L'esclave Mystère Ch. 12

BÊTA PUBLIQUE

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-Les ponies ne parlent pas. Mais tapent 1 fois sur sol pour non... » commença la palefrenière. Je frappais le sol par deux fois.

-Oh tu connais? » me demanda-t-elle. Je secouais la tête pour dire un peu.

-Humm, bien. On va dans la salle de préparation. » me dit-elle

Quelques instants plus tard, nous entrâmes dans une salle avec un forte odeur de cuir. Il y avait des harnais, des bottes, des colliers. J'allais bientôt essayer ça. J'insiprais. Ce qui me faisait le plus peur c'était ces coups de cravache et de fouet.

-Déshabille-toi. Tu ne va pas me causer de soucis? » me demanda-t-elle. Je frappais une fois sur le sol en me retenant de ne pas répondre à l'oral.

-Oh, mais tu as un truc en plus, toi! » dit-elle en voyant ce qu'était devenu mon pénis dans son clitorimophe. Elle commença par un harnais qui se fixait autour mon torse et soutenait mes seins. Elle plia mes bras dans mon dos, et les attacha au harnais, les avants bras parallèles. La position me faisait me cambrer, ce qui faisait ressortir mes seins.

-Dommage qu'il n'aient pas été percés » me dit-elle en pinçant mes tétons. Puis elle posa une pince avec une clochette sur chaque téton. Je me retenais de crier. Les bottes en frome de sabot qui m'obligeait à être sur la pointe des pieds vinrent après une forme de culotte en cuir. Il y eut ensuite le mors. D'un côté je ne pouvais plus parler, et je n'avais plus à me retenir, d'un autre côté c'était encore un élément inconfortable.

Puis je sentis un léger coup de lanière de cuir sur ma fesse. Puis un second.

-Allez, Prue on avance. » me dit la palefrenière

Faire des pas avec les bottes était assez angoissant, surtout avec les mains dans le dos. Mais après une dizaine de pas, je commençais à prendre l'habitude. On me conduisait dehors. L'angoisse montait, surtout quand j'aperçu Mylady avec un grand fouet. La palefrenière déroula une grande laisse, une longe et en donna l'extrémité à Mylady. Je réalisais alors que j'étais dans une carrière.

-Allez, on marche au pas. » dit-elle. Je m'exécutais : elle était du côté du manche du fouet. Bêtement je marchais en ligne droite, et quand la longe, s'est tendue, j'ai commencé à tourner.

-On lève les cuisses à l'horizontale. dit-elle en faisant claquer son fouet loin de moi. Le signal était pourtant clair : elle n'hésiterait pas à s'en servir.

-C'est pas mal, ça... aller on trotte! » dit-elle encore en faisant claquer son fouet.

-Non un peu moins vite, là tu es au petit galop. » corrigea-t-elle en tirant sur la longe. J'essayais de trouver l'allure qui lui allait. Elle ne fit pas plus de remarques, mais me fit faire deux tours.

-Maintenant au galop » cria-t-elle, le fouet claqua plus près de moi me sembla-t-il. J'accelerais la cadence.

-Ca se traine ça! » cria-t-elle en refaisant claquer le fouet, je cru sentir un souffle d'air.

-Plus vite! » hurla-t-elle, mais cette fois ci, la brulure sur ma fesse me confirma la proximité du fouet.

-Voilà, comme ça, encore » m'encouragea-t-elle, en continuant à me lécher les fesses du bout de son fouet.

Après un tour, elle me refit me mettre au pas. Puis au trop. Enfin je repassais au pas, et la palefrenière repris la laisse pour me détacher.

-Tu as gagné le droit d'acheter Marilyn. » me dit Hélène dans la voiture.

C'est le jour suivant que nous sommes passées au STRASS.

-Vos protégées ont été livrée hier par SlaveEX. Elles ont passé une journée en conditionnement hypnotique. Aujourd'hui, elles vont apprendre les bases pour sucer. Marilyn et Armelle n'étaient pas seules à genoux devant des pénis synthétiques à apprendre à les enfiler au plus profond de leurs gorges. Devant le bureau de la directrice, une esclave était attachée sur cheval de bois. Manifestement l'arrête sur laquelle reposait tout son poids lui laminait le périnée. Mais les mains attachées dans le dos, et les pieds ne touchant pas le sol, elle n'avait pas d'alternative autre que d'attendre la fin de supplice.

-Qu'a-t-elle fait? » demanda Hélène.

-Rien si j'ose dire. Les esclaves qui ont des résultats trop médiocres passent 8 heures sur le « wooden horse » après elle font tout ce qui leur est possible pour ne plus y retourner » nous dit la directrice avec un petit rire satisfait.

Nous sommes repassées tous les deux jours voire Marilyn et Armelle. Chaque jour elles apprenaient de nouvelles choses et découvraient leur nouveau corps.

-Marilyn, je suis passé voir Lady Shackletown. » dis-je un jour.

-Oh, Et qu'a-t-elle dit? » me demanda-t-elle.

-Elle m'a dit qu'elle ne chercherait pas à t'acheter. J'ai même dû faire la pony pour ça. » expliquais-je

-Merci, Prue. Merci. Merci pour tout. » me dit Marlyn.

-Tu me remerciera plus tard. Après la vente » dis-je. Marilyn me regarda curieusement.

-Que veux-tu dire? »

-Elle me l'as promis. Mais vu sa considération pour les esclaves, j'attends de voir. »

-Merci d'avoir essayé. Et d'avoir eu de la considération pour une esclave. » me dit Marilyn avant de m'embrasser.

Semaine après semaine, nous voyons les évolutions de nos protégées et leurs traits féminins se dessiner de mieux en mieux. Et bientôt elles allaient passer aux enchères.

Le jour des enchères, Debbie's Slaves avait obtenu son prêt. Debbie n'avait eu aucun mal à obtenir que je sois celles qui menait les enchères en tant que gestionnaire de la société. Marilyn et Armelle avait été délivrées du STRASS au Cock&Cunt par SlaveEx. Hélène et moi avions surveillé cela. Marilyn avait appris, et ne se fit pas remarquer, en passant une nouvelle fois les étapes d'évaluation avant la vente

Ce vendredi soir, je me trouvais donc dans l'amphithéâtre, quand Marilyn entra sur la scène. Elle avait dû être bien préparée. Elle se plia à effectuer les mouvements demandés par le commissaire-priseur.

Dès que ce dernier lança les enchères, je levais la main. Il dirigea son marteau vers moi.

Bien entendu, il y avait d'autres enchères. Je laissais le prix monter, mais dès qu'un calme s'imposa, je levais la main à nouveau. Personne ne semblait vouloir monter après moi. Une affaire pour Debbie's Slaves, moins pour mon nouveau produit.

-Je me doutais que je vous trouverais ici,» dit une personne qui s'installa à côté de moi, avec une voix féminine un peu hautaine.

-Oh, Bonjour Mylady, » dis-je embarrassée. Hélène n'était pas là car elle voulait être proche de l'entrée des esclaves pour motiver nos deux recrues.

-Qui dit mieux une fois » dit le commissaire.

-Je ne pouvais pas vous laisser comme ça, » me dit Lady Shackletwon.

-Euh, je... comme vous souhaitez, Mylady » répondis-je

-Qui dit mieux deux fois » dit le commissaire.

Elle me regarda dans les yeux, et leva la main.

-L'enchère est relancée! » dit le commissaire. Je n'osais monter. Je supposais que Mylady avait un budget bien plus important que le mien.

-Qui dit mieux une fois » dit le commissaire.

-Alors, tu remontes, petite pute? » me demanda Mylady. La terme de pute ne me choqua pas, il ést courant de traiter les esclaves de salope, de trainée. Pute est moins courant.

-Je... je ne suis qu'une esclave. » dis-je.

-Qui dit mieux deux fois » dit le commissaire.

-Oui, et une petite pute. » ajouta-t-elle. Là elle insistait.

-Je ne suis qu'une esclave et une petite pute... » répétais-je supposant que c'était ce qu'elle voulait. Je me demandais si elle faisait référence à mon statut d'esclave, où à mes activités du soir.

-Qui dit mieux trois fois » dit le commissaire.

-Ta maitresse t'a louée pour le week-end. Tu prendras le même SlaveEx que Marilyn. »

-Adjugée, vendue! » dit le commissaire. Marilyn était la propriété des « Pony Pride Stables »

Ma voisine se leva et disparu.

C'est Armelle qui apparu sur scène. Je me sentais coupable de n'avoir pas pu acheter Marilyn. J'étais inquiète de voir Mylady réapparaitre, mais il n'y eu pas beaucoup d'enchères pour Armelle. J'en fit facilement l'acquisition.

-Debbie m'a appelée pour me dire qu'une cliente t'avoir loué de ce soir à Lundi matin. » me dit Hélène peu de temps après la vente.

-Je sais : Mylady. »

-Aïe. »

-Oui... tu t'occupes d'Armelle? »

-Oui, juste il faut que tu la sortes du marché. C'est Debbie's Slave qui est propriétaire.»

-On y va? »

-Oui, et juste après je te dépose au quai, pour expédition, » expliqua Hélène.

Quelques minutes plus tard nous étions dans des cages-canettes Marilyn et moi, alors d'Hélène tenait Armelle, nue en laisse. Notre chargement n'allait pas tarder. 2 jours de pony pour moi. 5 ans pour Marilyn.

Bien plus tard.

J'étais esclave depuis 5 ans quand, alors que j'allais entrer dans la chambre de ma maitresse, je réalisais qu'elle était en discussion avec une autre personne. Je ne pus m'empêcher d'écouter à la porte.

-Humm, Bonjour Mag, tu veux que je te remette une ceinture de chasteté et un collier? » Dit ma maitresse sur le ton de plaisanterie qu'elle utilise quand elle est mal à l'aise.

-J'avoue avoir été soignée. Ce que je voudrais, c'est savoir pourquoi? » dit l'inconnue avec un accent du Nord, et sur un ton de reproche franchement assumé.

-Parce que tu mourrais d'envie d'être une esclave, ma chérie. Tu es née pour porter un collier. Je suis sûre que tu mouilles d'envie que je te mette des menottes, » dit ma maitresse du ton agressif qu'elle peut prendre quand elle se sent acculée : La meilleure défense c'est l'attaque. Que c'était-il passé entre ces deux-là?

-J'ai une autre idée. Tu m'as vendue à Pedro Alfonsi. » Accusa l'inconnue.

-Non. C'est le SCCM qui t'a vendue. Et c'est le centre des roux qui t'achetée. Tu as dû en gouter de la ceinture de chasteté. Chez Alfonsi c'est autre chose » rétorqua Debbie. Effectivement le centre des roux tient à contrôler qui féconde ses esclaves rousses. Alfonsi, lui, possède les pires bordels de Géorgie. Mais ce dernier avait peut de chance d'acheter l'inconnue. Pour avoir été achetée par le centre des roux, il fallait qu'elle soit rousse. Et le centre des roux achète toutes les esclaves rousses mises en vente au Cock&Cunt. Si Maitresse avait vendue l'inconnue par le Slaves Cock and Cunt Market, c'était peut-être un moyen pour qu'Alfonsi ne l'achète pas justement.

-Mais lui pourquoi t'a-t-il acheté? Pourquoi t'a-t-il libérée? » Maitresse avait été la propriété d'Alfonsi apprenais-je.

-J'ai su lui dire... »

-Que tu lui apporterais Marguerite O'Sullivan? » lança l'inconnue.

-OUI, oui, j'étais prête à tout pour ne pas passer 5 ans de plus au centre des roux, et pondre 4 mioches de plus. Passer 5 ans à faire la pute et à me faire enculer parce que je porterais une ceinture de chasteté. Et quand j'ai fait ça, nous ne nous étions vues qu'une fois, » cria ma maitresse. Il fallait que j'intervienne.

-Maitresse? quelque chose ne va pas? » demandais-je en entrant sans frapper. Les deux rousses me regardaient bizarrement. Moi-même j'étais surprise d'être là entre ces deux femmes libres, deux rousses, deux anciennes esclaves.

-J'avais encore quelques questions. Pourquoi n'es-tu pas passée par le Juge Fulton? » demanda Mag, la fameuse policière Canadienne qui s'était retrouvée esclave au centre des roux d'Atlanta ( voir Le centre pour roux).

-Par qui? Et Pourquoi donc? » Ma maitresse était vraiment surprise par cette question.

- Pedro Alfonsi, faisait valider les filles qu'il enlevait par ce juge, et elles étaient vendues au Savannah Slave Market » ajouta l'ancienne policière. J'avalais ma salive. Le SSM, n'avait pas la réputation du Cock&Cunt.

-J'en sais rien. Moi je devais m'arranger pour que tu sois en vente et les prévenir pour qu'ils puissent être à la vente. » reconnu Debbie.

-Ils m'avaient dit qu'ils travaillaient beaucoup à Savannah, Mais une rousse doit être vendue à Atlanta, non? » ajouta ma maitresse. Sans doute avait elle fait ça pour donner une chance à Mag de ne pas être achetée par La société de ce dernier, l'ASSE "Advanced Servitude and Slavery Enterprise" (Entreprises avancées de servitude et d'esclavage).

-Je crois oui » dit Mag qui semblait réaliser que dans sa duplicité ma Maitresse avait eu une pensée pour elle, margré tout.

-Et ils t'on payée? » demanda-t-elle encore.

-Non, et oui. Ma paye a été ta vente et mon rachat suivi de ma libération. » expliqua ma maitresse

-Quelque part tu as fait les 5 ans auxquels j'ai échappé. Tu voulais tellement être esclave. » inssita-t-elle. Peut-être aurait-elle du faire profil bas.

-Jouer me suffisait » siffla Mag

-Je suis pas sure que j'avais le choix une fois que j'avais dit oui à Alfonsi. » laissa sortir Debbie. Connaissant la réputation d'Alfonsi, je crois qu'effectivement ma maitresse n'avais plus trop le choix.

-Je crois qu'il est mieux que tu partes. » ajouta ma Maitresse, au bord des larmes.

-Comment t'as-t-il proposé ça? » continua Mag. Je comprenais son besoin de savoir.

-Le jour où il m'a 'testé'... il avait ce journal avec ta photo. Il m'a fessée, puis fouettée. Et il m'a montré la photo, ta photo. Et il a ajouté, tu prends pour elle. Si un jour je l'ai sous la main, je la ferais gémir, elle regrettera d'être née, et de s'être opposée à moi. »

-Et... »

-Je lui ai dit que je te connaissais. Et il arrêté de me taper dessus... enfin, » dit Debbie. La mémoire de cet évenement lui semblait douloureuse.

-Et il t'a demandé de me faire venir? »

-Oui, et ça a été plus facile que je ne pensais » continua Debbie, encore une fois à sa place je n'aurais pas insisté.

Il y eut un moment de silence.

-Debbie's Slave, paye la taxe de réhabilitions des esclaves? » demanda Mag sur un ton différent. On venait de changer de sujet. 'Bien sûr,' pensais-je.

-Je ne crois pas qu'on ait le choix. » dit Debbie, qui ne savait pas grand-chose de sa propre société de gestion d'esclaves.

-Si, tu peux choisir de la payer à un centre en particulier. » dit Mag, avec raison.

-tu as un copain à financer? » cracha Debbie.

-Peut-être. » lança Mag.

-Tu verras avec le gérant de Debbie's Slave. Je lui en parlerais. » finit Debbie.

Je savais enfin comment ma maitresse avais financé mon achat : elle avait vendu une innocente en esclavage, et obtenue en échange sa liberté, et la possibilité de m'exploiter.

Jamais Debbie ne me reparla de cette discussion. Je pense qu'elle se doutais que j'avais écouté. Mais cela resta un non-dit. Pour la taxe sur les centres de réhabilitation, j'ai fini par trouver le RESCUE « Rehabilitation and Empowerment Support Center for Unfree Entities" (Centre de soutien à la réhabilitation et à l'autonomisation des entités non libres) géré par des Canadiens.

Un an plus tard, c'est là que je conduisais Armelle. La loi oblige à libérer une esclave avec une tenue et $50,00 en poche. Armelle était une esclave volontaire. Hélène et moi lui avions fait mettre en sécurité ce qu'elle possédait. Mais j'avais tenu à lui laisser $1 000,00 et une valise de vêtements.

-Ça va me faire bizarre d'être libre et de ne plus faire la pute avec toi et les autres » me dit Armelle avant de descendre de voiture.

-Il parait que c'est une étape difficile, mais je ne pourrais pas t'accompagner. Il parait qu'ici, ils font ça bien. »

-Merci Prue... » dit Armelle, en laissant sa voix trainer.

-Oui? »

-Toi ce sera quand? »

-J'ai encore 14 ans à faire... » dis-je. Sans expliquer qu'en tant qu'esclave judiciaire, je n'aurais rien d'autre que ce que Debbie me laissera. Armelle était toujours là dans la voiture. La portière était ouverte. Elle avait un pied dehors, et l'autre dans la voiture. Elle me regardait.

-Armelle? »

-Je... »

-Oui... »

-Il va falloir que je trouve un travail? »

-Oui... Mais ici, ils vont t'aider... » dis-je a celle qui était déjà une ancienne esclave, mais ne le savait pas encore vraiment.

-Tu sais ce que je voudrais? »

-Quoi? »

-Hélène est ta maitresse au Cock&Cunt? »

-Oui? »

-Tu n'en as pas pour Debbie's Slaves? »

-Ben Debbie? »

-Regarde qui me conduit ici. D'ailleurs je ne suis pas sure que tu aies le droit... » Depuis la rencontre avec Mag, Debbie avait un faible pour la boisson. En plus de surveiller la société, je devais surveiller ma maitresse.

-Effectivement... »

-Alors... »

-Il faut que j'en parle à Debbie. »

-C'est toi qui décide. Elle, elle se laisse vivre avec l'argent qu'on gagne pour elle. » dit Armelle avec une moue.

-Tu sais bien que non. » mentis-je. Armelle se leva, et commença à fermer la porte, puis la réouvrit.

-Debbie's salves me financerait vaginoplastie? » me demanda-t-elle accroupie devant la porte.

-Pardon? »

-Une vaginoplastie, et je reste esclave 2 ans? »

-Admettons que j'accepte... dans deux ans, tu vas me dire quoi? »

-Que je veux être assistante de la gérante »

-Armelle. Tu files dans ce centre et on se rappelle dans quelques jours. Quand tu auras changé d'avis. » concluais-je.

Bien, Bien plus tard.

Quand j'ai fini ma période d'esclave c'est moi qui aie été conduite au RESCUE.

-Je comptais les billets, et je m'apprêtais à tirer ma valise.

-Ca me fait peur » dis-je ouvertement.

-Je comprend, mais il y a forcement un moment où il faut passer à autre chose » dit Hélène à l'arrière de la voiture.

-Je ne sais pas faire grand-chose d'autre... et je ne peux jouir que par sodomie, ce qui passable d'une peine d'esclavage. » me justifiais-je.

-Et vous m'avez donné $5 000,00, mais je ne possède rien d'autre! »

-Arrête de pleurer Prue, tu restes gestionnaire de Debbie's slave » me dit Armelle, qui était devenue mon assistante après 18mois d'esclavage supplémentaire pour financer sa vaginoplastie.

-Oui, mais je me sentirais mieux d'être avec l'une de vous.

-Prue. Tu files dans ce centre et on se rappelle dans quelques jours. Quand tu auras changé d'avis ».

Je ne pus que sourire.

Ma surprise fut d'être accueilli par Mag, entièrement nue, comme si elle était une esclave.

-Bienvenue ici. Ici tu peux te comporter en esclave ou en personne libre » me dit-elle.

-Tu pourras prendre le temps d'évoluer de ton statut d'esclave vers celui de personne libre. » ajouta-t-elle.

Le lendemain, Voyant Mag, j'allais vers elle.

-Madame? » demandais-je.

-Appelle moi Mag. » me dit-elle.

-Mag... je... tu... » commençais-je

-Tu est une des esclaves de Debbie? » me demanda-t-elle.

-Oui, je suis celle qu'elle a acheté avec le prix de votre vente... » dis-je malaisément.

-Mais c'était il y a... »

-20 ans... »

-On va t'aider ici » dit-elle en m'embrassant.

-Vous êtes bien la policière... » commençais-je.

-J'ai été la policière, je luttais contre l'esclavage. Maintenant j'aide les esclaves à redevenir libres. »

-Mais vous êtes nue dans le centre... comme une esclave. »

-Oui, dans le centre je fais ce que je veux : toi aussi. Libre chez toi tu feras ce que tu veux. Ça ne regarde personne. »

-Je... ne... sais pas. J'ai été... »

-Féminisé. Beaucoup d'esclaves de Debbie ont été féminisées, mais de leur propre volonté. » me dit-elle. « Il y avait une forme de deal, quelques années comme esclave contre les opérations de transition. » me dit-elle.

-Celles que j'ai acheté, oui. Moi pas. »

-Ah. Je ne pense pas pouvoir t'aider à redevenir un homme. » me dit Mag en me prenant dans ses bras.

-Ce que je veux dire c'est que je ne peux plus jouir que par sodomie. Et je ne voudrais pas être condamnée... » dis-je.

-Rassure-toi. Ce qui est condamné ce sont les cas d'hommes sodomisés. Tu seras vue comme une femme maintenant. Après si tu es inquiète on doit pouvoir t'indiquer des solutions. Ici, personne ne peut te reprocher de faire ce que fait une esclave. Et il y a des formes de contrat d'esclavage intermédiaires. » me dit-elle.

-C'est pour vous. » me dit une personne en me donnant un téléphone.

-Allo, Prue? »

-Oui, Hélène? »

-Je voulais savoir si ça allait mieux que quand on t'a déposée hier? »

-oui » mentis-je. En fait je me demandais si je n'allais pas signer un contrat avec Hélène ou Armelle.