Méchant Conte de Noël

BÊTA PUBLIQUE

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Je n'ai pas besoin de me déshabiller, quand je suis devenu Orc, mes vêtements se sont déchirer. Je les ramasse et les mets à la poubelle. Je reviens devant Lou, son corps évanouit me plaît vraiment. Je m'astique un peu pour maintenir ma bandaison. Merde, mon sexe est couvert d'une substance bizarre. J'apprendrais plus tard que les Orcs adorent tout les plaisirs de la vie. Les légaux comme les illégaux, du moins dans votre monde : La bouffe, l'alcool, la drogue, se battre. Mais ce qu'ils adorent par dessus tout, c'est le sexe, plus c'est violent, moins la femelle le souhaite plus cela leurs plaît. Et ce de tout temps. Si bien que très vite ils ont agressés les autres espèces, pour piller mais aussi pour violer. Que ce soit des humaines, des elfes, des lutines, des fées, ou toutes femelles d'autres espèces, à chaque fois le résultat est le même, le viol est létal pour la violer. Aucune ne survie.

Mais l'Orc est comme les rats, il évolue très vite. Si bien que cette substance apparaît sur leurs pénis au bout de trois ou quatre génération. Cela cautérise les plaies créé par la bite Orc, évitant à la femelle de se vider de son sang, d'être trop déchirer, de périr. Mais cela à une contrepartie sûrement pire que la mort. Les déchirures ne se referment jamais vraiment, rendant les coïts suivants encore plus douloureux. Même avec un mâle de l'espèce de la femelle ayant connu la pine d'Orc.

En outre les Orcs sont la seule espèce connu à avoir une semence multi-espèce et hautement fertile. C'est à dire qu'un Orc peut mettre enceinte une femelle de n'importe quelle espèce. Du premier ou du deuxième coup. Comme ils attaquent en meute, violent en meute dans de véritable orgies capable de durer plusieurs jours, aucune femelle n'échappe à l'enfantement après un viol d'Orcs. Même celle qui sont stérile, allez savoir pourquoi, mais leurs semence soignent aussi la stérilité féminine. Faisant arriver un bébé avec beaucoup plus d'efficacité qu'une PMA. La seule chose positive dans tout cela, si l'on peut dire, c'est qu'avec les Orcs c'est tout ou rien. Soit le bébé est Orc, soit il est de l'autre espèce, mais il n'y a aucun mélange, aucun hybride, aucun métis. Par exemple lors des deux premiers engrossement, une femelle humaine aura deux enfants humain, ensuite, pour toutes ses autres grossesses, ce seront des bébés Orc. C'est pour cela que les Orcs gardent en vie les femelles capturées, pour qu'elles donnent naissance à d'autres Orcs à partir de la troisième grossesse. Car les Orcs entre eux se reproduisent lentement. Une femelle de leur espèce ne peut donner naissance qu'une seule fois dans sa vie, avec une gestation de trois ans. Donc pour accroître beaucoup plus rapidement leurs populations ils ont recours à la reproduction inter-espèces. J'apprendrais également plus tard, que je suis le seul cas à être à la fois Elfe et Orc. C'est peut être dut au fait que j'ai beaucoup de magie en moi, ou que ma mère avait un handicap invisible. Mais d'après ce que j'apprendrais, personne d'autres n'est comme moi.

Bon, je vais revenir à Lou qui commence à montrer des signes de réveil. Je la dépose sur son lit, c'est plus confortable de baiser sur un lit. Attention, le confort est important pour moi, pour elle, je m'en moque, ce n'est qu'un réceptacle. Je prends la chaise qui se trouve dans sa chambre, je m'assois dessus, je mets une couverture sur moi, pour ne pas qu'elle voit que je suis nu. Je lance un sort de silence pour les dix prochaines heures. Pas qu'elle ne va pas pouvoir gueuler, mais personne n'entendra ses hurlements à l'extérieur de cette pièce.

D'un coup Lou ouvre les yeux, une grimace de terreur déforme son visage, la pute se met aussitôt à pleurer. Ses premières paroles m'amuse :

- Ne me mangez pas ! Pitié !!! Je ne suis pas comestible.

Mon rire résonne dans la pièce, bon à priori cela ne la rassure pas.

- Je ne vais pas te bouffer.

- C'est vrai ?

- Je l'aurais fais avant.

- Vous pourriez vouloir que je sois éveillée pour ça, que je vous sente me dévorer !

Je ne sais pas pourquoi elle pense cela. Sûrement un peur venant de son enfance, avec les monstres sous le lit, et tout et tout. Mais bon, je ne suis pas là pour faire sa psychanalyse.

- Je l'aurais donc déjà fais vu que tu es maintenant éveillé.

Je pense qu'elle va me demander ce que je veux, mais là encore la belle Lou me surprend.

- Qui êtes vous ?

- Moi c'est Olaf.

- Comment vous êtes arrivé ici ? C'est une invasion ?

- Non, je suis seul. Après pour répondre à la question du comment je suis arrivé là, ben je suis simplement descendu de l'étagère.

Elle regarde son étagère, voit quelle statuette manque.

- Mais... mais c'était un Elfe...

- Ben je suis aussi un Elfe. À priori cela dépend du besoin. Quand je suis énervé, que j'ai besoin de force ou de violence, je me transforme en Orc. Le reste du temps, mon apparence normale, celle que j'ai toujours eus, c'est celle d'un Elfe.

- Que me voulez-vous alors ?

- Allons, tu es intelligente. Je suis un mâle, tu es une femelle nue, que vais-je bien vouloir de toi ?

Là je vois l'horreur traversée son esprit.

- Vous ne pouvez pas faire ça ! On est pas de la même espèce ! Vous ne pouvez pas me trouver à votre goût.

- Tss ! Nous les Orcs on adore les femelles des autres espèces, leurs chattes et leurs trou-du-cul sont bien plus serré que les nôtres. Puis j'ai une partie Elfe aussi, là, la différence est minime, juste nos oreilles.

Lou panique.

- Je suis... je suis...

- Vierge, je sais, c'est pour cela que j'ai attendu que tu te réveilles, je ne veux pas que tu manque ta première fois.

- S'il-vous-plaît, c'est Noël, ne me faites pas cela aujourd'hui !!!

- Je connais bien le Père Noël, et ce vieux Santa est un gros enculé. Le gros enculé qui m'a envoyé ici. Donc je ne vais pas avoir de pitié pour son jour.

- Pourquoi moi ? Hein, pourquoi m'avoir choisie moi ?

- Je ne t'ai pas choisis, c'est même l'inverse, c'est toi qui a achetée la statuette, fallait écouter tes copines, un Elfe, ce n'est pas bien à Noël !

- Mon dieu...

Je crois que jamais Lou ne regrettera autant un achat.

- Bon, il est temps de passer à l'acte, j'en ai assez de discuter.

Je me lève, dévoilant mon sexe énorme. Lou ouvre de grands yeux à la vue de mon engin.

- Vous allez me tuer avec ça !!!

- Oh non. Même pas t'handicaper, par contre tu vas vraiment avoir mal.

Bon, comme toutes les femelles, enfin, comme Agaya puisque à cet instant je n'ai violé personne d'autres, elle serre les jambes. Je les lui écartent sans mal, malgré le fait qu'elle y mette toute sa force. Je vois sa petite chatte toute rose, encore fermé. C'est vrai que par rapport à la taille de ma bite, elle va me sentir passer. Je m'agenouille entre ses cuisses, tenant ses jambes grandes écartées, une main crochée à chacune de ses chevilles. Bien entendu, la magnifique Lou tente de se débattre, elle gueule, mais rien n'y fais. Je suis trop fort pour qu'elle bouge, et ses hurlements ne vont attirer personnes, vu que l'on ne peux les entendre à l'extérieur de la pièce. Juste pour voir, je pose mon sexe sur son sexe. Merde, si je ne lui perfore pas l'estomac, elle va avoir de la chance, mon engin arrivant bien plus haut que son nombril.

Je ne peux plus attendre, je sens mes couilles pulser, ma bite trembler. Je peux l'entendre me dire « Baise-la !!! Baise-la !!! Baise-la !!! ». Je vous jure, ce n'est pas une idée, ma queue me parle vraiment. Enfin, elle ne me fait pas la conversation non plus, mais elle me demande avec insistance de prendre la magnifique Lou. Je ne vais pas la décevoir. Je pose mon gland contre sa vulve. Même pour le rentrer lentement, je dois forcer. Je rencontre rapidement son hymen. Je m'arrête. Je la regarde dans les yeux :

- Tu es encore une fille, je vais faire de toi une femme. Comme tu me l'a si gentiment demandé.

- Pitié !!! Pitié !!! Pitié !!!

- Allez, un dépucelage, c'est solennel, profite !

Je lui souris et donne un violent coup de reins, enfonçant un tiers de mon trop gros engin dans son sexe. Tout le corps de Lou se déforme sous la douleur, son hurlement est strident. J'ai entendu son sexe se déchirer, le sang gicle. C'est une bonne chose pour elle, cela va lubrifier les lieux. Heureusement que le liquide sur ma bite protège le sexe de Lou, car sinon elle n'aurait pas survécu. Enfin, je dis heureusement, je crois que pour elle c'est plutôt malheureusement. Attention, je ne dis pas que baiser un cadavre me dérangerait dans l'absolu, mais bon, une vivante, c'est quand même mieux.

Je progresse lentement, je sens ses parois interne palpiter contre ma teube. Mon dieu qu'elle est bonne, mon dieu qu'elle est serrée. Je prends mon temps, je ressent tout de ma pénétration. Bon, vu comme elle gueule, Lou n'aime pas trop ça. Je comprends sa douleur lorsque je vois apparaître ma bite en trois D sur son ventre. Je suis tellement gros en elle, que mon pieu se dessine sur son ventre, en gonflant la chair autour de ma longueur et de mon épaisseur. Pauvre fille quand même, je la remplit tellement que sa douleur doit être atroce.

Une fois que je suis complètement en elle, après plus de quinze minutes de progression dans son corps, je me mets à la défoncer. Cela doit être infernal, car la belle vomit plusieurs fois. Je m'en moque, le dégueu ne me gêne pas, puis je vais pouvoir lui faire tout bouffer après, cela va en rajouter à son tourment, à mon plaisir. Bon, je suis tellement compressé dans son ventre, que je ne tiens pas longtemps. Je ne cherche pas à le faire d'ailleurs, j'ai pas mal de temps devant moi, avec ma magie, je vais pouvoir la violer à l'envie.

Je hurle plus fort qu'elle quand mon sperme éclate dans son corps, je la remplis, elle est un urinoir à semence. Si là, je ne l'ai pas mise enceinte, je ne m'appelle plus Olaf. Je me retire d'un coup, elle ne peut pas bouger tant je l'ai déchirée. Mais rien de grave grâce au liquide sur ma bite. Enfin quand je dis rien de grave, pour la douleur qu'elle ressent cela ne change rien. Mais j'en ai pas finis avec elle, je vais lui défoncer l'anus. Si elle m'a sentie passer pour son dépucelage vaginale, je n'ose pas imaginer ce que cela va être pour son dépucelage anal.

J'attrape ses cheveux, je la tire comme ça, lui faisant racler le sol. Je vais dans le salon, il y a une grande table. Je la soulève, elle ne pèse rien pour moi. Je découvrirais plus tard que ma force me permet de soulever plusieurs tonnes, alors Lou et ses cinquante kilos... Je la pose donc sur la table, je lui écarte les cuisses en grands. Lui faisant faire un grand écart couchée. Je pose mon gland contre son anus. Merde, comme elle gueule la Lou. Elle tente de se débattre, mais ma force d'Orc fait qu'elle ne bouge pas d'un millimètre. Par contre, son anus lui résiste. Je lutte de longues minutes avant d'entrer en elle. Son hurlement à la mort ravit mes oreilles. J'entends le bruit de son anus, de ses sphincter quand en entrant je réduis le tout en purée. Merde c'est encore plus serré que son sexe.

Là, je deviens fou, je la défonce comme un soudard. Sourd à son hurlement atroce et continu. Les sensations sont tellement pornographique que je ne tiens que cinq minutes avant de la remplir. Je rigole, son ventre s'est gonflé. Alors je recommence pendant une grosse heure, me vidant cinq fois dans ses entrailles déchiquetés. Quand je me retire, son ventre est aussi gonflé qu'une femelle humaine enceinte de triplés sur le point d'accoucher. Cela me fait rire, je viens d'inventer le lavement au sperme. Il y a une sacrée dose de liquide qui sort de son trou-du-cul grand ouvert.

Ensuite je me fais faire une pipe, une bonne gorge profonde. J'ai déboîtée ses mâchoires, j'ai défoncé sa gorge. Même si Lou ne s'en rend pas compte vu les bruits qu'elle fait, le liquide autour de ma bite lui apporte l'oxygène nécessaire pour ne pas mourir étouffer. Quand son nez est contre mon ventre, ma bite totalement dans sa cavité buccale, sa gorge triple de volume, cela me fait rire, pas elle. Décidément les humaines n'ont aucun sens de l'humour.

Je la prends toute la nuit, je la remplis de partout, au moins une centaine de fois. Décidément la magie de Noël ça a du bon. Enfin pour moi, pour l'outre remplit de semence qu'est Lou c'est une autre histoire. D'ailleurs elle n'est plus aussi belle, avec son corps et son visage couvert de sperme et de bleus. Ses orifices grand ouvert, dégorgeant de mon jus d'homme. Je décide de finir la nuit en beauté en la fistant.

Lou ne hurle plus depuis des heures, se contentant de gémir de douleur quand je lui fais trop mal. J'ai envie d'entendre sa voie une dernière fois. Je me prépare donc en enduisant mes mains du liquide sur ma bite, je veux que cette chienne reste en vie pour se souvenir de cette merveilleuse nuit de Noël. Je lui enfonce alors mes mains. La gauche dans son anus, la droite dans sa chatte. Ma bite étant dans sa bouche. Elle hurle comme jamais elle n'a gueulée, même pas cette nuit pour ses défloraisons.

Ce sont les sirènes de police qui me font arrêter. Quel con, il fait jour, le soleil s'est levé, mon sort ne marche plus, tout l'immeuble à dut l'entendre meugler, la conne, dommage qu'elle soit si douillette. Je laisse ma belle amante complètement dévastée. Quand j'entends frapper à sa porte, crier le mot « Police », je me retransforme en Elfe, puis en personnage en céramique qui retourne sur son étagère, enfin, pas celle de sa chambre, celle du salon où je me suis tapé Lou toute la nuit. Sa porte est défoncé, trois policiers armé entrent dans l'appartement. Quand ils voient Lou sur le sol, l'un d'eux crie :

- Merde, elle a été massacrée, appelle le SAMU.

Un de ses collègues le fait. Un des policier s'agenouille près d'elle quand il l'entend grommeler difficilement. Il ne comprend toujours pas, tant elle parle doucement, luttant pour ne pas s'évanouir. Il colle alors presque son oreille à la bouche de la victime.

- C'est... lui...

Du doigt elle lui désigne une figurine fantastique sur l'étagère. Tout en se demandant si le cerveau n'est pas touché, le policier lui dit :

- D'accord, je vais l'arrêter.

- Merci...

Puis Lou s'évanouit.

A peine arrivé, le Samu décide de l'évacuer pour la faire opérer d'urgence. Par contre il ne comprend pas comment elle peut être encore en vie avec ce qu'elle a dut subir. Seul les trois policiers restent dans l'appartement. Une dizaine de minutes après, deux policiers en civil arrivent. C'est un commissaire et son adjoint, ils seront chargé de l'enquête. Le commissaire regarde les trois bleus :

- Elle vous à dit quelque chose ?

Celui qui s'est agenouillé près de Lou répond :

- Moi, mais je crois qu'elle était sous le choc ou alors son cerveau est touché. Elle m'a désigné la statuette d'Elfe sur son étagère comme son agresseur...

- Je ne suis pas psy, mais c'est peut-être un système de défense de son cerveau face à l'horreur de la situation.

- Sinon commissaire, vous savez si elle va s'en sortir ?

- Je ne sais pas, mais le médecin du SAMU est très très pessimiste.

Une heure plus tard, l'identité judiciaire est encore en train de faire les prélèvements sur la scène de crime, quand son téléphone sonne. Il discute quelques minutes puis raccroche. Ils regarde alors les trois policier arrivés les premiers sur l'intervention :

- Elle va s'en sortir. Les chirurgiens ne comprennent pas, vu la quantité de semence en elle, son agression à dut durer plusieurs jours. On l'a agressée sexuellement avec un objet plus gros qu'une batte de base-ball. Pourtant ses multiples blessures internes sont comme soigné. C'est incompréhensible et impossible pour eux.

- Si elle s'en sort, c'est déjà ça.

- Ils ne parlent que physiquement, pour la partie psy, j'espère que ce sera le cas, qu'elle pourra nous désigner son ou ses agresseurs.

Je suis resté seul dix jours dans cet appartement. J'aurais sûrement pus sortir, visiter d'autres femmes dans l'immeuble, mais j'ai préféré me recharger complètement. J'ai utilisé toute ma magie cette nuit-là avec Lou. Finalement, au bout de dix jours la porte s'est ouverte. J'étais prêt à redevenir Orc pour me refaire Lou, mais j'ai bien fais d'attendre, c'est ses amies, Kate et Sandy qui sont entrées.

- Bon, aujourd'hui on ne prends que ses vêtements pour lui amener à l'hôpital psychiatrique. Pauvre Lou, si gentille, en arriver là.

- Après ce qui lui est arrivée, normal qu'elle vrille un plomb. Je serais devenir folle comme elle si je m'étais fais violer aussi sauvagement.

- Moi aussi. Mais tu crois qu'elle ressortira un jour ?

- J'ai discuter avec le psy, il est très pessimiste. Elle est persuadée qu'un Orc lui a fait tout cela, qu'il la recherche pour recommencer. Pour lui, son cerveau n'admettra jamais la vérité. Comme elle est dangereuse pour elle, et pour autrui, il y a peu de chance qu'elle sorte avant des années.

Les deux filles sont ensuite allez dans la chambre de Lou, je suis déçu, j'aurais adoré qu'elle revienne, j'ai les couilles pleines.

Vingt minutes plus tard, les deux filles sont revenues dans le salon, avec un carton chacune remplit de vêtements.

- Bon, Kate chérie, je sais que le proprio nous laisse tout le temps nécessaire pour vider l'appartement de Lou, mais je pense que plus vite on le fait, mieux ce sera. Savoir que je suis sur le lieu où Lou à été violée me rend mal-à-l'aise.

- Moi aussi Sandy chérie, moi aussi. On peux revenir demain, je pense qu'en deux jours on peut tout vider. Surtout que le gars à l'armée du salut m'a dit qu'il suffit de passer et il vient de suite voir ce qu'il peut prendre pour les pauvres.

Merde, Lou ne reviendra plus, il faut dire que j'y suis vraiment aller fort avec elle. Mais bon, je ne regrette rien, ce fut une telle extase...

Le lendemain elles reviennent avec un homme dans la quarantaine. Il regarde l'appartement :

- Vous êtes certaines que je peux tout prendre ?

- Oui, on a déjà pris ses vêtements, son ordinateur et son téléphone que l'on a remit à l'hôpital.

- Ses parents ne veulent rien ?

- Elle n'en a plus. Ils sont morts quand elle avait quatorze ans. On a grandis dans la même famille d'accueil.

- En famille d'accueil ? Pauvre fille...

- Non, c'était une bonne famille.

- Je n'en doute pas, mais perdre ses parents si jeune, et maintenant ça...

Il y a quelques secondes de silence. Puis l'homme reprend :

Et vous, vous ne voulez rien garder ?

- On a pris ses photos...

Bon, j'ai rechargé ma magie. Un petit sort pour en induire une...

- Attends Sandy, regarde la petite statuette d'Elfe, Lou était tellement heureuse quand elle l'a achetée chez Walmart. On pourrait la prendre pour chez nous.

- Et on la met où ?

- Sur l'étagère de la chambre. Allez, ça nous fera penser à Lou tout les matins en nous réveillant.

- D'accord, c'est vrai, cela peut être bien.

Kate regarde l'homme :

- On peux prendre la statuette ?

- Bien entendu.

- Merci, sinon, vous pensez pouvoir vider l'appartement quand ?

- Si vous êtes d'accord, je peux appeler et nous vidons tout en deux ou trois heures.

- Ce serait bien, mais vous n'avez pas vu ce que vous allez laisser.

- C'est tellement gentil de donner au nécessiteux tout ce qu'il y a ici, que je ne vais pas vous embêter avec ça. Je fais tout prendre, et on triera à l'entrepôt de l'armée du salut.

- Merci, vraiment.

- C'est à moi de vous remercier.

- C'est Lou, qui faut remercier, c'est elle qui a voulut tout vous donner.

On est repartis le trois heures plus tard, laissant un appartement complètement vide. J'espère que chez Kate et Sandy ce sera aussi confortable, j'étais tellement bien ici. Bon je ne suis pas un être gentil, je pense que vous le savez. Mais à ce point là, je ne pense pas que ce soit le cas. Une autre petite indication psychique plus tard, Kate et Sandy s'arrête à l'hôpital où est internée Lou. Je reste dans la voiture. Il n'y a personne sur le parking. Je prends ma forme d'Elfe, nécessaire pour lancer les sorts que je prévois.