes bras enserraient le corps de maman pour le retenir, je n'en avais pas franchement besoin car elle se montrait très consentante. Mais mon désir de possession était si puissant que je l'ai serrée fort tout en lui donnant un coup de rein brutal. J'ai senti céder le sphincter et ma verge a pénétré de plusieurs centimètres dans le cul de ma mère.

Elle a poussé un petit cri tout en se cambrant encore davantage, offerte à ma pénétration, sans aucune résistance et je sentais ma bite progresser en elle.

J'enculais ma mère! Mais ce n'était plus ma mère, c'était une amante passionnée qui se donnait à moi avec toute l'envie dont elle était capable. Les reins creusés, elle me tendait son cul que je ne me privais pas de pénétrer, ma bite forçant encore et encore, gagnant quelques millimètres alors que ses fesses étaient maintenant contre mon bas ventre.

Je ne sais pas pourquoi, à ce moment-là j'ai pensé « Tu l'encules bien! » et c'est vrai que j'étais bien enfoncé dans le ventre de maman. Je n'osais pas encore bouger, savourant les palpitations de son sphincter qui enserraient ma verge, à la recherche de contractions pour tenter de retrouver sa forme première. J'avais cette vision en tête, l'anus de maman essayant de se contracter alors que ma bite dilatait l'entrée et la fourrait sur toute sa longueur.

J'ai eu un grognement primitif, ma queue remplissait le cul de ma mère, ma bandaison semblait éternelle, jamais je ne ressortirai de cet endroit si chaud, si intime, si interdit.

Mes mains ont cherché ses seins. Elle m'a laissé lui saisir les mamelles. C'était la première fois que je découvrais la texture douce des seins de maman. Mes doigts lui massait frénétiquement les deux globes jumeaux. Elle a eue quelques gémissements alors que mes mains lui infligeaient un poignassage sauvage. Par dessus son épaules je voyais mes mains sans contrôle lui peloter les nichons jusqu'à lui tirer des plaintes. Mes yeux hypnotisés, fixaient les tétons durs et bruns qui émergeaient entre mes doigts. J'y allais vraiment fort, maman me l'a fait savoir, je lui faisais mal.

Une sorte de frénésie m'a pris alors, sans doute la manifestation de sa douleur a déclenché ma fureur. J'ai donné un furieux coup de reins et maman a crié pour la première fois. Ma bite l'a encore pénétrée un peu plus, tendant son sphincter jusqu'à un maximum douloureux. Je me suis déchaîné, mes reins puissants lui barattaient l'anus de longs et rapides va et viens. Je serrais les dents comme un sportif au maximum de son effort, ma sueur se mêlait à celle de maman, nos odeurs aussi se mêlaient en une fragrance sauvage qui sentait le sexe. Je poussais plus fort, le cul de maman se détendait et ma bite allait et venait en elle avec facilité alors qu'elle criait, hurlait, entre plainte et plaisir, décuplant mes envies de possession.

Je me tenais à ses seins que je serrais comme un enragé, je n'étais plus moi-même, je savais que je lui faisais mal, incapable de me retenir, pressant ses nichons et pilonnant son cul. Maman criait, se débattait, essayait d'échapper à ma fureur, mais je la tenais, bien décidé à ne pas la lâcher. Son corps m'appartenait, j'en étais le maître et j'en jouissais comme je le voulais, y compris jusque la douleur.

J'ai sentis maman s'amollir sous moi, ses cris sont devenus gémissements elle capitulait, me laissant libre de faire d'elle ce que je voulais. Son cul devait la faire souffrir, j'en ai pris conscience et je me suis appliqué à la limer plus sagement, plus longuement, plus langoureusement. Elle a apprécié, je pense, me livrant son corps traversé de frissons. Je sentais les manifestations de sa chair à chaque coup de bite lui remplissant le ventre.

J'étais presque repus d'elle, elle était un jouet entre mes mains et soudain j'ai voulu porter l'estocade. J'ai senti un bouillonnement puissant me labourer le bas-ventre. Des spasmes irrépressibles sont montés, faisant frémir ma bite à la limite de la douleur. Je n'ai pas pu me retenir, dans un dernier coup de reins, je me suis planté en elle et j'ai laissé le sperme jaillir en saccades longues et brûlantes, deux, trois, quatre, je ne pouvais plus m'arrêter, ma bite crachait mon foutre dans le cul de maman, sans contrôle.

A mon tour, j'ai poussé un gémissement sauvage avant de m'abattre sur elle, la bite palpitante, vidée de toute sa substance, épuisé et hébété.

Je venais de ressentir la plus folle jouissance de ma vie, avec un femme et cette femme n'était autre que ma mère. J'avais joui en elle, longuement dans le trou le plus secret de sa personne, son cul.

J'étais sonné, sans force et ma bite ne voulait pas rendre les armes. Il a bien fallu pourtant. Comme elle s'était offerte, maman a repoussé mon sexe et s'est tournée vers moi. Je la voyais sans la voir, mais je fus frappé par la jeunesse de son visage, était-ce un fantasme? Maman avait vingt ans et moi, j'avais quarante trois ans, comme aujourd'hui.

Il me fallut du temps pour tout remettre dans l'ordre, revenir sur la planète et me rendre compte que maman avait en fait soixante sept ans. Elle était seule dans la vie depuis que mon père était parti définitivement s'occuper d'affaires lointaines et rémunératrices. Ma vie à moi, était une suite d'échecs douloureux que seule une mère sait consoler.

Jipai
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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 1 an

Jipai un très bon auteur dont j'ai lu une grande partie de ses histoires, la première, l'Orage, il y a très longtemps !

J'aime bien sa façon de raconter, son français bien écrit, ses scénariis réalistes. Bravo!

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