L'histoire de Laura

BÊTA PUBLIQUE

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Il embrasse et lèche doucement mon clitoris, et il embrasse et suce l'intérieur de mes cuisses. Sa langue explore rapidement ma fente de haut en bas entre mes grandes lèvres, et agace mon clitoris. Je sais qu'il me goûte, et ça me rend folle. Cette langue avec ses lèvres sur ma chatte mon procure des sensations incroyables ! Il se soulève et quitte son pantalon. En retirant son slip, je vois son pénis dressé en érection. C'est tellement épais ! Facilement le double de celui de Christian ! Lisette m'avait dit qu'elle pensait que Michel avait une grosse bite, mais je ne l'avais pas crue ! Rien que la vue de sa grosse bite dressée me rend tellement excitée ! Il s'installe entre mes jambes écartées, se penche sur moi, prend mes seins entre ses mains, les triture et suce mes tétons.

Je ne peux plus attendre, j'ai besoin de cette bite dans ma chatte. Je soulève mes hanches vers lui pour tenter de le happer. Je pousse mon pubis rasé contre son ventre dur. Je le veux tellement maintenant, et lui il se contente de faire coulisser son manche dans ma fente humide. Je grogne d'impatience, et je hausse encore un peu mon bassin. J'ai le souffle coupé, mais j'arrive enfin à l'aligner sur mon ouverture vaginale. Il pousse un peu et me pénètre. Il n'a pas le temps d'entrer totalement que déjà ça me fait mal. J'ai dit « ouche » Mon vagin s'étire, mais ça fait mal ! Je gémis et je geins doucement, timidement, en recevant son sceptre royal. Il coulisse doucement, pénètre et se retire lentement en progressant un peu à chaque pénétration. Il a conscience de l'effort que ça représente pour moi. Sa bouche dans mon cou suce ma jugulaire, juste derrière l'oreille. Petit à petit, il me fait femme.

Mon vagin commence à se détendre, à s'habituer, et il parvient à me pénétrer jusqu'au bout. Ça fait mal, mais je ne veux pas me plaindre. Je suis gênée qu'il croie que je suis une donzelle inexpérimentée ! Il ne bouge plus, je retiens mon souffle. Le sentiment de plénitude, de supplice et déchéance, tout en un ! Puis la douleur s'estompe peu à peu lorsque mon vagin s'habitue et se détend. Il le ressent et commence à me baiser avec des coups lents et profonds. Mes pensées s'emballent. Michel, mon patron, est sur moi, en moi. Il me baise ! Les émotions et des sensations nouvelles m'envahissent. Je n'ai jamais ressenti cela avant, avec un garçon de mon âge. Je peux sentir le bout de sa bite heurter mon col, au fond de mon vagin, à chaque pénétration. C'est douloureux, mais bizarrement, ça augmente encore mon plaisir. Ça picote et ça me donne le sentiment qu'il me remplit toute. A nouveau, je sens un orgasme se préparer au fond de moi.

Il s'aperçoit de ma crispation vaginale et il accélère. Je glapis, accompagnant chaque pénétration de petits cris bien féminins, et j'enfonce mes ongles dans son dos. Mon corps tout entier se tend, je retiens ma respiration, et j'arrête de gémir lorsque j'atteins l'orgasme. Les spasmes parcourent tout mon corps, depuis ma chatte, le long de mes cuisses, remontent dans mes fesses pour envahir mes reins. L'orgasme se calme, je m'apaise, le bien-être m'envahit, il s'allonge sur moi et m'embrasse avec passion. Sa bite reste dure dans mon vagin frissonnant. Il continue de coulisser paresseusement le temps que mon vagin récupère. Puis il se retire et me retourne sur le ventre. Il enfouit son visage entre mes fesses, et me lèche la chatte par derrière. Ses poils de barbe me raclent les fesses et l'intérieur des cuisses. Puis il me saisit par les hanches et m'agenouille, les fesses levées vers lui, pour me prendre en levrette. La sensation que me procure cette bite immense, qui m'investit entièrement en heurtant le fond de mon vagin, est indescriptible. Ses poils raides sur la peau délicate de mes fesses m'excitent encore plus.

Dans cette position, je le sens encore plus épais, il me remplit toute, écartant mes chairs serrées autour de lui. Chaque parcelle de ma cloison intérieure est sollicitée, alors que son ventre commence à heurter en cadence mes fesses qui tremblent sous les chocs répétés. J'ai plus l'impression d'être serrée autour de lui que dans la position précédente. Presque immédiatement, cette sensation d'orgasme en gestation monte de mes organes trop sollicités. Il saisit mes bras, les tire en arrière, me relève et me cambre le dos. Sa main sous ma gorge me courbe le dos en arrière, son ventre heurte mes fesses avec plus de vigueur et, d'un coup, je jouis. Mais cette fois, mon extase se prolonge, un orgasme sans fin qui me laisse pantelante entre ses bras puissants. Mon vagin contracté autour de lui a raison de sa résistance. Il éjacule avec de longs jets tout au fond de ma vulve, Ses bras musclés m'enserrent et me maintiennent en place, bien bloquée sur sa bite.

Sa bite palpite au fond de moi, déchargeant son sperme fécond. Je ne suis pas protégée, j'obligeais Christian à utiliser des préservatifs, mais ce soir je n'ai rien géré. Il m'inonde de son liquide séminal qui apaise mes picotements, et me dilate encore plus. Il termine son coït bestial, et il s'effondre sur moi. On bascule sur le côté, en position de cuillères, pour calmer nos ardeurs. Blottie dans ses bras, je réalise mon bonheur d'être conquise par un tel étalon. Quel enchantement ! Comme se fut agréable ! Je n'arrive pas à croire à quel point c'est bon ! Je n'avais jamais joui avec aucun de mes partenaires précédents, mais il m'a fait toucher le ciel si facilement. Pas une fois, mais deux fois ! Je reste blottie dans ses bras dans un ravissement post-coïtal. Finalement, je réalise qu'il doit être tard. Je lui murmure que je dois rentrer chez moi. Je remets ma robe et mes talons et je vais dans la salle de bain pour vérifier ma toilette. Ensuite, il me raccompagne jusqu'à ma voiture. Il m'enlace et m'embrasse passionnément. Après de nombreuses effusions charmantes, on se sépare enfin.

« Sois prudente, je t'aime » me murmure-t-il à l'oreille.

Je m'éloigne et commence à revoir le film de la soirée. Michel ! Mon patron ! Je viens de baiser avec mon patron ! Un homme qui pourrait être mon père ! A notre premier rendez-vous ! Il m'a baisée sans préservatif ! C'est la première fois que je fais l'amour avec un partenaire qui me fait perdre totalement la tête. J'ai été intimidée par sa prestance, subjuguée par son charisme, conquise par sa faconde, enchantée par la douceur de son savoir-faire, et beaucoup trop excitée par sa bite phénoménale ! J'ai totalement perdu la tête, et maintenant mes sensations sont étranges. Mon vagin est comme engourdi, plein de fourmillements. Je tâte ma chatte du bout des doigts. C'est crémeux, et une forte odeur s'en dégage. L'odeur de sperme est grisante et me rappelle les sensations de sa bite palpitante au fond de moi. Mais je dois arrêter mes divagations et redescendre sur terre. Je pourrais tomber enceinte. Je ferais mieux de trouver la pharmacie de garde au lieu de fantasmer.

Je recherche sur internet la pharmacie de garde et je m'y rends. Je vais au guichet de nuit, seulement vêtue de ma robe de cocktail, sans culotte, avec les cuisses et les fesses collantes. Je demande la pilule du lendemain. Le jeune homme me l'apporte au comptoir. Son regard curieux m'examine. Il scanne mes cheveux collés, mon maquillage qui a coulé, mes yeux fatigués, ma robe froissée, et je me demande s'il peur sentir l'odeur de sexe qui émane de moi. Je suis mortifiée par ces pensées. Je suis sûr qu'il a compris que cette fille vient de se faire baiser ! Je paie, je lis le mode opératoire, et je me dépêche d'avaler le truc. On a 3 jours d'accord, mais je préfère ne pas traîner. Si je tombe enceinte sans être mariée, mon père me tuera ! Je rentre chez moi et je vérifie mon téléphone. Il y a deux messages, un de Christian et un de Michel. Celui de Christian ne m'intéresse pas, je ne lis que celui de Michel. Il veut savoir si je suis bien rentrée. Je lui réponds que tout va bien.

Je prends une douche et je me couche. Impossible de dormir, le film de la soirée tourne en boucle dans ma tête. Christian est oublié, définitivement ! Suis-je amoureuse de Michel? C'est tellement inattendu. On flirtait un peu, au bureau, gentiment, jamais je n'aurais pu me douter. La nuit la plus érotique de ma vie. Maintenant, je suis anxieuse. Comment cela va se passer quand je vais le revoir au bureau?

Lundi matin, j'hésite pour ma tenue. Qu'est-ce que Michel va penser de moi? Un débardeur et une mini-jupe plissée, avec des chaussettes qui montent à mi-cuisses, comme les écolières japonaises? Un string en satin noir complète ma tenue. Avec un blazer, pour faire genre "employée de bureau sexy"

Sur le parking de la boîte, Lisette se gare en même temps que moi, et nous marchons ensemble vers le bâtiment.

« Salut Laura. Ça va mieux, tu étais si triste vendredi que j'ai pensé à toi tout le week-end »

« Tout va bien, merci » je lui réponds, souriante. Michel n'est pas encore là.

Lisette me demande : « Alors, raconte ! Comment s'est passé ton rencard vendredi soir? »

J'essaie de ne pas rougir : « Sympa »

Lisette insiste : « Et ses amis? »

Je hausse les épaules avec désinvolture : « Ils ne sont pas venus »

« Tu veux dire ... juste toi et Michel? »

« Ben, ouais »

« Et c'était? »

« Sympa, je te l'ai dit, on a parlé » À ce moment-là, Michel entre.

« Bonjour mesdames »

Lisette répond « Bonjour »

Je souris nerveusement. Michel me dévisage et rentre dans son bureau. Lisette, fine mouche, remarque ma gêne. Elle me sourit comme si elle était dans la confidence.

« Quoi? »

Elle me dit « Oh rien, on en parlera à la pause »

Après quelques minutes, Michel ressort et nous donne des dossiers à traiter. Il me sourit et je lui rends son sourire, nos regards se croisent en flirtant. Il retourne dans son bureau et je regarde Lisette. Sa bouche est grande ouverte avec une main devant. Elle enlève sa main et prononce les mots magiques :

« Tu as couché avec Michel ! » Elle est vraiment incroyable ! Je souris, et je regarde ailleurs.

Elle me menace : « Tu me racontes tout à la pause-déjeuner ! »

Nous travaillons dur toute la matinée. Enfin, l'heure du déjeuner arrive, et Lisette m'attrape par le poignet et m'entraîne vers la porte. Nous traversons la rue jusqu'au restaurant, et nous nous installons en terrasse en commandant nos deux salades.

« Alors? Accouche, pétasse ! Il t'a culbutée? Tu t'es pris une cartouche? »

Je lui raconte par le menu le film de la soirée, notre soirée au club, comment il a été charmant, comme il me touchait en flirtant, puis la soirée chez lui, les boissons, nos baisers, qu'une chose en entraînait une autre, et à quel point il a été génial. Je lui ai même parlé de la taille de son sexe, de ma douleur, de ma gêne, et de mon plaisir ! Je lui ai raconté mes orgasmes qui m'avaient laissée pantelante et émerveillée. Elle m'a dit qu'elle était heureuse pour moi, que j'oublie Christian, et je profite de ma jeunesse et de ma liberté pour explorer ma sexualité. Tout le repas, et même après, en fumant nos cigarettes, nous parlons des hommes et du sexe. Je lui raconte à quel point ça m'a fait très mal quand il a mis sa bite en moi, et à quel point j'ai eu mal le lendemain. Elle me dit que c'est normal et que je vais m'habituer. Je suis heureuse de l'avoir comme marraine avec qui je peux me confier. Ma propre mère est tellement coincée qu'elle ne m'a jamais rien appris !

Nous finissons nos cigarettes, et retournons travailler. Michel a été très occupé toute la matinée, au téléphone à parler avec ses clients. Il apparaît enfin, et me demande de le rejoindre dans son bureau. J'entre et il referme la porte derrière moi. Il me fait face, met ses mains sur ma taille, et me regarde droit dans les yeux. Il se penche pour m'embrasser doucement. Faire attention à ne pas détériorer mon rouge à lèvres. Je passe mes bras autour de ses épaules et je palpe son dos musclé. Il me presse contre lui et son incroyable torse athlétique. Cela, plus l'odeur de son eau de toilette, mon corps réagi ! Je sens un émoi enfler dans mon ventre. Pourquoi a-t-il cet effet sur moi? Il m'embrasse dans le cou, et glisse sa main le long de mon corps jusqu'au bas de ma jupe. Puis il embrasse ma poitrine, et enfouit son visage entre mes seins. Il glisse sa main à l'arrière de ma cuisse sous ma courte jupe. Sa main puissante et rugueuse glisse sur mes fesses et il les presse fermement.

Il m'embrasse à nouveau dans le cou. En m'enlaçant contre lui, je peux sentir son renflement se presser contre mon ventre. Je sais qu'il devient dur, et ça m'excite encore plus ! Sa main glisse sur ma culotte en satin, et empaume mon pubis. Il glisse deux doigts sur ma chatte, la pressant à travers ma culotte. A ce moment-là, son téléphone se met à sonner. Il l'ignore. Il tire ma culotte de côté et glisse son majeur entre mes lèvres. Ma chatte est tellement glissante parce que je suis déjà très mouillée. Le téléphone continue de sonner. Je lui murmure à l'oreille qu'il serait plus raisonnable de répondre. Il soupire, relâche son étreinte, et se retourne pour décrocher l'appareil. Je sors pour retourner travailler. Difficile de me concentrer après ça. Je continue de fantasmer sur le doigt de Michel glissant dans ma fente. Je vais aux toilettes des dames pour me soulager. Dans la cabine, je baisse ma culotte et je m'assois sur les toilettes. L'entrejambe de ma culotte en satin est trempé !

C'est si facile pour lui de m'émoustiller ! Après m'être soulagée, je commence à tripoter mon clitoris. Mon doigt glisse facilement dessus. Je fantasme sur Michel qui me baise par derrière dans les toilettes. L'orgasme arrive vite et je ressens un petit apaisement de toute cette tension sexuelle ! Je retourne à mon poste pour terminer mon travail. La fin de la journée arrive et nous nous disons bonsoir. Je vais en classe les mardis et jeudis, donc je verrai Lisette et Michel mercredi. Le mercredi j'ai hâte d'aller travailler. Je porte une robe blanche courte et moulante avec un blazer bleu foncé par-dessus pour que ce soit coordonné. Je décide de renoncer à porter une culotte, car elle se voit sous la robe. Je rejoins Lisette et nous marchons vers le bâtiment. Nous commentons les jolies tenues de chacune et nous rentrons pour travailler.

Michel arrive peu après. Il ne ferme pas la porte de son bureau qui fait face à mon bureau dans l'autre pièce. Assise à mon bureau, je vois qu'il me regarde, et nous échangeons des sourires de temps en temps pendant qu'il parle au téléphone. Je sais qu'il peut voir mes jambes sous mon bureau, alors je décide de le taquiner un peu. J'écarte un peu les jambes pour qu'il puisse voir mes cuisses sous ma robe. Je me suis encore rasée la veille, donc ma chatte est parfaitement lisse ! Je sais qu'il me regarde parce qu'il bouge juste assez pour avoir une bonne vue de ma chatte. J'agis comme si je le faisais innocemment, ouvrant et fermant mes jambes avec insouciance pendant que je travaille. Il termine son appel téléphonique, et m'appelle pour que je vienne dans son bureau. J'obéis aussitôt en apportant un bloc-notes avec moi. Je jette un coup d'œil à Lisette en marchant, et elle me lance un sourire narquois avec un clin d'œil complice ! Il ferme la porte derrière nous, me prend par la main et me conduit vers son bureau. Il m'arrête face à son bureau, enlève mon blazer, le jette sur le bureau, puis enroule ses bras musclés autour de moi par derrière. Il m'embrasse dans le cou et me murmure : « Tu sens incroyablement bon ! »

Il me mordille l'oreille et palpe mes seins à travers le tissu ma robe. Il les pressent fermement. Sa main glisse le long de mon flanc jusqu'à ma hanche, puis passe sous ma robe. Il palpe mes fesses nues, puis glisse sa main entre mes jambes. Son majeur se glisse sans effort entre mes lèvres humides, pas de culotte pour le gêner. Je passe ma main dans mon dos et caresse la bosse sur le devant de son pantalon. Sa bite est déjà raide dans son pantalon ! Son doigt s'agite dans ma chatte qui est déjà bien lubrifiée. Il attrape mes poignets et pose mes mains loin sur son bureau, me forçant à me pencher en avant. Il s'agenouille derrière moi, remonte ma robe sur mes fesses, et l'enroule autour de ma taille. Il enfouit son visage dans ma raie culière, sa langue sonde ma fente entre mon clitoris et mon ouverture vaginale. Il me lèche si bien que j'ai du mal à rester discrète. Je me mords les doigts pour ne pas faire de bruit.

Après quelques instants, je commence à exulter. J'attrape son poignet avant que l'orgasme se déclenche. Il s'arrête immédiatement, et se relève. Je l'entends déboucler sa ceinture et ouvrir sa braguette. J'entends ses vêtements tomber au sol autour de ses chevilles. Ensuite, il frotte le bout de sa bite qui glisse de haut en bas entre mes lèvres humides, s'arrêtant à l'orée de mon vagin. Lentement, il commence à s'enfoncer. C'est encore douloureux, mon passage s'adapte et se dilate pour accepter sa circonférence, mais la douleur précède encore le plaisir. Je passe une main dans mon dos pour repousser son ventre musclé. Il se retire un peu et attends. J'enlève ma main, et il progresse de nouveau en moi. J'essaye de rester discrète, mais je gémis malgré moi. Il me tient fermement par les hanches, en poussant sa bite résolument jusqu'au fond. Douleur et plaisir mélangés. J'aimerais qu'il soit plus doux, plus patient, mais nous n'avons pas trop de temps. J'essaye de me détendre pour que la douleur disparaisse plus vite cette fois.

Il me baise en accélérant son rythme, plus fort et plus vite. L'orgasme arrive rapidement et me coupe les jambes en descendant dans mes cuisses, puis en remontant dans mes reins. Je suis toute molle entre ses mains puissantes. Seule ma chatte énergique serre fort sa bite. Je suis étonnée de constater avec quelle facilité il peut me faire jouir ! Je ne peux plus rester silencieuse pendant qu'il continue de marteler ma chatte sans pitié. Le claquement rythmé de son ventre contre mes fesses remplit l'espace. Lisette va nous entendre. Déjà sa bite s'épaissit à l'approche de l'orgasme. Les pulsations commencent à me remplir de sperme. Il grogne à chaque éjaculation. Il termine, se retire et se dépêche de remonter son pantalon et de boucler sa ceinture. Je lisse ma robe et je me retourne. Il enlace ma taille et m'attire contre lui pour un doux baiser, juste assez pour ne pas gâcher mon rouge à lèvres. Je m'échappe pour retourner à mon poste avant que quelqu'un ne se pose des questions.

Je vais directement aux toilettes. Dans la cabine, je remonte ma robe pour constater mon écoulement vaginal. Un petit bruit de pet, et je vois une grande quantité de son sperme s'écouler de mon vagin, et couler entre mes cuisses. Je fais de mon mieux pour m'essuyer avec du papier toilette. Je retourne à mon poste et je suis soulagée de trouver Lisette occupée au téléphone. Elle termine son appel puis sort une cigarette, et me demande si je veux faire une pause? J'ai vraiment besoin d'une cigarette maintenant, alors je la suis dehors.

Nous fumons et bavardons, et elle ne semble se douter de rien ! Pendant que nous discutons, je suis parfaitement consciente de la sensibilité de mon vagin. Cette petite sensation gênante, imprégnée et ankylosée déjà habituelle, que je ressens après une séance de baise avec le gros sexe de Michel. Vais-je m'habituer bientôt à ses caractéristiques hors normes? Cela m'excite un peu rien que d'y penser. Jeudi, je vais en cours, et vendredi est férié, donc je ne reviendrai au travail que lundi !

Ma copine Lindsay, une amie du lycée, discute depuis des semaines avec cet espagnol qu'elle a rencontré en ligne. Il vit dans une marina, sur la côte, avec son père. Elle m'a suppliée de l'accompagner pour qu'elle puisse le rencontrer. Nous avons accepté de descendre ce week-end pour le rencontrer. Son père a un bateau et il nous emmènera en mer.

Michel m'appelle mercredi soir et nous discutons pendant plus d'une heure au téléphone. Il part en voyage d'affaires ce week-end à l'étranger, et me demande de l'accompagner. Je lui dis que j'adorerais, mais j'ai déjà promis à Lindsay de l'accompagner pour faire la connaissance de son chéri ! Il accepte et me dit que je dois tenir ma parole, puisque je m'étais déjà engagée auprès de Lindsay. Il est tellement compréhensif et confiant ! Christian ne m'aurait jamais permise d'aller sans lui dans un endroit comme ça ! Vendredi matin, je passe prendre Lindsay et nous roulons vers le rendez-vous avec son chéri. Nous prévoyons de séjourner dans un hôtel proche, puis de retrouver son copain José le samedi matin, pour une sortie en mer sur le bateau de son père. Pendant le trajet, nous nous racontons toutes nos récentes aventures. Je lui parle de ma rupture avec Christian et de ma relation nouvelle avec un type nommé Michel. Je ne lui dis pas son âge ni qu'il est mon patron ! Nous arrivons à destination, dînons et nous installons à l'hôtel. Je prends une douche et je me détends un moment, puis je me couche. Allongée dans le noir, je fantasme en pensant à Michel couché sur moi. Je ressens la sensation que me procure son corps musclé, velu et sportif. Je commence à me caresser. J'imagine son pénis puissant en moi. Je profite d'un bel orgasme et je m'endors immédiatement.