Ma Vie de Femme Retrouvée (Acte 02)

Informations sur Récit
Fuir l'obscurité et retrouver la lumière
2.2k mots
4.5
1.4k
0
Récit n'a pas de balises

Partie 2 de la série de 4 pièces

Actualisé 05/02/2024
Créé 04/10/2024
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Marie, le papillon de nuit à la recherche de la lumière

Je passe la soirée avec ma moitié, une soirée sans sel, sans piment, sans saveur, une soirée comme toutes les précédentes, sauf que, moi, si extérieurement je suis calme, intérieurement, je suis en ébullition, une cocotte-minute, un volcan prêt à exploser.

Je me suis chauffée le sang tout l'après-midi, sans extincteur, sans soupape de sécurité, alors, mettez-vous à ma place.

Caressée par une ravissante coquine et émoustillée par un magistral pénis dans le jacuzzi quelques heures plus tôt, que feriez-vous à ma place?

Vous avez raison.

Je fais la bise à Jean, scotché à sa télévision, comme d'habitude, regagne le 1er étage, brossage des dents, une douche, un coup d'œil dans le miroir pour apprécier mon look. Je me trouve belle, épanouie, désirable, sensuelle. Mon corps a plein de choses à offrir et à recevoir, j'en suis sûre.

Je sors de la salle de bain nue, gorgée de libido, pétrie de désirs. Habituellement, je mets ma nuisette, mais ce soir, ça n'est pas utile. Elle va être retirée dans les prochaines minutes.

Je me terre sous la couette, je tamise l'éclairage, je glisse ma main dans le dernier tiroir de la table de nuit et récupère mon mini vibromasseur et l'invite sous le duvet.

Je me mets en mode « souvenirs » et me replonge dans l'ambiance pétillante du jacuzzi de l'après-midi.

Je suis dans tous mes états, ma vulve est gonflée, mes tétons sont durs, mon ventre me fait mal. Je suis un fruit mûr prêt à m'offrir, à me répandre, à tout donner et tout prendre.

Je promène mon petit joujou, il ronronne, il est à peine plus grand qu'un bâton de rouge à lèvres. Sur mes seins d'abord. Je frissonne, j'ai la chair de poule, ma respiration d'accélère, mon cœur frappe plus fort, le sang bat mes tempes, mon dos, mes reins commencent à onduler, comme la houle de l'océan, c'est bon.

Mon petit camarade, toujours bourdonnant, coincé entre le pouce et l'index, descend progressivement le long de mes côtes, mon nombril pour atteindre mon pubis totalement épilé.

Je suis aux anges, j'ai besoin de sexe, de pénétration, d'orgasme, de jouissance XXL.

Inutile d'appeler Jean le pompier. Il utilise sa lance à incendie seulement pour pisser. Il bande encore, mais sa libido est en berne.

Mon petit vibro continue ses petits allers-retours entre le nombril, les plis de l'aine, zone très érogène, et mon pubis, s'osant parfois à tutoyer mon clitoris. Lui aussi est impatient de participer à la fête.

Ce beau gros sexe viril, raide, pointé vers le haut effleuré dans les bulles quelques heures plus tôt me donne une envie folle de pénétration. Je voudrais cette queue en moi. Tout au fond de moi, de ma gorge, de mon vagin, sous les yeux de sa petite amie me tripotant, se tripotant. Ai-je bien fait de dire STOP?

Ma chatte commence à venir très humide, le clitoris est en béton, mon joujou fouine partout, tous les recoins. Je suis dans un état second. Pendant que je joue avec mon petit outil de la main droite, je plonge la gauche entre mes cuisses, entre mes fesses et la porte à ma bouche. Un par un je suce mes doigts, rêvant de pénis, rêvant de pénétration. Je suis trempe.

Mon vibromasseur navigue entre le clitoris et mon petit trou, bien humide et bien dilaté, lui aussi. Mon lip-stick entre dans mon anus comme dans du beurre. Et ça vibre, et ça vibre, et ça vibre. Je suis aux portes de l'apoplexie. J'ai envie de hurler, de crier ma frustration, de téléphoner à un régiment de Hussards pour calmer mes ardeurs.

Il faut en finir

Je concentre toute mon attention, mon énergie sur mon petit bouton, caressant la pointe et faisant de petits cercles autour de sa base. Le résultat est presque immédiat. Mon corps tout entier commence à onduler de plus en plus rapidement, avec de plus en plus d'amplitude, mes muscles se contractent, et d'un seul coup, toute mon énergie, toute ma substance s'échappent violemment de ma chatte dans un râle que je ne peux maîtriser. Une bombe explose. Marie explose dans une suite de violents soubresauts. Je suis sur une autre planète, enveloppée dans de la ouate, baignant dans ma cyprine. Mon cœur bat toujours la chamade et ma respiration reprend lentement son rythme normal. Merde, comme c'est bon.

J'empoigne un Kleenex, essuie mon joujou et ma chatte et reprends tranquillement mes esprits.

Après ce bel orgasme, c'est un mélange de plaisirs charnels, de frustration et d'inquiétude qui m'envahissent.

Depuis mes toutes premières expériences jusqu'à ce jour, je ne connaissais pas le degré de mon appétit sexuel et je me rends compte que je n'avais rien connu d'intense. Aujourd'hui, je me découvre, me surprends, m'émerveille, mais vais-je réussir à mettre une limite à ne pas dépasser pour ne pas paraître comme la nympho du coin. Débridée, oui, mais jusqu'où?

Le marchand de sable passe, me jette un regard complice et amusé, me souhaite une belle et douce nuit et j'e m'endors dans le moelleux de ma couette.

Au matin, cérémonial traditionnel avec Jean. Café, biscottes, beurre confiture.

Au niveau de la communication entre nous, c'est une copié/collé de la veille, et même de l'avant-veille :

Bien dormi, météo du jour, programme journalier de chacun et autres banalités.

En ce qui me concerne, je suis en bonne forme, hormis quelques courbatures suite à l'utilisation des machines infernales chevauchées la veille. C'est signe que ma carcasse se dérouille.

Je dois rencontrer une copine en ville et faire un peu de shopping avec elle, éventuellement grignoter quelque chose à midi en sa compagnie. Vais-je lui raconter mon odyssée d'hier? Non. Mais il est hors de question de retourner au fitness aujourd'hui.

Donc, je rencontre Agnès, on parcourt quelques boutiques ensemble, on se fait un petit brunch et on se sépare en promettant de se revoir la semaine suivante.

Il me reste un peu de temps avant de rentrer et sans m'en rendre compte, je me retrouve, avec ma voiture, devant mon club de gym.

Je ne vais pas rentrer, mais je reste stationnée devant, histoire de me faire une opinion des clients qui le fréquentent.

Quelques accrocs à la fonte, tatoués, en marcel, de jolies minettes adeptes du nombrilisme, un couple qui, à mon avis, est visiteur du sous-sol, c'est-à-dire sauna, hammam, jacuzzi, salle de repos. Pas de trace de mon Apollon aux yeux clairs. Après une demi-heure à faire le poireau, je rentre à la maison, un peu déçue, mais rebondis immédiatement en prenant rendez-vous pour le lendemain avec mon coach, mon Rocco.

En prenant rendez-vous, j'apprends qu'il termine son service à 16h00, il faut donc impérativement que je sois sur place vers 14h30 au plus tard. OK, c'est bon, j'y serai.

Première partie de journée des plus banales, je ne reviendrai plus là-dessus, je fonce à toute vitesse vers mon lieu de débauche et stationne mon carrosse au sous-sol, sur une place réservée aux abonnés du fitness.

Au rez-de-chaussée, je suis accueillie chaleureusement par tout le staff, Rocco compris. Au vestiaire je me mets en tenue de combat et reviens attaquer les monstres de métal selon le programme préétabli.

Rocco, bien sûr, est à mes côtés et me prodigue des conseils, tant avec la voix qu'avec les mains. Il est plus muet que paralysé. Mais c'est bon. Il a de belles mains, bien soignées, bien bronzées et douces de surcroit.

Je ne savais pas que j'avais autant de muscles. Les bras, les avant-bras, le cou, le dos, le ventre, les cuisses, le fessier, les mollets. Avec Rocco on les a tous passés en revue. Dans la douleur j'arrive tout de même à y trouver du plaisir. Surtout grâce à mon Rocco et à ses mains.

Arrivée au bout de ma série, Rocco me propose d'aller prendre un verre dans un petit bistrot sympa, à quelques rues d'ici. Il finit sa journée dans quelques minutes et le temps de se doucher et de se changer on arrivera là-bas ensemble. Le premier arrivé attend l'autre.

Je me douche, m'habille et maquille sans traîner et descends récupérer mon véhicule pour rejoindre mon costaud.

Mais mon costaud est dans sa voiture et m'attend. Un bref appel de phare me signale sa présence et instinctivement, machinalement, mécaniquement je le rejoins dans son SUV.

La portière côté passager s'ouvre, je monte à bord, je referme derrière moi et me rue sur lui, telle une bête en rut. Il a dû remarquer que mon corps était en manque. En manque de tout.

Il ne paraît pas surpris, ouvre grand ses bras et m'enserre comme dans les mâchoires d'un étau. Avant même de l'embrasser, de le toucher, je suis déjà en feu. Ma chatte feule et bave.

A l'abri des regards, on déménage sur la banquette arrière, et là on commence, sans délicatesse à s'effeuiller jusqu'à se trouver à poil tous les deux. Moi la chatte trempe, lui la bite dans une magistrale érection. Il sent bon.

Il n'a pas besoin de diriger ma main sur son sexe. J'en ai déjà fait mon prisonnier. Quelle belle queue. J'hâte de l'engloutir, de la faire disparaître dans ma bouche d'abord, puis dans ma chatte.

A quatre pattes sur le siège, j'empoigne son manche et commence, avec vigueur, passion, envie, à le lécher, le sucer, le mordiller, le pomper. Il devient de plus en plus dur, de plus en plus gros, de plus en plus long. Le vrai mâle alpha, monté comme un étalon.

Pendant ce temps, il me caresse et glisse furtivement une main entre mes cuisses. Il s'active entre l'anus et le clitoris, et à chaque passage près de mon vagin, un flot de cyprine lui coule sur les doigts. Je crois qu'il aime ça.

Mais bientôt je l'arrête. Je ne veux pas jouir avec sa main et j'ai peur de ne pas tenir la longueur.

- Baise-moi Rocco, baise-moi maintenant. Je veux te sentir en moi

Je n'ai pas eu à le prier. Il me retourne comme une crêpe sur la banquette, approche son dard de ma foufoune en chaleur et promène le gland de bas en haut le long de ma fente. Je n'en peux plus.

Je remonte mes jambes et mes pieds au niveau de ses fesses et appuie pour le forcer à me pénétrer. Il me pénètre. Whaouah!!!

Doucement d'abord. Son sexe est énorme. Je dois me détendre davantage sinon il va me déchirer, malgré l'humidité de mon vagin.

Puis, au fil des allés-retours, la symbiose, l'harmonie, la compatibilité opèrent et c'est le plaisir parfait.

Il me fait du bien, je lui fais du bien, on se fait du bien.

On s'immobilise de temps en temps, des bruits de pas résonnent dans le parking, puis le silence retombé on repart de plus belle.

Il me baise, me ramone, me possède, me défonce comme jamais Jean ne m'a baisée. C'est la toute première fois que je couche avec un autre homme et je regrette d'avoir attendu si longtemps pour le faire. C'est tellement bon. Mais je vais me rattraper, je vous le jure.

Et ça continue. Ce va-et-vient est divin. Sa queue est tout au fond de moi. Il me laboure le ventre. Ses grands coups de boutoirs me font gémir de plus en plus fort. J'ai envie de me lâcher, de me vider sur sa bite, de tout donner.

Je le crois aussi au bord de l'extase, son sexe se durcit encore, des râles sortent de sa gorge, il va exploser en moi, je le sens venir, il se colle à moi, me sert fort dans ses bras et, dans un dernier coup de rein se vide au fond de moi, me remplit de son foutre. Il n'en faut pas plus pour déclencher chez moi un orgasme de première catégorie. Je me vide, je me vide, je me vide, ça coule, je fuis de partout. J'ai des étoiles plein les yeux, plein la tête.

Sa queue est toujours au fond de moi. Nos humeurs se mélangent, se boivent et s'irriguent mutuellement. C'est bon, chaud, onctueux.

- C'était bon me susurre-t-il au creux de l'oreille!!!

- Oui, pour moi aussi, je n'ai jamais joui de la sorte, j'aime ta bite Rocco.

Il se retire délicatement de ma chatte, baveuse et meurtrie et m'embrasse tendrement, chaleureusement.

Une boîte de mouchoirs en papier nous aide à avoir une apparence propre, on retrouve nos vêtements jetés à la hâte et éparpillés sur le sol du 4x4.

Avant de se quitter Rocco me dit :

- Marie, je dois être franc avec toi. Je suis marié et j'ai deux enfants. J'ai eu le coup de foudre pour toi et je n'ai pas pu résister à ton charme. Si mon patron apprend cette aventure, je suis viré et en ce qui concerne ma femme, c'est la descente aux enfers.

- Rassure-toi Rocco, c'est une aventure d'un jour, une pulsion sexuelle, un secret entre toi et moi, et personne n'en saura jamais rien.

On se sépare dans le parking, lui chez lui et moi chez moi.

Je sens la baise, le foutre, le musc de Rocco partout. Heureusement que Jean n'a pas le flair d'un toutou.

- Coucou, je suis de retour. Que veux-tu manger ce soir?

Je passe un petit coup à la salle de bain, passe une serviette humide entre les cuisses. J'ai la chatte en feu. Une bonne nuit de sommeil et demain je serai de nouveau toute neuve.

A suivre.....

Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE