L'été de mes 18 ans 07

Je lui obéis et me dévêtis avant de m'allonger dans le lit conjugal. Peu de temps après, elle me rejoignit. Elle ôta rapidement le peignoir qu'elle portait et vint au-dessus de moi. Elle approcha ses seins lourds de mon visage en disant :

« Tu en veux? Il en reste! Allez, tête un peu! »

Je ne me fis pas prier. Je saisis ses seins entre mes mains, les rapprochai, puis ma bouche les parcourut de baisers avant de prendre les tétons érigés tour à tour dans ma bouche et de la téter. Elle se mit à gémir doucement. Soudain je vis qu'elle tâtonnait et ouvrait le tiroir de la table de nuit. Je jetais un œil et aperçus un long cylindre de métal argenté. Elle le porta à sa bouche et le lécha un moment. Puis elle le prit entre ses mains, j'entendis un ronron, comme le bruit du rasoir de mon père. Je la vis ensuite glisser le cylindre entre ses cuisses et se caresser longuement le minou avec. Elle se mit à haleter et à donner des coups de cul. Puis elle le reprit entre ses mains et j'entendis un bruit plus fort et plus aigu. Elle le remit entre ses cuisses et s'appuya à nouveau sur ses deux mains, tandis que je me régalais de son lait tiède. Je compris qu'elle s'était mis le cylindre dans le sexe. Elle se mit à gémir de plus en plus fort. Je tétais toujours ses tétons en les mordillant.

« Ah oui, ah il va me faire jouir, le gros cochon! Ah Dieu que c'est bon! Aaaaaah! ». Elle jouit bruyamment en se laissant tomber sur moi. Je lui caressais doucement le dos, puis les fesses. Elle se calma peu à peu. Elle se redressa alors, une lueur dans le regard :

« A ton tour! Mets-toi à quatre pattes! Oui, tourne-moi le dos! Mets ta tête dans l'oreiller avec ton joli derrière bien en l'air. Oui, comme ça, parfait! »

Je la sentis derrière moi. Elle saisit mes jambes et me fit écarter les cuisses encore plus. Puis elle se mit à parcourir mes cuisses et mes fesses de bisous, avant de me lécher, me faisant frissonner de désir. Puis elle posa ses mains sur mes deux fesses et les écarta. Je sentis alors sa langue parcourir tout mon sillon depuis mon bouton jusqu'à mon petit œillet. Je compris vite que c'était lui qu'elle voulait. Elle se mit à le lécher passionnément. Puis je sentis son doigt qui prenait possession du lieu. Cela me faisait tout drôle d'être caressée là, mais je trouvais cela de plus en plus excitant. Ce fut encore meilleur lorsque la pointe de sa langue remplaça à nouveau son doigt et me pénétra. J'entendis alors à nouveau le bruit du ronron et je sentis le cylindre parcourir les rives de mon minou. Je me mis à gémir. C'était une sensation extraordinaire. Mélanie maniait l'engin avec adresse et douceur, glissant dans les plis de mes lèvres avant de se poser sur mon bouton qui fut bientôt en ébullition. Je me mis à râler et à geindre de plus en plus fort en remuant le bassin. Mais impossible d'échapper aux diaboliques vibrations! Je jouis une première fois. Mais Mélanie ne s'en contenta pas. Elle me caressa l'œillet avec le vibromasseur avant de revenir sur mon sexe et de me caresser de plus belle. C'est ainsi que je connus trois orgasmes de suite et que je m'effondrais sur le côté, complètement épuisée. Mélanie s'allongea près de moi et m'embrassa tendrement.

« Cela t'a plu? Tu sais, on pourrait faire encore plus de choses... mais il faudrait que tu te débarrasses de ta virginité! Pour la première fois, il vaut mieux un vrai sexe qu'un vibromasseur... J'ai une idée : le week-end prochain, Serge part chasser. Je pourrais inviter mon neveu Charles ; Il a 18 ans et est pas mal du tout. Je crois qu'il est encore puceau, mais nous saurons lui apprendre ce qu'il faut faire! Qu'en dis-tu? Tiens, le voilà en photo! »

« Oh oui, il est plutôt mignon. Cela m'effraie un peu, bien sûr, mais avec toi, je saurai vaincre mes appréhensions. Tu resteras avec nous, hein? J'aurais trop peur, seule avec lui. »

« Oui, bien sûr! J'ai envie de profiter du spectacle! Bon, ben c'est dit, j'organise tout ça. Et maintenant, file vite chez toi. Ce n'est pas le moment d'indisposer tes parents si tu veux qu'ils acceptent que tu viennes dormir ici. Tu diras que j'organise une soirée et que cela va finir très tard et que tu peux dormir dans la chambre d'amis. D'accord? »

« Oh oui, Mélanie! Vivement samedi! »

Nous nous embrassâmes amoureusement, puis je rentrai chez moi.

Le temps me sembla long jusqu'au samedi, même si je revis deux fois Mélanie et que nous primes beaucoup de plaisir toutes les deux. Nous étions maintenant très intimes, prenant des bains ensemble, nous savonnant mutuellement partout. Elle me montra aussi comment s'épiler le minou pour être tranquilles plus longtemps et pour éviter que les poils deviennent durs. Enfin le samedi arriva. Je me préparais toute la journée, pris un bain, me parfumais partout. Je choisis une jupe évasée très légère et assez courte ainsi qu'un chemisier blanc un peu transparent et je mis les dessous que Mélanie m'avait achetés. A 18h, je sonnais à sa porte. C'est son neveu qui vient ouvrir. Il était vraiment mignon. Il portait des jeans et un polo sans manches. Il me dit :

« Bonjour! Tu dois être Claire? Je suis Charles. Mélanie finit de se préparer, entre! »

Il me fit une bise et m'entraina dans le salon. Mélanie ne tarda pas à arriver, elle m'enlaça et m'embrassa sur les lèvres. Je vis Charles nous regarder avec un certain trouble. Nous papotâmes un moment, puis Mélanie servit l'apéritif. L'alcool aidant, l'ambiance devint plus détendue. Mélanie nous proposa alors de faire un jeu.

« Bon alors, je propose un jeu assez excitant : Nous allons jouer à la bataille avec ce jeu de 32 cartes. J'ôte deux 7. Nous aurons 10 carte chacun. Nous jouons tour à tour nos dix cartes. A chaque fois, celui qui a la plus grosse carte remporte le pli. Ensuite on compte les cartes de chacun et celui qui en a le moins, doit ôter un vêtement, ok? »

Charles et moi, acceptâmes sans sourciller. Au premier tour, Mélanie perdit. Elle fit alors passer son T-shirt par-dessus sa tête, dévoilant sa formidable poitrine mise en valeur par un soutien-gorge en dentelle noire. Charles et moi, nous ne pûmes nous empêcher de regarder, d'autant plus qu'on voyait les pointes brunes percer quasiment le tissu. C'est moi qui perdis la seconde manche. Je retirais mon chemisier. Charles ne savait plus où regarder. Puis c'est lui qui perdit deux fois de suite. Il retira son polo et ses jeans. J'avais l'impression qu'il était un peu serré dans son boxer. Mélanie perdit la 5ème manche. En souriant, elle dégrafa son soutien-gorge et dévoila son opulente poitrine. Charles commençait à avoir très chaud. C'est moi qui perdis ensuite deux fois de suite et je dus ôter ma jupe et mon soutien-gorge.

« Pouce », dit Mélanie. Mangeons d'abord un morceau avant de continuer! »