Les Trous De La Gloire - Deuxième

Informations sur Récit
Pratique particulière à de belles bourgeoises citadines -2 -
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Partie 2 de la série de 2 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 09/06/2022
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Suite de la première partie.

... La dame dans la cabine, écarte très largement les cuisses, s'accroupit à demi, montrant ainsi sa chatte très ouverte face à Freddy. Elle doit donc, par complément, montrer à Gino, ses fesses ouvertes et ses lèvres pendantes... Elle se branle de plus en plus fort et commence à haleter et à souffler. Elle a lâché le papier rose et maintenant se passe le doigt presque frénétiquement sur le clitoris...

- '' Je sens que ça vient, que je vais jouir et décharger..., dit-elle! Avant toute chose, j'ai besoin d'être sucée bien à fond, une langue sur le clito et un doigt au fond du con!! Je vais d'abord vers toi, dit-elle en s'avançant vers le côté de Freddy. Je respecte l'ordre ''.

Puis en direction de l'autre côté, elle ajoute :

- '' Ensuite je te donnerai mon cul et tu verras que tu ne seras pas déçu!''

Ce qui reste exceptionnel, c'est que cette femme parle aux mecs qu'elle ne voit pas... Jamais cela n'arrive d'ordinaire.

Les belles bourgeoises B.C. -- B.G. ne disent mot. Elles jouissent fort presque toujours, gémissent souvent, profèrent des mots orduriers pour elles-mêmes parfois, mais jamais ne s'adressent directement aux jeunes hommes qui servent leur plaisir...

Par contre, celle-ci ne semble pas avoir les mêmes références.

Elle s'avance vers la cloison de Freddy, se plaque le bas ventre à la paroi, écartant bien l'intérieur de ses cuisses de chacune de ses mains. Elle fait ainsi saillir sa motte et en particulier la zone du clito et tout le haut du con...

Freddy voit en haut de la chatte ouverte un très beau clitoris sortir d'entre les lèvres. Pour ce qu'il en a vu, tout à l'heure dans un premier temps, il n'aurait jamais pu penser que la blonde ait un clito aussi fort et aussi développé.

Il se dit qu'il devait être caché dans le repli des lèvres. Il avance sa bouche au contact du trou dans la paroi. En haut des lèvres entrouvertes, Freddy sent nettement la protubérance du clito se dresser sur le bord de sa bouche.

S'aidant d'un coup de langue, il l'aspire délicatement, mais fermement. La pointe de chair dressée, s'insinue dans sa bouche. Immédiatement sa langue vint à son contact. Puis tout en continuant de l'aspirer doucement, Freddy de la pointe de sa langue, titille le clito qui bande déjà de façon hors normes...

La femme dont il ne voit pas les réactions puisqu'il ne voit pas son visage, commence un lent mouvement tournant de son bassin et de ses hanches. Il ouvre alors davantage la bouche et gardant le clito sur la langue, il aspire les petites lèvres qui glissent entre les siennes...

Une saveur un peu âcre, avec une pointe d'acidité, lui déferle dans la bouche. Très vite cette saveur lui devint agréable, tant elle était chaude et subtile.

Tout en suçant les lèvres, il sent le haut de la vulve danser dans sa bouche. Du bout de sa lèvre supérieure et de la pointe de sa langue, il détaille le clito qu'il suce et aspire au gré du lent mouvement tournant de la dame.

Il ferme les yeux ce qui l'aide à se faire dans sa tête, une représentation de la taille et de la forme du clito comme s'il le voyait. Il est de belle taille, sans doute aussi gros que le bout d'un doigt dont il a un peu la forme. Peut-être un peu plus conique, de forme pyramidale plutôt.

La pointe devient progressivement très dure, alors que sa base large et importante à la naissance des lèvres, reste souple sous sa langue. Du fait de cette souplesse, il peut faire danser l'organe sur sa langue l'envoyant d'un bord sur l'autre.

Freddy se dit qu'avec quelques centimètres de plus, ce clito aurait pu être une bite. Une petite certes, mais une bite, tout aussi érectile et qui bande aussi bien, tant l'extrême pointe en est dure et en feu...

Le nez de Freddy, frotte sur la collerette de caoutchouc qui recouvre les bords du trou dans la cloison. Cette odeur particulière qui s'exhale de cette matière modifie complètement le goût qu'il éprouve du con de la femme.

De temps en autre, Freddy sent quelque chose frotter la pointe de son menton. Il met du temps à comprendre que la jolie garce tout en se faisant sucer le haut de la vulve, réussit en passant une main derrière ses fesses, à se mettre le majeur dans le trou du con et à se branler... C'était donc le bout d'un autre doigt de la blonde que Freddy sent passer sur son menton...

Bien qu'il ne la voie pas, Freddy sent que la blonde au-dessus de lui et de l'autre côté de la cloison, s'échauffe : il le sent au clito qui se durcit encore, et aux lèvres qui se gonflent que la jouissance de la jolie quinqua monte :

- '' Ah oui, vas-y, suce-moi bien! Oui, vas-y, aspire-le bien mon petit clito... Il te plait, hein...! Tu le trouves à ton goût? Vas-y!... Il y a tellement longtemps que l'on ne m'a sucé!... Ça fait des mois que j'ai envie de ça... Il a fallu cette pluie du ciel! Ah mon Dieu!.... Suce, vas-y mon grand suce-moi bien!... Ah, putain, je sens que ça monte...! Je vais jouir!... Ah oui, bon Dieu que c'est bon!!... Tiens petit, toi en face, regarde mon cul et branle-toi bien... Oh oui, j'aime ça que les hommes regardent mon cul... Ah putain!... J'y vais... Je suis partiiieeeee...''

Ce disant elle se plaque davantage encore à la paroi, écarte davantage les cuisses et s'ouvre bien le con avec ses mains. Une première vague chaude et un peu âcre de cyprine déferle dans la bouche de Freddy et lui inonde le gosier. Sous la violence et la quantité de liqueur, il en a même un haut le cœur. La femme met sa main sur sa motte et tout restant plaquée le plus possible à la paroi, elle se branle le clitoris avec frénésie, ce qui a pour effet d'augmenter encore sa décharge.

Elle éructe et crie des mots orduriers :

- ''Ah putain, que c'est bon! Ouiiiii!!!... Salooopppe!!... C'est bon!! J'aime décharger comme une folle... Je pisse ma liqueur dans ta belle gueule de maquereau, mon joli...! Je suis une salope, oui, je sais!! J'ai trop envie de bites... Il faut que je me retienne tout le temps, ce n'est pas normal, hein! J'aurais dû être une putain! Oui, c'est ça, une putain et décharger sur les mecs du matin au soir!... J'ai envie d'une bite dans la bouche!... Oh oui, une bite, il faut que je suce... Que je suce!! J'ai le con en feu il va falloir qu'on me baise aussi!! Ah, il y a tellement longtemps que j'attends ce moment!...

Par jets successifs, le foutre de la belle salope continue de couler dans la bouche de Freddy. Il en a partout : sur le visage, les yeux, les cheveux, le cou ; sa chemise est arrosée, tant les jets sont forts et intenses.

Puis, brusquement elle se dégage et se retournant elle met sa bouche au niveau du trou où se trouve Freddy et y tend sa langue. En même temps, se mettant en levrette, elle se colle les fesses ouvertes sur le trou de l'autre paroi car les cabines sont peu larges et plutôt exigües. Elle demande à Gino :

- " Regarde mon trou comme il est beau...Vas-y chéri, prends-moi... Mets-moi ta bite, que je la sente bien dans mon trou de coquine... Oh Oui... Comme ça, chéri, oui... C'est bon!... "

Au mouvement du corps de la belle bourgeoise, Freddy comprend que Gino, qui a dû mettre un préservatif, a déjà introduit son membre dans le con de la jolie coquine et a commencé le limage. On entend distinctement la friponne taper ses fesses ouvertes sur la paroi de la cabine. Elle demande à Freddy de lui présenter sa bite par le trou :

- " Et toi, donne-moi ta belle bite par le trou... Là comme ça... Oh, le beau morceau!... Donne chéri, donne que je le suce..."

Avec gourmandise elle happe le sexe de Freddy et pompe le gland avec de grands "schloupps "... Le va-et-vient donné par le mouvement de baise en levrette se répercute sur les mouvements de sucions de la blonde. Ainsi, alternativement à l'avancée de son corps, elle entre le braquemart de Freddy loin dans sa gorge et au recul, elle n'a plus que le gland dans la bouche dont elle titille le bout à coups de langue experts...

Visiblement la belle garce en veut. Et si ce qu'elle dit est vrai : qu'elle n'a pas été baisée depuis des mois, son manque n'est pas simulé, aussi profite- elle du moment à plein temps ...

Elle entre bientôt en transes : son corps et notamment ses jambes sont atteints de tremblements, elle pompe plus avidement encore le dard tendu à fond de Freddy. Elle amplifie ses mouvements d'allers et retours entre les deux cloisons...

Freddy sent que la langue tourne plus vite sur son gland en feu et que le pompage de sa bite s'intensifie.... Baisée bien à fond d'un côté, en suçant une belle queue de l'autre, la belle bourge ahane de plus en plus rapidement...

Encore deux va-et-vient et elle explose, les mains arc-boutées à la paroi, poussant ses fesses sur l'autre paroi, alors que Freddy lui lâche son foutre chaud dans la bouche. Elle avale. Et tout en léchant la liqueur blanche et chaude qui s'échappe encore du dard de Freddy, entre deux respirations, elle dit :

- " Oh, oui... Oh l la la... Super!... Merci de ce foutre chaud, j'en avais tellement envie... Et toi mon grand derrière, tu sens que j'ai déchargé aussi en même temps? Hein? Tu l'as senti?... Tiens regarde, je décharge encore un peu... Recule-toi et passe-moi ta langue sans la fente... C'est si bon d'être léchée quand on a joui..."

La jolie bourgeoise a en effet beaucoup déchargé, au point qu'une petite mare s'est formée sur le carrelage de la cabine entre ses jambes écartées.

Freddy se remet en position : il regarde par le trou du dessus. Il distingue parfaitement au niveau du trou en face sur le bois de la paroi, des traces humides de coulures laissées par la cyprine de la belle bourgeoise. La belle se décolle un peu les fesses de la paroi, elle demanda à Gino :

- " Chéri, passe-moi ton beau sexe dans la fente...Tu veux bien? Fais-le aller et venir sur toute la longueur, depuis mon cul jusqu'à en haut de la fente... Vas-y chéri... ".

Sans doute Gino s'exécute-t-il, car elle ajoute :

- " Oh, oui!... Comme ça, c'est bon... Continue... C'est super! Continue, oui... De haut en bas... Ah! C'est trop bon... ".

Elle s'est de nouveau arc-boutée pour bien appliquer ses fesses ouvertes au niveau du trou. De son observatoire, Freddy ne voit que les roulements des hanches de la blonde qui accompagnent les allers et venues du membre de Gino dans la fente chaude et glissante de liqueur de la femme...

Elle a encore un autre caprice.

Elle semble vouloir profiter à plein de l'espace qui lui est donné, demi-incognito, entre ces deux hommes qui sont là pour la servir en quelque sorte.

Aussi elle demande à Freddy de lui donner cette fois ses couilles à sucer par le trou de la cloison. Le jeune homme s'exécute et passe sa bite encore un peu bandée par le trou dans lequel à la suite, il fait passer les couilles dans ce qui reste d'ouverture. Elle s'en saisit d'une main et les aspire dans sa bouche, les palpant de sa langue et les malaxant de ses lèvres.

Puis en direction de Gino, elle demande :

- " Et toi, mon joli, ta bite me fait du bien, tu sais... Je voudrais que tu mettes juste le bout à peine enfoncé dans le trou de mon con et que là, tu te branles entre mes petites lèvres, juste à l'entrée... Oh, oui... Comme ça... Juste là!... Il y a une éternité que j'ai envie de sentir un homme se branler juste à mon trou de femme... Oh, oui, c'est bon... Continue... Et quand tu vas décharger, tu m'en mettras partout, hein... Sur toute la longueur de la fente... Oui, comme ça... Branle-toi, chéri, vas-y!... ".

Entre deux paroles, elle continue d'aspirer et de lécher les couilles de Freddy. En même temps, elle se frotte doucement la vulve ouverte sur le bout de la bite de Gino. Sous l'effet de la caresse à son sexe et sans doute aussi à cause du membre de Freddy dont elle frotte la base de son petit nez de femme du monde, la jolie bourgeoise donne de nouveau des signes de la montée de son plaisir...

- Vas-y, mon beau, vas-y branle-toi bien... Elle te plaît ma fente?... Elle te fait envie? Alors, caresse-la... Oh, oui... C'est bon là, sur les petites lèvres, je sens ton gland à l'entrée de ma chatte en feu... Oh, mais dis-donc, tu durcis de nouveau beaucoup, j'aime!... Je sens que tu vas cracher mon salaud... Tu vas me décharger sur le bord du con, hein?... Oh, oui... Je viens moi aussi... Ensemble tu veux... On y va!... On y va!... Oh putain, c'est bon! Je sens ta crème sur mes lèvres et dans l'entrée de mon trou... Ohhhhhhh, ouiiiiiiiii... Ouiiiiiiiii.... Je jouis aussi... C'est bon... Oh oui! "

Elle tire ainsi une nouvelle bordée. Freddy ne voit hélas pas grand-chose, mais il devine que la décharge de la belle mature a inondé la verge et le pubis de Gino.

Puis, comme si elle était devenue insatiable elle demande :

- " Enfonce-toi maintenant complètement dans mon trou, mon joli et baise-moi bien à fond pour me finir et me rentrer le reste de ton foutre.... Entre en moi... Vas-y! Ah, merci... c'est bon... C'est bon!!..."

Elle n'en peut plus et cette nouvelle pénétration vient l'achever. Après une courte pause dans cette position en levrette, où soit dit en passant elle se trouve depuis une bonne dizaine de minutes, elle lâche les couilles et le sexe de Freddy. Puis elle se désenconne de la bite de Gino qui devait commencer à ramollir et se laissa tomber assise sur la cuvette des W.C., fourbue, mais heureuse, le visage avec les restes de sperme de Freddy.

Ses cuisses et ses fesses sont encore dégoulinantes du sperme de Gino, mêlé de cyprine.

Elle en profite pour s'accroupir au-dessus de la cuvette des toilettes et pisse longuement.

Elle reste ainsi un instant à contempler sa fente ouverte où la petite houppe fauve présente des poils collés par les diverses sécrétions. Puis elle porte son regard vers les trous des parois, de chaque côté.

Dans l'un le vit de Freddy, maintenant bien redressé est de nouveau au garde à vous du côté de la femme. De l'autre, elle ne peut distinguer qu'un œil jeune qui l'observe. Elle fait de la main une caresse furtive au membre dressé de Freddy, puis s'adressant à l'autre paroi, elle dit :

- " Merci, mes bons amis, c'était vraiment extra! Vous m'avez donné du plaisir comme il y a longtemps que je n'en ai pas eu, moi qui en suis privé... Il faut que nous nous arrêtions là... Les meilleures choses une fin! ... Allez, à une autre fois peut-être... "

Freddy se rajuste rapidement. Il jette un dernier regard par le trou d'en haut.

Son œil surplombe la femme assise ; il voit par le dessus sa belle poitrine qui palpite encore doucement, l'intérieur de ses cuisses, ses genoux. Il voit quelque chose bouger par le trou de la paroi d'en face. Sans doute Gino se rajuste-il aussi.

Et il sort.

Il revient à son travail et reprend son service. La petite serveuse n'est pas dupe et lui adresse un petit clin d'œil et un sourire complice. Gino remonte à son tour et fait à Freddy un petit signe entendu...

Ce n'est que bien plus tard, en tout cas plus d'un quart d'heure après que la jolie bourgeoise est remontée du sous--sol. Très sûre d'elle, mais avec le rose aux joues. Elle avait remis sa robe légère encore très humide et froissée.

Avait-elle remis ses dessous sans doute encore trempés, c'était difficile de le savoir. Freddy en bon observateur remarque, pour lui-même, que l'empreinte du slip brésilien orange sous la robe ne se voit plus, en tout cas, pas comme à son arrivée, lorsqu'elle était trempée de pluie. Il aurait parié qu'elle ne l'a pas remis sur elle...

La femme blonde s'arrête au comptoir, demande à la serveuse un thé bien chaud, qu'elle boit très vite. Elle règle sa consommation, puis sans attendre sa monnaie et sans un regard aux garçons, elle sort de la brasserie, avec sa fière allure fine et dégagée, altière, toujours aussi digne, belle et pimpante...

Bien malin celui l'aurait soupçonnée de faire ce qu'elle a fait quelques minutes avant!...

Les deux jeunes hommes la regardent sortir et échangent un regard complice, sachant qu'ils ont rendu service à une très jolie femme et très sexy malgré sa cinquantaine...

D'autant qu'il leur reste à chacun, un gros billet en poche!

Et ça, il n'y a rien de tel pour vous égayer une journée de printemps, même quand l'on n'est qu'un simple garçon de café!

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