Les Voisins

Informations sur Récit
Charmants, quoique ...
3k mots
3.84
18.3k
1
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
Rainett
Rainett
63 Admirateurs

J'ai obtenu cette villa en banlieue pour une bouchée de pain. Les anciens propriétaires étaient pressés de vendre. Un problème avec les voisins, je crois, je n'ai pas bien compris. En fait, le voisin était un homme charmant.

Quand nous avons emménagé, il est venu avec ses deux grands fils, nous proposer spontanément son aide. Tous les trois étaient très costauds, et leur aide a été efficace et précieuse. Mais, les déménageurs partis, ils ont changé de discours.

«M. Gouilloud» dit ma femme en reculant devant la lente avancée du père. «Je ne pense pas que ce soit ... euh ... correct ... Il aurait fallu nous le dire avant!»

«Nous vous avons aidé à emménager, toute la matinée, et vous nous devez 200 euros ... Chacun ... En espèces!»

Ma femme, le dos contre le mur du vestibule, ne pouvait plus reculer. Le père, le regard fixé sur les nichons de ma femme bien visibles sous le T-shirt humide de sueur, s'est approché encore un peu. Son ventre proéminent frôlait les tétons dressés de Bérengère.

«Maintenant, poupée, il y a différentes façons de régler ce litige ...» dit-il, le regard humide de désir. «Tes vêtements sont parfaitement appropriés pour en montrer plus qu'ils ne cachent. J'ai tout de suite vu que tu étais une petite cochonne!»

Il a posé sa main dans le cou de ma femme, sous l'oreille. De l'autre main, il a saisit son poignet et il a entraîné la main de ma femme contre son entrejambe, juste à l'endroit de son renflement.

J'ai clairement vu les yeux de ma femme s'écarquiller de surprise et ses lèvres esquisser un "O". Maintenant fermement le poignet de ma femme, il frottait sa main contre son impressionnante protubérance.

«Je pense que si tu apprécies ce que j'ai à t'offrir, nous pourrions peut-être arriver à une sorte ... d'arrangement. Dis-moi, que penses-tu de ça?»

Il m'a jeté un regard de défi à travers la pièce : «Pas vrai, l'ahuri?»

Je ne me risquais pas à le contrarier. Le fils cadet m'avait passé une clé au bras, me tordant à la fois le bras et le poignet, et chaque tentative de ma part de prendre la parole, se soldait par une pression supplémentaire vers le haut, qui m'arrachait des gémissements de douleur.

J'ai tenté de haleter : «Soyez raisonnables. Aïe! Je suis sûr que nous pourrons trouver un terrain d'entente! Aïe!»

Mais l'aîné des Gouilloud, Jacques, s'est approché de ma femme en ricanant. Saisissant son mamelon entre le pouce et l'index, il l'a fait rouler entre ses doigts crasseux. Les yeux de Bérengère s'écarquillèrent et sa bouche s'ouvrit. Elle a dit dans un souffle: «Je suppose que nous pourrions au moins en discuter.»

J'ai fait une nouvelle tentative : «Je n'ai pas de liquide sur moi. Aïe! Mon chèque est parfaitement valable. Aïe! S'il vous plaît. Aïe! Laissez-la tranquille!»

Le père et le fils aîné maintenaient ma femme contre le mur. Elle n'essayait pas vraiment de se défendre. Le père avait lâché son poignet, mais elle n'avait pas retiré sa main. Elle semblait incrédule devant le volume de l'engin, tandis que le deux hommes soupesaient ses nichons, appréciant le volume et l'élasticité.

J'ai essayé de l'encourager à résister, mais le cadet, Charles, a porté une pression brutale sur mon bras qui a failli me décrocher l'épaule. J'ai crié, au bord de l'évanouissement. Il a relâché la pression, et j'ai pu articuler :

«Nous n'avons pas à négocier avec ces brutes!»

Bérengère m'a jeté un regard dur. «Si je dois compter sur toi pour me protéger, je suis mal embarquée. Je suis bien obligée de négocier directement avec eux.»

Sa main ne quittait plus l'entrejambe du père, se déplaçant lentement de haut en bas. Déjà, pendant le déménagement, j'avais surpris ses regards appuyés en direction de la musculature avantageuse des hommes. Son regard se déplaça vers le fils aîné qui tripotait ses nichons. Entre ses cils mi-clos, son regard de chatte observait le jeune homme :

«Peut-être pourrions-nous en discuter dans la pièce voisine?»

«Bérengère ... mais ... Ayayaïe!»

Le jeune mâle entraîna ma femme dans la pièce voisine. J'entendais leurs voix sans pouvoir discerner ce qu'ils disaient. Puis il a éclaté de rire. Le rire cristallin de Bérengère a répondu au rire grossier de Jacques.

Comment osaient-ils? Presque devant moi, en ma présence.

J'ai essayé de me rebiffer pour porter secours à ma femme, et Charles a accentué sa prise pour me forcer à m'agenouiller. Il me tenait là, bloquant mon bras, impuissant. Le père s'est approché de moi de son pas lent et lourd, en dégrafant sa braguette. Il en a sorti un pénis à demi-érigé, aux proportions gigantesques.

La seule chose qui m'est venue à l'esprit, c'est que le mien, en comparaison, était ridicule. Il se caressait le manche nonchalamment, secouant son pénis sous mon nez.

«Ouvre ta bouche, mon chéri, tu vas bien me faire une petite gâterie!»

«Hors de question! Tu peux crever!»

La gifle a failli m'arracher la tête. La seconde a failli me rendre sourd. Ou idiot. Ou les deux. J'ai ouvert la bouche ...

Il ricana et introduisit sa grosse viande entre mes mâchoires écartées. Il a rempli ma bouche en appuyant fortement sur ma gorge. Il m'a indiqué quelques instructions fermes. J'avais trop peur pour désobéir. Je l'ai sucé, léché, m'étouffant sur son énormité. J'avais envie de pleurer.

Dans la pièce voisine, j'ai entendu ma femme s'extasier. La dotation du fils était probablement égale à celle du père.

La voix grave du fils aîné a répliqué: «Alors poupée, viens me sucer!»

«Mais, mon mari est juste à côté!»

«Aucun problème. Papa est en train de s'occuper de son initiation. Je te parie qu'il lui apprend à sucer!»

«Vraiment? Je veux dire, j'ai toujours su qu'il n'était pas très viril. Mais penses-tu qu'il est vraiment ... bisexuel?»

«Bien sûr. Ce matin, il a passé son temps à lorgner nos protubérances, comment cela remplissait nos pantalons. T'inquiètes pas pour lui. Papa est très doux. Je suis sûr qu'il est en train de déguster son salami. Bientôt, il pourra rivaliser avec n'importe quelle salope. Allez, viens, assez discuté!»

Entre les deux pièces, des sons similaires se répondaient, comme un écho. Mais les sons émis par ma femme étaient entrecoupés de ronronnements et de soupirs. Tandis que de mon côté, les bruits de succion s'accompagnaient de gargouillis dû à l'étouffement et à la nausée.

Après quelques minutes, le père m'attrapa par la tignasse pour me forcer à lever les yeux vers lui.

«Écoute, petite fiotte. Tu n'es pas assez concerné. Tu rêvasses, tu suçotes, ça ressemble à rien. On va aller les rejoindre à côté, de voir ta femme à l'œuvre, ça va te motiver!»

Il a ressorti sa bite de ma bouche avec un son humide. Il avait toujours ses doigts agrippés dans mes cheveux longs et me hissa sur mes pieds comme un sac de patates. J'ai hurlé, et des larmes ont jailli de mes yeux. Il m'a traînaillé en canard jusqu'à la pièce voisine. Le spectacle de ma douce femme agenouillée, torse nu, suçant goulûment l'organe dressé de Jacques, était horrible, insupportable.

Sa bite était encore plus grande que celle de son père. Elle massait ses lourdes bourses en le regardant avec adoration. Charles m'a poussé à genoux à côté d'eux. Le père a tenu son membre rigide devant ma bouche. Je l'ai englouti.

Ma femme avait le regard orienté dans notre direction. Elle a vu mon geste. À la noirceur de son regard, j'ai réalisé sa méprise. Elle s'imaginait que je faisais cela volontiers. Maintenant, elle était certaine que j'avais un penchant pour sucer la bite de ces brutes.

Son regard furieux et méprisant s'est détourné de moi, elle a continué à travailler sur la virilité de Jacques, mais avec une vigueur renouvelée. C'était comme si elle entrait en compétition, pour me punir, pour montrer qu'elle m'était supérieure. Charles a lâché mon bras et j'ai pu, moi aussi, caresser le scrotum et le manche du père.

J'étais incapable de sucer suffisamment profond sans déclencher un réflexe nauséeux, incapable de grogner et de gémir de plaisir comme elle, incapable d'avoir ce regard amoureux pour l'homme que je suçais. Son ardeur, sa féminité, tout me condamnait à la défaite.

Le père a pris ma tête entre ses mains puissantes et a commencé à baiser ma bouche, poussant plus loin, plus fort, augmentant progressivement son rythme. Il souriait en violant mon visage.

Jacques n'avait pas la résistance de son père. À ses mouvements saccadés, j'ai compris qu'il se vidait dans la bouche de ma femme. Elle a tout avalé. Elle avait un peu de mousse blanche à la commissures des lèvres, mais elle léchait, ravie, la grosse bite de l'aîné.

Je ne parvenais pas à croire ce que je voyais du coin de l'œil. Bérengère se caressait le visage avec le pénis encore tendu de l'aîné, pendant que le cadet, à demi-vautré devant elle, lui suçait les nichons.

Le père m'a donné quelques poussées impatientes de plus, et je ne pouvais plus m'intéresser à ma femme, parce que son sperme chaud et visqueux coulait dans ma gorge. Je ne l'avais pas pris assez profondément, alors ce que j'ai reçu a débordé de ma bouche, coulant sous mon menton et sur mes vêtements.

Je gargouillais, suffoquais, sous le regard narquois et méprisant de ma douce et tendre épouse. Un sourire tordu sur les lèvres, elle m'a apostrophé :

«C'est quoi ton problème, puceau? T'arrive pas à sucer sa grosse bite proprement?»

«Moi, je ne l'ai fait que sous la contrainte!»

«Ah, ouais, d'accord. Tu t'es défendu comme un lion pendant une demie seconde, et tu veux me faire la morale. J'ai vu à quel point tu avais faim, quand tu t'es jeté dessus. Ne me mens pas, petite fiotte!»

Je me sentais comme une merde, devant les regards dépourvus de complicité ou de sentiment de mes tortionnaires et les critiques infondées de ma chère épouse. Je reniflais, bavais et sanglotais, submergé par ce déluge de sperme. Je ne présentais pas l'image du mâle viril, mais pourquoi me traiter aussi mal?

Le père m'a tapoté la tête avec condescendance : «T'inquiète pas, gamin, je connais des tas de mecs qui aimeraient se faire sucer par ta savoureuse bouche de petite salope.»

Les trois salopards se marraient devant ma mine déconfite, mais le pire, c'est que Bérengère se marrait avec eux. Cramponnée à la grosse bite de Jacques, avec Charles pendu à ses mamelons, elle se sentait forte. Méchamment, elle a insisté :

«Une bonne petite suceuse, une petite salope à la bouche savoureuse, je l'ai toujours su! Plus question de planter ta petite queue d'écrevisse dans ma moule. Désormais, c'est réservé aux hommes, aux vrais. Tu ne pourras t'en approcher qu'avec ta langue, puisque tu es si bon pour sucer. Après que les hommes m'auront remplie de leur crème épaisse, tu viendras faire le ménage, comme un bon toutou!»

«Non?» s'étonnait le père. «Tu interdis l'accès de ta chatte à ton mari, et il accepte?»

Bérengère s'est esclaffée : «Dorénavant, pour vous trois, c'est porte ouverte. Quand vous voulez. Lui, il aura les miettes, le boute-en-train, celui qui émoustille la femelle et laisse la place toute chaude aux mâles, aux vrais! Il aura le privilège de lécher ma chatte pour me nettoyer après votre passage, lorsque vous m'aurez bien labourée avec vos grosses bites!»

«Il ne sera pas trop à plaindre, cela arrivera environ ... chaque jour!» estima Charles.

Ma vie future se déterminait devant moi. Bérengère, que je chérissais plus que tout, me répudiait. Submergée de désir charnel, promise aux prouesses sexuelles des voisins. J'ai essayé de la raisonner, mais elle m'a coupé la parole.

«Écoute-moi, je t'explique comment ça va se passer. Tout d'abord, j'appartiens aux Gouilloud, maintenant. Je ne me contenterai plus, à l'avenir, de tes coïts furtifs et sans saveur. Je me tiendrai accessible à mes amants, et pour tous les mâles bien montés qui voudront forniquer avec moi. Toi, on t'installera un lit de camp dans ton bureau. Tu te tiendras disponible envers mes amants et moi-même. Ceci devrait ravir une poule mouillée comme toi.»

Elle fit une pause et fut frappée par une inspiration subite : «Et si l'un de mes amants veut plus que ta douce bouche, si leur vient l'envie de ton cul tendre, de ta croupe de fiotte, ils seront les bienvenus là aussi.»

Son jeune amant a mis ses mains sous ses bras et l'aida sans effort à se relever. Il a déclaré :

«Merde, quelle salope. La façon dont tu parles à ce pauvre type, ça m'a fait bander. Que dirais-tu de m'accompagner dans la chambre pour essayer ton grand lit? Je suis prêt à faire connaissance avec ta chatte.»

Elle était enthousiasmée par cette proposition. Des étoiles fabuleuses brillaient dans ses yeux émerveillés :

«Déjà prêt? J'ai perdu l'habitude avec mon pitoyable mari. Adolescente, j'ai connu des garçons capables de remettre le couvert rapidement. C'était fabuleux. Mais celui-là, il n'est bon qu'une fois par semaine. Ou plutôt deux minutes par semaine, sans préliminaires ... Tu comprends pourquoi je suis sévère avec lui?»

«Je comprends, bébé. Allons régler ça tout de suite.»

«Attends, Jacques, mon chéri. Laisse-moi me déshabiller d'abord, devant mon mari soumis. Je veux qu'il voie ce qu'il n'aura plus, maintenant que je t'appartiens.»

Ses yeux sur moi, elle a commencé à se déshabiller en se contorsionnant. Je tentais de rester stoïque, tandis qu'elle s'effeuillait, jetant ses vêtements un à un dans ma direction. S'adressant au père :

«Pourquoi ne demandes-tu pas à la crevette de se déshabiller aussi?»

Le vieil homme a ricané, l'idée lui plaisait :

«T'as entendu la dame, crevette. Voyons ta jolie musculature, poupée. C'était plus facile de nous payer. Maintenant, en plus des 200, je suis contraint de rajouter les frais et les intérêts. 100 de plus. Chacun!»

Il augmentait le prix de leur travail? Pourquoi n'avait-il pas accepté mon chèque? C'était tellement humiliant et injuste. Vaincu, moqué, je me suis levé à contrecœur et j'ai tiré ma chemise par-dessus ma tête. Puis vinrent les mocassins et le pantalon. Quand mes bourreaux ont vu mon pénis, ils ont éclaté de rire, m'invectivant de sarcasmes. J'ai voulu dissimuler mes organes génitaux avec mes mains, mais ma femme l'a interdit.

«Ne cache pas ta petite bistouquette, bébé. Quand tu seras grand, à l'adolescence, elle grossira ... un peu! En attendant, elle te sert à faire ton pipi! Allez, sois gentil, tourne-toi et montre-nous tes fesses roses et dodues!»

«Merde» s'exclama Jacques. «T'as raison, il a un cul de fille!»

Bérengère était déchaînée, elle encourageait les voisins :

«Quand vous l'utiliserez de ce côté, faites-lui mettre une perruque blonde et du rouge à lèvres. Peut-être sera-t-il un peu moins moche. Et dites-lui de se lécher les lèvres en remuant son derrière, il aime tellement cela!»

Encadrée de ces jeunes amants qui se frottaient contre elle en la caressant, elle rayonnait en tâtant leurs biceps.

Le vieux se marrait : «Avant d'aller vous amuser avec mes fils, permettez-moi, chère madame, de fouiller dans votre garde-robe et votre trousse à maquillage afin d'améliorer un peu la présentation de la petite crevette. Je vais voir ce que je peux faire de cette petite salope. Peut-être avec un porte-jarretelles et une paire de bas ... et un soutif ...?»

J'ai entendu cela avec un désarroi croissant. Les garçons accompagnèrent Bérengère vers notre chambre conjugale. Elle marchait en tortillant exagérément des hanches, ses seins se balançaient. Avant de disparaître, elle s'est tournée vers moi pour me jeter un baiser du bout des lèvres, accompagné d'un clin d'œil et d'un geste grossier avec son majeur dressé, ce qui a fait rire le vieux.

Redevenu sérieux, le vieux m'a crié dessus pour me remettre à quatre pattes. J'ai obéi, le cœur serré. Il m'a recommandé de ne surtout pas bouger, puis il les a suivi dans la chambre :

«Putain de merde, les mecs, n'allez pas si vite. Ralentissez et profitez de la dame. Chère madame, où rangez-vous vos fanfreluches? Ici? Okay, je me débrouille.»

Un moment plus tard, il était de retour, ravi, les bras chargés du linge intime de ma femme. Il me tendait les affaires, l'un après l'autre. Je devais m'équiper sans me lever, me contorsionnant au sol. Il a terminé en me plaçant un fichu de soie autour du cou. C'était le cadeau d'anniversaire de ma femme. Je l'avais payé un prix fou. J'avais presque l'air d'une fille de mauvaise vie. Il me regardait, dubitatif, j'avais repris ma position à quatre pattes sans qu'il me le demande.

«C'est bien, ça, poupée. Tu as déjà compris ce qu'un homme aime. T'as pas beaucoup de poils, mais tu serais mieux épilé. Penses-y, pour la prochaine fois. Bon, c'est pas tout, mais j'ai un vieux copain, que j'ai connu en prison, il aime bien les poulettes dans ton genre. Laisse-moi une minute, je vais lui téléphoner.»

Sitôt dit, sitôt fait : « Hé, le Turc. J'ai des nouveaux voisins. Un jeune couple. La femme est charmante, elle s'amuse avec mes fils dans la chambre. Le type est docile mais bizarre. Tu te rappelles ce petit pédé qu'ils avaient mis dans notre cellule? T'aimais bien jouer avec? Bon, ben, mon nouveau voisin, il aime bien sucer la bite. Pareil. Ouais, mort de faim. En plus, il se déguise en fille pour qu'on lui casse le cul! Ouais, puceau? Peut-être? Faut essayer! Ça te tente? Tu as le temps de le dresser pour moi? Qu'il devienne aussi câlin que le petit pédé qu'on avait en taule! OK!»

Alors que j'appréhendais ma rencontre prochaine avec le Turc dominateur, le vieux rustre s'était approché de moi. Se penchant, il a agrippé ma tignasse pour me mettre à genoux. Il a sorti son pénis flasque et m'a giflé le visage avec, droite, gauche, droite, gauche.

Il grogna : «Mets ta bouche en cul de poule» Avec un tube de rouge à lèvres il barbouilla maladroitement mes lèvres et tout autour de ma bouche. Comme s'il dessinait une cible. Rouge vif.

«Le Turc sera là dans cinq minutes, poupée. T'as intérêt à être bien salope et lui faire plaisir si tu veux t'en tirer sans trop de casse. C'est pas un sentimental, il n'aime pas qu'on lui résiste, alors fais bien ta pute!»

Juste à ce moment-là, j'ai entendu ma femme crier d'extase. Ma virilité était détruite et la nuit était encore jeune.

Rainett
Rainett
63 Admirateurs
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
5 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans
J'espère qu'il y aura une suite

La réaction de sa femme est surprenante.

On se demande si elle a eu un jour des sentiments pour lui, vu comme elle le détruit.

Il aurait mieux fait de discuter un peu plus avec les anciens proprio de ce qui les avait conduit à vendre leur maison à bas prix ;)

OlivX

AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans

J'aime beaucoup et surtout les maris contraints dommage que les choses soient acceptées un peu vite. Aurailiens

AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans
Excellent

Excellent! Très excitant et bien écrit.

J’adore ces histoires de candaulisme.

Bravo à l’auteur!

J’espère qu’une suite est prévue ? !!!

AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans
Hmmm

Bon départ

La femme a été un peu trop vite d'accord, mais à part ça c'est peut-être le début d'une bonne série

Partagez cette Récit

Histoires SIMILAIRES

Un EVG Qui Dérape Ch. 01 L'enterrement de vie de garçon dérape au sex shop...
La Soumission de Lucien Lucien domine par 2 Dominatrices.
Neighbourhood Terror to Sissy Pt. 01 A story about a neighbour who wants some payback.
Edie Pt. 02 - Her Sweat Edie blindfolds me and has some sadistic fun.
From Soccer to Sucker Pt. 01 A womanizer gets tricked into a bet.
Plus d'histoires