Maurice

BÊTA PUBLIQUE

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Nous avons déjeuné, lui à table, moi sous la table, la laisse attachée à la balustrade dans une gamelle ou il avait tout mélangé, de la salade au dessert.

J'eus droit à un quartier libre l'après-midi, que j'ai utilisé à dormir et lire. Au crépuscule, retour à la normale, je redevenais la chienne-pute, lui le Maître. Retour à la normale aussi sur le plan de l'excitation, j'en demandais encore.

J'ai dormi sur la terrasse, mais sans liens, il m'avait mis une couverture à terre.

Le sixième jour

Après la séance rituelle du matin (pisse, fellation café), il me tint à peu près ce langage : finalement je me prends à ton petit jeu. Tu me plais en salope. Tu veux continuer? T'imagines que j'eusse pu dire non. Dans Tes rêves Maîtresse, bien sûr que j'ai dit oui. Il m'a regardé calmement, un petit silence, avant de dire, bien. Branle-toi fut l'ordre suivant. J'ai hésité. Branle-toi je te dis insista-t-il en s'aidant du ceinturon. Et j'ai commencé à me branler, à genoux devant lui, regarde-moi disait-il je levais les yeux, il me pinçait les tétons avec ses doigts, et je gémissais comme une fille me disait-il. J'ai giclé sur la terrasse, et j'ai dû lécher, pendant que je léchais mon foutre, il tournait autour de moi, donnant ça et là des coups de ceinturon, juste assez fort pour chauffer ma peau. Mon cousin arrive à midi, il passe la nuit ici, et il nous ramène demain. J'ai pensé avec tristesse que nous ne pourrions pas jouer.

J'ai eu droit à une vraie douche. J'ai dû me rhabiller. Et le cousin est arrivé. Nous avons déjeuné ensemble, Alexandre faisant un excellent repas arrosé d'un vin rouge rapeux gorgé de soleil. L'après-midi nous allâmes visiter Caltanissetta, le haut-lieu de la mafia. Son cousin était vraiment beau, bien charpenté, l'air coquin, avec une vraie voix de mâle, profonde.

Le soir fut bien arrosé. Nous grillâmes les poissons achetés à Caltanissetta. Les étoiles étaient magnifiques, et je sentais l'érection tendre mon jeans dont la braguette était à moitié ouverte (volontairement). J'atteignais l'état ou je voulais me montrer. J'envoyais clairement le message, baises-moi, autant à Alexandre, qu'à son cousin. Mais rien ne se produisit.

Nous allâmes de concert nous coucher. Alexandre et moi dans la grande chambre. Le cousin dans le petit cagibi avec le petit lit ou j'avais dormi. Dès que nous fûmes au lit, Alexandre me caressa, il pinçait mes tétons, branlait ma queue, j'ai commencé à gémir, il a enfoncé le gode, je jouissais presque, je n'avais plus rien en tête, tout était dans mes terminaisons nerveuses, queue, cul, jambes lisses, tétons gonflés. Et la porte s'ouvrit. Marco rit. Marco le cousin. Il regardait. Alexandre dit quelque chose en italien. Marco hocha la tête et referma la porte. Que lui as-tu dit demandais-je? C'est une surprise, fit-il. Il branlait le gode dans mon cul, et j'ai commencé à sucer Alexandre. Trop occupé sans doute, je ne m'étais rendu compte de rien, je l'ai senti qui enlevait le gode, je n'ai pas réagi, puis soudain, deux mains sur mes fesses, sur mes hanches, et une grosse queue, plus grosse que le gode déjà respectable qui m'ouvrait comme une huitre sans défense. Mon cul a cédé, ma tête s'est coincé dans le lit, je respirais à peine, forme de douleur, mais aussi plénitude, les coups de boutoir étaient réguliers mais profonds, je me suis surpris à écarter mes cuisses, je voulais sentir les couilles battre mon cul, le rythme s'est accéléré, la queue entrait totalement maintenant, et moi je hurlais, Alexandre riait en m'encourageant. Tu aimes sa queue disait-il, et moi oui, et lui en italien à Marco. Il dit que tu es une bonne pute me dit Alexandre, que je peux être fier de toi, tu as un bon cul, et pendant ce temps j'ai senti le foutre chaud de Marco couler à flot, rien à voir avec celui d'Alexandre, il y en avait plus, il s'est retiré de mon cul d'un coup, et a présenté sa queue devant ma bouche, que j'ai enfourné, elle était vraiment grosse, j'avais l'impression de décrocher ma mâchoire quand il l'enfonçait, il a vite rebandé, et moi je m'habituais au diamètre je voulais l'avaler, la sucer parfaitement, et lui il me baisait, alors que je sentais maintenant la bite d'Alexandre en moi, faisant des bruits de flaque perdu dans le foutre de son cousin.

J'ai dû remettre le costume de pute, et me maquiller, refaire le trottoir sur le chemin de plage, et comme avec Alexandre, il m'a collé au poteau pour me baiser encore, au sens propre du terme je ne savais plus ou j'habitais lorsqu'Alexandre m'a jeté la couverture au sol, en m'annonçant que je dormais là, Marco m'a passé le collier, et avant de m'endormir, je les ai entendu baiser.

Le septième jour

Jour du retour dans la maison de grand-mère, j'ai subi le matin les coups de martinet de marco, puis Alexandre, la douche dorée, d'Alexandre puis de Marco, fait deux fellations, en avalant leur foutre, bien sûr ils m'ont baisé, et même sucé l'un alors que l'autre s'enfonçait en moi, puis dans l'autre sens, j'étais fourbu, couvert de foutre, sentant leur odeur, mon corps vibrait de partout, nous étions à table autour de la grand-mère, une délicieuse salade aux pamplemousses, le repas familial c'est dix personnes, assis entre Marco et Alexandre qui avait ouvert ma braguette, qui touchait ma queue, j'étais un jouet à leur service, et j'adorais ça. Il y eut une sieste, crapuleuse, moi suçant, puis avant le départ du lendemain, visite du village, le cimetière des murs avec des cases, dans chaque case un cercueil, un corps, au coin d'une allée, dans l'ombre, Alexandre me baise, on doit baiser en silence ici, question de respect, Marco nous rejoindra plus tard. Il m'a plaqué au mur au détour d'une allée, la main a déboutonné rapidement ma braguette, je ne devais pas porter de slip dessous (désir d'Alexandre), le jeans a glissé à terre, j'ai senti sa queue raide s'enfoncer, je l'ai aidé à me baiser, j'ai bien cambré les reins, puis j'ai accompagné son rythme, encore du foutre qui coule, je ne suis plus que son sac à foutre personnel (partageable, prêtable....).

Après le repas du soir, un tour en ville, petite ville, un gelatéria italienne, merveilleuses glaces, puis cinéma, je n'y comprends rien c'est en italien, et je suce Marco, il a un foutre très épais, goût tiramisu mais je dois inventer, pas possible ça un foutre au goût de tiramisu, ou bien c'est lui qui sent le tiramisu, peu m'importe, et lorsque nous sortons, nous allons vers une cave privée, entre jeunes (je suis le plus vieux), il y a du vin, de la bière, de la grappa, je suis dans (et pas sur) un petit nuage, Alexandre avant d'entrer m'a passé sa pommade chauffante, j'ai le cul qui chauffe, la queue aussi, assis dans ce canapé on a baissé mon jeans, je bande, je suis saoul, je suis assez vite nu, ils sont combien, une dizaine environ, je suis nu maintenant, on me touche de partout, je reste bouche ouverte, j'entends des rires, on me palpe, un coup de ceinture je pense, je crie, on m'enfonce quelque chose dans le cul, je suce une queue, je ne sais plus, comment, l'ordre, on est rentré à quatre heures du matin, ils me tenaient debout, je riais, je ne me souviens plus des détails, Alexandre m'a dit le lendemain à l 'aéroport que j'étais un bon coup, que ses copains avaient hâte de me revoir.

Le retour

Pratiquement jusqu'à l'atterrissage à Paris j'étais en jouissance, physiquement en érection, cérébralement en excitation. Puis Roissy, le métro, le train pour rentrer. J'ai passé la porte d'entrée, j'étais redevenu Monsieur membre normal d'un couple normal, comme si je passais d'une vie à une autre, je refusais la responsabilité de ce qui était arrivé, un moment de perdition, rien d'autre. Surtout ne pas y penser (sauf quand je me branlais, ou lorsque je la baisais, c'est à ça que je pensais), surtout ne pas avouer, rester loin, incompréhensible, surtout ne pas être seul, pas prêter le flanc, surtout reprendre le contrôle, je le sais maintenant c'est peine perdue Maîtresse, je suis fait pour servir et satisfaire, pour donner du plaisir, j'aime être une chose que l'on baise, j'aime donner sans compter, j'aime obéir, j'ai toujours rêvé de servir une Salope, permets-moi d'y mettre une majuscule, toujours rêvé d'être l'esclave d'une Salope Dominatrice, c'est aussi ça un esclave, tout accepter, tout vouloir pour sa Maîtresse, et mieux encore.

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Anonymous
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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 2 mois

Excellent

Rudy

AurailiensAurailiensil y a 2 mois

Quel beau récit... belle ambiance, belle perversité, une liberté totale de vivre sa vraie nature... ça fait rêver

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