Lucie, But Not Lucky (?) Ch. 07

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Je chouine, me fais tirer l'oreille pour accepter ce corps étranger, mais il hausse le ton, ce salaud n'a pas été long à reprendre les hostilités, mon vagin l'accueille à contrecœur, sec comme le désert de Gobi.

-- Comme tu peux le constater certains secrets peuvent se tenir bien cachés des yeux de tous, ce sera le tien pour cette sortie, tu verras il possède aussi pleins d'atouts!

Sur le court trajet en voiture nous menant à l'église nous continuons à deviser des errances de cette religion, j'ai cependant du mal à détacher mon esprit de cet œuf qui a pris possession de mon vagin.

L'église est effectivement surprenante, massive, de style gothique, à la décoration chargée et détaillée. Comme nous nous approchons de l'entrée, une vibration dans mon sexe me fait pousser un petit cri. Je me retourne et aperçois Paul sortir une petite télécommande discrète de sa poche.

-- Tu viens de découvrir les avantages de ton petit secret, profites! me motive-t-il d'un grand sourire, content de son jouet!

L'œuf vit dans mon sexe, résonne, vibre, propage une onde incontrôlable qui parcourt mon ventre et mes cuisses. Et comme je m'offusque d'entrer avec ça dans l'église, il m'attrape fermement la taille et me pousse vers l'entrée pour surseoir à mon début de rébellion et à mes vaines objections.

Je n'avais pas été dans une église depuis l'an dernier pour le mariage d'une cousine où je n'avais pu éviter les bondieuseries d'une messe interminable. À l'entrée une bigote observe notre manège du coin de l'œil en affichant le planning des célébrations pour la semaine à venir. Nous retrouvons le curé à proximité de son autel jouant à la dînette avec tous ses accessoires!

Il m'apparaît aux allures d'un frère Tuck des temps modernes (Kevin je t'aimeeee quand tu joues à tarzan dans Sherwood city!! Et oui j'ai passé la soirée avec mister Costner la semaine dernière ... devant ma télé, sniff!), à la carrure imposante de l'homme des bois, la bedaine proéminente, les bajoues d'un hamster en pleine réserve hivernale, le front légèrement dégarni qui suinte au moindre déplacement, seule la barbe manque au personnage!

J'aurai effectivement loupé quelques choses, souris-je en le voyant!

-- Bonjour père Poljack, comment allez-vous? Je vous amène une ouaille en perdition qui souhaite se confesser!

-- Bien merci Paul, suivez-moi, je vous montre le chemin de la rédemption!

Le confessionnal siège dans un des recoins de l'église, entre deux énormes piliers, à l'abri des regards indiscrets. A l'allure modeste, cet encensoir à péchés ne propose pas de siège, seul un petit coussin pour le confort des genoux!

-- Installez-vous je reviens de suite pour vous confesser, m'informe-t-il

Je ferme le rideau qui ne descend pas jusqu'en bas, et comme au ciné la vue de mes escarpins ne laissera aucun doute, ici on ne s'y agenouille pas pour sucer!

Cela fait 10 minutes que mes genoux testent le confort du coussin pensant qu'il revenait très vite! Je l'attends en me demandant vraiment ce que j'allais bien pouvoir lui raconter. « Mon père, j'ai, depuis un mois, sucé beaucoup plus de bites que d'habitude, pensez-vous cela vraiment raisonnable? » Non sérieux!

Cela me rappelle mon adolescence encore proche, cette odeur, cette pénombre, cette atmosphère, cette impression de parler à ton voisin de toilette au camping, ce qui nous faisait tant rigoler avec les copines!

J'y allais tous les trimestres dans ce foutu confessionnal, toute l'ineptie de la religion catho confinée dans ce misérable réduit à pleureuse. Tu peux faire les pires conneries toute l'année et hop un petit quart d'heure dans la machine à laver du confessionnal, quelques avé maria et pater noster en guise de lessive Omo et tu ressors tout blanc, absout de tous tes péchés!!! C'est magique, pourquoi se priver d'en faire!

Il vient quand ce con, je commence à me languir dans son armoire à bigote. La trappe s'ouvre, enfin un peu de mouvement, difficile de voir qui est de l'autre côté de cette grille. À mon grand étonnement elle s'ouvre également, curieuse façon d'aborder la confession en supprimant les barrières censées vous protéger des miasmes de votre interlocuteur!

Ce n'est pas une parole sainte qui sort de cette ouverture, mais une belle queue qui pointe le bout de son gland et m'apparaît sous le nez! J'ai un mouvement de recul devant ce chibre, interloquée, médusée par cette apparition même si le lieu y est propice!

-- Alors petite femelle, plutôt que de t'épancher, veux-tu te pencher sur ton dernier péché et venir goûter au corps de ton nouveau christ? m'interpelle la voix de Paul!

Je suis presque contente et rassurée de l'entendre, je râle pour la forme, m'offusque d'un lieu inapproprié pour une bonne gâterie, mais sans vraiment grande conviction puisqu'il en a cure!

-- Tu ne croyais quand même pas que j'allais t'agenouiller pour prier! Ta main est en place? questionne-t-il en pressant la télécommande de l'œuf.

-- Oui Mr je suis prête à me caresser en vous suçant, lui renvoyé-je en tentant de réprimer les vibrations qui me parcourent à nouveau tout le bas ventre.

-- Alors au boulot ma femelle et applique-toi.

Son gland me regarde, droit dans les yeux, et pour une fois que je croise une tête connue je fais de mon mieux pour qu'elle garde une bonne opinion de moi. Je suce, gobe, lèche tout ce qui dépasse de cette trappe à bon dieu. Un début de déception quand elle commence à vibrer, tressauter, s'exciter dans ma bouche indiquant une fin imminente. Je m'applique à finir mon office et termine une fois de plus la bouche pleine de foutre. Je ne m'y ferai jamais à ce goût dégueulasse!

Au terme de cette pipe victorieuse, Paul me signale que la vocation de prêtre risquait d'être en recrudescence, qu'il ne fallait pas que je quitte de suite ce confessionnal et que j'avais mon rôle de bonne à y tenir!

Un second braquemart ne tarde pas à pointer le bout de son nez par l'ouverture, aussi bien bâtie que celui de Paul, elle ne traînasse pas pour s'exprimer, aidée par quelques coups de langue bien placés, une longue tétée du gland et la chaleur de ma bouche!

Chaque pipe est plus longue que d'habitude, cette petite trappe ne me permet pas de m'occuper de leurs couilles pour accélérer le processus!

Mais j'avoue que pour une fois je ne suis pas pressée malgré mes genoux réclamant un coussin supplémentaire, je me sens bien, à l'abri des regards, pouvant profiter au mieux de ce chibre sans rougir, sans passer pour une salope aux yeux de son propriétaire. Ce sentiment me perturbe, je commence à prendre du plaisir à sucer des inconnus dans ce lieu inadéquat! Purée je suis faible là, ça y est j'ai un truc à confesse, quoi qu'on fasse!

Ce p... d'œuf ne me laisse par contre pas tranquille une seule seconde, changeant de rythme en permanence, distillant ses vibrations souvent intenses, retournant mon sexe dans tous les sens et inondant mon shorty! Comme j'appuie sur pause au beau milieu de la 3ème queue dans ma bouche, j'entends son propriétaire souffler, grogner, trépigner d'impatience, alors que je prends mon ticket, un aller simple pour panard land!

J'ai beaucoup de mal à reprendre cette bouffarde, vidée par cet orgasme, l'excitation en berne, je le branle plus que le suce, le gland entre mes lèvres. Et c'est un flot de sperme au goût acide, aigre, des plus écœurant qui finit de détruire ma libido!

Après cette envolée au 7ème ciel, le rideau du confessionnal s'ouvre, les vibrations cessent enfin, je me relève, aidée du bras de Paul, le shorty trempé, la figure plus rouge que les contenus d'un livre de Staline, récupérant à grandes bouffées d'air frais. Mes jambes flageolent quelque peu lors de mes premiers pas.

Le père Poljack, que nous retrouvons à la sacristie, se fait fort de me faire visiter le reste de l'église. J'aurai évité cette épreuve avec plaisir, mais ma mine peu réjouie à l'idée n'influence pas Paul qui accepte sans hésiter.

Il nous évoque en premier lieu sa rénovation suite à un début d'incendie il y a quelques années, « Notre drame » avait titré le quotidien régional. Elle fut financée par un fervent pratiquant de la famille des Pinõ, une très ancienne fratrie du village qui trouverait, selon lui, ses origines en Espagne.

Puis au milieu de cette longue épopée, alors qu'il nous commente quelques saints exposés à la lumière des profanes, il s'arrête pour nous présenter les sœurs Maurgane, Clara et Cathie, deux ferventes jumelles dévouées aux bons soins du curé et de son église.

Et il enchaîne et repars dans ses explications, il est intarissable sur l'histoire de sa paroisse qu'il ponctue souvent d'anecdotes de ses fidèles, presque sans trahir le secret de confesse! Nous finissons cette balade par l'autel, pièce centrale de sa narration. Au terme de sa description, Paul me demande si je souhaite découvrir aussi quelques secrets bien cachés de la paroisse.

-- Je ne sais pas, si vous voulez, éludé-je.

-- Les dessous de l'église peuvent parfois s'avérer des plus surprenants.

Mon étonnement est de courte durée lorsque Paul m'incite, d'un doigt contre ma joue, à regarder le curé. Sa soutane est en train de se soulever légèrement et son expression m'encourage à dénicher ce quelle cache!

-- Je ..., mon père ... ce n'est pas raisonnable, en plus ici, à la vue de tous ..., bredouillé-je.

Il s'absente un instant pour envoyer ses cerbères disposer les missels pour l'office de la fin de journée, renvoyant ainsi les commères à l'autre bout de l'église!

-- Comme tu peux le constater, derrière l'autel nous serons à l'abri des regards indiscrets! précise-t-il en soulevant sa soutane à mi-genou pour m'inviter clairement à m'agenouiller une nouvelle fois.

Paul se voit contraint à me motiver devant mon inertie, un pincement aux fesses accompagné de quelques coups de vibrations sonne le glas de mon refus.

-- Ne m'obliges pas à te rappeler ton nouveau statut ma suceuse bien aimée! me glisse-t-il à l'oreille.

J'avais déjà bien saisi le message et m'accroupis pour me glisser sous cette robe de bure qui allait se transformer pour l'occasion en robe de burnes! Moi qui avais parié que les curés ne portaient rien sous leur soutane avec mes copines quand jetais ados, aujourd'hui, à mon grand regret, j'allais en avoir le cœur net.

Pari perdu, c'est un magnifique caleçon à manche longue en coton qui s'offre à moi, le petit Damart nécessaire pour éviter les rhumes de fesse, les courants d'air sont monnaie courante dans les annexes du seigneur!

Par contre frère Tuck ne doit pas avoir l'eau courante, les gros ça transpire et ça pue très vite!! Cette forte odeur de sueur m'envahit rapidement dans ce nouveau terrier formé par sa soutane. Je vais vite étouffer dans ce milieu putride!

L'outil de travail que je découvre sous ce caleçon ne doit pas dépasser les 10 centimètres tout déplié, j'ai le nez dans ses poils! C'est la première fois que j'arrive à mettre une queue tout entière dans ma bouche, c'est à noter dans mes annales. Hi Pipe Pipe hourra!

Si sa queue est miniature, ces couilles elles, par contre, sont volumineuses, il est sévèrement burné le père Poljack. Son sexe souffre de la comparaison et en parait encore plus ridicule! Je cale ma tête sous sa bedaine pour sucer au mieux ce vermicelle, m'active, prends vite chaud, aidée par quelques incartades vibratoires dans mon vagin et sérieusement incommodée par l'odeur fétide envahissante.

L'autel cache suffisamment la légère bosse de sa robe formée par ma présence. Il y astique avec le plus grand soin ses cierges pendant que je pompe le sien. Il me faut une bonne vingtaine de minutes d'efforts acharnés pour sentir les prémices d'une éjaculation.

« Prends et mange, c'est mon corps ... ma fille » ne peut s'empêcher de lâcher le curé en m'aspergeant le palais!

Il n'est pas sévèrement burné pour rien ce prêtre, purée de moine! Des flots de foutre m'envahissent le palais à grands jets, que j'avale au mieux dans l'urgence de la situation. J'évite avec difficulté les reflux, les erreurs de trajet, les débordements désastreux et réprime vigoureusement un début de nausée sous cet afflux gargantuesque de semence masculine!

Et quand je réapparais au grand jour, tout ébouriffée, essuyant discrètement un petit reste de sperme échappé sur un coin de bouche, encore toute retournée de mon séjour en immersion, que Paul m'incite à offrir ma culotte en guise de trophée au bon père essoré.

-- Mais Mr, la, je ..., il n'est ..., quand même un peu ... voir bien humide! balbutié-je, depuis ce début d'après-midi je n'arrive pas à faire une phrase entière correctement, serai-je perturbée par le lieu?

-- Tu veux dire que tu as trempé ton shorty comme une petite salope? Je ne pensais pas que remettre les pieds dans une église te ferait autant d'effet!

J'essaie, le plus furtivement possible, de l'enlever et le tends au curé. Il disparaît dans sa grosse paluche qu'il porte aussitôt à son nez et respire à plein poumon mes effluves intimes tout en me caressant discrètement les fesses! Un sourire épanoui apparaît sur son visage, alors que le mien s'empourpre!

-- Je vous laisse un instant, je vais papoter avec les jumelles qui viennent de finir leur labeur. Je crois que le père Poljack a aussi un présent à t'offrir. Je compte sur toi pour l'accepter!

Il a pris un air plus sévère sur la fin de sa phrase, comme s'il me donnait un ordre déguisé, je ne saisissais pas! Les bigotes, à seulement quelques mètres, nous tournent le dos accaparées par la verve de Paul.

Le père Poljack, lui, m'a bloqué contre l'autel pour éviter que je ne lui échappe, il commence à soulever ma robe et à tripoter mes fesses nues. Je découvre avec inquiétude qu'il prend un cierge d'une vingtaine de cm au calibre d'un gros bâton de colle sur son autel.

Il tente sournoisement de me le mettre dans les fesses! Je chouine, fulmine, peste discrètement pour éviter d'attirer l'attention des deux sœurs, serre fermement les fesses pour garder mon bastion inviolé et tente, sans réussite, de l'écarter avec les mains. Mais ma lutte est vaine devant cette imposante carrure qui m'écrase gaillardement.

-- Tu ne veux pas de mon petit présent? me demande-t-il.

Je n'ai pas le temps de lui répondre qu'il pince violemment une de mes fesses. Surprise je relâche un peu ma garde et il en profite pour introduire sans ménagement le cierge dans mon fondement. Je me mords les lèvres pour éviter de crier sous cette vive douleur!

Il joue un peu avec, l'enfonce en partie, s'assure de son bon maintien entre mes fesses et rabat ma robe. Il rectifie d'une légère poussée la petite bosse formée par ma robe, puis, s'étant assuré d'une discrétion retrouvée, m'invite à rejoindre le trio.

Une des jumelles m'interpelle sur la durée inhabituelle de ma confession. J'hésite à répondre, même si l'odeur du foutre ne doit pas leur être familier, ces vieilles filles n'ont sûrement pas goûté à une bite depuis des années.

C'est Paul qui vient à mon secours, prétextant mon retour aux sources après quelques années d'errance. Cela nécessite forcément de faire, dans sa conscience, un grand ménage. Quel baratineur!

Après avoir pris congé, la remontée de l'église s'avère des plus tendue, ma démarche tente d'être normale, pour ne rien laisser supposer aux bigotes qui ne me quittent pas des yeux, tout en serrant un peu les fesses par crainte de le voir tomber!

-- Alors que t'a donné le père Poljack en échange de ta culotte?

-- Un cierge Mr, pour exaucer mes vœux!

-- Bien, et il est où?

Devant mon mutisme il reprend.

-- Alors tu as perdu ta langue de commère?

-- Il est dans mes fesses Mr, « penaudé-je » tout bas!

-- Voilà qui dénote d'une délicate attention. Tu l'as remercié j'espère pour ce présent?

-- Bien sur Mr, mens-je éhontément.

-- Alors voiture ou marche à pied? change-t-il promptement de sujet.

-- Comment ça ... oui, je vais prendre l'option marche à pied, percuté-je, ne m'imaginant pas m'asseoir sur le cierge et le voir disparaître dans mes fesses!

La traversée du bourg est perturbée par de nombreux arrêts et nous saluons moult personnes. Paul en profite pour s'enquérir des nouvelles de Pierre ou Jacques, s'inquiète pour la santé d'un parent éloigné, s'informe des études du plus grand, ou encore commente le dernier débat municipal sur les futurs investissements de la commune.

Il papote allégrement, me laissant dépitée, désemparée, avec mon cierge entre les fesses, ne jugeant pas nécessaire (fort heureusement) de me présenter. Chaque arrêt est l'occasion de remettre l'œuf en route, me plaçant dans une position vraiment inconfortable face à ses interlocuteurs. Je ne peux empêcher un petit soubresaut de surprise à chaque reprise des vibrations!

Au sortir du village, les maisons se faisant plus rares, j'en profite pour solliciter le retrait de ce cierge qui meurtrissait mon anus.

-- Mais pourquoi veux-tu te séparer de ce cadeau?

-- Il me fait mal aux fesses Mr.

-- C'est vrai que tu n'as pas encore une grande expérience de ce côté-là! Et que me proposerais-tu en échange?

-- Je ... je ... je ...

-- Tu tu tu quand auras-tu fini de jouer au petit train!

-- Je vous suce en arrivant chez vous, ça vous va?

-- Ça, c'était déjà prévu petite femelle, tu manques d'imagination je trouve, comme si tu n'étais pas vraiment motivée pour que je t'autorise à l'enlever.

-- Mais si je suis super motivée la, attendez je vais trouver, laissez-moi un peu de temps ..., tenté-je désespérément avant qu'il ne m'interrompe.

-- Tu aurais pu me dire, d'un ton varié et expressif, bien des choses en somme :

Pratique : pourrais-je l'enlever pour que, de votre belle queue, vous le remplaciez?

Prévenante : vous ne souhaiteriez pas qu'il abîme un si bel endroit?

Tendre : pensez-vous vraiment qu'à la douceur de ce petit bâton mes fesses se seraient enfin prises d'affection?

Curieuse : à quoi servirait-il si de plus j'avais le feu au cul?

Descriptive : que d'une si petite taille mes fesses se satisfassent alors qu'une queue épaisse pourrait en prendre la place!

Dramatique : ce vide en moi ne serait qu'un appel à vos doigts!

Agressive : Mr retirez sur-le-champ cet intrus qui depuis peu envahit mon petit cul!

Admirative : que ce départ à l'effet imminent soit un appel, un cri, un supplique à l'attention de votre gland.

Inquiète : ne craignez-vous pas, alors que je remue, de le voir disparaître tout au fond de mon cul?

-- Et comme tu as sûrement déjà vu le film, je te laisse imaginer la suite ...

Une petite tape dans les fesses, faisant progresser le cierge dans son nouveau foyer, m'invite à reprendre la route.

Après une bonne demi-heure de marche nécessaire pour avaler les 3 km qui nous séparent de sa maison, je m'empresse d'enlever mes escarpins, les talons hauts ne font pas bon ménage avec les routes de campagne.

Paul retire ma robe, la petite mèche du cierge dépasse fièrement de mes fesses. Il prend le temps de jouer un peu avec, le tourne, le fait coulisser, m'arrachant à l'occasion quelques grimaces. Puis, content de l'hospitalisé que mon cul accorde à son nouveau compagnon, m'entraîne devant le canapé et m'agenouille pour le sucer.

-- J'espérai pouvoir l'enlever avant de vous sucer, réclamé-je

-- Applique-toi, si je suis vraiment satisfait de tes talents je t'autoriserai à l'enlever! Sinon tu rentreras avec ... tu trouveras bien une position sur ton siège de voiture pour qu'il ne s'enfonce pas complètement!! Tu es motivée là?

-- Oui Mr très, affirmé-je en prenant son chibre sans plus attendre dans ma bouche, j'imagine mal les derniers centimètres du cierge disparaître dans mes fesses et la galère pour le ressortir après!

Son gland est déjà entre mes lèvres, je le tète, le titille, le mordille, le lèche, lui fais des bisous, cette partie d'une queue est j'avoue mon péché mignon. Paul force ma tête rapidement à aller plus avant, je descends le long de sa verge, en fais une tige luisante avec ma langue, la décore d'une salive abondante, ça y est, elle brille comme un costume à paillettes! J'atteins ses bourses, les gobe en alternance, les lèche langoureusement, sa queue battant la mesure contre mon front. Puis revient tout de go à mes premières amours et reprend à téter ce gland goulûment.