Ma Reine Ch. 16

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La pauvre virginie doit se confesser.
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Le samedi suivant, je sentis ma maitresse plus stressée que d'habitude. Après m'avoir trait à sa manière (violente), elle commençait à me préparer pour la journée quand elle m'annonça « Le curé veut te voir cette après-midi. Il veut te confesser. » Aïe. Ce que je redoutais depuis plusieurs semaines arrivait maintenant... « Il va falloir mentir. Tu sauras faire? » « Ben... Je fais que ça depuis des mois. » « Mais là tu n'auras droit à aucune erreur. Et mentir en confession, ça ne te fait pas peur? Tu crois aux bondieuseries ou pas? »

La question me gênait. Je n'étais pas catholique fanatique mais je me posais quand même des questions sur l'existence d'un Dieu. Mentir à mon entourage et mentir à Dieu était deux choses différentes. Mentir en confession dans une église, face à un curé inquisiteur serait de toute évidence moins encore plus difficile.

« Je ferais de mon mieux. » « Ça risque de ne pas suffire. Je le connais bien le curé, il va essayer de te tirer les vers du nez. Surtout s'il veut te récupérer pour sa congrégation. Il a essayé avec moi. Et pourtant il savait que j'étais pas une sainte. »

Elle me choisit une longue robe bleue à carreau, boutonnée devant avec de petites manches, un petit nœud bleu entre les seins, très cintrée, ce qui imposait une gaine-porte-jarretelle en dessous avec une petite culotte rose pale. Un petit sac à main blanc venait compléter la parure avec de grands boucles d'oreilles bleus. Je me sentais très belle et sensuelle dans cette robe de femme qui me faisait bien paraitre dix ans de plus.

A 16 h 00 pétantes, je me présentais au rendez-vous fixé par le prêtre dans l'église quasiment déserte. J'attendis quelques instants dans un rang du fond et le curé vint enfin à moi. « Oh, bonjour virginie. Bien à l'heure. Tu es magnifique. Quelle belle robe! Décidément, tu as beaucoup de gout ». « Merci mon père ».

Et il m'entraina vers le confessionnal dans une des absides parallèles. J'entrais dans une des cabines et fermais la petite porte, lui s'installa dans sa cabine centrale et ouvrit le petit fenestron grillagé qui nous séparait.

« Alors petite Virginie, qu'as-tu à me raconter? » Que répondre? Tout ce que je dirai serait forcément mensonge. « Je n'ai rien à dire mon père » « Comment ça, rien? Tu as bien quelques petites fautes à te faire pardonner? N'oublie pas que le seigneur te regarde là-haut et entend tout ce que tu dis. Tu ne veux pas mentir devant Dieu, quand même? » « Non mon père, je ne veux pas mentir. Mais je ne sais pas quoi dire. » « N'as-tu donc aucune faute à te faire pardonner? » « Je... Je n'obéis pas toujours. Je ne fais pas toujours mes devoirs. Je... Je... » « N'as-tu pas des choses plus graves à confesser? Tu sais, les fidèles de l'église t'apprécient beaucoup. Je n'entends que des éloges sur toi. Es-tu vraiment la petite sainte qu'on me décrit? » J'étais tétanisée. Moi une petite sainte? Moi la plus grande menteuse qui soit?

Comment me sortir du pétrin dans lequel je me trouvais désormais? « Non, non, je ne suis pas une sainte. Pas du tout » « Alors que caches-tu? » Je ne pouvais pas répondre à cette question. « Quelle est l'influence de ta marraine? Comment s'occupe-t-elle de toi? » « Elle est très gentille avec moi. » « Qu'entends-tu par gentille? Je connais bien Geneviève. Et sa copine Linda. As-tu des petits copains? Y a-t-il un garçon dans ta vie? » « Non mon père, personne. » « Mais tu dois avoir des prétendants? » « Oui, il y a des garçons qui... qui me tournent autour mais je n'en veux pas. » « Tu... Tu n'aimes pas les garçons? » Dans ma position, je ne pouvais pas répondre. « Je sais pour Linda et ta marraine. Es-tu comme elles? Es-tu attirée par les filles? »

Quelle question horrible!... J'étais attirée par les filles mais pas pour les raisons auxquelles pensait le prêtre. Comment répondre honnêtement? Si la question était de savoir si j'étais lesbienne, la réponse était non. Je choisis de répondre en ce sens. « Je ne suis pas lesbienne mon père. » « Si réellement tu es une petite sainte, moi, je veux bien te prendre dans ma congrégation. Si cela t'intéresse, bien sûr. Ça te dirait? » Evidemment je ne pouvais pas devenir bonne sœur. Non que ma foi pose réellement un problème mais mon sexe s'y opposait catégoriquement. Une fois de plus, j'étais piégée. « Je... Je ne sais pas mon père » « Si par hasard, c'était le cas, n'hésite pas à m'en parler surtout. Je serais toujours là pour toi, jolie virginie »

J'étais déboussolée, déstabilisée. Ce prêtre était incroyable. Je me sentais extrêmement mal. Et c'est le moment où il choisit de m'enfoncer encore davantage...

« Pour être certain de ne pas me tromper sur toi, j'aimerai voir ta culotte » « Pardon? Qu'avez-vous dit mon père? » « J'aimerai voir le fond de ta culotte pour m'assurer que tu es une fille vraiment très propre. Je veux être sûr que tu ne mens pas sur des pensées incompatibles avec le sacerdoce. »

J'étais épouvantée. Comment un curé pouvait-il demander cela à une jeune fille? Il y avait quelque chose d'anormal. « Non, je veux pas mon père » « C'est un ordre ma fille. Tu dois m'obéir. « « Mais enfin, c'est dégoutant. » « Pas sûr. Si tu es honnête, il n'y aura rien de sale. Allez, assez discuté, quitte ta culotte et fais-moi-la passer par-dessous la porte. Je n'ai pas que ça à faire, il y a du monde qui attend pour prendre ta place ».

Je commençais à pleurer doucement. Il m'était facile de me déshabiller discrètement dans la cabine sous réserve que personnes n'entre. Je passais mes mains sous ma robe et me rendis compte de la difficulté qui s'ouvrait à moi. J'essayais de m'en ouvrir au curé pour me dérober à la corvée « Mon père, j'ai un problème. A cause de ma gaine, je dois retirer mes jarretières pour enlever ma culotte car elle est en dessous de la gaine. » « C'est pas grave, ma chérie, tu les remettras après » impossible d'y échapper... je relevais donc ma robe et dégrafais toutes les attaches pour faire glisser ma culotte rose que j'attrapais et fis passer en dessous de la porte.

Fort heureusement la culotte que m'avait donnée ma maitresse ne sentait pas trop fort... Je ne voyais pas ce que le prêtre faisait avec mon étoffe intime. J'attendais impatiemment qu'il me rende mon bien tout en retenant mes bas qui glissaient le long de mes jambes. Je craignais que la porte ne s'ouvre par mégarde et me découvre, jupes relevées et bas tombants sur mes genoux... Mais rien n'arriva. Ma culotte reparut sous la porte et le prêtre me félicita. « Ça va, ma petite Virginie, tu es relativement propre. Ton odeur intime laisse supposer une vraie virginité. Pour l'instant, je peux croire en ton éventuelle sainteté. »

Après m'être rhabillée, je sortis rapidement de ma cachette et m'enfuis vers le logement de ma maitresse. Et c'est en pleurs que je me jetais dans ses bras. « Quoi? Qu'y a-t-il? pourquoi te mets-tu dans cet état? A-t-il compris quelque chose? » « Non... Non marraine, j'ai réussi à mentir? Mais... Mais... C'est horrible... il m'a obligée à montrer le fond de ma culotte » « j'en étais sûre... Heureusement que j'ai anticipé et que je t'ai mis une culotte très peu salie. Ouf. C'est pas grave ma puce? Tu en verras d'autres. Il me l'a fait à moi aussi. Il me prenait pour une sainte mais quand il a vu les saletés que j'avais laissée au fond de ma culotte, il a vite déchanté. »

Je regardais ma reine, les yeux englués de larmes « il me prend pour une sainte. Il... Il veut que je devienne bonne sœur. Je peux pas être bonne sœur? je suis pas une sainte. Je suis pas une fille. C'est horrible marraine. Que vais-je devenir? Il n'y a pas d'issue... » « Ne t'en fais pas ma chérie. On trouvera une solution. » Je ne pouvais pas arrêter de pleurer sur l'épaule de ma reine. « Tu sais marraine, même maman me pose de plus en plus de questions. Elle trouve que je suis pas assez viril. Et à l'école, c'est horrible, les autres arrêtent pas de me traiter de pédé. J'arrive plus à me comporter en garçon. Dès que je fais pas attention, je me surprends à remonter mes cheveux ou à marcher comme une fille. C'est vraiment trop dur. Y a que les filles qui me défendent et ça fait encore plus rire les garçons. Du coup, je suis souvent tout seul ou avec les filles. J'en ai marre, marraine. »

Et je pleurais encore plus. Geneviève essayait de me consoler, me caressait les cheveux tendrement. « Quand tu auras l'âge, on te fera opérer. » « C'est trop loin marraine, j'en peux plus de devoir être un garçon »

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