Maître-Chanteur 03: Vieux Fantasme

Je sortis de la douche et elle se lava, puisque j'avais été le seul à plus ou moins le faire. Un fois sec, je sortis une serviette propre et la suspendis à la porte entre-ouverte. Elle se sécha et sans plus de cérémonie, sortie de la pièce. Je la suivis, amusé. Elle s'engagea dans l'escalier comme je m'y attendais.

« Stop. » Un ton impérieux, fort. Elle se retourna, un sourcils levé.

«La suite est dans la chambre. Deuxième porte.

-Mais...

-Ton mari rentre en début de soirée?

-Oui. » Elle se redressa et me fît face, neutre.

« Alors dans ma chambre. Maintenant. » Je passai en premier. Elle entra, regarda sans faire de commentaire. Je lui désignai le lit en claquant des doigts. Elle s'approcha et se plaça au centre avant de basculer sur le côté, la main supérieure sur la cuisse. Je sortis une paire de menotte en cuir du sac. Elle tendit le bras plus amusée qu'autre chose. Je mis à son poignet une des deux menottes, puis elle se positionna à genoux pour me tendre son second poignet. Je lui apposai le second fermoir de cuir sans attacher les poignets entre eux. À la place, je saisis dans mon bureau de la ficelle car le sac ne contenait pas de corde. Elle était désormais intriguée, un peu moins à l'aise. J'attachai de la corde à chaque coin du lit puis lui demandai de s'allonger à plat dos. Chaque menotte de poignet fût rapidement fixées sans tendre immédiatement les fils. Je brassai dans le sac mais aucune autre menotte. À la place, j'en sortis de grandes chaussettes de sports que je nouai à ses chevilles puis à la cordelette. Je tirai ensuite sur chacune des cordelettes pour les tendres, contrôlai les longueurs pour que ses membres soient bien étirés. Enfin, je la regardai pour admirer la jolie femme accrochée à mon lit.

« Quel est ton prénom. Il est temps que je t'appelle avec ce dernier.

-Michelle

-Bien Michelle. Tu as compris que j'allais poursuivre la domination. Pour commencer, tu vas passer au vouvoiement. Et m'appeler Maître.

-Je veux bien jouer le jeu, Maître.

-Ensuite, je vais te laisser là un moment pour que tu en prenne la mesure. »

Je saisis le sac et sortis. Un petit rire pouffa dans mon dos, mais je me retins de réagir. Une fois dans le salon, je rassemblai nos affaire et remonta dans la salle de bain plutôt que d'emprunter une des chambres. Je fouilla le sac, trouvai ce que je souhaitai et le posai sur l'évier. Enfin, je sortis mon téléphone pour faire passer le temps.

Une demi-heure plus tard, j'entrai dans la chambre son un mot. Elle m'imita. Alors qu'elle s'excita un peu en hâte de la baise promise, je me contentai d'exhiber un god de taille moyenne équipé d'une capote, car après tout, savoir à qui il était et où il avait traîné était bien différent. Je lui insérai et tournai le contrôleur en position moyenne de vibration. Michelle apprécia l'objet. Il ne la ferait pas jouir mais serait un bon préliminaire. Puis, j'apposai une serviette, faute de mieux du nombril de Michelle jusqu'à ses reins en passant devant son sexe, pour empêcher le sextoy de sortir. Avec du chatterton que j'enroulai autour de ses hanches, je fixai le tout. Puis je la laissai de nouveau .

Une heure plus tard j'étais déjà revenu plusieurs fois ajouter des choses ou régler le god. Elle avait désormais un loup rose sur les yeux, un collier autour du cou et un bâillon boule en bouche. La vibration était à une limite proche de l'emmener au septième ciel sans pouvoir l'atteindre. Enfin, j'avais ajouté un plug anal, avec la petit déception qu'il n'ait aucune option vibrante.

Elle se tordait, ruisselante de sueur. Je lui arrachai le chatterton et le god pour enfourner ma queue dans son fourreau d'une humidité folle. Je la pilonnai immédiatement comme un forcené et elle orgasma très vite, tira de chaque membres sur ses attaches puis tous en même temps avant de se détendre complètement. Toute cette phase m'avait grandement excité, mais pas encore assez. Apposant les pieds sur le bord du lit, je commençai des mouvements les plus grands possibles, pour sortir presque toute ma masculinité puis rentrer en force et continuer de pousser des hanches une fois au fond et recommencer plus vite. Elle lança un cri de douleur léger. Elle modifia l'angle de ses hanches et poussa un second cri bien plus plaisant. Bientôt, je la pilonnai à grandes vagues de bassin et elle atteint à nouveau le septième ciel, ce que je fis rapidement après, bien logé au fond de son vagin. Je me retirai, enlevai la capote et la nouai. Je la posai ensuite entre ses seins, usant de cordelette et de pinces à seins pour qu'elle reste en place.

À la fin de l'après-midi, cinq autres l'avaient rejointes.

Une heure avant l'arrivée de son mari ou de ma belle-mère, je la détachai enfin du lit. Nous étions épuisé, heureux. Elle partit sans un mot après que je l'eût détachée. Elle regarda malgré tout dans la rue avant de sortir puis parcouru l'air de revenir de son jogging les mètres entre nos maisons.