Lila

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le masochisme ou vivre avec le danger.
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Je suis Lila, tout du moins c'est ainsi que je vais m'appeler dans cette histoire. Peu importe mon vrai nom. Sur les conseils d'une personne qui m'est très chère et que je vénère, je suis en train de poser des mots sur un écran pour essayer d'exorciser un passé douloureux.

Je suis une jeune femme de 35 ans, blonde, les cheveux longs actuellement. Je mesure 1m75 pour 63 kilos. Sans fausse modestie, je suis une belle femme qui attire les regards. Ma poitrine, du 95D, agit comme un aimant sur la gent masculine. Mon cul n'est pas en reste. Bien rond, bien musclé, il est l'aboutissement de longues jambes fines et musclées. Je m'acharne de longues heures en salle pour essayer de garder un corps en bon état et ça marche.

Mais il faut que je vous dise que je possède une caractéristique assez rare chez les femmes. Je suis masochiste, enfin c'est ce que m'a expliqué un psychologue un jour. Qu'est-ce que cela signifie exactement ? La définition la plus exacte est un comportement dans lequel on prend du plaisir à souffrir, ou on recherche la douleur et l'humiliation, principalement dans des rapports sexuels.

Je ne sais pas si cette caractéristique est innée ou si elle est apparue peu à peu, mais je sais que j'aime jouer à des jeux sexuels où je suis insultée, maltraitée, dégradée, battue.

Malheureusement, ce comportement peut-être dangereux. A 20 ans je suis passé très près de la mort. Je vais vous raconter.

Jeune, je vivais avec mes parents dans une petite maison dans un petit village de campagne dans le sud de la France. J'étais heureuse avec ma mère et mon père. Celui-ci était un Dieu à mes yeux, il m'adorait et nous passions beaucoup de temps ensemble.

Mais un beau matin, sans rien dire, il nous a quitté, ma mère et moi. Mon monde s'est alors effondré. Je n'ai jamais eu d'explications, et plus tard, j'appris que ma mère non plus (il ne lui avait laissé qu'un laconique bout de papier sur lequel était écrit « je vous quitte, désolé »).

A partir de ce jour, je ne fus plus la même. Je me mis à retourner ma rage contre ma mère et contre moi-même. Nous n'avions su retenir mon père donc c'était sûrement de notre faute. Je crois que jusqu'à mes vingt ans, j'ai donné bien du souci à ma pauvre mère.

Je ne vous parlerai pas de ces années où j'étais encore mineure et où mes frasques ne peuvent être racontées sans subir une censure. Toutefois il faut que vous sachiez, qu'en plein éveil sexuel, je ne suis pas restée inactive. Je suis devenue très tôt une vraie salope pour les garçons qui ne se gênaient pas pour m'humilier. Mais je m'en foutais.

Donc à 18 ans, je n'étais plus vierge. Au contraire j'étais experte en fellation derrière les murs du cimetière et il suffisait qu'un mec me mette la main au cul pour que je lui laisse profiter de mes charmes. Je ne savais pas encore que j'étais dans un engrenage destructeur probablement causé par mon masochisme. Quoi qu'il en soit, je profitais de la vie comme je l'entendais et si ça faisait du mal à ma mère, c'était encore mieux.

A cet âge, j'avais redoublé déjà une fois, et je n'étais sûrement pas prête à avoir mon BAC. Je préférais sortir, boire, me faire draguer, me faire baiser. J'étais vraiment la salope du coin que l'on pouvait s'offrir pendant cinq minutes.

C'est à 18 ans et demi que je connus Pierre (surnommé le plus souvent Pierrot). C'était vraiment un beau gosse. A 20 ans, il était propriétaire d'une belle voiture et il s'habillait toujours à la mode, ce qui était un peu incongru dans notre petit village. Quoi qu'il en soit, je devins sa copine attitrée et me réservai pour lui.

Il faut dire qu'il avait rapidement su comment me traiter. Il avait remarqué que j'aimais être dégradée alors il avait pris l'habitude de m'appeler sa petite pute ou sa grosse salope. Je me rappelle bien de cette première fois où nous étions dans sa voiture en fin de soirée dans la nuit noire. Je m'étais penchée sur son bas-ventre, j'avais sorti sa bite et je la suçais en m'appliquant le mieux possible. Il avait glissé sa main dans ma robe et il tripotait mes seins. Puis il attrapa un de mes tétons, le roula entre ses doigts, puis le pinça et le tira.

- Mmmmmmm !

Je m'étais contenté d'un gémissement de plaisir qu'il ne loupa pas. Il continua alors à maltraiter ma poitrine sous mes gémissements. Puis il glissa la main entre mes jambes que j'ouvris rapidement, et il fit pénétrer deux doigts dans ma chatte bien humide.

- Putain de salope, mais tu aimes ça ! S'était-il exclamé, étonné.

Cette surprise le fit éjaculer immédiatement et je mis un point d'honneur à bien tout avaler.

Depuis ce jour, je fus sa chose et il ne manqua pas de me faire subir toutes sortes de perversités. C'était mon homme et je devais le satisfaire, c'était tout ce qui comptait pour moi. Bien sûr ma mère n'aimait pas que je sorte avec lui, mais je m'en foutais.

Je rejoignais souvent Pierre dans son petit studio. Je lui faisais le ménage, sa vaisselle, la cuisine et ensuite j'étais à sa disposition. Il adorait me diriger en m'insultant et j'aimais cela. « A poil salope ! », « A genoux grosse pute ! », « Ferme ta gueule et viens me sucer ! » étaient ses expressions favorites. Bien sûr je lui obéissais sans poser de questions. Il adorait que je le suce et il aimait enterrer sa bite au fond de ma gorge. Il me regardait et ricanait alors que j'étouffais et que mon visage devenait violet par manque d'air. Bien des fois je m'évanouis et je me réveillais alors qu'il était en train de pilonner ma chatte violemment. J'aimais ce traitement, je mouillais presque d'anticipation à chaque fois que j'allais chez lui.

Je le soupçonne de m'avoir parfois vendu à certains de ses amis. Il m'ordonnait d'aller sucer untel ou untel et je le faisais sans rechigner. Après tout j'étais la grosse salope de la région. Par contre, je ne laissais que lui utiliser ma chatte. C'était mon homme.

C'est lui qui me sodomisa le premier. Je n'avais jamais pensé auparavant que l'on puisse utiliser mon petit trou intime de cette façon et cela me paraissait hors nature même si j'étais une salope. Mais un jour, je n'eus pas le choix. J'étais chez Pierre, à quatre pattes au milieu de son studio. Il était en train de bourrer ma chatte en levrette quand je l'entendis cracher et que je sentis une boule froide et humide tomber sur mon cul. Puis un doigt étala son crachat sur mon petit trou avant d'essayer de forcer le passage.

- Hein ? NON ! Criai-je pour l'arrêter.

- Ta gueule salope ou je t'en colle une ! Dit-il d'un ton méchant.

Dressée, je ne dis plus rien et je serrai les dents alors que son doigt pénétra mon cul. Bientôt un deuxième doigt fit de même. Il les fit tourner dans mon cul pour habituer mon conduit. La douleur était présente et m'aurait faite pleurer, mais au creux de mon ventre, je ressentis un certain plaisir.

Puis ses doigts se retirèrent. Sa bite sortit de ma chatte et se posa à l'entrée de mon cul. Il commença alors à pousser en me donnant des claques sur les fesses.

- Laisse-toi faire salope ! Détends-toi ou tu vas le sentir passer !

Je lui obéis et j'essayai de me détendre en relâchant mon sphincter. Avec un grand coup de rein, il empala sa bite dans mon cul. La douleur fut fulgurante, je ne crois pas avoir eu aussi mal de ma vie. Mais curieusement, cette douleur s'estompa lentement alors que des picotements commencèrent à m'envahir. Il ne me fallut pas longtemps avant que ses claques sur mes fesses et sa pénétration sauvage de mon cul me fassent jouir. Ce fut l'un des orgasmes le plus épique de ma vie. Après s'être copieusement vidé dans mon cul, Pierre se retira et me laissa couchée par terre, tremblante et en extase.

Il prit souvent l'habitude de m'enculer. Et il utilisa d'autres objets pour le faire. Puis il se mit à m'attacher, me fouetter. En ce temps-là, je ne voulais que lui faire plaisir, il était mon homme, j'étais sa femme. J'aurai fait n'importe quoi pour lui. Cela dura bien plus d'un an et demi.

Et voilà qu'arrive la fin malheureuse de cette histoire.

Un jour, en début de soirée, il vint me prendre chez moi sous l'œil furieux de ma mère. Alors que nous roulions en voiture vers une destination inconnue, il me dit que nous étions invités chez des amis et que je devais bien me conduire afin qu'il soit fier de moi. A ce moment-là, je ne savais pas qu'il devait de l'argent à des voyous et que j'allais servir d'échéance de remboursement.

Nous arrivâmes devant une vieille maison en pleine campagne, sans âme qui vive à des kilomètres à la ronde. Nous descendîmes de la voiture et Pierre alla frapper à la porte. Un homme ouvrit et nous entrâmes. Je me retrouvai bientôt au milieu d'un salon. Deux hommes étaient assis sur un vieux canapé troué. L'homme qui avait ouvert la porte dit alors derrière moi :

- Tu avais raison, elle est pas mal roulée ta grognasse !

Je me retournai pour voir un homme avec une grosse bedaine, mal rasé et sale. Il devait bien avoir 40 ans. Je dévisageai alors les deux autres sur le canapé. L'un était très mince, avec une fine moustache et tout de suite je me mis à ne pas l'aimer, il avait un sourire sadique sur le visage. L'autre était musclé avec des mains grandes presque comme des raquettes de tennis. Tous les deux avaient bien dépassé 35 ans et étaient aussi sales que le premier.

La description de ces trois hommes est encore bien claire dans ma tête. A 35 ans, je ne les ai pas oubliés et je crois que je ne les oublierai jamais.

En tout cas, moi, une jeune fille de 19 ans, presque 20, habillée en mini-jupe avec un haut laissant suggérer ma grosse poitrine sans soutien-gorge, j'étais sous les regards vicieux de trois hommes qui commençaient à m'effrayer.

Le silence s'était imposé dans la maison, mais il fut bientôt coupé par l'homme bedonnant qui dit :

- Bon Pierrot, il faut que l'on discute sérieusement.

Puis il se tourna vers moi et me commanda d'un ton autoritaire :

- Toi tu vas dans la cuisine et tu fais à manger pour nous ! Sers-toi dans le frigo !

Pierre se plaça derrière moi et me murmura à l'oreille :

- Obéis s'il te plaît !

Puis, alors que je me dirigeai vers la cuisine aussi crasseuse que le reste, il me mit une claque sur le cul qui fit bien rire les trois hommes. Honteuse d'être traitée ainsi, je rougis et je m'aperçus que ma chatte commençait à me picoter.

Je cherchai et trouvai dans le frigo de gros steaks que je mis à cuire dans une grande poêle avec des haricots verts. Je n'arrêtai pas de me demander pourquoi nous étions là, que voulaient ces gars à mon homme, quelles relations pouvait avoir Pierre avec eux.

Perdue dans mes pensées, je n'entendis pas quelqu'un arriver dans mon dos.

- Tu as l'air de savoir cuisiner pour une petite salope !

Je sursautai et tournai la tête pour voir le visage de l'homme mince. Je ne sus pas que répondre. Cet homme avait une haleine fétide et il m'effrayait. C'est alors qu'il passa une main sous ma jupe et me pinça violemment une fesse.

- Applique-toi petite pute ! Dit-il avant de se détourner et sortir un pack de bière du frigo.

Je me frottai la fesse pour faire disparaître la douleur et je commençai à m'inquiéter vraiment. Toutefois, je continuai à cuisiner, puis je dressai la table dans leur salle à manger aussi mal entretenue que le reste de la maison. Je sentis leurs regards posés sur moi et j'eus des frissons.

Après avoir préparé une salade et mis les steaks avec les haricots verts dans un plat, je leur dis que c'était prêt. Nous nous installâmes tous à table en silence et nous commençâmes à manger. Je sentais leurs regards sur moi et j'essayai sans cesse d'attraper le regard de Pierre pour lui faire comprendre que je ne me sentais pas à l'aise .

Les steaks engloutis, c'est alors que le plus mince dit :

- Passons au dessert maintenant, viens là petite !

Je fus horrifiée quand je le vis reculer sa chaise et commencer à défaire sa braguette. Je me levai de ma chaise et m'enfuis à la cuisine, suivi par Pierre. Alors que je sanglotai, il me murmura à l'oreille :

- J'ai besoin de toi, ne fais pas la timide. Obéis à ces gars et je suis sûr que tu en profiteras. Sinon va-t'en, mais n'espère plus me revoir !

J'aurais dû m'enfuir, mais j'étais trop attaché à mon copain. Dans ma tête, je me dis que c'était qu'une mauvaise soirée à passer. Tout en séchant mes larmes, je me rendis compte que j'étais légèrement excitée par la situation. Ces trois hommes répugnants qui voulaient de moi commençaient à me faire mouiller.

Je séchai alors mes larmes, sortis de la cuisine, puis allai me positionner à genoux entre les jambes du gars maigre. Il sortit sa bite et j'eus un moment de recul devant cette queue à demi raide, mais surtout sale et odorante. Retenant ma respiration, je pris son membre dans mes mains fines pour le diriger vers ma bouche. Je le goûtai avec ma langue, il avait un goût vraiment amer.

Mais l'homme dut trouver que je n'allais pas assez vite. Il appuya sur ma tête pour faire pénétrer sa bite dans ma bouche. Je dus ouvrir grand pour ne pas le blesser avec mes dents.

- Allez, suce salope ! Dit-il

En fermant les yeux et en essayant d'oublier ma situation, je me mis à lui prodiguer une fellation comme je savais les faire. Il ne fallut pas longtemps avant que l'homme se raidisse, gémisse et éjacule en me tenant la tête.

- Avale connasse !

Je ne pus faire autrement, il était trop fort pour moi et je ne pouvais pas reculer ma tête. J'avalai son foutre avec dégoût en me retenant de vomir.

Puis ce fut le gros que je dus sucer avant de finir par le troisième. Leurs bites n'étaient pas plus propres que la première. Après avoir avalé ma troisième ration de foutre, le gros se leva et dit :

- Allons continuer à discuter ! Toi la petite, tu nettoies !

Je m'empressai d'obéir en espérant que les choses allaient en rester là et que bientôt nous pourrions repartir. Je fis la vaisselle pendant que les hommes discutaient.

Une demi-heure après, ayant fini ma corvée, je sortis de la cuisine. Pierre m'appela et je m'approchai des quatre hommes.

- Déshabille-toi Lila ! Me dit mon petit ami.

Je le regardai, humiliée et effrayée. Je lui lançai un regard pour le supplier de ne pas me faire faire ça !

- Allez ! Ne me fais pas honte !

Je lui obéis et enlevai ma mini-jupe, mon haut, puis ma culotte. Je fus bientôt complètement nue devant trois vicieux qui bavaient presque. Ce fut le gros qui commença. Il m'attrapa par un bras et me coucha sur ses genoux. Je savais qu'il était inutile de résister.

- Paraît que tu es une vraie salope qui aime souffrir ! Dit-il avant d'abattre la paume de sa main sur mes fesses.

Je criai bien sûr, mais l'homme continua de me fesser violemment. Ses amis regardaient en rigolant alors que Pierre restait sans rien faire.

Quand mes fesses furent bien rouges, l'homme passa un doigt sur ma raie et alla chercher entre mes jambes. Il le ressortit luisant de ma mouille.

- Putain il avait raison le Pierrot. Cette salope mouille quand on la corrige ! Dit-il en montrant bien son doigt.

Puis il retourna farfouiller entre mes jambes. Je sentis un puis deux doigts pénétrer ma chatte et je ne pus retenir un gémissement. Sous mon ventre, je sentais la bite de l'homme bien dure dans son pantalon.

C'est alors qu'il me releva, mais tout en me tenant le bras, il défit sa braguette et laissa sa bite se dresser fièrement. Il me saisit alors par les hanches, me leva sans effort et m'empala sur son sexe. J'étais tellement humide que son engin me pénétra sans effort. Il me fit alors joyeusement sauter sur sa queue. Je me mordis les lèvres pour essayer de ne pas gémir de plaisir. Mais ce fut peine perdue, car il commença à sucer mes mamelons puis les mordiller. C'était trop, je gémis bruyamment de plaisir alors que j'avais mon premier orgasme. Je n'étais pas vraiment consentante, pourtant je prenais plaisir à être violentée.

L'orgie commença. Les trois hommes me firent tourner et abusèrent de ma chatte et de ma bouche pendant environ une heure. Je nageai dans le plaisir à ce moment-là et j'enchaînai orgasme sur orgasme alors qu'ils me tripotaient, pinçaient et tordaient mes seins, claquaient mon joli petit cul rond.

Puis le gars le plus mince, le plus sadique des trois, décida de m'attacher sur la table de la salle à manger. Je me retrouvais penchée à la taille sur le bord de cette table, les jambes écartées avec les chevilles attachées aux pieds, les bras tendus en avant et attachés à l'autre bout, la tête tournée sur la droite.

Ce salaud défit sa ceinture en cuir et commença à me fouetter avec. C'était bien plus douloureux qu'avec les mains. Il s'acharna sur mon pauvre cul et alors que je commençais à sangloter, la ceinture tomba sur ma chatte. Je crois que je n'ai jamais crié aussi fort. La douleur était intense, plus que ce que je n'avais jamais connu. C'est sûrement cette douleur qui me fit prendre conscience de ma situation et me réveilla de ma transe sexuelle.

- Je vais te faire crier moi ! Attends !

Alors que je tremblais de douleur, il approcha sa bite de mon cul, écarta mes fesses et m'encula d'un coup violent. Je poussai un autre cri qui résonna dans ma tête. Je pleurai, j'avais mal, il n'y avait plus de plaisir maintenant. Je cherchai à trouver le regard de Pierre pour lui demander de me sauver, mais il restait assis sans rien dire.

L'homme continua de m'enculer brutalement alors que l'un des deux autres présenta sa bite devant ma bouche serrée. Peut-être pour éviter de souffrir plus, j'ouvris la bouche et acceptai le membre sans broncher.

Je ne sais plus vraiment si les trois m'enculèrent, mais je me rappelle avoir sucé plusieurs bites. Je crois bien m'être évanouie, car quand je me réveillai, Pierre était à côté de moi et me détachait de la table.

- Nous... Nous partons ? Réussis-je à lui dire dans un murmure.

- Chut... Oui... Bientôt.

Je regardai autour de moi et je vis les trois hommes sur le canapé en train de boire des bières. En voyant le nombre de canettes vides, je me rappelle m'être dit qu'ils devaient être bien ivres.

C'est alors que le sadique me regarda et dit :

- Elle est réveillée la salope, nous allons pouvoir encore nous amuser. Je veux voir si je peux lui rentrer une canette dans le cul ! Pousse-toi Pierrot.

Mon copain s'écarta et c'est à ce moment-là que je compris que je ne pouvais pas compter sur lui, lui faire confiance. Il m'avait vendu à ces hommes.

Alors que l'homme sadique s'approchait de moi une canette à la main la bite dressée devant lui, je repris des forces et je décidai de me battre. Je n'aurais peut-être pas dû. Quoi qu'il en soit je lui mis par surprise un grand coup de pied dans son membre dressé. Son visage se déforma en une grimace de douleur, il laissa tomber la canette et il prit son sexe entre ses mains en s'écroulant dans un grand cri.

- OH PUTAIN LA SALOPE !!!!!! CHOPEZ-LA !

Je voulus courir vers la porte, mais je fus rapidement rattrapée par les deux autres hommes qui commencèrent à m'envoyer de grandes baffes. Enivrés, ils n'avaient plus aucune pitié, ils me frappèrent alors que j'étais deux fois plus petite qu'eux.

- LAISSEZ-LA MOI ! JE VAIS LA FAIRE JOUIR CETTE SALOPE ! Entendis-je crier.

Les hommes me lâchèrent et je tombai par terre. Le sadique se tenait au-dessus de moi, la ceinture à la main le visage encore grimaçant de douleur, sa bite toute ratatinée. Et les coups commencèrent à pleuvoir. Je me rappelle m'être encore demandée où pouvait être Pierre et l'avoir appelé au secours. Mais il n'est pas venu.

L'homme s'acharna sur moi avec sa ceinture, puis ce fut des coups de pieds violents au ventre, aux cuisses, partout. J'essayai de me ratatiner sur moi-même, la tête rentrée entre mes coudes. La violence des coups était inimaginable, mais je ne les sentais plus tellement mon corps était douloureux. C'est là que je me suis dit que ma vie allait se terminer ainsi, qu'ils allaient me tuer. Puis je sombrai dans le noir.

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