Méfiez-vous de Cadeaux

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Rainett
Rainett
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Frustrée par le manque de succès dans sa recherche d'une romance de vacances, Bérengère a décidé d'explorer les régions les moins touristiques de l'île. Des difficultés de langage causées par son ignorance du créole lui ont fait croire que les herbes qu'une vieille dame lui offrait étaient quelque chose qui l'aiderait à dormir. Ce n'était pas le cas. Vraiment pas.

Bonjour, je m'appelle Bérengère, vous avez peut-être déjà entendu parler de moi. J'ai été brièvement célèbre pour un incident regrettable dans un avion. Ne vous inquiétez pas si vous l'avez manqué, nous y reviendrons en temps utile. Je suis une jeune femme lesbienne de vingt-trois ans qui travaille comme assistante de publication. Cette histoire ne concerne cependant pas le lesbianisme, ni même l'édition.

Tout a commencé lorsque j'étais en vacances dans une île des Caraïbes. J'étais célibataire, car je suis une fille plutôt indépendante, mais j'aime faire de nouvelles rencontres, et je ne suis pas une oie blanche. Et je ne déteste pas les rencontres sans lendemain. L'hôtel sur la plage était magnifique, mais je n'avais aucune chance en termes de tendres relations. La grande majorité des vacanciers étaient soit des jeunes couples avec des enfants, soit des couples âgés. Les employées du complexe hôtelier étaient très distantes, peut-être surveillées, pensais-je. J'ai rencontré deux filles magnifiques, mais il s'est avéré qu'elles étaient sœurs et non, elles n'étaient pas intéressées par un plan à trois.

Je me masturbe rarement, pas pour de prudes raisons, je considère simplement que c'est un très mauvais substitut, comparé à faire l'amour avec un être humain passionné, chaleureux et, espérons-le, inventif. Ne vous méprenez pas, je prenais du bon temps en explorant la cité balnéaire ou en paressant sur la plage, mais je commençais à être un peu... frustrée.

Un matin, après quelques cocktails de trop dans la soirée, je me suis restée au lit tard. On a toqué à ma porte et une femme de ménage est entrée. Dans mon état d'éthylisme, j'avais visiblement oublié d'afficher le panneau « Ne pas déranger » sur la poignée de ma porte. C'était une métisse absolument magnifique, une déesse que seul peut produire le climat des îles tropicales.

« Désolée, désolée, désolée » J'ai coassé en sautant du lit, complètement nue, et en courant vers la salle de bain. La jeune femme s'excusa en rougissant, visiblement très gênée. Je lui ai dit qu'il n'y avait rien de bien grave, et je suis rentrée dans la salle de bain en laissant délibérément la porte entrouverte. J'espérais vraiment la voir me mater à travers l'entrebâillement de la porte, et j'ai été très déçue qu'elle ne l'a pas fait.

Je suis ressortie, juste vêtue d'un déshabillé très court en satin. Je l'ai observée pendant qu'elle rangeait ma chambre. Elle était vraiment très mignonne et je suis devenue incroyablement excitée et vraiment coquine avec ma nuisette. Quand elle a eu fini et m'a dit qu'elle partait, je lui ai donné un pourboire de vingt dollars et j'ai laissé mon peignoir s'ouvrir. Elle a porté deux doigts à ses lèvres, elle les a sucés, puis elle m'a effleuré la chatte.

« Vous êtes une très jolie femme. Désolée, je n'aime que les hommes » Elle m'a donné un bisou dans le cou, puis elle m'a offert son doux sourire, et elle est partie. Je tremblais de désir et d'émotion, mais je résistais toujours à l'envie de me branler.

L'avant-dernier jour des vacances, je me faisais griller sur la plage. La chaleur du soleil transperçait mon bikini et troublait mes pensées. L'eau n'était pas assez fraîche pour calmer mes ardeurs. Je suis allée au bar de la plage pour un cocktail glacé. La fille qui œuvrait au bar avait un petit ami. Je le savais parce que j'avais déjà tenté ma chance avec elle. « Que doit faire une jeune femme pour baiser ici? » ai-je cogité en commandant un deuxième verre.

C'est à cet instant que j'ai pris ma décision. Celle d'aller me promener en visitant l'intérieur de l'île. Marre de cette plage pleine de jolies filles qui exhibent leur féminité à peine voilée par des maillots de bains minimalistes. Je suis allée au bureau de location de voitures et j'ai réservé un petit 4x4 pour le lendemain. Ils m'ont donné une carte gratuite et j'ai passé ma soirée à planifier mon itinéraire.

J'ai roulé dans les collines en direction de nulle part. En chemin, je suis tombée sur un charmant petit village, et j'ai décidé de m'arrêter pour déjeuner. Je me suis garée sur la place centrale, et j'ai regardé autour de moi en descendant de voiture. Je n'ai pas pu voir quoi que ce soit qui ressemblait à un bar ou à une auberge, encore moins à un restaurant.

Je maudissais mon imprévoyance qui m'avait fait oublier d'emporter un panier-repas, et j'allais repartir, quand une vieille femme s'est approchée de moi. Elle me parlait et je ne comprenais rien à ce qu'elle me racontait. Probablement la version locale du créole. J'ai essayé de la faire s'exprimer en français, en anglais, même en espagnol que je pratique un peu, mais rien à faire, elle se contentait de secouer négativement la tête en me débitant son charabia.

« Manger ! » C'est pareil dans toutes les langues, elle a pincé ses doigts pour les porter à ses lèvres.

« Ah, OK, manger ! » Dis-je bêtement en répétant son geste, et elle me fit signe de la suivre.

J'ai bêtement cru qu'elle allait me conduire vers une jolie petite auberge au détour du chemin, mais après une assez longue marche, nous sommes arrivées à une petite cabane délabrée. Elle m'a fait asseoir près de l'entrée, sur un tronc d'arbre qui servait de siège, et je réfléchissais furieusement à la façon dont je pourrais me sortir de cette situation délicate. Mais, en un rien de temps, elle m'avait préparé une jolie assiette de pain, de fromage et de fruits.

Je l'ai remerciée avec un sourire et je me suis blottie tout contre elle. Elle semblait très heureuse. Pendant que je mangeais, j'ai entendu un téléphone sonner. J'ai été étonnée de la voir ouvrir un placard maintenu fermé à clé par un cadenas, pour en sortir un vieux téléphone à cadran. Cela m'a confirmé à quel point cet endroit était arriéré.

J'ai beaucoup apprécié son hospitalité et, avant de partir, je lui ai donné trois billets de 10 dollars. Elle n'en a pris qu'un, et je lui ai tendu les deux autres d'une manière que je pensais être insistante. Elle prit ma main dans les siennes et me dévisagea intensément, les yeux dans les yeux, pendant un temps embarrassant. Puis, elle a rouvert le placard du téléphone, pour en sortir ce que je croyais être un petit morceau de papier plié. Mais c'était en fait un sachet plein de feuilles d'arbuste séchés.

Elle me l'a offert et me faisant signe de les manger. J'ai commencé à les porter à ma bouche, mais la femme a retenu ma main avec la sienne, et m'a fait comprendre, avec un geste explicite, qu'il fallait les prendre au moment du coucher. OK, j'ai pensé, ça doit être un truc pour passer une nuit paisible.

Je lui ai souri, elle m'a souri, puis elle a ajouté, dans son charabia incompréhensible, une litanie dont ressortait quelques mots qui ressemblaient à du français : « chatte, éveil, mouillé, branler ... » Je n'avais pas la moindre idée de ce dont elle me parlait, mais cela m'a donné envie de rire. J'ai sorti mon téléphone, pensant pouvoir essayer Google Translate, mais il n'y avait aucun signal, ce qui n'était pas vraiment une surprise.

J'ai haussé les épaules en me disant: « Tu verras bien, ma fille ! » Puis elle a caressé avec sa main le bas de son ventre en esquissant un sourire. Alors j'ai pensé « Ah, c'est bon aussi pour la digestion » « Oui, oui, merci » Dis-je, et je la remerciais chaleureusement, heureuse d'avoir compris ses explications. J'ai mis le sachet dans mon sac à main, et j'ai pris congé de la vieille dame.

Je me suis baladée dans les collines tout l'après-midi, j'ai vu des paysages magnifiques, et je suis rentrée à mon hôtel, heureuse d'avoir découvert la vraie vie dans les îles, loin des paradis artificiels des complexes hôteliers. J'ai dîné au restaurant, puis j'ai pris un dernier verre au bar de l'hôtel.

J'y ai rencontré une jeune femme charmante, et j'ai pensé un instant que ma chance avait finalement tourné. Mais il s'est avéré qu'elle était sur le même vol de nuit que moi, et qu'elle était juste en train de tuer le temps avant de prendre un taxi pour l'aéroport.

Comme souvent, le dernier jour de mes vacances est décevant. N'ayant pas d'endroit pour me changer, je ne pouvais pas me baigner, alors je suis allée me promener sur le front de mer et dans les rues commerçantes. Après un déjeuner succin, je me suis baladée dans un parc, puis je me suis assise sur un banc pour lire sur ma tablette et regarder les gens. C'était en fait un soulagement quand il fut l'heure d'aller à l'aéroport. Maintenant, j'avais hâte de rentrer à la maison.

Au moment où je passais les contrôles de sécurité, une tempête s'est abattue et le vol a été retardé d'une heure, puis d'une autre heure, puis encore une fois d'une heure. A quatre heures du matin, ils ont finalement annoncé que le vol était annulé, et reporté sur le vol suivant vers midi.

J'ai essayé de dormir, allongée sur un banc, mais ce n'était pas confortable du tout, surtout à cause des accoudoirs. Puis je me suis souvenue des herbes de la vieille dame. Ça n'avait pas l'air très appétissant, alors j'ai pris une tasse d'eau chaude pour me confectionner une sorte d'infusion.

J'ai dû somnoler, parce que je me suis réveillée deux heures plus tard, à cause d'un rêve assez bizarre et très érotique. À mon réveil, j'ai réalisé que j'étais très excitée, et je sentais l'humidité dans ma culotte. Je me suis brièvement demandé si je m'étais pissé dessus, mais dès que j'ai bougé, même légèrement, j'ai su que ce n'était pas ça. Mon clitoris frottait douloureusement contre le tissu de ma culotte. Je n'avais jamais ressenti cette fièvre auparavant, et je me demandais ce qui m'arrivait.

Je suis allée aux toilettes des dames. Heureusement, c'était tout proche, car l'embrasement de mon clitoris quand je marchais créait une faiblesse dans mes genoux. Dieu seul sait à quoi je ressemblais lorsque je vacillais jusque là-bas comme une pocharde.

Quand je me suis finalement réfugiée dans une cabine, j'ai troussé ma jupe, j'ai baissé ma culotte, et je me suis assise sur les toilettes. Quand j'ai regardé entre mes jambes, je ne pouvais pas croire ce que je voyais. Les lèvres de ma chatte étaient rouges et gonflées, et mon clitoris tendu dépassait d'entre elles. Jamais aucune sollicitation de mes partenaires ne m'avait mise dans un état pareil. C'était énorme et dressé comme une petite bite.

J'ai repensé à ma rencontre avec la vieille femme. J'ai réalisé à ce moment-là que je n'avais rien compris à ses explications. Elle ne se frottait pas le ventre, elle se frottait la chatte. D'une manière ou d'une autre, elle avait dû discerner mes frustrations sexuelles, et me donner un aphrodisiaque pour exulter. Tout avait du sens désormais. Cela me ferait plaisir, et je devrais le prendre le soir. Je me suis reprochée ma naïve stupidité, mais cela n'a pas amélioré du tout ma situation.

J'étais excitée au-delà de toute attente. J'ai léché mes doigts et je les ai placés autour de mon clitoris que j'ai branlé comme un micro-pénis. C'était incroyablement voluptueux, et je me suis fait jouir en quelques minutes. Cela ne m'a pas soulagé longtemps car, dès que la phase d'exultation fut terminée, j'avais besoin de recommencer. En fait, j'ai eu trois orgasmes avant que mon niveau d'excitation ne redescende à quelque chose de gérable. Même alors, mon clitoris restait toujours aussi exacerbé. Je me suis nettoyée du mieux que je pouvais avec quelques lingettes humides.

J'ai regardé ma culotte trempée autour de mes chevilles, et je savais que je ne pouvais pas la remettre. Sans parler de l'odeur de cyprine qui s'en dégageait, son contact moite contre mon clitoris brûlant de fièvre me tourmentait. Il avait besoin d'espace et d'air frais pour s'apaiser. J'ai retiré ma culotte et je suis retournée m'asseoir à ma place.

Les heures suivantes furent un véritable supplice. Le moindre mouvement, la moindre friction sur mon clitoris provoquait une décharge électrique qui embrasait tout mon système nerveux. Malgré le fait que je reste assise sans bouger, les jambes écartées, j'ai eu je ne sais pas combien de petits orgasmes avant qu'ils nous appellent enfin à la porte d'embarquement.

En me levant pour rejoindre la porte d'embarquement, j'ai réalisé que l'arrière de ma jupe était trempé de mon jus, mais que pouvais-je y faire? Je souhaitais désespérément rentrer chez moi, donc je n'avais pas d'autre choix que de m'insérer dans la foule compacte qui se pressait devant le guichet. Je me suis frayé un chemin péniblement, en marchant à petits pas lents pour provoquer le moins de secousses possible dans mon bas-ventre tourmenté.

J'avais probablement l'air de quelqu'un qui se retient de chier, mais si un orgasme me traversait maintenant, je me serais effondrée au beau milieu du hall en hurlant ma jouissance. J'ai fait un bref détour par les toilettes des dames avant d'embarquer, car je savais qu'à bord l'accès aux toilettes n'était autorisé qu'après avoir atteint l'altitude de croisière.

J'ai réussi à rafraîchir un peu ma chatte brûlante et à sécher sommairement ma jupe humide, mais je ne sais pas si cela faisait une réelle différence. À ce stade, ma propre fragrance était dans mon nez et je pouvais la sentir partout.

Au moment de franchir la porte d'embarquement, j'étais en transes. Je devais simplement avoir un orgasme. Arrivée à mon siège, j'ai sorti la couverture disposée dans sa pochette plastique, et je l'ai posée sur mes genoux. J'ai glissé ma main dessous, et j'ai exercé une faible pression sur mon clitoris.

Instantanément, une myriade d'étincelles a explosé dans mes reins embrasés. Le soulagement fut exquis et j'expirais complètement pour la première fois depuis longtemps. L'inconvénient, c'était que je sentais un autre flot de cyprine s'échapper de ma chatte ruisselante pour venir tremper ma jupe. J'empestais maintenant comme une pute bon marché qui a une très mauvaise hygiène.

Une très belle femme d'une trentaine d'années, très classe, est venue s'installer sur le siège à côté du mien. Elle avait déjà ses écouteurs sur ses oreilles. Sur les sièges devant moi se trouvaient des gamins, un garçon et une fille, qui se sont agenouillés sur leur siège pour me dévisager. Étaient-ils incommodés par mon odeur? Surmontant ma paranoïa croissante, je leur ai souri, et ils se sont rassis sans rien dire ni me rendre mon sourire.

Tandis que les passagers continuaient d'embarquer, mon niveau d'excitation s'envolait de nouveau vers les sommets. J'ai commencé à me tortiller sur mon siège, croisant mes jambes en les serrant fortement l'une contre l'autre, en essayant de ne pas céder aux exigences désormais exorbitantes de ma chatte insatiable. Cela m'a semblé une éternité avant que nous puissions enfin décoller, et j'ai ensuite attendu avec impatience que le panneau de ceinture de sécurité s'éteigne. Mais quand ce fut le cas, plusieurs personnes, qui étaient plus proches des toilettes que moi, formèrent une file d'attente avant même que je puisse bouger.

J'étais désespérée maintenant et, dès l'instant où les toilettes se sont libérées, je me suis traînée vers l'avant aussi vite que je le pouvais. Juste avant mon arrivée, quelqu'un m'a devancé. J'ai vu que les autres toilettes étaient hors service et j'ai craqué. Je n'en pouvais plus, et j'ai fondu en larmes. Une hôtesse de l'air a vu mon désarroi et a posé sa main sur mon bras.

« Est-ce que ça va, Madame? Qu'est-ce qui se passe? » M'a-t-elle demandé, avec un visage inquiet. Je ne savais même pas comment m'expliquer, et de toute façon, je ne pouvais pas parler à cause de mes sanglots. Dans mon état, avec mon esprit dépravé, j'ai décidé de simplement lui montrer. Je l'ai repoussée dans la cambuse et j'ai soulevé le devant de ma jupe. Elle a baissé les yeux, et l'expression d'horreur sur son visage a été rapidement remplacée par un air de fascination.

« Oh mon Dieu, pauvre petite chose ! » Dit-elle doucement. Elle a repoussé mes mains qui retenaient ma jupe vers le bas et m'a guidé vers les toilettes privées. Elle ouvrit la porte et me poussa doucement à l'intérieur.

« Est-ce douloureux? » M'a-t-elle demandé en se baissant devant moi et en troussant de nouveau ma jupe. Je priais tous les saints du paradis pour qu'elle me soulage en s'occupant de moi.

« Non » répondis-je. « J'ai juste besoin d'un peu de sympathie » et je posais mes mains sur sa tête pour l'attirer doucement contre moi. Mes désirs ont été exaucés lorsqu'elle a posé ses lèvres sur mon clitoris. Elle a commencé à le sucer doucement, et j'ai cru défaillir de bonheur. Je pensais que ma tête et mon cœur allaient exploser tandis qu'une série d'orgasmes incroyables déchiraient tout mon être.

« Oh mon Dieu, oui, merci, merci » J'ai pleurniché tout le temps qu'elle me suçait et me léchait, ne m'arrêtant que lorsqu'elle se releva pour m'embrasser à pleine bouche.

« Comment diable t'es-tu mise dans cet état? » Elle me demanda en riant.

« Je pensais que je prenais une infusion pour m'aider à dormir. Mais apparemment, non. »

« J'ai des calmants, si tu penses que ça pourrait t'aider. » J'ai accepté avec gratitude et j'en ai pris deux avec un verre d'eau pour faire glisser. Je suis retournée à ma place et j'ai réussi à dormir un peu. Quand je me suis réveillée, j'ai découvert que ma main, sous la couverture, frottait contre ma chatte, qui palpitait de nouveau.

Je me suis arrêtée et j'ai jeté un coup d'œil à la femme à côté de moi. Elle me regardait avec un air de dégoût et de mépris absolus. Elle avait sous ses yeux une vision de l'enfer ! J'ai pensé, si seulement elle savait ce que je vis ! Elle a fermé les yeux et j'ai pensé, eh bien, tu vas le découvrir, salope. J'ai saupoudré la moitié des herbes restantes dans son thé, et je l'ai observée à la dérobée pendant qu'elle le buvait.

Vingt minutes plus tard, elle transpirait et s'agitait sur son siège. Je savais exactement ce qu'elle ressentait. Quand elle s'est levée pour se diriger vers les toilettes, je l'ai suivie de près. Quand elle est entrée, je l'ai bousculée pour l'accompagner à l'intérieur. Nous sommes restées là à nous dévisager pendant quelques secondes, puis nous nous sommes jeté l'une contre l'autre. Nous avons arrachés nos vêtements pour nous frotter et nous lécher comme si nos vies en dépendaient.

Dans cet espace exigu, nous avons réussi l'exploit de nous aimer et de nous faire jouir à de nombreuses reprises. Elle possédait une technique hallucinante pour agiter ses doigts à l'intérieur de ma chatte qui me faisait planer d'orgasmes en orgasmes, tous plus fous les uns que les autres. La perte de conscience nous a conduites à l'irréparable. Nos hurlements de plaisir ont attiré l'attention du personnel de bord qui nous a sorti des toilettes sans pouvoir nous empêcher de continuer à nous aimer.

Malheureusement, certains passagers ont cru malin de nous filmer et de nous exposer ensuite sur les réseaux sociaux, ce qui bien sûr nous a causé beaucoup de torts. Pour moi, ma maison d'édition a décrété que ma personnalité ne correspondait plus à leur ligne éditoriale, et ils m'ont remerciée.

Même si le résultat de cette expérience était assez horrible, j'avais connaissance du seul aphrodisiaque féminin qui fonctionnait réellement. Si l'on considère que les seuls aphrodisiaques sur le marché, et qui fonctionnent vraiment, sont ceux réservés aux hommes, il y avait là de quoi faire fortune. Tout dépendait du fait que ce soit beaucoup moins intense et plus contrôlable.

L'effet était absolument incroyable. Mon clitoris, mes lèvres et même mon vagin étaient devenus enflés et gorgés de sang, mais c'est l'augmentation de la sensibilité qui était le plus surprenant. Pour la première fois de ma vie, je découvrais le plaisir sans limite. Quand j'ai pensé combien j'étais prête à payer pour cette expérience, j'ai su qu'il y avait beaucoup d'argent à gagner en commercialisant ce truc.

Rainett
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