Lucie, piégée ! Ch. 05

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Un lundi matin plein de surprises et d'humiliation...
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Partie 5 de la série de 8 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 12/22/2018
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Nda: Merci de vos retour très positif sur les mésaventures de notre héroïne qui n'en sont qu'a leur début... Bien à Vous.

Chapitre 9 : Le lundi

Le réveil sonna pour 8h depuis le téléphone de Patrice. Lucie mit un certain temps à émerger, toujours un peu fatiguée. Elle s'asseya d'abord sur le bord du lit les pieds touchant le parquet de la chambre puis commença à se lever. Mais fit soudain volte face en direction de Patrice.

"Oh putain! La pipe! J'allais oublier. J'espère qu'il n'a rien vu ce connard! " Pensa Lucie.

Elle se dirigea donc d'emblée sur le sexe de son partenaire. Son corps se réveillant doucement elle commença à sentir une gêne au niveau de son anus. Elle comprit que celui-ci commençait à vivement réagir au traitement qu'il subissait depuis deux jours maintenant. Elle ne sue dire si Patrice l'avait doigtée toute la nuit mais cela n'était sans doute pas non plus innocent à ce mal-être anal.

Patrice, lui, semblait toujours dormir alors qu'elle lui agrippa son sexe mou d'une main. Elle se le mit en bouche et bien que à jeun, bava comme elle pu sur l'engin pour bien le lubrifier et fit sa première tâche de la matinée. Elle ne manqua pas de se biffler au passage et ne jeta un oeil en direction de son maître qu'au bout de dix minutes.

" Ne soit pas pressée ma grande, on se réveille là, va falloir mettre les bouchées doubles petite conne! Je t'ai vu hésitante à te lever tu sais... Aller, suce-moi les couilles! " Indica Patrice la regardant dans les yeux à ce moment.

Il n'éjacula en pleine bouche de Lucie que vingt minutes plus tard après deux autres séries de biffles et de suçage de couilles. Il ne perdit pas de temps pour indiquer ses ordres dans la foulée.

"Aaaaah! Extraordinaire ma chatte! Files à la cuisine à quatre pattes pour le petit-dèj'! Installes tout sur la table basse et appelle-moi quand c'est prêt. Café pour moi! "

Lucie la queue mi-molle encore en main partie donc humiliée, bien de bonne heure, à quatre pattes, jusque dans le coin cuisine du grand appartement de Patrice.

Elle prépara le petit déjeuner et installa le tout sur la table basse et s'écria alors " Maître tout est prêt! ".

Patrice se leva se dirigea vers la table basse en voyant Lucie nue debout l'attendant. Il s'installa en bout de table sur le fauteuil face à son café qu'il prit en main et ses tartines fraîchement préparées par sa soumise. Lucie ayant attendue qu'il s'assoit et se rappelant ses mots sur la bonne hygiène alimentaire en lien avec une sexualité dépravée qu'elle allait connaître s'asseya à son tour sur le canapé, près de lui, et pris sa tasse de thé en main.

" Hmmm! Puis-je savoir ce que tu fais? " Intervint à ce moment Patrice.

" Et bien, je vais également déjeuner maître. Vous m'avez dit que je ne souffrirait pas de privation parti... " Commenca à répondre Lucie.

"Oui, oui tout à fait. Mais nous ne sommes pas d'égal à égal ici je crois. J'ordonne et tu éxécutes il me semble. Donc déjà, et cela devient redondant, quand tu m'attends c'est à quatre pattes cul cambré et pas debout. De plus quand on mange, toi c'est à genoux au sol et pas dans le canapé! Et enfin ton thé c'est dans l'évier. Tu vas me faire le plaisir de te servir un petit bol de lait que tu vas laper à quatre pattes à mes pieds et seulement après, une fois tout finie avec la langue, tu auras droit à un thé et les tartines que tu voudras pour te sustenter ma grande. Allez files et que je n'ai rien à redire. " L'interrompit Patrice d'un ton professoral.

Lucie se leva, alla jeter non sans déception, sa tasse dans l'évier et s'emplit un bol de lait qu'elle déposa au pied de son maître et se mit à laper, se faufilant entre les jambes de ce dernier et la table basse. Au vu de la difficulté de la chose elle se mit du lait sur le visage, du nez au menton, cela prenant beaucoup de temps pour se faire, si bien que Patrice eu aisément le temps de terminer son repas et caresser longuement les cheveux de Lucie comme on caresse le poil d'un animal dont on est satisfait.

Une fois finie elle se lécha le tour de la bouche, pour se nettoyer ce qu'elle pouvait, et leva le petit bol pour le montrer vide à son maître qui lui tapota la tête en signe d'approbation.

Voyant Lucie toujours des traces de lait sur le visage, il sourit et la prenant par son collier l'emmena avec lui, elle marchant entre à croupis et quatre pattes à ses pieds.

" Dans une minute tu seras tranquille pour finir ton petit-déjeuner mais avant on va nettoyer ce lait en faisant deux pierres d'un coup. Tu connais la " golden shower " petite conne? " Lui demanda Patrice avec un large sourire.

" Non, cela ne me dit rien maître, désolée. " Lui répondit une Lucie interrogative.

" Ne t'excuses pas.... Allez calles-toi sous la douche. Ferme tes yeux et ta bouche, lèves la tête vers moi, calles tes mains ensemble dans ton dos, bombes le torse et en aucun cas tu ne bouges sinon on poussera le vice plus loin. Capiche? " Lui imposa un Patrice autoritaire.

" Capiche maître. " Lui répondit Lucie se callant tout comme demandé dans un coin de la douche.

Elle n'entendit pas Patrice bouger et s'attendit donc à une douche froide pour se nettoyer... Elle ne l'entendit surtout pas sortir son sexe du caleçon, face à elle, pour entreprendre son soulagement de vessie.

Elle sentie vite le chaud sur sa peau et compris bientôt par l'odeur ce qui se passait. Son menton se mit à trembler et serrant les dents, le visage pris sous une pluie d'urine, elle se contracta pour ne pas pleurer.

Une quarantaine de seconde plus tard Patrice cessa d'uriner. Lucie avait le visage trempé et quelques cheveux également. De l'urine ruisselait sur son torse et sa poitrine. Ses lèvres n'avait pas été épargnées et des gouttes y étaient callées. Elle avait détestée cela comme rien jusqu'ici. Patrice pu la voir toujours tel qu'il l'avait imposé, yeux clos et bras dans le dos, le menton tremblant, proche de la crise de larmes.

"Ne t'essuies en rien et files finir ton petit déjeuner. Si tu pleures je te promet de te faire ça la bouche ouverte, de gré ou de force, la fois prochaine. Ton rôle est d'être là où je le demande. Nous ne sommes pas égaux, tu n'as pas à te comporter comme une épouse avec moi, comme tu as entreprie de le faire avec ton thé assis sur le canapé. Ni à oublier tes directives de bon matin en te levant sans m'avoir sucer... Tu es ma salope soumise, rien de plus! Je vais demander que chacun et chacune soit plus dur qu'il ne l'entendait à ton égard cette semaine, que cela rentre dans ta tête de bois! Lèches-toi les babines, remercie-moi pour la douche et files à quatre pattes prendre ton petit déjeuner, sans te priver. " Lui expliqua durement Patrice.

Lucie ouvrit les yeux, les cils humidifiés. Difficilement, discrètement et avec un écoeurement visible elle se lécha les lèvres, déglutit rapidement pour ne pas vomir et dans une position qui surpris même Patrice, recroquevillée sur les genoux, la tête au sol, les mains à plat sur chacun des pieds de son maître, elle s'enquit du remerciement.

" Maître je vous remercie de votre avertissement, je ne vais pas pleurer comme une ado difficile je vous le promet. Merci de m'avoir uriné dessus pour me rappeler ma nouvelle place depuis une soixantaine d'heure. Je m'excuse et je laperai autant de fois que nécessaire et proprement pour ne pas de nouveau connaître de " golden shower ". Je vais apprendre où est ma place de salope et de soumise auprès de vous Patrice Retsam. Ce collier va me le rappeler au quotidien j'en suis sûre. Mes excuses mes excuses mes excuses maître. " " Smack, smack, smack! " Répondit Lucie effondrée comme jamais depuis samedi et appeurée au point, dans la foulée, d'embrasser les pieds de Patrice, qui n'en demandait pas tant.

Lucie se remit sur ces genoux, et bras tendus s'avança en direction de la table basse pour, enfin, prendre son petit déjeuner. Là elle se remit debout et retourna au coin cuisine se préparer un thé.

Patrice sous la douche, porte de la salle de bain fermée, elle ne pu bien-sûr retenir ses larmes. Elle venait de se faire pisser sur la gueule comme si elle était un urinoir et n'avait pas eu le droit de s'essuyer en plus de ça. Elle était effondrée. Elle se ressaisit vite, avant que l'eau de la douche ne cesse de couler et que son visage soit trop marqué pour ne pas se faire griller. Elle prit alors tranquillement son petit déjeuner à genoux sur le tapis le dos légèrement appuyé sur le canapé. Heureusement la privation alimentaire ne ferait jamais partie de ses contraintes.

Patrice sortit de la salle de bain torse-nu, alors que Lucie entamait le rangement. Sans un mot il alla dans la chambre puis revint avec visiblement quelques petites affaires dont Lucie allait se parer malgré la cession sexe prévue pour la matinée. Il les déposa dans la salle de bain, se calla au bureau et passa un coup de téléphone.

" Oui Mélanie! Comment vas-tu? Ah super ça promet pour ce soir alors. Super! Moi, oui impec' aussi. Prêt pour la semaine! Je t'appelai justement à propos de ce soir. Je souhaiterai que tu ne prennes pas vraiment de gants avec Lucie ce soir. Et bien-sûr à la moindre incartade tu n'hésites pas un instant à propos de l'arrangement... Mmh? Non non, elle ne connaîtra la résultante des hésitations et désobéissances que lors de mon retour. On fera le bilan et elle verra ce qui se passera. Oui! Oui bien-sûr je lui est fait passer le message avec une "golden", à l'ancienne quoi! Oui, oui pas de problème on peut modifier ça. Ça me va très bien d'ailleurs... Tu peux lui parler, lui l'annoncer oui, je te passe la petite conne! Bisous je te rappelerai demain oui. Ciao! Hey ma chatte, mon amie à te parler! Tiens! " Conversa Patrice.

Lucie venant d'essuyer la table se rinça rapidement les mains et mit le portable à l'oreille non sans appréhension. "Oui, allô? " Commença t'elle timidement.

"Salut la branleuse! Juste pour te dire que je ne te ferais pas de cadeaux en cette fin de journée et que tu passeras la nuit à la maison. J'ai quelques trucs en tête, ça va être chouette. As tu déjà fait de la gymnastique et est tu assez souple pour toucher tes orteils sans échauffement? Tu sais faire le grand écart? Sinon tu as déjà gouiné dans le passé? On t'a déjà bouffé le cul et toi tu l'a déjà fait? Repond juste oui ou non dans l'ordre et ferme la après! " Lui siffla, comme à un animal, Mélanie au téléphone.

Lucie surprise et anxieuse se contenta donc de repondre simplement. " Oui, oui, non, non, non. "

"Ok on se voit ce soir, aucun sous-vêtements quand tu viens jusqu'ici. Voyages en legging avec un beau camel toe! Ton collier bien en vue, ce qui signifie un haut bien plongeant. Choisis-en un blanc moulant. Pas d'arnaque, je le saurais attention! Et fais comme-ci tout était normal. Et t'as de la chance, je te laisse mettre une veste. À toute la salope! " Lui exigea Mélanie d'un ton ignoble avant de raccrocher.

Lucie était choquée. Pour simplement avoir été trop attentionnée ce matin elle s'était fait pisser dessus et voilà qu'elle devait traverser la rue la chatte bien en vue à qui saurait y prêter attention et en surplus elle allait sans doute devoir répondre au faveur sexuelle d'une femme qui la traitait déjà comme une moins que rien..

"CLAAC! " Une fois encore une grande fessée la ramena a la réalité. "Tu as une vaisselle à faire et ta toilette après. Je travaille un peu en attendant. N'oublies pas de t'habiller malgré tout. Ta conversation avec Mélanie à l'air de t'avoir stressée. Tant mieux. Tu vas m'en dire des nouvelles... Quoi qu'elle t'ai dit suis bien ses demandes à la lettre. Saches que je passerai un coup de fil à tout le monde pour que chacun durcisse le ton. Nous aurons une conversation en forme de bilan, de la semaine, samedi. Un bon conseil, il vaut mieux que tu sois au petit soin et à l'écoute... Allez files. "

Lucie dégoûtée de ce tout début de semaine qui était bien merdique à ses yeux s'en alla à la salle de bain tête baissée. Comme les deux jours précédents elle commença par aller aux W-C puis se prit une bonne douche. Prête à s'habiller elle alla au placard.

Elle y trouva une paire de grandes chaussettes blanche qui remontait jusqu'à mi-cuisse, une jupe bleue suffisamment courte pour être à limite des lèvres de sa chatte et un micro-chemisier qui venait s'échouer juste en dessous de ses tétons, laissant entrevoir le dessous des seins. La jupe et le haut étaient en fait deux tailles en dessous du 36 que la jeune femme portait habituellement.

Sortie de la salle de bain elle fut envoyée immédiatement chercher le courrier, dans le hall d'entrée, sans autre forme de procès. Elle avait interdiction de prendre l'ascenseur et devait être souriante au cas où elle croisait quelqu'un.

Ce fut le cas sur le chemin de retour. Un homme, sans doute dans les âges de son bourreau, la dévisagea et l'observa de la tête au pied. Elle s'obligea à lui sourire ronge de honte. Elle n'eu qu'en réponse un " Espèce de pute! " et un passage en force à grand coup d'épaule.

Elle revint à l'appartement et posa le courrier sur le bureau de Patrice.

" Ramènes-toi dans la chambre cocotte! " Ordonna Patrice.

Elle le rejoignit dans la chambre et le trouva allongé nu et bien bandé. Son sexe semblait d'ailleurs reluire.

" Allez viens t'asseoir la chatte sur ma bite ma grande. Viens te baiser! Reste en cheerleader comme ça! " Lui demanda Patrice tout sourire.

Lucie monta donc sur le lit et une jambe de chaque côté de son amant s'accroupit à hauteur de son bassin et aggripa d'une main son sexe dur pour y faciliter l'entrée dans son vagin. Elle pu constater en le touchant qu'il était recouvert d'huile.

Toujours en silence, elle commença de doux vas et viens sur ses lèvres avec le gland afin de se chauffer. Patrice souriait.

Lorsqu'elle sentit que cela ne serait pas douloureux pour elle, elle commença à s'enfoncer sur le chibre imposant. Elle comprit de suite que l'huile n'était pas simplement là pour faciliter l'insertion mais aussi pour la rendre de nouveau folle. Elle sentait déjà le feu monter en elle...

" Alors ma chatte, pas trop surprise? Dans quelques minutes tu vas être si excitée que

Tu vas encore criée tout ton plaisir d'être traité comme ma chose. " Ria Patrice commençant à triturer les tétons de sa salope.

Lucie ne répondit rien, complètement gênée, elle ne pu cependant s'empêcher de gémir à mesure de ses montées et descentes sur le chibre. Cinq bonnes minutes passèrent... Une fois bien enfoncée sur la bite, elle s'agenouilla et commença à chevaucher l'organe toujours se refusant à parler..

" Bien, je vois que tu n'es pas très causante... On va faire un truc simple maintenant que te voilà empalée sur ma bite! Quand tu bougeras les hanches en arrière tu diras "Je suis " et quand tu ramènes les hanches en avant je veux entendre " une putain de salope! ". Et ce jusqu'à en jouir. Capiche ma petite? " ordonna Patrice triturant toujours les tétons de sa proie.

" Tout ce que vous voudrez maître. " Se désola Lucie.

Ainsi pendant dix minutes elle récita inlassablement la phrase à mesure de ses mouvements : " Je suis une putain de salope! " Criait-elle.

Lucie ne tarda pas à jouir. Les tétons sollicités sans discontinuent depuis maintenant vingt minutes, les huiles décuplant son plaisir vaginale elle aggripa le torse de Patrice sur un dernier long " JEeEeEe!! OoOoOoOouiiiiii!!! SuUuUuUuiiiiis! UuU.... À OoOoOoUuiiiiii! Une pUuUutain dEeEeEeEeEe sAaAaAaAaAaAalOoOoOoOoOoOope!!!! " Cela ressemblait plus au ral d'un animal en rut qu'autre chose. Lucie jouissait abondamment sur le sexe de son maître chanteur qui éjacula tout sourire.

Et là comme sur la barre de striptease au salon de l'érotisme, elle tomba dans les pommes, la tête sur le torse du responsable de sa récente déchéance.

Patrice s'écarta laissant Lucie dans les vapes, épuisée d'être autant sollicitée. Patrice fut étonné de voir qu'elle dormait au point de n'être qu'une poupée de chiffon. Il l'a retourna sur le dos. Il commença par voir si elle réagissait et lui pinça légèrement un téton. Sans succès. Un sourire s'esquissa de nouveau sur son visage. Il allait la surprendre avec sa position favorite pour une anale.

Un bon quart d'heure plus tard. Lucie toujours sommeillante se retrouvait appuyée sur les homoplates, le dos arrondie, les genoux de chaque côté de la tête. Les poignets et chevilles attachés par deux, aux barreaux du lit. Patrice y avait ajouté sa touche personnelle en la baillonant avec une boule rouge. Ses yeux étaient privés de lumière avec une fois de plus son cache-yeux WHORE. Ainsi attachée, son cul et sa chatte était bien exposés et sans défense. Patrice étala l'huile secrète de Rose, qui avait rendue folle du cul Lucie sur la table basse, la faisant éjaculer. Ces huiles allaient la réveiller et dans une telle position elle ne pourrait rien faire qu'attendre que son maître la soulage...

Il s'y affaira avec la plus grande attention. Il passa de la chatte à l'anus et vis-versa. Il n'hésita pas à doigter gentillement sa chatte et son trou du cul que les huiles prennent possession de chaque cavité. Il lui titilla les tétons alors qu'elle commençait à gémir doucement. Il l'a sentait se réveiller et s'interrompit donc.

Il l'a laissa ainsi comprendre sa situation physique pendant une quinzaine de minutes retournant à ses affaires au bureau dans l'autre pièce.

Lorsqu'il revint Lucie gémissait dans des successions de "Mmmmh!". Il pu voir son trou du cul se serrer et se détendre, palpitant sévèrement. L'huile faisait effet!

"Bien ma chatte! On va travailler ton anal! Mélanie te veux dans une démarche où chacun comprendra que tu t'es fait enculer et que tu aimes ça. Nous allons donc travailler ça maintenant. Par contre je ne toucherai pas à ta chatte ma grande! Ça... Tu iras te frotter sur un coin de mur, un pied de lit où je ne sais quoi! La nympho que tu es trouvera facilement! " Ria Patrice.

Patrice engagea alors directement deux doigt de la main gauche dans le cul de Lucie en lui pinçant un téton de la droite! Aussitôt un "Mmmmmmmh!!!!" se fit entendre. Il ne pu savoir si c'était de la douleur ou du soulagement toujours est-il que ces deux doigts était entrés en entier comme dans du beurre. L'huile avait bien dilaté son trou du cul! Il commença alors ses allers-retours.

Plus accélérait plus elle gémissait dans son baillon. Il décida avec l'insertion d'un troisième doigt de joindre des fessées sur ce cul exposé.

" CLAC! CLAC! CLAC! CLAC! " Une première série tomba sous un grand " Mmpffft! " De Lucie sous son baillon.

Patrice accéléra le mouvement de ses doigts dans l'arrière train de la demoiselle. Il en profita pour asséner une seconde série de claque sèche sur cet arrière train des plus sollicités.

Une fois les fesses bien rougies et le trou du cul bien ouvert, Patrice estima qu'il était temps pour lui d'y aller de sa sodomie. Il s'installa donc, tendant les jambes, les mains agrippées à hauteur des genoux pour bien enfoncer les jambes de Lucie et relevé son cul et entama ses vas et viens avec son bel organe dans le colon de sa prisonnière.

Le plaisir ne tarda pas à se faire entendre chez Lucie qui poussait de long " Mmmmmmh! " de soulagement. Le chibre calmait le feu dans son colon qui la rongeait encore une fois.

Les minutes défilèrent. Les jambes de Lucie se décontractaient à mesure des assauts de Patrice. Elle serrait poings et orteils face à la brutalité de la situation. Mais malgré sa difficile posture physique, on pouvait entendre son plaisir d'être dégager de ces démangeaisons qui l'a rendait si folle de sexe. " Mmmmmmh! " Gémissait-elle au travers du baillon....

Vingt minutes après son entrée en jeu. Patrice abdiqua au plus profond du cul de Lucie et se décharga d'une bonne dose de sperme dans un grand " Haaaaa!!! " Alors que Lucie elle s'enquit d'un " Mmmmmmmmhh... " plus long que les autres.

Il resta dans son cul jusqu'au début de débandaison puis laissa un sacré vide entre les deux fesses de Lucie. Un bon gros O se laissait voir, on aurait pu y enfoncer quatre doigt facilement.