Lucie, But Not Lucky (?) Ch. 09

BÊTA PUBLIQUE

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- Un petit strip-tease serait-il dans tes compétences? Tu pourrais leur faire ce petit plaisir non, m'invites Paul.

- Un strip-tease!! là, maintenant, devant eux?

- Bien sûr où veux-tu le faire autrement sombre idiote.

- Mais la ... je ... c'est pas ... quand même, bafouillé-je, je vais prendre froid et puis ... bon ...

- Mets-toi à côté des braseros et fais leur plaisir, ils n'ont certainement pas vu de femme depuis un bon moment. Et puis ce n'est pas parce que tu as moins de spectateurs que d'habitude qu'il faut faire ta mijaurée. Dépêche-toi de leur montrer ce que tu as choisi comme lingerie pour venir les voir.

Paul a monté le ton sur la dernière phrase, m'indiquant qu'un refus n'est pas audible et serait soumis à punition. Je me lève et commence à contrecœur, d'une main tremblante d'énervement, à défaire mon haut.

- On dirait une vraie potiche, bouge-toi un peu, fait preuve de motivation, d'imagination, faits-nous quelque chose de plus sexy, on dirait un vrai sac à patates là!!

Ça m'est bien plus pénible de me désaper devant ces débris de la société que lors de la soirée avec les voyeurs sur le parking. J'ondule un peu du bassin, tente de sourire, évite leur regard, je me suis fixé un point sur le mur du fond, ne pas laisser le stress et mon énervement prendre le dessus.

Je récupère ma jupe à mes pieds, me cache la poitrine avec, fais quelques tours sur moi-même, tente des pas de danse, mais avec mes échasses cette tentative s'avère trop téméraires, je vais rester plus sobre! Je finis par la jeter devant moi, attaque mon soutif à balconnet d'un rouge soutenu, le fais tournoyer connement à la manière d'un lasso au-dessus de ma tête, me cachant la poitrine de l'autre main pour garder le suspense. Mon attitude est ridicule, mais devrait satisfaire l'auditoire!

C'est ensuite au tour de mon porte-jarretelle serre taille assortie d'aller le rejoindre à mes pieds, un modèle finement brodé d'un noir intense marié à un camaïeu de rouges et de roses, il est à lacet sur le devant et se fixe par une dizaine d'agrafes sur l'arrière ... très joli, mais très chiant à enlever, ça me prend une plombe! Je suis assez empotée ensuite pour enlever mes bas noirs, je me rattrape sur ma culotte, un slip italien assorti, qui est bien plus transparent que je ne l'imaginais, et que je fais descendre lentement le long de mes cuisses.

Je finis par me cacher le sexe, puéril oui je sais, mais on ne contrôle pas ses réflexes! Une salve d'applaudissements et des commentaires qui fusent sur mes charmes closent mon effeuillage, c'est déjà ça! Je me dandine d'un pied sur l'autre, un peu gourde, à la manière d'une qui a envie de pisser, sans trop savoir quoi faire en attendant la suite des événements. Je n'ai pas trop envie d'aller me rasseoir à poil au milieu des deux clodos.

- Regarde leur tête, ils se sont délectés, me dit Paul, c'est une vraie réussite!

Les yeux exorbités des cinq cloches sont pathétiques, il y en a même un qui bave! L'un d'eux prend un de mes escarpins et le porte à son nez pour en renifler l'intérieur à pleins poumons, on ne me l'avait jamais faite celle-là!

- Ça a l'air d'être bien ferme tout ça, remarque le plus vieux en désignant mes fesses.

- Oui elle est sportive et s'entretient, vous avez noté ce sexe glabre, si fraîchement rasé! Va montrer tes charmes à nos amis, m'invite-t-il.

Je n'en avais pas vraiment envie. Je me rapproche tout doucement des mains de l'ancien, à peine arrivée à portée elles viennent me peloter la croupe fermement pour confirmer sa bonne tenue! Puis Paul m'incite à faire le tour des cinq hommes, je subis un tripotage en règle de mes seins et mes fesses, fermant les cuisses lorsqu'une tentative d'incursion sur mon sexe se fait sentir. Bas les pattes, interdit de vérifier la douceur de mon rasage!

Devant le début d'excitation des cinq compères il me fait comprendre qu'il serait bien d'aller un peu plus loin qu'un simple flirte de première communiante. Deux d'entre eux ont ramené le matelas près de la source chaleur.

- Vous voulez que je ... la .. avec eux ... sur ce truc-là, ce machin dégoûtant en lui montrant le matelas aux traces douteuses, bafouillé-je comme lors de chaque énervement trop virulent. J'ai le regard noir de la pétasse contrariée!

- Tu sais en cette période de noël il est important et nécessaire de faire preuve de charité chrétienne et c'est une occasion formidable d'appliquer ce fameux adage qui est le don de soi, tu ne trouves pas?

- Aller chiez Mr, avec vos références cathos permanentes, je ne le suis plus bordel.

- Ne te vexe pas je faisais juste appel à ta culture générale pour te faire saisir au mieux la démarche!

- Je me fous de l'explication et du pourquoi, c'est le résultat qui me pose problème, il est hors de question que je me fasse baiser par un de ces ..., de ces ..., ces ... bref en aucun cas!

- Mais qui te dit de te faire baiser? Tu vois un matelas et de suite tu te fais un film, tu as l'imagination débordante!

- A bon, ce n'est pas pour ..., pourtant j'ai vraiment eu l'impression que ... j'aurai mal compris vos paroles?

- Tu interprètes tu interprètes ... mais ça peut servir pour les sucer aussi non? Ou pour une petite sodo des familles? Ils prennent soin de ton confort! Ils ont galéré pour trouver le matelas, cela a été une longue quête, ils seraient vraiment déçus de ne pas l'utiliser, et ce ne serait pas très respectueux pour nos hôtes!

- Mais ils sont crades et ils puent lui dis-je plus discrètement.

- Et alors est-ce vraiment l'unique critère d'une bonne femelle? Tu ne devrais t'attacher qu'à servir leur queue, c'est la seule chose qui doit t'intéresser!

- Arrêtez de m'appelez femelle, je vais craquer la, m'imaginer me faire défoncer les fesses dans cet endroit glauque va être au-dessus de mes forces.

Je parle lui de la sauvegarde de mon cul, de ce que j'espérais être la chasse gardée de Paul et de Mike, afin de limiter mes inconvénients et il me parle de bienséance pour nos hôtes! Nous ne vivons pas à la même époque ou c'est moi qui délire? Alors que je râle, refuse obstinément de m'abaisser à me faire prendre par ces clodos qu'un gros tube de lubrifiant vient d'apparaître sous mon nez!

- Je ne te pensais pas encore adepte de ça, mais comme tu ne veux pas te faire baiser on va partir sur une petite sodo, il devrait y en avoir assez pour l'après-midi, m'indique-t-il en souriant! Allez petite femelle va te mettre à quatre pattes sur le matelas et évoque sainte levrette de prier pour toi. N'oublies de bien te préparer le conduit si tu veux limiter les désagréments!

Deux clodos viennent me prendre par le bras pour m'amener de force sur le matelas. Mon futur Casanova est déjà prêt à l'assaut, pantalon sur les chevilles, son sexe à moitié réveillé. Je m'empresse de me beurrer le postérieur, je ne lésine pas sur la marchandise peu envieuse de découvrir les joies de l'enculage à sec.

Il approche sa queue de ma bouche alors que je finis de me préparer, purée cette odeur, celle-là je ne vais vraiment pas pouvoir la prendre dans le clapoir, je gerberai direct c'est sûr! Il ne s'attarde pas à mon refus et frotte ce chibre nauséabond contre ma figure pour lui donner toute sa splendeur. Enfin la splendeur d'un spaghetti plutôt, car sous ses airs de rital, sa chignole assez longue est plus proche de l'asperge que de la saucisse de Morteau. Cette entame devrait être acceptable et ne pas trop me faire mal.

Le plus jeune me tient maintenant les bras, agenouillé devant moi le chibre à l'air. Il en profite, par des petits coups de bassin, pour venir me l'écraser contre la figure et me faire profiter de son immonde fumet en attendant que son compère trouve l'entrée de mon arrière-train sous les encouragements de ses "con-génères". Pour le côté glamour, vous repasserez.

- Sacré fi d'putain elle va se détendre du cul cette connasse, râle-t-il.

Son petit gland a du mal à prendre encrage dans mes fesses, il ripe plusieurs fois sur ma rondelle bien graissée, due à son empressement, son envie est trop forte et le fait s'égarer. Il finit par arriver à ses fins et m'arrache un petit cri en me l'enfonçant presque entièrement du premier coup!

- Bougre de fion récalcitrant, j'té maté, se félicite-t-il.

C'est après une chevauchée peu mémorable, brouillonne et désordonnée terminée en hâte par quelques bordés de foutre dans mes entrailles que mon enculeur de 3ème classe vient, sans la moindre gêne, présenter un braquemart peu reluisant à ma bouche. Il rêve l'autochtone, c'est déjà bien beau qu'il puisse faire la court à mes fesses sans qu'en plus il puisse espérer que le service inclus le nettoyage des outils après utilisation.

C'est la bouche close et l'œil réprobateur que j'accueille l'énergumène, un minimum de bonne tenue est nécessaire pour y accéder. Les traces foncées ne me disent rien qu'y vaille, elles ne me laissent surtout aucun doute sur leur origine! En clair, casse-toi tu pus (le pauvre con ayant déjà été pris, je m'en voudrais de payer des droits d'auteurs!), Renaud aurait ajouté marche à l'ombre, mais l'entrepôt ne s'y prête pas!

Devant mon inertie et mon ton hautain face cette queue peu ragoutante, au look plus propice à une fuite en avant qu'à satisfaire les désirs du moindre clapoir avide de savoureux braquemarts. Paul vient, sans ambages, me rappeler à l'ordre.

- Crois-tu qu'il faille que je passe par ton prose pour te rafraîchir la mémoire et te rappeler les obligations d'une bonne petite femelle?

Pas besoin d'aller aussi bas, j'ai bien saisis que la badine se chargerait de se rappeler à mon bon souvenir, cela faisait un moment que je n'en avais pas vu la couleur. Elle a toujours l'habitude de me regarder droit dans les fesses et notre dernière rencontre a été très intense.

Mais nettoyer ces traces de ... ne m'enchante pas du tout. Ce dilemme est intenable, le goût ou la douleur! Vous choisiriez quoi vous entre une petite vérole et la syphilis? Je me décide pour la nouveauté, le résultat de la badine se faisant sentir pendant plusieurs jours je vais prendre l'option éphémère. Mais purée, même éphémère, j'ai du mal à m'y résoudre et à m'y atteler!

J'y vais du bout de la langue, tente par petite touche de nettoyer ce que je peux sans en récupérer trop en même temps. Je ne me décide pas à la prendre dans la bouche, mais comme ça c'est très long, je ne dois pas avoir la bonne technique. Il n'y a que des traces, mais bien suffisant pour que le fumet de m ... m'envahisse très rapidement le palais. C'est infect, le goût est bien similaire à l'odeur, je me serais bien passée d'expérimenter pour le confirmer! Je tente d'accélérer mon léchage pour en finir au plus vite, mais la farouche nausée que je combattais depuis le début est en train de gagner la bataille, j'ai tout juste le temps de m'isoler dans un coin de l'entrepôt que mon repas du midi vient en décorer le sol!

Je m'essuie comme je peux d'un revers de manche, réprime une nouvelle remontée et retourne vers le matelas, Paul m'intime de finir le nettoyage. Je m'y remets avec moult difficultés. J'ai à peine terminé qu'une seconde queue pointe son gland sur ma rondelle et rentre sans prévenir m'arrachant un nouveau cri! Son propriétaire est bien plus résistant que le premier et finalement plus doux, c'est un langoureux, un rêveur qui prend son temps et me caresse avec tendresse.

Mais lorsqu'il vient me présenter sa queue après s'être vidé les bourses dans mon colon, les douceurs sont bien loin! Celle-ci est plus propre, mais une ou deux petites traces sont encore présentes. Cette seconde queue impropre à la consommation est bien plus dure à aborder maintenant que je sais le goût que cela a. Je n'ai vraiment pas envie d'y retourner! Ses mains me prennent énergiquement la tête pour coller son gland contre mes lèvres, j'ouvre la bouche devant cette virilité trop affirmée.

L'odeur m'envahit le palais sans attendre et la fin de mon repas a failli lui atterrir sur les pieds, j'ai un mal fou à contenir cette nouvelle nausée. Je change de tactique et y vais à fond pour la nettoyer, ça reste vraiment très dégueu, mais au moins je m'en sors plus vite. Je m'auto-congratule de mon initiative, mais cela reste un véritable supplice!

Je ne l'avais pas remarqué, il n'avait pas tous sorti leur queue au début, mais il me prenne dans l'ordre de leur taille de leur sexe ... ils se la jouent dalton! Vu la taille de celle de William que j'aperçois non loin, je ne suis pas pressée de découvrir celle d'Averell!

Les deux jeunes sont eux par contre bien plus bourrins, l'âge sûrement, aucune douceur ni considération, le feu vert leur ayant été donné pour occuper le terrain de jeu, il s'en donne à cœur joie, à couille rabattue plutôt.

Je me beurre copieusement le popotin entre chaque, mais déjà après le 3eme elles me chauffent comme ce n'est pas permis, je vais finir par faire de la vapeur à force de bouillir comme une cocotte minute. J'ai beau leur dire de calmer le jeu, leur esprit est dans leur bite qui sont enfouies dans mon cul, donc sourd à mes requêtes! J'en finis par couiner sévèrement, ballotter dans tous sens sous les violents coups de boutoir du 4ème. Il me tire les tétons en plus ce con comme s'il voulait accaparer mes anneaux, ils sont bien accrochés dugland tu ne les voleras pas.

Paul me recommande de ne pas bouger entre chaque amant pour éviter de vider mon petit fion plein de foutre sur mon terrain de jeux. Je finis par fatiguer, et pose ma tête régulièrement contre le matelas pour récupérer et encaisser plus facilement les assauts.

- Et bien, messieurs, je vois que vous ne m'avez pas menti, remarque Paul en découvrant l'engin du dernier clodo. Pas longue, certes, avec sa petite quinzaine de centimètre, mais des plus épaisse! Elle est d'allure à effrayer une débutante. En découvrant ce morceau dans un caleçon elle prendrait sûrement les jambes à son cou sûr de ne pouvoir accueillir la bête sans séquelle!

- Oui, mais par contre après son passage les nanas peuvent fièrement dire qu'elles l'ont fait et peuvent aborder en toute détente toutes les nouvelles bites qui se présenteront à l'entrée du tunnel, lui rétorque l'un des jeunes.

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Cela allait être un peu sévère pour une seconde expérience de sodomie, mais il fallait qu'elle s'habitue à être utilisée, même par de très belles queues. Et puis il ne déteste pas la voir humilier de la sorte, il la sait bien moins détendue qu'elle ne le laisse paraître!

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Cette queue qui m'apparaît est presque difforme, bien plus large que celle de Paul, mais au gland minuscule! En temps normal, je l'aurai prise en photo, montrée à mes amies, nous aurions pu nous amuser de cette particularité, nous gausser de sa difformité. Cela en serait presque comique s'il ne s'apprêtait pas à me la mettre dans le cul! Mais là je n'ai pas l'esprit à la déconne!

Il ressemble presque à Averell en plus ce con, grand longiligne, la tête d'un demeuré de première catégorie. On n'a pas idée de mettre de tel engin dans les mains d'attardé, enfin ce que j'imagine de lui. C'est la plus grosse que je n'ai jamais vu, le passage de mon cul devrait être interdit aux bêtes de foire.

Il me demande de me mettre sur le dos pour changer il aime voire la trombine que font ses conquêtes lors des premiers contacts avec son animal de compagnie! À peine m'a-t-il replié les jambes sur les seins que je sens son mandrin me caresser les fesses, il fait connaissance avec les futurs lieux du sinistre. Il titille ma rosette et me fait frémir de nervosité. Un gros mollard vient d'atterrir sur mon anus.

- Mais c'est dégoûtant!

- Faudrait pas q'ton petit cul me fasse de rayure sur le casque.

- Il y a un tube de gel à côté, servez-vous.

- J'préfère le naturel pour préparer le terrain.

Le gland minuscule rentre sans effort, mais pour le reste c'est autre chose, il pousse de tout son poids, de ses cinquante kilos tout mouillés, pour m'enfoncer son pieu. Il s'active, s'acharne, se démène dans tous les sens. J'en prends une suée, j'ai beau me détendre, serrer les dents et pousser à tout va, ça craquelle de tout bord, j'ai la corolle en souffrance, la rondelle qui demande grâce, l'anneau en partance!

Il est au taquet et ne relâche pas la pression, grogne, fulmine, éructe à tout va contre mon cul trop serré. Il fait des efforts, aucunement perturbé par mes couinements répétés, je le supplie d'abandonner l'abordage afin d'éviter un malencontreux accident, une déchirure mal venue, un dégât tant redouté!

Dans un ultime effort, alors que je le sentais en perdition, le moral au plus bas, prêt à rendre les armes devant cette forteresse récalcitrante qu'il parvient à ses fins. Cette poussée du désespoir, dans un craquement lugubre, en vient à bout et m'arrache un grand cri de douleur. J'ai l'impression qu'il vient de m'ouvrir les fesses en deux et de perdre une seconde fois mon pucelage!

- La première moitie est passée, me commente-t-il, le reste va suivre tout seul!

Ça, je n'en doutais pas ducon! Je me mords les lèvres pour éviter de crier, les yeux rivés au plafond, cherchant désespérément la moindre araignée, je vais devenir folle, pas âme qui vive sur laquelle je peux fixer mon esprit pour échapper à la douleur.

L'ayant rentrée en entier, il sue à grosses gouttes et fait une pause après cet effort. Un sourire fortement édenté, aux relents de bière, vient me gâcher la vue. De près le spectacle est encore plus effrayant. Quand sa langue baveuse commence à me lécher la joue et détailler le contour de mes lèvres, on passe au bal des horreurs! Bouche close, j'ai fait vœu de silence ... juste pour quelques minutes je ne tiendrais pas sinon!!!

Le braquemart à courte portée bien en place, son premier coup de reins me la fait rouvrir et il en profite prestement pour venir en prendre possession et me rouler la pelle du siècle. Interminable cette galoche à la kro, alors qu'il commence à me besogner en douceur. Quand il me libère enfin les voies respiratoires, je reprends une grande goulée d'air "frais", elle m'apporte d'autres effluves corporels difficilement soutenables. Je crois que je vais vomir à nouveau!

Je l'implore de prendre son temps avant d'entamer les hostilités, j'ai besoin de m'accoutumer, de prendre la mesure du bestiau fiché dans mes entrailles. Mais il ne l'entend pas ainsi, pressé d'en découdre après cette longue lutte. Il continue son langoureux, mais ferme pistonnage dans l'optique, justifie-t-il, de bien m'assouplir le conduit avant de passer aux choses sérieuses! Chaque poussée m'arrache de petits cris. Et puis, tout en passant au petit, trot, il commence à bavasser ...

- Vin dieu ce que t'a le cul serré, on dirait pas qu'tu viens d'en prendre quatre dans les fesses. Tu me rappelles une donzelle, la trentaine, un beau petit cul qu'j'ai dépucelé! Elle était vraiment très étroite, j'ai cru jamais y'arriver, pour une première elle l'a senti passé, elle a chialé tout au long de l'enculage. Elle n'a pas choisi le plus facile, en repartant sa démarche en canard faisait presque peine à voir!! Mais c'est elle qui voulait, un challenge m'a-t-elle dit. J'ai cru pas la revoir, elle avait eu les yeux plus gros que ma bite. Mais elle est revenue à la charge, courageuse, quoi qu'un peu téméraire vu son cul serré! Les reprises ont été à nouveau douloureuses, elle a lâché quelques chaudes larmes les trois ou quatre fois suivantes! Mais elle s'est accrochée et a fini par s'habituer à l'engin. Et après plusieurs semaines d'efforts, occupée à soigner ses fesses à grand coup de pot de crème apaisante, elle est arrivée à l'accueillir sans encombre. C'est beau la persévérance, ça mérite tout le respect!

En racontant son histoire, il matte mes nibards, fasciné par mes piercings, Paul a changé les chaînettes par les anneaux avec le petit diamant, il me les mordille sans arrêt. Il doit se demander si c'est de la breloque ou du sérieux. Ça l'est, la pierre ne vaut pas très cher, mais elle n'est pas en toc. Sa cavalcade finale finit de me détruire l'entrée des artistes! Monsieur est bon prince, charitable, généreux et fait don d'une très belle dose de foutre à mon colon.