Hommage à la Mère

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Souvenir d'enfance Emotions sensuelles avec ma mère.
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Valcour
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Comme beaucoup d'enfants, j'ai appris à m'enivrer de l'odeur de femme chaude dans le lit de ma mère. C'est pour lui rendre hommage, et pour revivre par l'écriture la chaleur des hommages dont je l'ai honorée, que j'écris ces souvenirs de mon enfance.

J'avais huit ou neuf ans et ma soeur, deux de plus. Notre père partait travailler très tôt car nous habitions dans une triste banlieue mal desservie par les transports.

Lui parti, l'obscurité revenue, ma soeur et moi allions rejoindre aussitôt notre mère dans son lit. Elle tentait de prolonger son sommeil, nous nous installions chacun d'un côté, et moi toujours à sa droite pour que ma main droite soit libre de se poser sur son ventre, de caresser ses seins et de s'aventurer jusqu'à ses cuisses.

Un rituel s'était instauré. Nous écoutions d'abord sa respiration, avec un respect religieux. Je me laissais envahir par sa chaleur. Sa courte chemise de nuit était toujours retroussée, et je me collais au plus près de sa cuisse nue.

J'aimais par dessus tout ses odeurs. L'odeur de son cou, l'odeur de sa chevelure, différente, un peu savonneuse, l'odeur des touffes noires et soyeuses de ses aisselles, plus acide, et même l'odeur de pet qui imprégnait les draps. Elle avait l'habitude de replier ses bras sous sa tête, ce qui dégageait un buisson moite où j'enfouissais mon nez avec délices. Je suis maintenant convaincu qu'elle aimait me sentir la humer. Mais à l'époque, je saisissais la chance sans me préoccuper des arrières pensées.

Ma soeur de son côté promenait sa main gauche sur le ventre rebondi, posait des baisers baveux sur ses épaules et au creux de son cou, tirait sur le nylon crissant pour le tendre sur les seins. Dans la pénombre on distinguait les tétons bruns, gonflés, pointus comme pour percer le tissu.

Notre rituel se déroulait en plusieurs temps. Tout d'abord celui du silence, de l'imprégnation par les odeurs, de l'écoute du sommeil en train de se dissiper. Ensuite, quand la respiration indiquait l'approche du réveil nous lui prodiguions des caresses plus insistantes, pour l'empêcher de se rendormir. Rapidement, elles se transformaient en chatouilles.

-- Laissez moi dormir!

Mais c'était trop tard, le grand jeu commençait. A la faveur de ses mouvements de résistance, je m'emparais de ses seins. Elle avait de grands seins, flasques comme des gourdes basques à moitié pleines, couronnés d'aréoles brunes, pas aussi parfaits que les seins siliconés des pin-ups, mais je les aimais bien ces seins qui nous avaient, ma sœur et moi, bien longtemps allaités.

Trèves d'attendrissement laitier. Ce fut ma sœur la plus hardie, et c'est elle qui fit évoluer le rituel. Lors d'une série de chatouilles appuyées, notre mère poussa un long gémissement sourdant du plus profond de sa gorge, et son dos se cambra. J'eus peur pour elle d'une crise de quelque maladie nerveuse, mais je vis que la responsable était ma soeur qui fouillait vigoureusement son bas-ventre, et que ses gémissements étaient en phase avec cette caresse insolite. J'arrêtai alors mes propres caresses, saisi de respect face à une manifestation de possession que je ressentais comme sacrée, et attentif à me laisser moi-même envelopper par les ondes de sa jouissance. Je m'aperçus que je bandais. Je frottai mon petit membre raide et douloureux contre l'ample et grasse cuisse maternelle, j'étais tétanisé par sa jouissance. Vint la détente. Ma main était posée sur sa cuisse, près du lieu stratégique que ma soeur avait investi. Ma joue collée contre un sein tiède et moelleux, j'enregistrais avec émotion tout ce que manifestait son corps: soupirs, frémissements, palpitations, et je cherchais à éprouver ses sensations.

Pourquoi une larme se mit-elle à couler sur sa joue, jusque sur mes lèvres?

Nous nous mîmes à l'embrasser dans le cou, sur les épaules, sur les paupières, à mordiller ses oreilles, à y enfoncer nos langues, ce qui la fit sortir de sa torpeur, alors que je reprenais mon inlassable exploration de son ventre et de ses seins.

--- Vous êtes des diables. Mais c'est l'heure de l'école!

Panique, lever précipité, départ pour l'école.

Le rituel se trouva enrichi. Mais ma sœur s'arrogeait le rôle de prêtresse officiante : elle éloignait ma main avec autorité chaque fois que je tentais d'approcher la broussailleuse source de jouissance.

-- Non-on, murmurait notre mère chaque fois que la main branleuse de ma sœur montait trop haut. Mais ce qui avait été admis une fois fut à chaque fois répété.

Ma soeur et moi partagions la même très petite chambre, et bien sûr je souhaitais manipuler son conin glabre, tout comme elle manipulait le buisson maternel. Mais elle refusait absolument de me laisser la toucher. Elle n'hésitait pas à rugir et à griffer comme une panthère si je le tentais.

-- Laisse moi te caresser, je le ferai très doucement.

-- Quand j'aurai des poils.

-- Montre-moi tes poils.

-- Y-en a pas.

J'approchais mes yeux à quelques centimètres de son bas-ventre où je cherchais tous les matins l'apparition de quelque poil, signe avant-coureur de sa disponibilité à mes mains désirantes. Respectueux du pacte, je préférais sacrifier le toucher au profit de la vue et de l'odorat, mais il faut bien dire que je ne retrouvais pas sur elle la puissante odeur de femelle que dégageait le corps jouissant ou alangui de notre mère.

Sauf le dimanche, jour de messe et d'ennui, les séances matinales continuaient de plus belle. Notre mère faisait semblant de se défendre de nos chatouilles. Elle s'emparait du paquet de mes toutes petites couilles et de ma bite raidie, et le serrait pendant que je lui pinçais un téton. A qui supporterait le mieux la "douleur" infligée par l'autre. Le premier qui criait grâce avait perdu.

Venaient ensuite les claques. Notre mère s'allongeait sur le ventre et nous offrait, par défi, ses fesses à claquer. Chacun de nous s'occupait d'une de ses grandes fesses blanches. Elle se trémoussait mais ne protestait pas, même lorsque ses fesses et ses cuisses atteignaient l'écarlate d'une langouste ébouillantée. Les fessées qu'elle nous donnait (rarement) n'étaient que caresses à côté de celles qu'à deux, nous lui donnions.

Las de claquer ses fesses, nous nous mettions ensuite à implorer leur pardon en les baisant et en les caressant, sans arriver à nous retenir de les malaxer comme deux grosses boules de pâte à pain. C'est moi qui eut l'audace un matin, de les écarter franchement, et le coeur battant à rompre, de plonger un doigt dans l'oeillet brun et plissé. Protestations peu énergiques de sa part et nouvelles claques administrées par mon adorable complice. Un doigt, puis deux, et l'habitude fut prise de terminer le jeu par une vigoureuse exploration du cul maternel.

Quand l'heure venait de se lever, elle nous baisait à pleine bouche, chacun notre tour, en mordillant nos langues.

-- Vous êtes de vrais démons. Mais c'est l'heure de l'école!...

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Anonymous
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5 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 2 ans

Excellent récit,proche de certaines réalités.

AnonymousAnonymeil y a presque 3 ans

J'aurais aimé que la sœur ait également permis à son frère de toucher le triangle poilu de sa mère - pour montrer comment cela peut être encore plus érotique le matin dans le lit conjugal lorsque les enfants rendent visite à leur jolie mère aux gros seins pour la câliner et vivre des caresses excitantes - le La soeur ne devrait pas être si jalouse de son petit frère et lui donner également l'occasion d'examiner le vagin maternel - il chatouillera la vulve poilue de sa mère si doucement, tendrement, ludiquement et avec amour qu'elle connaîtra probablement un énorme orgasme

AnonymousAnonymeil y a environ 9 ans
reve

cest le genre de fantasme que j aurais aimer faire

AnonymousAnonymeil y a plus de 12 ans
hummmmmmmmmm

merci j'adore

AnonymousAnonymeil y a plus de 17 ans
la suite

domage qu il n y as pas de suite , histoire trés exctante

faire une suite serait bien venu, à moins que je m en charge, au plaisir de vous lire, mon mail aqptme@wanadoo.fr

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