Ma Secrétaire Particulière 01

Voilà quelque temps que j'ai recruté Elodie, ma secrétaire. Elle vient au bureau chaque matin pour taper les lettres, tenir mon agenda et préparer mes rendez-vous avec les clients... A côté de celle que j'avais avant une vieille fille gentille certes et serviable, mais acariâtre, d'un contact personnel revêche et toujours sur la défensive comme si on allait lui prendre sa vertu... Ah, je n'ai rien perdu au change!

Elodie a environ 40 ans, divorcée, brune, cheveux mi longs, avec de charmantes lunettes, de beaux yeux verts, de jolies formes, des rondeurs là où il faut que son tailleur BCBG met en valeur. Pourtant, elle est aussi très sérieuse et même plutôt réservée, du moins c'est ce que j'ai longtemps cru.

En cette fin d'après-midi, les employés étaient partis et il nous fallait encore passer en revue le timing de mon agenda et les rendez-vous de la semaine à venir... J'étais très attentif à consulter les dates qu'elle me dictait, assise en face de moi, quand mon stylo m'échappa et roula sous le bureau. Je me penchais sous la table pour le reprendre et je découvris alors un spectacle particulièrement intéressant et plus qu'excitant : les jolies cuisses croisées d'Elodie, sa jupe de tailleur relevée et laissant voir non seulement ses jolis bas, mais aussi, traversant la peau nue de sa cuisse une jarretelle noire et rouge. Comble de la situation, elle en profita pour décroiser et recroiser ses jambes, de telle sorte que je vis nettement le haut de ses cuisses, son porte jarretelles et un instant furtif, la dentelle noire et ajourée d'une petite culotte qui me sembla minuscule.

Je restais ainsi comme coincé sous le bureau, contemplant les jambes gainées d'Elodie, quelques secondes de plus que nécessaire au simple ramassage de mon stylo. En me relevant, je vis qu'Elodie souriait d'un regard en coin, parfaitement complice.

- " Alors, ça vous a plu?" me demanda-t-elle, faussement ingénue.

- " Euh... je dois dire, Elodie, que c'était tout à fait... intéressant, bredouillais-je, et j'ajoutais : une femme portant des bas avec porte-jarretelles, ça me met dans tous mes états!!"...

- " Oh, vous voulez vous me dire que cela vous fait bander?"

- " Euh,... Eh bien oui, Elodie. Pour être franc avec vous, oui évidemment, vous m'avez réellement excité ".

- " Vous voulez revoir encore un petit coup?"

- " Oh Elodie, si vous le prenez comme ça!! Oui bien sur!!".

- " Inutile de faire tomber votre stylo cette fois ci...", ajouta-t-elle, souriante.

Après avoir hésité un temps qui me parut très long, je me plongeais de nouveau sous mon bureau. Cette fois, elle releva la jambe du haut pour la décroiser très lentement, de telle sorte que j'eus tout le temps de bien voir son entrecuisse, la lisière à large motif des bas et les jarretelles longeant la peau claire de ses cuisses magnifiques. Les yeux exorbités, je m'excitais à regarder sa petite culotte noire et rouge tendue sur son pubis. En fait, c'était un string. Sa main vint se poser sur sa cuisse et de ses ongles longs elle joua un instant avec une jarretelle, touchant la dentelle de son string.

Je me laissais alors glisser à terre, et à quatre pattes, j'avançais audacieusement sous le bureau vers la fourche de ses jambes maintenant ouvertes. Je posais la main sur son genou, faisant crisser le bas et je lui caressais doucement la cuisse. Je voyais et entendais son ongle verni de rouge gratter légèrement sa culotte, de manière très érotique. Le parfum qui s'exhalait de son entrecuisse m'excitait de plus en plus.

Progressant encore, je posais mes lèvres sur sa cuisse, l'embrassant juste au- dessus du bas, puis j'en fis autant à l'autre jambe. Je me laissais emporter, par ses effluves odorants et charnels qui me faisaient chavirer les sens...

Elle me laissait faire. Je continuais à remonter entre ses cuisses, lentement, caressant ses bas, la chaire de ses cuisses. Elle avançait son bassin vers moi, et soudain ma bouche atteignit sa motte et se posa sur la dentelle du string où je déposais un baiser. Je humais son délicieux parfum et sentais son désir monter, provocant le mien.

Je tournais la tête pour embrasser et lécher la peau nue de ses cuisses en haut des bas. C'est elle qui écarta de son doigt la culotte pour me faire découvrir une jolie chatte aux lèvres épilées, magnifique, craquante et humide.

Je plaquais dessus ma bouche, mes lèvres gourmandes, ouvrais son huître de ma langue, cherchais le clitoris dur, excité, émergeant de son capucOhn. Je commençais à lécher ma jolie secrétaire ; je lui suçais maintenant le bouton d'amour. J'avalais délicieusement le jus que son excitation commençait à lui faire émettre.

- " Oh oui, léchez- moi la chatte..., la motte... Là, c'est bon..., j'aime..." ...

- " Mmmmffff....", dis-je, la bouche emplie des lèvres de sa jolie chatte ...

- " Oh Philippe, vous me faîtes mouiller, continuez, ooooh c'est bon, c'est divin!... Encore, oh oui!! "

Elle soupirait gémissait, écartant ses cuisses, la jupe de son tailleur relevée. Elle posait maintenant un pied sur le bureau pour être encore plus écartée, plus ouverte et plus impudique, offrant sa chatte trempée de désir.

D'un coup d'œil, je la vis dégrafer son chemisier, se toucher les seins d'une main, l'autre se posant sur ma tête.

- " Oh... Phil continuez..., oui, vous léchez bien... vous allez me faire jouir... oh ouiii!... Là ça y est, je jouiiiiiiis....".

- " Vous permettez que je vous doigte en même temps, Elodie?, lui demandais-je, la regardant, ma bouche pleine de sa cyprine généreuse. Je lisais le plaisir dans ses yeux.

- " Oui... Ooh oui, mettez--moi vos doigts!! Allez-y!!".

Sans plus d'hésitation, je lui enfonçais mon index dans la chatte où je commençais à le faire coulisser tout en mangeant son abricot, aspirant son joli bouton maintenant très bandé. Avec mon majeur, je lui caressais la raie, excitant sa rosette frémissante, ma bouche plaquée sur son minou.

Soudain, je la sentis se crisper, se tendre. Une longue plainte, un feulement, s'ensuivit. Elle m'inondait la bouche et le visage de liqueur chaude.

Ma secrétaire, jouissait sous ma langue, avec deux doigts dans la chatte.

Elle reprit ses esprits ; je me relevais. Je vis son regard viser la bosse de ma braguette. Dans mon slip, j'étais tendu à craquer. Evidemment cela ne pouvait être autrement à me retrouver ainsi devant elle, impudiquement offerte, cuisses écartées, exhibant ses bas avec ses jarretelles, ses seins sortis des bonnets de son soutien gorge, qu'elle continuait d'exciter d'une main.

- " Approchez, Phil, me dit-elle mettant sa main sur ma braguette et serrant ma queue tendue à travers le tissu ".

- " Elodie, quelle coquine vous faites ", lui dis-je décontenancé, mais souriant.

- " Vous n'avez encore rien vu...", me dit-elle en baissant la fermeture éclair de mon pantalon et dégrafant ma ceinture.

- " Montrez--moi alors ".

Elle prit doucement mon engin en main, le contemplant tendrement.

- " Il a l'air bien gros votre engin, Phil... Et beau en plus!... Oh oui, j'ai très envie de votre queue..."

- " Elle est à toi, Elodie ", ajoutais-je au comble de l'excitation

Elle la sortit rapidement de mon slip, se pencha dessus et de sa langue commençant à me lécher le gland, prenant bien la hampe dans sa main.

- " Oh, elle est belle ta bite, Phil. Tu me fais envie, tu sais... Donnes-la moi vite, j'en ai envie ", dit-elle, se mettant aussi au tutoiement.

Sur ce, elle l'avala jusqu'à la gorge et commença à bien me la sucer, alternant les coups de langue, la branlant de la main, puis l'enfonçant à fond dans sa gorge, pour la faire ressortir toute luisante de salive.

- " Tu suces bien, Elodie... Eh, dis, tu me surprends, tu sais ".

Cet encouragement l'amena à accélérer sa fellation experte. Je sentais que je n'allais pas tarder à exploser, excité comme j'étais par l'érotisme torride de cet intermède sexuel impromptu.

- " Attends, me dit-elle, en se levant et s'asseyant sur le bureau, cuisses écartées devant moi. Tu aimes les bas, je vois ; alors viens par là... "

Je m'approche, et me place entre ses cuisses. Elle glisse ma queue à l'intérieur de l'attache de son bas, sous la jarretelle et me branle ainsi, soupesant et pressant mes couilles de l'autre main.

Je lui caresse ses seins et les pelote en même temps, je me penche pour les lécher, les sucer, sentant les pointes dures entre mes lèvres... Brusquement, sans doute très excité par la situation et de sentir ma queue glisser entre sa peau chaude et le voile du bas qui la serre, j'explose et inonde sa cuisse de sperme. J'ai l'impression qu'elle jouit elle aussi de nouveau, de manière moins spectaculaire, mais plus diffuse et profonde. Les yeux chavirés par le plaisir, elle presse ma bite et mes couilles pour en extirper tout le jus.

Je me retire de son bas, regardant le foutre blanc étalé sur sa cuisse souillant son joli bas noir. Elle me sourit.

- " Phil..., oh, c'était super, tu sais ".

C'est ainsi que nous terminâmes notre première séance sexuelle, avant de reprendre notre travail.

Au moment de se quitter, elle m'indiqua en venant m'embrasser passionnément sur la bouche, qu'elle avait eu une folle envie de se faire baiser et même enculer... Elle adorait çà, mais pour elle aussi cet épisode était complètement imprévu et elle n'avait pas de préservatif à me proposer. Moi, je n'en n'avais pas non plus... Ces propos tenus dans sa bouche de femme B.C.-B.G., mais coquine, me firent rebander immédiatement, mais ce soir-là nous en restâmes à cette première expérience, tout en nous permettant quelques gestes coquins, moi sous sa jupe ou dans son décolleté, et elle sur ma braguette bien remplie.

(A suivre)