Méfiez-vous de Cadeaux

Ma première tâche était bien sûr de retrouver la vieille dame afin de découvrir le secret de ses merveilleuses herbes.

J'ai dû investir malgré mes fonds limités dans un autre vol aller-retour vers les îles, mais j'espérais que cela en vaudrait la peine au final. J'ai retrouvé le village, et la vieille femme aussi.

Cela m'a pris du temps, mais après beaucoup de palabres et de gesticulations, j'ai réussi à la persuader de me montrer la plante d'où provenaient ces feuilles miraculeuses. Lorsqu'elle m'a dévoilé un buisson sans aucun charme, je dois bien admettre que j'étais un peu méfiante. J'ai mâchouillé une feuille et j'ai attendu. Effectivement, quelques minutes plus tard, j'ai ressenti des picotements dans ma chatte.

Je lui ai souri et j'ai rempli un sac en plastique de feuilles et de baies. Je lui ai encore donné quelques dollars et j'ai gesticulé et palabré pour lui expliquer qu'elle devait garder le silence sur nos transactions. Nous avons encore échangé quelques effusions avant que je prenne congé..

À mon retour, j'ai écrit à tous les laboratoires pharmaceutiques que j'ai pu trouver, mais sans obtenir la moindre réponse. Alors, je me suis adressée aux officines qui élaboraient des plantes médicinales. Bizarrement, j'ai reçu une réponse de gens qui s'occupaient de compléments alimentaires. J'ai été convoquée au siège de l'entreprise. J'ai été reçue dans une salle de conférence où se trouvaient des messieurs âgés, vêtus de costumes coûteux.

J'ai dû expliquer en détails que j'avais découvert par hasard un végétal très efficace pour augmenter le flux sanguin dans les organes génitaux de la femme, augmentant par là-même la sensibilité et la stimulation. Et que non, je ne pensais pas que ce produit pourrait servir de traitement potentiel pour un dysfonctionnement sexuel féminin, mais comme un produit récréatif, un stimulant qui permet aux femmes d'atteindre l'orgasme beaucoup plus facilement et plus fréquemment.

Il y eut quelques chuchotements dans l'assemblée. Visiblement, ils étaient dubitatifs. Ils m'ont demandé de prouver son efficacité. Bien sûr, je me suis appuyée sur les vidéos tournées par les passagers de l'avion. Bien sûr, ils les avaient vues, mais un film peut toujours être truqué, n'est-ce pas? Même s'ils pensaient qu'une telle manière d'opérer constituait une méthode assez percutante pour faire la publicité du produit.

Bien sûr, ils m'ont demandé si j'avais un échantillon du végétal avec moi? Bien sûr, j'avais apporté avec moi ce qu'il fallait, mais ils n'espéraient tout de même pas que j'allais leur faire une démonstration, ici et maintenant? Non, ils voulaient quelqu'un d'impartial, une main innocente en quelque sorte.

Quelqu'un a suggéré la nouvelle secrétaire, la petite blonde. Ils étaient tous d'accord. Visiblement, elle leur avait tapé dans l'œil. Un de ces messieurs très hypocrite a décroché le téléphone pour demander à son interlocutrice d'apporter une bouilloire d'eau chaude pour prendre le thé.

Quelques minutes plus tard, une superbe jeune fille entra, porteuse d'une bouilloire d'eau chaude. Le teint clair, la crinière blonde, très cambrée avec une poitrine proéminente, elle était magnifique. Ces salopards avaient bon goût. Si c'était elle le cobaye, j'en salivais d'avance. J'ai donné le sachet à celui qui paraissait être le chef. Pendant que la jeune femme versait l'eau dans les tasses, le patron a versé le contenu du sachet dans une tasse.

« Mon Dieu, pas tant que ça ! » Il m'a jeté un regard noir et l'a tendu à la jeune femme en lui ordonnant de le boire.

« C'est beaucoup trop, buvez-en juste un peu ! » Mais le patron m'a jeté un autre regard mauvais en ordonnant à la jeune femme de tout boire. Elle n'a pas protesté et elle a tout bu.

Pendant environ quinze minutes, il ne s'est rien passé, puis elle a commencé à transpirer et à se tortiller sur son siège. Elle tremblait légèrement et clignait des yeux rapidement. Puis elle a commencé à se tordre les mains, affolée par les pulsions internes qu'elle ne parvenait plus à contrôler.

Le patron lui a demandé si tout allait bien, mais elle semblait avoir des difficultés d'élocution. Il lui demandé de commenter ce qu'elle ressentait, mais elle n'en était plus capable. Elle a glissé une main sous sa jupe pour se masturber la chatte, pendant que son autre main attrapait son sein et le malaxait vigoureusement.

Le patron s'est tourné vers moi : « Il faut nous laisser maintenant, mademoiselle Laura ne se sent pas bien, nous allons nous occuper d'elle. » Je suis sortie attendre la fin de la réunion dans le bureau voisin, celui de la jeune secrétaire. Malgré l'épaisseur des murs, je sais aux cris qu'elle poussait qu'ils l'ont tous baisée. Et pas qu'une fois.

J'ai attendu longtemps avant que la porte ne s'ouvre. Le patron est sorti le premier. Par la porte ouverte, j'ai vu la fille qui était allongée nue en travers de la grande table de réunion. Les autres directeurs étaient en train de se réajuster. Ils m'ont regardée, surpris, ils avaient oublié ma présence.

J'ai pris mon air le plus sévère : « Vous devriez avoir honte » leur ai-je dit en les dévisageant à tour de rôle. « Mais on peut affirmer que cela fonctionne. Maintenant, parlons affaires. »

Après beaucoup de marchandages, ils m'ont proposé un pourcentage correct sur les ventes. Les directeurs sont partis à la recherche d'une autre secrétaire pour rédiger mon contrat. Ils ont emporté avec eux ce qui restait de l'infusion. Je suis restée seule avec le patron. Il s'est approché de moi pour glisser son bras autour de ma taille.

« Et toi, as-tu besoin d'un stimulant pour te livrer? » A ce moment-là, j'ai compris que je faisais partie du contrat, comme tout le personnel féminin travaillant pour cette entreprise. Une pression sur mes épaules m'a indiqué que je devais me soumettre. Je me suis penchée sur son érection stimulante, et je l'ai prise en bouche.

Du coin de l'œil, j'ai aperçu Laura qui revenait dans son bureau. « Est-elle aussi salope que moi? » Puis elle est venue s'accroupir près de moi, et sa bouche est venue contre la mienne pour caresser la verge tendue du patron.