Maman, Juliette et Moi 02

Informations sur Récit
Maman et Juliette me poussent plus loin.
2.5k mots
4.32
12.6k
2

Partie 2 de la série de 7 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 09/29/2022
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Chapitre 2

Le lendemain matin, je me réveillai un peu tard épuisé par la double branlette de la veille et ma nuit difficile. Je devais faire vite pour arriver au lycée à l'heure. Je retrouvai maman et Juliette déjà à la table du petit déjeuner. Ma mère portait une nuisette noire qu'en général elle couvrait d'une robe de chambre. Mais ce matin, le tissu fin et translucide ne cachait pas grand-chose de sa grosse poitrine que j'avais tétée la veille. Juliette avait enfilé son habituelle chemise d'homme dont elle avait oublié de fermer tous les boutons. L'échancrure du vêtement laissait parfaitement voir la naissance de ses seins qu'elle avait, certes, moins lourds que ceux de maman, mais qui bougeaient sous la chemise à chacun de ses mouvements. L'aperçu de ces merveilles me redonna immédiatement envie de les toucher et je sentis ma queue grossir dans le simple caleçon que je portais la nuit. Ma mère remarqua vite mon état et j'eus à peine le temps de m'asseoir qu'elle demanda à Juliette si elle avait déjà goûté du foutre.

Ma sœur rougit et répondit non d'un mouvement du visage. Je réagis de même, et maman se lança dans une explication détaillée.

-- Ce n'est pas dégoûtant, tu sais, et c'est même plutôt bon pour la santé. De toute façon, je ne peux pas laisser ton frère partir au lycée dans cet état. Je vais te montrer.

Elle me demanda de venir près d'elle et sans faire de manières, elle baissa mon caleçon et empoigna ma queue qu'elle se mit immédiatement à branler. Je tentai de caresser ses seins, mais elle m'ordonna de garder mes mains dans le dos.

-- Nous n'avons pas le temps pour ces jeux-là, précisa-t-elle.

Elle me masturba avec énergie, sans douceur. À l'évidence, elle voulait que je jouisse rapidement. Je me sentais un peu transformé en vache traite au petit matin et maman n'arrêtait pas de m'encourager dans ce sens.

-- Allez, fais vite, mon garçon, donne ton bon lait.

Après quelques minutes, je la prévins que je venais. Elle dirigea ma queue au-dessus de son mug de café et me fis éjaculer dans le breuvage noir et chaud qui faisait tout son petit déjeuner. Je jouis profondément, excité de voir mon sperme se mêler à son arabica préféré. Juliette regardait plus intéressée que dégoûtée. Le tout n'avait pas pris cinq minutes, mais j'étais maintenant vidé et déjà fatigué.

Maman mélangea son café à la petite cuillère puis se mit à le boire en poussant de grands cris de satisfaction.

-- C'est délicieux, dit-elle à Juliette, demain matin ce sera ton tour. Tu pourras traire ton frère. À son âge, il peut produire du bon lait chaque jour.

Juliette avoua qu'elle en avait bien envie, que ça l'amusait beaucoup et qu'elle avait hâte de goûter ce café spécial.

Tout cela me plaisait et surtout m'excitait, mais je me sentais réduit à l'état d'objet sexuel, de robinet à foutre. Je n'arrivais pas à savoir si j'en étais heureux ou si je devais me rebeller contre ce traitement que maman me faisait subir.

Pour l'heure, je n'avais plus le temps de prolonger mes réflexions. Le lycée nous appelait ma sœur et moi. Juliette préparait son bac, moi mes épreuves de français. Au bahut, nous avions pris l'habitude de ne pas nous fréquenter. Chacun circulait avec ses amis et amies, même si, bien sûr, tout le monde savait que nous étions frère et sœur. Maman restait à la maison ce jour-là, car dans la banque d'affaires où elle gérait des fusions-acquisitions, elle pouvait passer la moitié de son temps sur son ordinateur en télétravail. Nous nous retrouverions le soir et, plusieurs fois pendant ma journée de classe, je me demandai si cette étrange aventure avec maman et Juliette n'avait été qu'un rêve de la nuit.

Il n'en était rien. À 17 h, je rejoignis ma mère et Juliette qui finissait avant moi ce jour-là. Nous avions gardé l'habitude enfantine d'un petit goûter que notre génitrice nous servait à la cuisine. Elle avait trouvé le temps de préparer une crème renversée et nous versa de grands verres de jus d'orange. Quand elle restait à la maison, elle s'habillait comme si elle était allée au bureau, sauf, qu'aujourd'hui, sous son chemisier chic de soie écrue, elle ne portait pas de soutien-gorge. Du coup, la forme de ses seins lourds se dessinait parfaitement et ses gros mamelons marquaient le tissu comme deux olives qu'on ne pouvait rater.

- Goûter! nous annonça-t-elle. Après ce sont les devoirs puis je veux que mon grand garçon commence son apprentissage. Ce n'est pas si facile de donner du plaisir aux femmes. Ça vous convient?

La question était sans doute de pure forme. Il n'empêche que Juliette fit part de son enthousiasme et que j'acquiesçai à mon tour un peu inquiet tout de même de ce que ma mère annonçait par là.

Je bâclai la dissertation de français que j'avais à écrire pour le lendemain et revins à la cuisine moins d'une heure plus tard. Maman nous attendait.

-- Tu as fait vite, dis donc. Tu me montreras ça après ta première leçon d'homme.

Juliette devait être tout aussi curieuse que moi, car elle arriva sur mes talons.

-- Venez dans le salon, nous serons mieux installés. Aujourd'hui, mon petit, ajouta-t-elle en se tournant vers moi, tu vas apprendre à faire jouir ta sœur. Après tout, hier, tu es le seul à t'être bien amusé.

Je n'étais pas du tout sûr de ce qu'elle avançait en repensant à la main de Juliette sous sa jupe ou aux gémissements que j'avais surpris dans la salle de bains, mais je me tins coi.

Je dus me mettre nu et m'allonger sur le tapis du salon. Je bandais évidemment, mais les filles firent comme si de rien n'était. Maman demanda à Juliette d'ôter sa culotte puis de se placer au-dessus de mon visage, un pied de chaque côté. Elle dut ensuite descendre lentement vers moi. Dès qu'elle fut installée, je vis sa belle chatte de jeune femme, toute fraîche et fermée. Ses poils noirs et raides n'étaient pas très drus et j'apercevais très bien sa fente juste au-dessus de moi. Puis, Juliette s'agenouilla doucement et, au fur et à mesure de son mouvement, comme elle écartait ses cuisses, ses grandes lèvres se décollèrent et je pus enfin contempler son sexe ouvert rose et mouillé. Je ne vis même plus que ça, car sa jupe s'étala en corolle tout autour de mon visage avant qu'elle ne pose ses genoux à terre. Je sentais la chaleur de sa chatte juste au-dessus de mon nez et de ma bouche. L'odeur étrange me plut immédiatement et je tendis la langue dans l'espoir de goûter enfin au sexe de ma sœur.

-- Prends ton temps, Juliette, commença ma mère. Tu peux le rendre fou d'envie. Accroche-toi à sa bite et pose-toi complètement sur son visage. Toi, ajouta-t-elle à mon intention, sors ta langue et parcours doucement les trésors qui te sont offerts.

Je fis comme elle me le demandait et en fus ravi. Juliette s'assit sur moi et je me retrouvai le nez sur son clitoris et la bouche à l'orée de son trou. Je bougeai un peu la tête pour mieux me placer et sortis enfin la langue en parcourant tout ce sexe compliqué et profond dans lequel je ne savais pas trop où insister. J'étais terriblement excité et passais la langue partout pour goûter à tout. Juliette poussait des soupirs ou des petits cris et j'essayais de deviner ce qui lui plaisait le plus dans ce que je tentais. Elle se mit assez vite à frotter tout son bas ventre contre mon visage, à se servir de moi, en somme, comme d'un simple objet sexuel pour son propre plaisir. Elle tenait ma queue dans sa main droite et la serrait de plus en plus fort sans chercher à me branler. Elle pensait d'abord à elle.

Maman s'approcha et souleva la jupe pour voir, dit-elle, comment je me débrouillais. Elle me félicitait, me conseillait.

-- Vous êtes très beaux, disait-elle. Insiste autour du petit bouton, si tu le touches directement, le plaisir est trop fort pour ta sœur.

Je m'appliquai. Juliette se mit à feuler comme une chatte en chaleur.

-- Bravo, m'encouragea maman. Continue comme ça, tu vas la faire jouir. De temps en temps, tu enfonces ta langue dans son trou puis tu reviens autour du petit bouton.

J'aimais beaucoup ce que je faisais, mais je sentais une crampe monter dans ma mâchoire. J'avais très peur de devoir arrêter. Alors pour détendre ma bouche, je changeai d'endroit, reculai un peu ma langue et me retrouvai prêt à lécher l'anus de Juliette.

-- Quel coquin ton frère! Branle-toi Juliette pendant ce temps-là. Lâche sa queue, je vais m'en occuper.

Juliette fit ce que maman lui conseillait. De mon côté, j'appuyai contre son cul pour essayer d'entrer dans son petit trou pendant qu'elle se branlait très fort de sa main droite libérée. L'odeur et le goût ici étaient plus puissants, mais me ravissaient. Je m'imaginais déjà y mettre ma queue et jouir en elle. Mais cela faisait-il partie du programme de maman?

Tout à coup, je sentis comme un fourreau chaud et humide se refermer sur ma bite. Je jetai un œil pour constater que ma mère m'avait gobé et qu'elle me suçait comme je l'avais vu faire dans mille films pornographiques. C'était divin. Je n'avais jamais connu un tel plaisir et je hurlai que j'allais venir. Mais ce fut Juliette qui me prit de vitesse en relevant légèrement son bassin avant de jouir à longs cris. J'avais toujours la bouche ouverte et je sentis quelques gouttes de pipi me tomber au fond de la gorge. J'avalai le nectar avec excitation en même temps que je déversai ma semence entre les lèvres de ma mère qui n'en perdit pas un atome.

Juliette se releva. Elle semblait gênée par ce qui venait de se passer.

-- Ce n'est rien, dit maman, ça arrive en jouissant de pisser un peu et les garçons adorent ça. Regarde ton frère, il a tout avalé.

J'avouai qu'en effet j'avais trouvé le goût fort, mais que j'avais été bouleversé comme jamais encore. Je remerciai ma mère de la gâterie qu'elle m'avait offerte.

-- Les bons élèves méritent récompense! La prochaine fois, on verra si tu arrives à faire jouir ta maman. Allez, chacun va prendre sa douche et je vais vérifier les devoirs.

J'avais complètement oublié cette histoire de dissertation et, quand ma mère entra dans ma chambre, j'étais allongé en caleçon sur mon lit en train de lire une BD. Maman n'avait pas quitté sa jupe droite, ses collants noirs et son chemisier translucide sous lequel elle ne portait rien. Elle demanda immédiatement à voir mon agenda et la dissertation qui y était indiquée. J'avais rempli deux maigres pages qu'elle parcourut studieusement comme si elle avait été ma prof et pas la femme qui m'avait sucé quelques minutes plus tôt.

-- Ça ne va pas du tout, commença-t-elle, avec ce torchon tu ramasseras un cinq sur vingt. En tout cas, moi, c'est ce que je te donnerais.

J'essayai d'argumenter, mais je savais au fond de moi qu'elle avait raison. Je la pris sur le ton de la cajolerie, promis que je ferai mieux puisque tout avait changé à la maison.

Avait-elle déjà son idée derrière la tête? Tous mes discours n'y firent rien. Elle s'assit sur la chaise de mon bureau et m'ordonna de la rejoindre pour recevoir une bonne fessée, punition qui serait réitérée à chaque fois que je travaillerai aussi médiocrement. Je n'en croyais pas mes oreilles, mais à voir la tête de maman, je savais qu'elle ne plaisantait pas.

Je m'approchai sans réelle crainte persuadé que ce type de correction ne peut pas faire de mal à un grand garçon comme moi. Je dus descendre mon caleçon aux chevilles et m'allonger sur les genoux de ma mère qui commença par me caresser les fesses. Je crus que la situation allait dégénérer, mais maman me demanda alors de compter jusqu'à cinquante, car c'était la bonne dose pour corriger les paresseux.

La première claque tomba et me coupa le souffle. Ce fut plus étonnant que douloureux. Je criai « un » par réflexe et le deuxième coup suivit. Je continuai à compter. Maman alternait fesse droite et fesse gauche. À la quatrième ou cinquième claque, je sentis l'échauffement de ma peau se muer en souffrance et je me mis à crier sans même m'en rendre compte. Au début, le bruit de la punition m'avait excité et je m'étais appliqué à bien appuyer mon sexe dur contre les cuisses de ma mère. Mais, à présent, la douleur avait remplacé le plaisir et ma bite était redevenue celle d'un petit garçon. Maman fit une pause après la vingt-cinquième claque. Elle se remit à me caresser le cul qui me faisait mal comme s'il avait été piqué par une multitude d'abeilles.

-- Alors, monsieur le paresseux, commença-t-elle, vous allez adopter de bonnes résolutions?

Je jurai que j'allais reprendre sérieusement mon travail scolaire et que dès ce soir je reverrai ma dissertation. J'espérais que la punition s'arrêterait là. Mais il n'en fut rien. Maman resserra sa prise sur mon cul et me frappa de nouveau en me claquant les fesses encore plus fort que pour sa première série. Elle les rougissait sur toute leur surface ainsi que mes cuisses et cet endroit si doux et fragile qui fait la frontière entre les unes et les autres. Je n'étais plus qu'une grande douleur. Certains coups étaient plus appuyés ou plus vicieux que d'autres. Elle ne plaisantait pas et je continuai à compter. À quarante, je ne pus empêcher mes pleurs de couleurs et à cinquante, j'étais dévasté de sanglots.

La punition s'arrêta. Maman me demanda de me relever, me donna un chaste baiser sur la joue droite et me conseilla de me remettre au travail. Je dus la remercier et promettre que tout allait changer. Elle quitta ma chambre en m'annonçant qu'elle allait vérifier les devoirs de Juliette.

Je m'installai à mon bureau et ouvris mon agenda pour relire une centième fois le sujet de français « Que signifie le petit pan de mur jaune dans l'œuvre de Marcel Proust? » Je n'avais jamais lu ce type et n'allais pas commencer ce soir. Je n'avais pas pris de notes sur le cours et, si j'avais des idées pour le mur jaune, je pense qu'elle n'aurait pas fait l'affaire pour ma dissertation. Je me mis à rêvasser et me traversa l'envie d'aller coller mon oreille à la porte fermée de Juliette comme je l'avais fait pour la salle de bains.

Je me déplaçai très discrètement et le résultat s'avéra plus riche que la première fois. Les sanglots de ma sœur s'entendaient parfaitement, entrecoupés du bruit divin des claques de ma mère. Je ne comprenais pas ce que maman lui reprochait, mais j'imaginais le cul rougi de Juliette, ses cuisses roses, ses deux trous offerts. Je bandais à nouveau comme un cerf de printemps et eus beaucoup de mal à me contraindre à rentrer dans ma chambre quand la fessée s'arrêta.

Je fus évidemment incapable de me remettre au travail et dus me masturber deux fois pour trouver le sommeil. Il était trop tard pour le regretter quand je m'aperçus que j'avais à nouveau conchié les draps.

Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 6 mois

Mille merci, et John La Semelle a beaucoup de plaisir à lire ce récit. Vivement la suite.

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Plus qu'improbable mais tellement excitant. J'attends la suite avec impatience.

Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Histoires SIMILAIRES

La débauche de Manon Un père surprend sa fille et ne peut résister.
Ma Sœur Et Moi (01) Ma sœur et moi... Et une amie !
Vacances en Famille Nudisme en famille.
Plus d'histoires