Madeleine est Vilaine

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Une drôle de famille
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Rainett
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Une superbe blonde aux yeux bleus, 1,62 mètre, des seins et des fesses à tomber. Ma femme? J'aimerais bien mais non, ma belle-mère qui, depuis notre mariage, fait tout ce qu'elle peut pour me pourrir la vie. Depuis que sa fille lui a annoncé qu'on allait se marier, je suis devenu sa cible préférée, avec tous les maléfices que la marâtre recèle. Avant, j'étais juste le petit copain, j'essuyais des regards méprisants, des remarques acides, mais je parvenais régulièrement, en rasant les murs, à m'esquiver à temps. Depuis notre mariage, impossible de participer à une réunion de famille sans qu'une sueur glacée coule le long de mon dos, à la pensée de cette chipie s'acharnant sur moi.

Elle m'a détesté dès le premier regard, m'a jugé indigne de sa fille, et me fais payer chèrement mon audace d'avoir osé séduire le merveilleux trésor issu de ses entrailles. Ma femme et mon beau-père ont beau s'interposer, dès que je suis en sa présence, j'en prends plein la gueule!

Par une grise journée d'octobre, avec un de ces crachins glacés qui transforme le paysage en flou déprimant, j'étais à la maison en train de bricoler la machine à laver. Ma femme et son père étaient allés à leur maison de campagne pour la préparer en vue des fêtes de la Toussaint. Impossible de mettre la main sur ma trousse à outils. Après avoir passé un moment à la chercher, je me suis souvenu de l'avoir laissée chez les beaux-parents.

Ma femme avait pris la voiture, je devais marcher au moins trois kilomètres, plus le chemin du retour, jusqu'à la maison des beaux-parents, pour chercher ma trousse à outils dans son garage. Je n'étais pas chaud pour la balade. Sous ce crachin glacial, la perspective de croiser Madeleine, sans avoir la certitude que le beau-père n'avait pas embarqué ma trousse à outils jusqu'à la maison de campagne.

Je m'en serais bien passé, mais j'avais promis à ma femme de m'occuper de la machine à laver. Je me suis donc équipé chaudement pour braver les éléments. Arrivé près de chez eux, j'ai vu deux jeunes gars sortir de l'allée, visiblement de bonne humeur. J'ai trouvé ça curieux mais, accaparé par la pensée de récupérer mes outils sans me faire voir de Madeleine, j'ai longé la maison, courbé en deux comme un voleur, pour m'introduire discrètement dans le garage.

J'ai eu beau fouiller le garage de fond en combles, je n'ai pas réussi à trouver ma trousse à outils. J'ai pensé qu'elle pouvait être à la cave. Je pouvais entrer dans le couloir qui desservait le sous-sol et l'étage directement depuis le garage. Mais je craignais de me trouver face-à-face avec la mégère. Si elle n'était pas dans la cuisine, je pouvais tenter le coup.

Discrètement, j'ai entrebâillé la porte de communication, pour jeter un coup d'œil. Personne en vue, je me suis aventuré dans le couloir à pas de loup. J'ai jeté un coup d'œil dans l'entrebâillement de la porte de la cuisine, personne ici, tout va bien. Je faisais demi-tour pour descendre les escaliers de la cave, lorsque j'ai entendu les beuglements.

Immobile dans le couloir, j'ai pu reconnaître la voix d'une femme, implorant un partenaire de «la baiser plus fort!» J'avais envie de rire. La belle-mère, cet austère dragon, profitait de l'absence de son mari pour regarder un porno. J'aurais dû profiter de l'aubaine pour descendre à la cave, mais la curiosité m'a fait oublier le bon sens.

Traversant la cuisine sur la pointe des pieds, je me dirigeais lentement vers l'origine du son. La cuisine, la salle à manger, et le salon communiquent entre eux par des portes vitrées. Depuis la cuisine, j'ai jeté un coup d'œil dans la salle à manger, et je pouvais voir une partie du salon.

Le spectacle qui m'a été donné de voir m'a procuré une érection instantanée. Madeleine, vêtue uniquement de talons hauts, était penchée en avant, par-dessus le dossier du canapé. Elle suçait la bite d'un mec allongé sur l'assise, pendant qu'un autre mec la baisait en levrette. Maintenant, je comprenais pourquoi les deux jeunes gars avaient quitté la maison de si bonne humeur.

L'homme allongé sur la banquette a soulevé ses hanches en attrapant la tête de Madeleine. Il a maintenu sa tête plaquée contre son pubis et s'est libéré dans la bouche de la matrone. J'ai vu une mousse blanche s'échapper de la commissure des lèvres de Madeleine. Le gars l'a maintenue en place pour qu'elle le nettoie avec sa langue, puis il l'a relâchée, s'est levé et s'est rhabillé.

«Rendez-vous au travail, les gars» dit-il, en se dirigeant vers la porte d'entrée.

Un autre mec est apparu dans mon champ de vision en quittant son pantalon. Il s'est allongé sur le canapé, exactement à la même place que son prédécesseur. Madeleine s'est penché sur lui, pour administrer une savoureuse fellation à la bite dressée. J'ai regardé pendant un moment le gars qui la martelait par-derrière. Chaque poussée vers l'avant lui décollait les pieds du sol, et quand il se retirait, elle retombait sur ses pieds.

Finalement, le gars derrière elle a éjaculé sa semence dans sa chatte, s'est retiré (c'est à ce moment-là que j'ai compris qu'il n'œuvrait pas dans sa chatte, mais dans son cul!), et s'est rhabillé. Lui aussi a dit:

«Rendez-vous au travail» et il est parti.

Le mec allongé sur le canapé l'a halée par-dessus le dossier du canapé, s'est placé entre ses jambes et a commencé à la baiser. Madeleine secouait la tête d'un côté à l'autre en gueulant des horreurs. Elle a attrapé les fesses de l'homme pour l'attirer contre elle, son corps s'est tendu comme un arc, ses jambes s'agitaient, puis la tension est retombée et elle a laissé son amant conclure.

Elle a tourné la tête de mon côté, son regard était vitreux, je pensais qu'elle ne me voyait pas, mais son ricanement m'a détrompé. Pourquoi elle n'a rien dit, je ne sais pas, mais elle a gardé ses yeux braqués sur moi jusqu'à ce que le mec finisse. Elle n'a détourné son regard que quand elle a raccompagné son dernier amant jusqu'à la porte.

Je l'ai entendue lui dire : «N'importe quand, chéri.»

La porte d'entrée s'est refermée et Madeleine revint dans mon champ de vision. Elle s'est plantée en face de moi, les mains sur les hanches et m'a lancé:

«Alors, pauvre débile, t'es aussi un putain de voyeur?»

Je la regardais, debout devant moi, entièrement nue, la chatte épilée, boursouflée, laissant échapper un filet de sperme. J'en prenais plein les yeux, et je ne reconnaissais pas la duègne farouche et donneuse de leçons.

J'étais parfaitement conscient de ma bite palpitante et sans réfléchir, j'ai débouclé mon jeans et je l'ai laissé tomber au sol avec mon boxer. J'enjambais le tas de chiffons lorsque les yeux de Madeleine sont tombés sur ma bite gonflée:

«T'es pas sérieux! Pas question que je laisse un merdeux débile comme toi me baiser!» mais j'avais déjà mes mains sur ses épaules, et je la poussais au sol.

«T'as pas le choix, maman (j'ai mis tout le sarcasme que j'avais en disant «maman»). À qui iras-tu te plaindre? Si tu parles sur moi, je parle sur toi!»

Elle était agenouillée devant moi, je cramponnais sa tignasse à l'arrière de sa tête, et je l'ai forcée vers ma bite. Elle a tenté de résister, mais j'avais une bonne prise et j'étais plus fort qu'elle, alors elle s'est résignée. Sa bouche était si douce sur ma bite, elle avait une technique si parfaite que je suis venu en moins d'une minute. Je l'ai maintenue fermement pour qu'elle avale tout. Quand je l'ai relâchée, elle s'est écartée de moi, et elle a ricané :

«Quel homme! J'ai dépucelé des gamins qui tenaient plus longtemps que toi!»

«Possible» répondis-je «mais je n'ai pas encore fini avec toi!»

Je l'ai traînée vers le canapé et je l'ai basculée par-dessus le dossier. J'étais sur le point de baiser sa chatte quand j'ai remarqué que son trou du cul était ouvert et qu'il y avait du foutre autour. Sans réfléchir, j'ai braqué ma bite sur son anus et je m'y suis enfoncé. Madeleine s'est crispée et elle a hurlé de douleur :

«Ça fait mal, salaud, vas-y doucement!»

«Vas-y doucement, mon cul! Toutes ces brimades, ces vexations, ça me fait plaisir de te casser le cul, salope!»

Et je l'ai baisée aussi fort que je pouvais. Cela n'a pas pris assez longtemps avant que ses cris de douleur ne se transforment en gémissements de plaisir, et l'instant suivant, elle était secouée par un violent orgasme. Moi, je ne pouvais pas jouir. Je n'arrêtais pas de la tambouriner, comme un enragé, aveuglé par ma vengeance. Mais l'angle n'était pas bon, je me fatiguais, donc je me suis retiré de son cul, et l'ai fait basculer sur le canapé. Tandis que j'écartais ses jambes pour la pénétrer, elle essayait de résister :

«Va d'abord te laver, salaud! Tu ne peux pas passer d'un trou à l'autre comme ça!»

«Va te faire foutre, salope. Après la façon dont tu m'as traité, maman chérie, je n'aurais aucune considération pour toi!» Et je me suis enfoncé durement. Madeleine a connu un orgasme de plus avant moi.

«Je suppose que maintenant, tu vas aller raconter tes exploits à tout le monde?»

«Non, pas la peine» répondis-je. Tu pourras continuer à te moquer de moi aussi souvent que tu le voudras, et moi je me souviendrais de la salope qui criait de plaisir quand je la baisais!»

C'est à ce moment-là qu'elle m'a surpris. Elle a rampé vers moi, elle a pris ma bite molle dans sa bouche et elle m'a sucé jusqu'à je sois de nouveau en pleine forme. Elle avait vraiment une bouche ardente et une excellente technique. Je suis resté plus d'une heure avec elle. Et encore, seulement parce qu'il fallait que je répare cette putain de machine à laver.

À aucun moment, je n'ai remarqué les caméras vidéo.

Quelques jours plus tard, mon beau-père m'a invité au restaurant. Un repas trop copieux, trop bien arrosé. Au moment du café, j'étais là, béat, lorsque le ciel m'est tombé sur la tête. Beau-papa est allé droit au but.

«Madeleine m'a dit qu'elle aime bien ta façon un peu rustre de la baiser, et elle voudrait que tu récidives!»

Je suis resté stupéfait. Mes pensées se bousculaient dans ma pauvre tête. Avant que je puisse rétorquer quoi que ce soit, il poursuivait :

«Ne prends pas cet air idiot avec moi, ça ne marche pas. N'essayes surtout pas de nier, j'ai tout enregistré sur la vidéo. Ce que Madeleine et moi faisons en privé ne concerne que nous. J'ai quelques difficultés de ... d'érection. Madeleine adore baiser. Je ne peux plus la satisfaire. Je suis devenu candauliste, pour notre plus grand bonheur à tous les deux. Malheureusement, trop peu de gars acceptent de la baiser en ma présence. C'est pour ça que je me suis équipé d'une installation vidéo. Discrète, mais qui me permet ensuite d'assister au spectacle, pendant que Madeleine me suce. Tu ne le croiras peut-être pas, mais dans ces conditions, j'arrive à bander!»

Il s'est tu, attendant probablement une réaction de ma part. Mais j'étais scotché, tétanisé, abasourdi. Je découvrais des beaux-parents que je ne connaissais pas. Devant mon mutisme, il a poursuivi :

«Tu peux représenter un problème ou une solution. Si tu as la langue trop longue, tu peux nous faire beaucoup de mal, à Madeleine et à moi. Mais si tu coopères, nous pourrions avoir beaucoup de plaisir, tous les trois. La plupart des gars refusent de la baiser en ma présence, mais toi tu ne pourras pas refuser. C'est beaucoup plus ... motivant, en direct plutôt qu'en vidéo. Et puis, Madeleine t'as tellement fait souffrir, venge-toi de toutes ses vacheries. Madeleine aime l'amour un peu sauvage, un peu brutal, et elle a beaucoup apprécié ton comportement.»

Je voulais expliquer que j'avais eu un coup de folie, que je n'étais pas comme ça, que j'aimais ma femme, lui rester fidèle, patati-patata ... Et puis la pensée m'est venue, et j'ai éclaté de rire. Vexé, il m'a demandé ce que je trouvais de si drôle.

«Le beau-père qui baratine son gendre pour qu'il baise sa belle-mère à l'insu de sa femme!»

Madeleine me traite toujours aussi mal et me rabaisse quand nous sommes en public. En privé, elle est soumise et docile, et j'aime la maltraiter. Ma femme voudrait qu'elle soit gentille avec moi, mais je préfère quand Madeleine est vilaine.

Rainett
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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 2 ans

Recit bandant. UN mari qui a des problèmes d'erection ne peut être que candauliste; sinon , cocu;

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