Lucie, But Not Lucky (?) Ch. 18

BÊTA PUBLIQUE

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Bizarrement, je fais peu de cas cette fois d'être utilisée de cette manière, d'être leur jouet pendant leur moment de détente, de servir de défouloir à bite, de poupée gonflable pour célibataire endurcit. Peut-être m'y étais-je inconsciemment préparée suite à la discussion dans la voiture avec Paul (?), le baume ayant sûrement eu raison de mes derniers retranchements.

Après ce "petit" préambule, l'assemblée a trouvé ses marques et chacun œuvre à sa tâche dans une ambiance bonne enfant. Elle est certes ponctuée parfois de commentaires un peu graveleux sur ma personne, mais toujours dans un esprit de déconne où pour se donner du courage avant de me venir me rendre visite. De mon côté le ballet des chibres va bon train, avec pour certains un passage obligé par ma bouche afin de les remettre en forme. Il pratique comme en politique bien souvent l'alternance et c'est parfois le même partenaire qui laisse mon sexe en carafe, une nouvelle fois prostré par cette vil frustration, pour venir trouver une navette pour monter au ciel au creux de mon postérieur.

Je réclame douceur et attention lorsque l'une de leurs queues se présente ainsi à l'entrée des artistes, ce que l'on m'accorde le plus souvent sans difficulté allant même jusqu'à badigeonner régulièrement l'endroit d'une bonne dose de graisse. Soucieux pour certains de mes petits plaisirs leur main ne quitte pas mon clito pendant leur ramonage. Ce foutu baume le garde dans un état d'érection indécente, sortie en permanence de sa grotte, le regard vague du fêtard qui sourit béatement à la vie après quelques verres de trop. Ils en jouent les bougres ne ratant pas une occasion de le titiller généreusement, de le pincer délicatement, de le caresser amoureusement, de le faire vibrer par pichenettes interposées, de le malaxer telle la boulette de pain en fin de repas que l'on veut parfaitement ronde, de lui conter l'amour par de longues sérénades, de lui faire miroiter un avenir radieux où la jouissance est reine, de lui parler d'un pays où il serait roi ... Et c'est le petit gras du bide à la barbe en bataille qui contre toute attente, ses gros doigts boudinés ne laissant pas présager autant d'agilité, se révèle le plus doué dans l'exercice allant même jusqu'à me faire monter au créneau alors qu'il se fourvoie dans mes entrailles !

Certains moins précautionneux, comme Brice, s'attachent surtout à me malaxer les seins pour leur plaisir. On est là souvent avec ce manque de délicatesse inhérent à l'homme en rut dans une pratique plus proche de celle du mitron en train de préparer vigoureusement sa pâte à pain que d'un coït amoureux !

Paul est toujours dans les parages et reste attentif aux garnements et lorsque Brice, après m'avoir enfourné sa bite dans la bouche, agite une des tondeuses électriques sous mon nez il vient couper court à toute envie pernicieuse qui pourrait germer dans son esprit torturé et en particulier celle de vouloir me faire une nouvelle coupe ! Il y a des limites à mon rôle de chèvre et on n'a jamais fricoté avec l'ennemi dans ma famille pour avoir le droit de bénéficier d'une tonte gratuite !

Après quatre heures de bons et loyaux services, ponctué par quatre orgasmes généreux que je n'ai pu laisser transparaître, Alexandre vient me détacher. Paul m'aide à me relever et me soutient jusqu'à une botte de paille qui malgré son inconfort vient soulager mes jambes qui ne me portent plus.

- Tu as été presque parfaite, me souffle-t-il, j'aurais apprécié que tu n'oublies de sourire lorsque l'on te sodomise. C'est un petit détail, mais c'est important pour ton partenaire de voir l'effet bénéfique de son action, cela décuple souvent les envies.

Et puis quoi encore je ne râle plus déjà et me laisse empapaouter le baigneur sans ronchonner ni sortir l'artillerie lourde, il ne voudrait pas en plus que je leur chante la marseillaise pendant qu'ils mettent à mal les parois de mon pétrusquin !

- Mais je pinaille, je pinaille, se reprend-il en voyant ma mine renfrognée à ses "compliments", tu as été magnifique, tu m'as fait honneur et j'ai cru voir que tu avais pris toi aussi du plaisir. C'était parfait !

- Vous n'auriez pas quelque chose à boire, coupe-je court à son passage de pommade. Non pas que j'y suis insensible, j'aime toujours autant que l'on flatte mon ego, mais j'ai la pépie. La bière que l'on m'a accordée au milieu de ma prestation est bien loin !

- Je m'en occupe, je m'en occupe, se précipite Alexandre qui vient d'entendre ma requête. Purée tu l'as bien mérité ma salope. C'aura été la meilleure tonte qu'on aura jamais faite, moi j'te l'dis. Hein les gars, elle vaut bien un 20/20 notre p'tite pute s'enflamme-t-il.

Un triple ban m'est accordé par l'assemblée qui ne réfute aucunement l'attribution de cette note maximale. Le contraire m'aurait presque déçu ! Il s'en va quérir de quoi étancher ma soif.

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En préparant la boisson pour Lucie, Alexandre se remémore le conseil de Paul d'associer le puissant onguent qu'il lui a fourni à la graisse. Les effets ont été bien au-delà de ses attentes, ça a été une pure réussite. Il note de demander le nom du produit miracle à son ami pour en faire bénéficier ses prochaines partenaires ! Il s'en voudrait de passer à côté.

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Le verre qu'il me tend est bien loin de correspondre à mes attentes. L'odeur du liquide blanchâtre et grumeleux qu'il contient ne me laisse que peu de doute sur sa provenance. En jetant un œil sur la petite table où sont posées toutes les boissons, je remarque le tas de capotes accumulées qu'il vient probablement de vider dedans ! Beurk !

- C'est toutes celles que t'as épongées, il était normal qu'elles te reviennent, précise-t-il devant ma mine peu réjouie. J'espère qu'ça fé plaisir ma cochonne.

Je tente un sourire forcé en guise de réponse, mais c'est Paul qui enchaîne et vient à mon secours en indiquant que je n'en espérais pas tant. Je remue doucement ce cocktail de foutre, repoussant le fatidique moment de le porter à mes lèvres. Le reste de l'équipe s'est regroupé devant moi et chacun vient trinquer avec moi sans se soucier le moins du monde de l'infâme breuvage que je m'apprête à avaler.

- Allez cul sec, lance Brice innocemment (?)

Ce n'est pas que la première gorgée la plus dure, les autres le sont tout autant ! Je finis le verre à moitié en apnée pour éviter les vapeurs nauséabondes, déglutis avec peine, combats fermement une remontée plus agressive que les autres et affiche un grand sourire, un tantinet crispé, de blondasse écervelée pour faire plaisir à Paul ! Vous aurez noté j'espère comment maintenant j'arrive à gérer cette infâme liqueur, je n'irais pas encore jusqu'à cocher que je maîtrise sur mon carnet de bord, mais c'est tout comme ! J'ai ensuite le droit à une grande rasade de gnôle pour rincer mon verre et faire passer le tout ! Les effets de l'association sont désastreux, la puissance de l'alcool décuple le goût et les remontées de foutre, que du bonheur ! Au moins avec ça aucun risque d'infection, j'ai la gorge en feu !

- J'ai l'impression que notre amie n'est pas rassasiée, commente Alexandre alors que j'essuie une larme qui s'échappe à cause de la rudesse de leur tord-boyau. Les gars jé une idée, on va lui offrir un p'tit rafraîchissement pour la r'mercier. Normal après ses exploits. Lève ton cul et suis moi, vous aut' aussi, ordonne-t-il.

Sans vraiment voir où il veut en venir, c'est les fesses striées par la paille et les jambes encore un peu en coton que je lui emboîte le pas. Nous n'allons pas très loin, juste en bordure de la cour à proximité du bâtiment. Nous profitons d'une belle chaleur encore présente en cette fin d'après-midi. Il me demande de m'agenouiller dans l'herbe, puis fixe à nouveau mes poignets, mais cette fois à mes chevilles. Il laisse suffisamment de mous pour que je ne sois pas assise sur mes jambes et puisse me tenir droite. Il va ensuite récupérer une grosse pince à linge qui traînassait sans rien demander à personne sur un fil tout proche et vient me la coller sur le nez.

- Comme ça j'risque pas d'me répéter, note-t-il.

Les autres se sont mis en cercle autour de moi, intrigués par son manège. Ils commentent, tout en sirotant la fin de leur bière, ma poitrine fièrement tendue par cette posture cambrée. J'ai les tétons encore tout gonflés des récents plaisirs.

- Va falloir vous reculer un peu les gars, j'voudrai pas qu'vous soyez incommodé par les éclaboussures, leur recommande-t-il en dézippant sa fermeture éclair et en sortant son sexe.

Avec ce geste associé à ses paroles, j'ai un flash ! Ce porc envisage de me pisser dessus j'en suis sure. Je cherche Paul du regard, mais il doit être dans mon dos, alors je vitupère en grand.

- Vous n'avez pas l'intention de faire ce que je suis en train de penser? l'interpellé-je fermement, c'est niet ça, bien trop dégueulasse, aller vous vidanger ailleurs.

- Gaspille pas ton oxygène la bécasse, tu va n'avoir besoin dans pas longtemps. Ouvre bien ton bec. Essaye pas d'avaler tu vas t'étouffer, mais ouvre-moi ça en grand.

- C'est hors de question, c'est quoi votre bordel, un peu de respect ...

Je n'ai pas eu le temps de finir ma phrase et tout juste celui de fermer les yeux que ce gros dégueulasse, aux comportements d'un personnage de Reiser au sommet de se forme, lâche un premier jet d'urine sur ma figure. Je suffoque un peu, crachote ce qui m'est atterri dans la bouche et entame une série d'insultes dignes de mes plus belles heures de revendication syndicale. Elles sont très vite stoppées par une seconde giclée, puis une autre. Il les enchaîne en se marrant, attendant à chaque fois que mon moulin à parole tente de reprendre du service pour lâcher la suivante, m'empêchant ainsi d'en placer une.

Ma liberté de mouvement étant très limitée par cette position inconfortable, je n'arrive pas à me soustraire à ses jets répétitifs, Alexandre s'amusant en plus à viser le plus précisément possible pour que je n'en perde pas une goutte ! Le jet finit par être continu et m'asperge toute la figure. Après s'être vidé du trop-plein éclusé tout l'après-midi, il invite le reste du groupe à se soulager sur ma personne. De mon côté, je secoue la tête dans tous les sens pour me débarrasser de ce liquide abject, crachote, toussote, renifle malencontreusement les quelques gouttes qui se sont incrustées dans mes narines et tente de reprendre mon souffle et mes esprits, choquée que je suis de lui servir ainsi de pissotière.

Les autres n'ont pas bougé, un peu ahuris par le spectacle proposé, le regard interloqué, ne sachant pas vraiment comment réagir. Je les sens tendus, embarrassés, hésitants entre la salve d'applaudissements et une attitude offusquée devant autant de débauche. Un silence pesant plombe ce groupe qui était jusqu'alors très joyeux. C'est Brice qui comme à l'accoutumée donne le top départ et décomplexe le reste de l'assistance. Après avoir félicité son père de cette brillante idée, tout en notant qu'il savait bien de qui sa perversité pouvait tenir, il sort son braquemart et commence à lisbroquer sur ma poitrine.

Ayant un peu repris du poil de la bête, je lâche une nouvelle salve d'insultes à son encontre. Elle ne fait pas long feu et se transforme rapidement en un gargouillis inaudible lorsque son jet vient me remplir la bouche. Je repars en apnée, avalant comme je peux ce reliquat d'urine. Un second jet vient atterrir sur mon dos, me faisant me cambrer et me tendre davantage, signe d'une révulsion à son comble. Un troisième vient dans la foulée me frapper l'oreille gauche coupant court momentanément à toute forme d'audition.

Les jets s'enchaînent, lorsque l'un se taris, un autre vient assez rapidement prendre sa place et m'arrose sous un angle différent. Je ne tente plus de rouvrir les yeux, j'essaye de gérer au mieux ma respiration par de brèves et petites goulées d'air afin d'éviter d'ingurgiter à nouveau l'immonde liquide. Mais la chose n'est pas aisée, car il y a souvent un jet pernicieux qui se balade sur mes lèvres. Je ne me concentre que là-dessus et tente de faire abstraction de l'horrible douche que je suis en train de subir.

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Quand Alexandre lui a détaillé comment il avait fait boire à Lucie toute sa miction lors de son premier séjour à la ferme, il n'en revenait pas. Certes les arguments qu'il a mis en avant étaient de poids et le choix cornélien avec une nouvelle séance de traite l'a sûrement tiraillé. Il n'a jamais été attiré par cette pratique qu'il considère plutôt dégoûtante même si elle a un fort potentiel d'humiliation. Elle rabaisse la partenaire à un rôle subalterne de réceptacle à déchet, difficile de tomber plus bas ! Surtout pour une Lucie si orgueilleuse.

Il est presque un peu gêné de lui faire subir cela, mais après tout il n'en est pas l'initiateur, même s'il avait approuvé à demi-mot la proposition d'Alexandre d'inclure ça dans les festivités du séjour. Il a sa conscience pour lui et est toujours ouvert aux découvertes lorsqu'elles ne vont pas à l'encontre de ses principes.

Cette occasion de tester ne se refuse pas, Lucie a en plus les yeux fermés, il peut s'y abandonner sans remords. Curieux ce sentiment d'ailleurs, de ne pas vouloir qu'elle le sache. Il est rare que l'image qu'il renvoie le questionne, mais cette fois il veut rester au-dessus de la mêlée et ne pas être apparenté à la clique d'Alexandre.

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Je suis trempée de la tête au pied, dégoulinante de partout, ruisselante de pisse et lorsque Alexandre m'enlève la pince à linge et me détache les poignets m'indiquant la fin des hostilités j'ai du mal à reprendre mon souffle et à retenir la nausée qui me taraude depuis un bon moment. Bon finalement c'est elle qui gagne et je me retrouve les mains à terre à me vider ! Lorsque je refais surface, l'assemblée s'est quelque peu dissipée, seul Brice est à mes côtés. Alexandre déroule un long tuyau d'arrosage et vient le lui donner.

- Allez met toi debout on va t'redonner un brin d'tenu, m'ordonne son rejeton. Recule ... recule un peu t'es dans l'vomis là, c'est dégueulasse, précise-t-il en ouvrant le robinet de la lance.

Encore abasourdis par la séance je flotte entre deux eaux. Celle du tuyau me fait rapidement reprendre pied dans la réalité. Purée elle est glaciale ! Brice m'asperge abondamment en se tenant à distance et en m'imposant les postures.

- Lève les bras ... bombe la poitrine ... lève tes miches ... tourne-toi on fait l'dos ... baisse-toi ... écarte tes fesses ...

Il prend son temps et nettoie minutieusement chaque parcelle de mon corps.

- R'dresse toi et tournoi toi ... écarte les cuisses ... encore plus ... écarte les lèvres de ta chatte maintenant, elle en a aussi besoin.

J'obéis benoîtement à ses ordres, trop contente d'être débarrassée de ce liquide nauséabond, j'ai besoin d'être purifiée ! Tout en parlant, il a changé le réglage du robinet pour que le jet soit puissant. Il se rapproche de moi en visant mon sexe avec la lance, m'engueule lorsque je lâche mes lèvres et m'intime de les écarter encore plus lorsque le jet ne se trouve plus qu'à quelques centimètres de mon vagin. La puissance de l'eau en fait vibrer l'entrée et mes petites lèvres. Ce lavage de mes parties intimes à grande eau est désagréable, humiliant voir douloureux, mais je ne m'y soustrais pas. Il inspecte ensuite mon anus, je sens la pression du jet m'ouvrir la corolle et pousse un cri lorsque l'embout du tuyau vient fleurter avec ses contours.

- Pas par là ... pas par là bordel, m'emporté-je en retrouvant un peu de lucidité et en tentant de repousser son bras.

- Un p'tit lavement ça fait pas d'mal ma salope.

Je lutte comme je peux pour me soustraire à cet embout qui gagne du terrain et n'est pas loin de faire son trou dans mon postérieur.

- C'est bon Brice, elle est propre. Va aider les gars à finir de ranger l'matériel.

Alexandre qui vient de reprendre son fiston et pour une fois je suis heureuse de le voir ! Il vient de me sauver d'une introduction des plus indélicate. Mon popotin a déjà suffisamment souffert dans l'après-midi. Frustré, Brice lâche le tuyau qui continue de gigoter tel un serpent dans l'herbe et part en maugréant.

C'est Paul qui revient quelques minutes plus tard me sécher tendrement avec une grande serviette moelleuse. Il s'attarde sur mon entre jambes curieux d'y découvrir le signe d'une probable excitation. Mais c'est en pure perte, la salle de jeux est pour aujourd'hui définitivement bouclée, la lumière est coupée, les rideaux sont baissés et la porte est fermée à double tour. J'ai le droit ensuite à un confortable peignoir de bain et à ses deux mains robustes qui me frictionnent le dos pour faire disparaître les frissons qui me parcourent, alors qu'on doit encore avoisiner un bon 24/25 degré dehors !

En dehors d'un Brice insistant lourdement pour bénéficier d'une dernière petite gâterie, ce dont Paul a rapidement mis un terme, la fin de journée est heureusement très calme. Je me lâche un peu sur l'alcool lors du repas pour faire disparaître l'odeur tenace de l'urine qui s'est incrustée dans mes narines et dont j'ai encore l'impression d'être recouverte malgré la longue douche au jet. Et c'est à moitié pompette que je retrouve le lit mis à disposition par Alexandre. Paul m'emboîte le pas, nous faisons pour la première fois de notre relation chambre et lit commun ! Ce qui pour cette nuit ne va pas changer grand-chose, car harassée par cette journée intense je suis tombée direct et ne l'ai pas entendu se coucher !

Acte 2 - Une traite pernicieuse !

la main de Paul secoue doucement mon épaule

- Alexandre t'attend pour lui donner un coup de main à la traite, l'aurais-tu oublié?

- hummm, pas envie grommelée-je

- Tu ne seras pas dans le box cette fois, me rassure-t-il en me caressant doucement les fesses, allez dépêche toi.

J'aimerais me blottir contre son torse, qu'il enroule ses bras autour de moi avec sa cuisse musclée entre mes jambes pour me faire sentir sa puissance et que nous restions ainsi blotti sous la couette sans se soucier du temps qui passe ... ça y est je suis en train de devenir fleur bleue moi !

6h, punaise ça pique toujours autant !

J'enfile ma blouse, chausse mes bottes et malgré l'heure matinale, c'est la douceur de l'été qui m'accueille lorsque je pointe le bout de mon nez dehors. Sous les premières lueurs du jour brille une petite rosée, quelques piafs ont déjà démarré leur mélopée à leur dulcinée, je traverse la cour en traînant la patte encore en partie dans le coltar !

- T'es en retard, grogne Alexandre lorsque j'arrive dans la salle de traite.

- mrumphhh, répondis-je, n'ayant aucune envie dans ce matin chagrin d'être un tant soit peu sociable.

Il fait fit de ma mauvaise humeur et commence par enlever les deux boutons du haut de ma blouse et à sortir mes seins de leur niche. Il les palpe, les malaxe, les caresse, les tournicote dans tous les sens, s'attardant parfois sur mes tétons pour tester leur souplesse ou la solidité de mes piercings, me faisant lâcher quelques grognements de mécontentement. Cet ours ne connaît rien à la douceur !

- Bon tu as quelques arguments qui rattrape ce léger retard conclue-il après quelques minutes de tripotage intense. Allez, les vaches ne vont pas attendre, donne-moi un coup de main pour fixer les faisceaux aux pis des vaches.

Alors qu'il me montre la technique pour affubler à chaque pi sa tétine, je ne peux réprimer un frisson en me rappelant ce que ces engins de torture ont provoqué à mes tétons. Je m'affaire à la tâche comme je peux redoutant des mouvements de mécontentement de ces dames à mon inexpérience et lorsque tout lui semble en ordre il lance la traite, prend un tabouret et vient s'asseoir devant moi.

- Alors t'attends quoi, m'interpelle-t-il sur un ton presque de reproche !

J'attends quoi??

- Faut vraiment tout t'expliquer, t'es gourde ou quoi, viens me sucer m'ordonne-t-il en déboutonnant son pantalon.