Lucie, piégée ! Ch. 05

BÊTA PUBLIQUE

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"Et bien ma cocotte, malgré ce défonçage en règle de ton cul, toi qui va marcher en canard... Non seulement tu as appréciée mais en plus vu ce qui suinte de ta chatte, tu dois avoir une envie de baiser dès plus grande! Tu verrais ton clito il est bien tendu et bien rouge tout comme tes lèvres trempées et bien gonflées. Une vraie nymphomane! " Ria Patrice contemplant les parties de sa petite chose.

Aussitôt il s'affaira à la suite. D'abord il laissa Lucie attachée se rhabillant puis il s'interessa à elle. Il lui détacha d'abord les jambes qui restèrent bloquée dans la position, cul en l'air. Il tira donc délicatement sur les chevilles afin de faire la bascule et d'allonger les jambes pour les étirer. Ce ne fut visiblement pas sans difficulté pour Lucie qui avait l'air de faire la grimace mordant fortement son baillon.

Les mains toujours attachées aux barreaux du lit il tourna Lucie sur le ventre. Ses bras se croisèrent donc à hauteur des coudes. Il lui écarta légèrement les jambes sans difficultés, le bas du corps de Lucie pouvait être manié comme on tire sur un pantin. Les sensations allaient doucement revenir...

Il prit dans son tiroir de commode un petit crochet métallique gris qui possédait une boule au bout du crochet. À l'autre extrémité était visible un trou où pouvait s'enfiler une corde. Il en profita, tandis que le cul de Lucie continuait à former un petit O, pour y insérer l'extrémité de la partie arrondie après lubrification par un simple gel. Une fois bien calé il y attacha une petite corde au niveau du trou et la remonta le long du dos d'une Lucie qui gémissait toujours sollicitée par sa chatte mais ne pouvant rien y faire avec ses jambes amorphes...

Patrice délivra les mains de Lucie une à une. D'abord la droite qu'il cala derrière sa tête l'attachant à hauteur de poignet et la reliant au crochet d'un noeud souple. Il fit ensuite de même avec la main gauche. Et fini par les lier collée l'une à l'autre en croisant les poignets. Enfin il tira sur le tout resérrant la corde.

Lucie avait donc les mains à hauteur de nuque en croix, les coudes dépassant de chaque côté de la tête.

Patrice commença doucement à chatouiller ses pieds pour faire revenir les sensations dans ses jambes. Lorsque Lucie tapa enfin du pied droit après plusieurs minutes passées sur l'exercice. Patrice l'agrippa par le collier et la releva d'abord sur ses genoux. Elle ne pouvait plus se tenir. De la ciprine dégoulinait malgré elle sur ses cuisses...

"Ma cocotte, comme tu peux le sentir tes bras son relié à ton trou du cul par un système d'attaches avec crochet. Pourquoi? Non seulement pour te t'empêcher de te toucher mais aussi pour te faire jouer avec ton trou de balle. Plus tu bougeras les bras, plus tu solliciteras ton trou du cul. Bien-sûr tu vas pouvoir te soulager de ces insupportables démangeaisons qui secouent ton vagin mais seulement à ma manière. Et c'est bien simple, on va remettre tes petites oreilles de chatte sur ta tête et tu vas aller te frotter dans la petite courette. À poil, à l'aveugle, bâillonnée avec une jolie petite laisse pour te promener. "

Aussitôt Lucie paniqua. Elle tenta de se débattre, se relever toujours dans des " Mmh! Mmmmhh! ". Son cul la rappella à l'ordre lorsque qu'elle voulue bouger les bras.

Patrice l'a tira aussi par le collier pour la reposer sur les genoux. Puis il ajouta :

" Ok. On prendra les escaliers pour descendre et monter! Ton attitude irrespectueuse me l'impose! "

Lucie crue devenir folle et ne se calma pas du tout. Patrice lui claqua violement les fesses " CLAAAC! " et repris de plus belle :

"Bien, te voilà calmée. Il n'empêche qu'en supplément du nu intégral dans les escaliers je te réserve une surprise de taille en remontant... Allez en route sale chiennasse de conne! "

" Clic " il attacha la laisse et tira Lucie en direction du sol.

" À croupie. Tu tiens à mes pieds foutue connasse de soumise! Tu ne comprends que la dureté, nous allons donc agir de la sorte. Ne t'attends pas à une once d'indulgence de ma part. Ton temps libre cet aprem vient de sauter et toi tu vas te faire sauter!! On en reparle quand on reviens de ta promenade. En route! " Asséna Patrice.

Il l'a traîna donc à croupie derrière lui jusqu'à la porte. Là il attacha la laisse à la poignée fit un aller retour rapide à la cuisine et déchira avec un couteau le mini haut et la jupe de Lucie qui tombèrent au sol.

" lèves la jambe gauche! Et maintenant la droite!" Lui cria Patrice. Il lui retira ses grandes chaussettes de cheerleaders. Lucie était donc bien nue à la porte.

Il reprit la laisse ouvrit la porte et tira dessus en direction des escaliers. Lucie suivait toujours bâillonnée et à l'aveugle son maître, plus chaude que jamais malgré les évènements.

" Lève-toi pour descendre les marches. On va éviter un accident! Allez avance devant j'irai à ton rythme. Et puis... Tu seras bien exposée comme ça ma chatte! " Ria Patrice.

Ils descendirent les étages jusqu'au rez-de-chaussée au bout d'un temps assez longs avec la difficulté de repères pour Lucie. Ils ne croisèrent personne. L'ensemble des quatre voisins de Patrice étaient absent ce jour, mais ça, Lucie ne pouvait le savoir... Appuyée sur la rampe d'escalier elle essaya d'entamer une caresse des barreaux, sa chatte la démangant plus que jamais.

Il l'a tira donc hors de portée de l'escalier dans le sens inverse de l'entrée vers un petit cagibit qui donnait sur la courette extérieure. Là il reprit parole :

"Bien ma chatte tu vas à l'aveugle tâtonner a jusqu'à trouver de quoi te soulager. Quand tu seras satisfaite fais ton affaire. Pour tes tétons démerdes-toi! Je ne leverai pas le petit doigt... "

Lucie mi-debout, mi-croupie, touchait avec ses pieds ce qui pouvait dans le petit jardin assouvir ses besoins au plus vite qu'elle puisse quitter ce moment honteux en plein-air.

Patrice l'a vit se caler contre un pilonne de plastique qui servait de pied à un banc et qui venait tout fraîchement d'être installé! Là tel une jeune chienne en saison des amours elle cognait, frottait, enfonçait sa vulve contre l'objet sous des " MmMmMmMhhh! " qui signifiaient un soulagement certain et une jouissance qui n'allait pas tarder. Patrice voyait la jeune femme mains bloquées dans le dos et gênant son anus, tenter de se faire du bien contre un banc de la copropriété. Il n'avait pas été plus fier de son élève en formation qu'à cet instant.

Il savait que des moments de gênes mélangés au plaisir elle ne connaîtrait que cela cette semaine. Il l'a voulait bien humiliée, sans honneur, désolée et prête à tout le week-end suivant. Il savait ses amis et M.Radja plein d'imagination à ce sujet. La belle et fière étudiante, quasi major de promo, allait devenir une bête de sexe, désirable, désirée et à l'écoute des envies, à tout instant, des prétendants que Patrice lui choisirait. Son plan avançait. Les résistances et essais de Lucie de faire la bonne ménagère ne le surprenait pas. Cela faisait aussi partie de ces actes vains de résistance. Il était heureux de son choix ce soir là dans le bar de nuit...

Un grand " MmMmMmMmMmMmMmMmhhhhh! " Vint le sortir de ses pensées Lucie la chatte enfoncé sur le poteau, les tétons collés au métal du banc, était en train une fois de plus, d'éjaculer sur le pilonne la tête posé sur le banc. Elle tint sa position arqueboutée ainsi deux bonnes minutes le temps d'avoir plusieurs sursauts de ciprine et un orgasme assez long et très plaisant.

Patrice se dirigea vers elle, reprit la laisse en main et chuchota à l'oreille de Lucie des mots biens humiliants :

" Très bien ma chatte! Une vraie salope. Ce banc est ton banc, et comme tout bon animal tu vas maintenant faire ton pipi sur ce pilonne pour marquer ton territoire. Vu ton éjac' ta vessie a sans doute envie en finir aussi. Alors fonces! "

Détruite, humiliée, résignée et sans espoir Lucie se tint à croupie le dos contre les jambes de son maître et urina ainsi sur le poteau pendant que Patrice lui caressait les cheveux pour la féliciter.

Ils remontèrent comme à l'aller, Patrice devant ce coup-ci. Arrivé à l'appartement, Patrice ne perdit pas de temps pour l'humiliation suivante. Il l'a tira jusque devant le lit attacha la laisse au pied de celui-ci. Il se déshabilla, dit à Lucie de se mettre à genoux. Là il se positionna en callant ses jambes sur les épaules de la jeune femme toujours attachée, il posa littéralement ses couilles sur le nez de Lucie lui descendit le baillon autour du cou pour libérer sa bouche et reprit sans attendre :

" Ma grande, d'abord je ne veux pas t'entendre! Ensuite tu vas me lécher le trou du cul. Il est propre et sans odeur je te rassure. Moi ça va me le masser et toi tu vas poursuivre ton apprentissage. Mets-y du tiens si tu veux pas que je te le fasse faire à la sortie des chiottes! Lèche-moi bien la raie conasse. Et tu t'arrêteras uniquement sur mon ordre! Aller bouffe mon cul! "

Lucie resta de marbre le temps des paroles et toujours dans un état de défaite tira sa langue et commença à lécher le trou du cul de Patrice. Il n'y avait effectivement aucun goût gênant mais psychologiquement elle était dans le dégoût le plus total.

Patrice les mains derrière la tête. Ne dit rien et ferma les yeux. Il somnola environ vingt-cinq minutes durant lesquels Lucie appeurée n'osa rien dire ou stopper de ses mouvements. Lorsqu'il rouvrit un oeil il pu voir que sa servante avait le visage enfoncé dans cul et sentait les doux allers-retours de langue sur son trou. Il sourit de la situation et laissa cinq bonnes minutes supplémentaires la torture psychologique en place en enfonçant davantage ses jambes sur les épaules de Lucie afin de lui noyer le visage dans ses fesses.

Au bout d'une demi heure, le cul trempée de bave il se retira de la bouche de sa victime. Son chibre était bien dur et il décida que Lucie devait encore travailler l'anulingus. Il se redressa alors et mit ses couilles sur le nez de Lucie.

" Bien je vais me branler et me faire éjaculer sur ton front dans cette position. Regarde moi dans les yeux et recales cette langue où elle était immédiatement! " Ordonna t'il, sévèrement.

Lucie tant bien que mal avec ses mains attachées et coudes en l'air leva légèrement la tête et les yeux pour croiser le regard de son maître. Elle tira davantage une langue déjà bien fatiguée pour la coller contre le rectum de l'homme qui couilles posés sur les narines commençait sa masturbation. Cela dura cinq minutes avant que Patrice ne reprenne :

" Bien, concernant cet après-midi, je sais qu'un certain Adrien est assez insistant avec toi. Si j'ai bien compris vos conversations, tu as été en groupe avec lui lors d'un TD où vous avez eu un excellent résultat et depuis il a flashé sur toi. Il t'a invité plusieurs fois sans succès et à dû être un peu poussif où vulgaire en soirée si je me fie à ton dernier message envoyé. "

Patrice se remémora le message : { Adrien, ton comportement hier soir m'a bcp choquée, je ne suis pas une poupée ou une pépette à qui on peut " la mettre ". Je ne comprends vmt pas ton insistance, tu n'es pas mon genre de garçon. POINT. }

Pendant qu'elle continuait le difficile exercice, il poursuivit continuant de jouer avec sa verge :

" Tu vas donc l'appeler juste après ta gâterie. Que l'on soit clair, tu vas réutiliser les mots de ton sms dans le sens contraire. Je veux dire par là que tu vas lui dire que tu es une poupée à qui il peut la " mettre " entre 14h45 et 17h15. Ça te premettra de voir que concernant la mise au courant de proche je ne déconne pas. On commence par une simple connaissance disons. "

Il finissa sa branlette cinq minutes plus tard après avoir retiré ses jambes. Se tenant deboute il lui en mit sur le front mais aussi les joues, la bouche, la langue, le nez, le menton... Il lui avait repeint le visage. Une fois de plus il prit son téléphone pour une photo qu'il comptait envoyer sur les sites. La jeune fille étant difficilement reconnaissable.

Aussitôt il racla avec un doigt de sorte à bien lui étaler le sperme de les moindre recoin de son visage, jusqu'aux derrière des oreilles. Et engouffra le surplus dans la bouche de sa proie en guise de conclusion. Lucie à qui il avait demandé de se taire ne disait toujours rien. Sa situation actuelle l'effrayait et elle ne voulait surtout pas désobéir davantage malgré une grande douleur dans les bras...

" Bien ne bouge pas ma grande, je vais chercher le téléphone. Tu vas appeler Adrien et t'excuser de ton comportement indigne de sa personne. Pas autre chose. Capiche connasse? "

" Capiche... Maître! Je suis... à votre service... " Répondit Lucie dans la douleur.

" Un problème?? " Demanda Patrice.

" J'ai mal au bras. Je n'en peux plus de mon trou du cul continuellement étiré et ma bouche et ma langue sont fatguées Maître! " L'informa Lucie.

" Et il n'est que 11h... " Souffla Patrice s'éloignant en direction du salon.

Il revint le téléphone allumé en train d'appeler Adrien. Le haut parleur était enclenché. Il le mit à hauteur du menton de Lucie.

" N'oublies pas, tu t'excuses de tout, tu réutilises ses propres mots pour parler de toi et surtout tu fais en sorte qu'il soit là cet aprem. C'est ton objectif. Fais lui comprendre que tu es ouverte... " Ordonna Patrice.

" Allo? Lucie?? " Fit une voie grave au téléphone.

"Oui. Adrien? Bonjour c'est Lucie! Comment vas-tu? " Lui répondit-elle d'une voie sensuelle surprenante.

" Bonjour Lucie, Oui bien, merci et toi? Que puis-je pour toi? " Questionna le jeune homme.

" Et bien écoute, j'ai repensée à l'autre jour, je... Je voulais m'excuser de mon comportement à ton égard. Je devrais plutôt me réjouir qu'un si... Gentil et intelligent mec me tourne autour. " Commença t'elle.

" Ah! D'a...ccord.. Tu te moques de moi c'est ça??? " Gronda Adrien.

" Non, pas du tout. Je te jure! En fait... Depuis que tu m'as dit que j'étais une belle pépette et surtout que tu voulais que je sois ta poupée... Ça m'a chamboulée. " Reprit-elle le regard noir mais la voie enjouée au téléphone.

" Waoow. D'accord et du coup par chamboulée tu entends quoi exactement? Et le fait que je ne soit pas ton " genre " que tu m'avais dit?? Je sais que je ne suis pas un apollon et que j'ai plutôt de bonnes rondeurs comme tu me l'a rappelé l'autre jour sous le coup de notre engueulade. Qu'est ce qui me prouve que tu te fous pas de moi?? " Questionna t'il encore.

Patrice mit une main sur le combiné et d'une voie autoritaire mais tout sourire dit à Lucie :

" Tu vas lui envoyer une photo de toi nue ou en tenue légère dans la position qu'il souhaitera! Point! Mais répond d'abord au fait qu'il ne soit pas un Apolon. Sois convainquante! "

Lucie écarquilla les yeux. Pétrifiée par la proposition qu'elle allait dire à son collègue de fac.

" Je.. J'ai été peut-être un peu forte dans mes propos. Tes rondeurs ça va. Pour le reste Je... Je... Je.... peux.. t'envoyer une photo de moi nue si tu veux ou en tenue légère.. Pour... Te prouver ma bonne foi. Tu pourrais choisir la posture .. que tu souhaites que je prenne! Je serais un peu... Ta poupée! " Émit-elle totalement gênée.

" Waoow! Pour un retournement de situation c'est assez marrant. Mais bon je ne te croirait qu'une fois la chose faite. Je te préfère nue sur la photo ça me fera un souvenir. À quatre pattes légèrement tourné ma belle. Comme ça j'aurai vu sur tout à la fois tes seins, ton cul et ta chatte. Avec un grand sourire ce sera parfait. " Lui dit joyeusement Adrien.

Patrice ajouta en chuchotant à l'oreille de Lucie: " N'oublies pas de lui demander le RDV pour te la "mettre" cet après-midi, pas chez toi à cause de travaux mais chez un copain qui sera absent. Tu feras les efforts nécessaires en te sapant comme il le souhaite pourvu qu'il soit là. Et sois moins hésitante dans tes paroles" Lui dit-il.

" Ok Adrien... Tes désirs sont des ordres. Je le fais d'ici une heure. Voudras-tu bien ensuite me confirmer, savoir, si tu veux bien me la " mettre " comme tu aimes si bien le dire? Je suis dispo cet... Aprem entre 14h45 et 16h15. Je serais à tes ordres pendant une heure et demi! Je peux être habillée de lingerie pour l'occasion si tu veux. J'ai des travaux chez moi et j'habite chez un ami qui n'est pas là, ça occupe le logement. Je t'en prie, j'espère que tu vas dire oui. Je vais faire les efforts nécessaires! Dis moi tes instructions! Je serais docile tu verras. " Répondit-elle toujours enjouée dans la voie mais désespérée au fond d'elle.

" Euh... Ok! J'attends ta photo. Je t'enverrai mes instructions et mes envies seulement après. J'avoue avoir du mal à te croire j'attends donc la preuve avant tout. Si c'est vrai le reste suivra. Et je serais là à 14h45. À tte. Je note pour la docilité! Bye! " Conclut Adrien avant de raccrocher.

Lucie pleura de suite. Les nerfs lâchèrent une fois de plus. Patrice posa le téléphone et ne perdit pas de temps en paroles inutiles :

" Bien. Je vais enfin te détacher et tu vas pouvoir voir la lumière. Quand tu auras finie de pleurer tu iras reprendre une bonne douche et faire un lavement. On fera la photo pour ton collègue qui va devenir un intime du coup. Ensuite tu prépareras à bouffer. Pâtes carbo ce midi. N'oublies pas, ta gamelle à mes pieds. Tu n'as pas besoin de couverts pour des pâtes. Puis tu fais le nécessaire pour tout nettoyer et tu te prépare en vue de ton rendez-vous selon les demandes de ton ami. Là ce n'est qu'un avant goût de ce qui peux arriver si tu ne te comporte pas comme la parfaite salope docile avec mes amis cette semaine. "

Il lui détacha les mains, qui tombèrent naturellement mais non sans douleurs pour Lucie. Il l'a releva, lui enleva la laisse, le cache-yeux, le serre-tête de chatte, enfin il tira doucement sur le crochet dont l'extrémité n'eu aucun mal à sortir du trou du cul de Lucie, celui-ci était toujours bien dilaté.

Lucie essuya ses joues alla vers la sortie dans une démarche qui indiquait bien que l'on s'était amusé avec son derrière. Elle avait les jambes comme légèrement arqués et surtout les pointes de pieds entrées vers l'avant. N'importe qui s'interessant à la sodomie comprendrait ce qui lui était arrivé, qu'elle était une amatrice de la chose. Lucie aussi sentie un léger changement dans sa démarche. Un grand trou d'air au niveau de son trou du cul mais pas de douleur, plutôt une certaine gêne et donc des pieds dont la pointe se rapprochait de l'intérieur.

Elle fila au W-C d'abord. Elle dûe bien s'avouer qu'il lui fut simple de faire son numéro 2. Le lavement fut des plus faciles. Après quasi une demi-heure sous la douche à bien se détendre, elle se prépara et ressortie nue en direction de la chambre.

Là, sur le lit, elle se mit à quatre pattes, sous le regard de Patrice et cambra son cul pour bien exposer ses parties. Elle tourna la tête de biais avec le buste pour qu'on puisse voir en partie sa poitrine et surtout son sourire forcé. Patrice prit la photo avec le téléphone de Lucie.

" Vas préparer la bouffe et mettre le couvert. Je m'occupe du sms. Je vais lui faire un truc bien salace de ta part. " Ria Patrice.

Lucie alla en cuisine résignée au sort qui l'attendait et appréhendant la tournure

qu'allait donner Patrice au message.

La réponse ne tarda pas. Patrice vint lui coller sous le nez le sms alors qu'elle cuisinait vêtue d'un simple tablier. Sous la photo figurait un petit mot " Voilà, chose promise, chose dûe, je te suis toute dévouée, de corps et d'esprit, pour notre petit RDV Adrien. Que me prévois-tu? Langoureusement tienne. Lucie "

Il repartit dans la chambre s'habiller et laissa une Lucie effarée s'affairer aux fourneaux.

Le retour d'Adrien ne se fit pas attendre. Et alors qu'elle mettait la table pour son maître Lucie se retrouva encore le nez collé sur l'écran à lire le sms:

"Superbe! Tu es magnifique! Quelle chance pour moi. Bien... Alors comme tu aimes être docile déjà tu m'appelera Monsieur cet après-midi. Moi je t'appellerai " la gobeuse ". Je te veux en lingerie, en jaune. String évidemment. Talons les plus hauts et découverts que tu as. Maquilles-toi comme une pute. Rien de plus. Tu seras parfaite ainsi. J'espère qu'on aura le temps pour une totale. J'ai bien envie de ton cul toujours est-il. À tte ma salope. "