Les plaisirs d'Anna -- 13 (retour)

BÊTA PUBLIQUE

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Mon lutteur m'a fait comprendre qu'il voulait que je me mette sur lui. Je me suis alors placée à califourchon au-dessus de son petit zizi, face à lui. Je sentais son gland mouiller les lèvres de ma chatte sans même les écarter. J'ai voulu aider à la pénétration en prenant son sexe à la base, entre deux doigts. J'essayais de le guider en moi, mais le gland ne faisait qu'écarter les lèvres et son sexe minuscule restait à l'entrée. En même temps, l'homme me palpait bien les seins et jouait avec les tétons. Ça me faisait du bien et je me penchais par moments pour poser un petit baiser de remerciement sur ses lèvres. J'aurais tellement voulu qu'il arrive à me pénétrer que j'ai tenté de recommencer en me retournant. J'essayais encore, en basculant le bassin, alors qu'il me caressait divinement le dos avec une extrême douceur.

Malgré mes efforts, la pénétration s'avérait impossible. J'en étais triste pour lui. J'ai fini par lui demander pourquoi il avait payé si cher pour m'engrosser, alors que cela paraissait improbable. Il m'a répondu qu'il avait toujours rêvé de pouvoir pénétrer une femme et que l'engrosser aurait été la preuve de sa réussite. Je voyais une telle déception dans son regard que j'ai voulu que son fantasme puisse devenir une réalité. C'est pourquoi, j'ai pris un risque que tu vas probablement trouver inconsidéré. »

« Mon dieu, qu'as-tu fait? », s'inquiète Jules.

« Tu veux vraiment le savoir? », lui répond sa femme.

« Cela m'angoisse, mais, oui, bien sûr ! », dit Jules.

« J'ai dit à cet homme qu'il allait m'engrosser, que j'en étais certaine. A cet instant, il est devenu radieux. Je me suis couchée sur le dos et j'ai écarté largement mes cuisses. J'ai glissé un doigt de chaque main entre les lèvres de ma chatte et je les ai écartées au maximum, à m'en faire mal tant je me voulais ouverte. Il a compris et s'est agenouillé entre mes cuisses. Alors, juste au-dessus de moi, il s'est branlé avec deux doigts. Mon exhibition obscène avait dû bien l'exciter car il a vite atteint l'orgasme.

Dès que les premières giclées de sperme ont touché ma vulve, s'écoulant dans mon vagin, j'ai été prise d'un orgasme très fort, mais purement cérébral, puisqu'il ne m'avait même pas touchée. J'ai vu dans ses yeux qu'il était heureux de m'avoir amenée au plaisir. J'étais à la fois très excitée et très angoissée, sachant que la jouissance peut favoriser la fécondation. Pourtant, c'est l'excitation qui l'a emporté sur l'angoisse. J'étais heureuse de lui apporter ce qu'il espérait tant, alors je lui ai dit que je savais qu'il allait m'engrosser, que j'en étais certaine. Entendre cela a augmenté son éjaculation, qu'il a continué à bien diriger. Sentir sa semence couler en moi prolongeait ma jouissance et m'excitait incroyablement, à tel point que, lorsque les dernières giclées se sont perdues sur mon pubis, je les ai poussées avec mes doigts dans mon vagin.

Dès nos orgasmes terminés, mon lutteur a serré les lèvres de ma vulve entre ses doigts, comme pour sceller mon vagin, puis il a pris un oreiller et l'a glissé sous mes fesses. Je savais bien qu'il essayait ainsi de mettre toutes les chances de son côté. Je l'ai laissé faire car j'étais trop contente de lui offrir ce moment tant attendu. Il s'est couché à côté de moi et m'a caressée longuement, du bout des doigts, passant sur ma poitrine et mon visage. J'avais posé ma main sur son sexe minuscule que je tenais délicatement au creux de ma paume, comme je l'aurais fait avec un oiseau blessé. Nous sommes restés ainsi pendant presque une heure. Je n'aurais pour rien au monde écourté ce moment magique pour lui.

Lorsqu'il s'est rhabillé, il m'a donné sa carte de visite, me demandant de l'appeler s'il s'avérait que j'étais enceinte. Il a bien précisé qu'il n'avait aucunement l'intention d'interférer avec ma vie. Pour lui, cette information était uniquement synonyme de réussite.

Après son départ, j'ai fait une toilette si tardive qu'elle n'avait comme seul intérêt que d'être propre pour mon prochain client. Tu vois, mon cocu chéri, c'est la gentillesse qui me perdra. »

« Te rends-tu compte de ce que tu as fait? », lui dit Jules, « C'est excitant mais complètement déraisonnable. Imagines-tu les conséquences? »

« Pourquoi? Cela te gênerait d'avoir un enfant aux yeux bridés? », lui répond-elle, rieuse.

« Je suppose que je n'ai pas le choix », lui dit Jules, « Mais j'espère que tu n'as pas pris autant de risques avec ton dernier client. »

« Qui sait? Je n'en suis pas si sûre. Enfin, tu verras quand tu m'auras écoutée. »

« Mon dieu, je m'attends au pire », lui dit Jules, alors qu'Anna reprend une lente masturbation sur la bite de son mari.

Anna retire la main qui était enfoncée dans son vagin pour se contenter de la douce caresse d'un doigt sur son clitoris. Elle sait bien que ce qu'elle va revivre en pensée en racontant son aventure de la veille risque de l'amener trop vite à la jouissance, aussi préfère-t-elle ne pas s'exciter inconsidérément. Après quelques caresses, elle reprend son récit :

« Je venais juste de sortir de la douche et je ne portais qu'un peignoir de bain, lorsque le chauffeur d'Abdul est entré dans ma chambre sans même frapper. Il est vrai qu'il était bien encombré, portant une grande table métallique pliante, qu'il a tout de suite installée au pied du lit. J'ai alors vu qu'il s'agissait d'une table gynécologique et m'en suis étonnée. Le chauffeur m'a dit que c'était pour le médecin, ce qui allait entraîner d'autres questions de ma part, mais il ne m'en a pas laissé l'occasion car il est parti immédiatement. Je me suis demandée pourquoi le médecin avait besoin de revenir m'examiner puisqu'il l'avait déjà fait, d'ailleurs sans ce matériel, et avait rempli le certificat demandé par mes clients spéciaux. »

« Peut-être s'était-il trompé dans son examen précédent? », questionne Jules.

« Tu aurais aimé que cela soit ça, n'est-ce pas? Cela t'aurait rassuré. Et bien, ce n'est pas du tout ça, bien au contraire. Arrête de m'interrompre et tu vas tout savoir. Ça ne calmera pas ton angoisse, mais tu vas adorer, j'en suis certaine », lui répond Anna qui a senti, en même temps, la bite de son mari durcir encore plus dans sa main.

« Dès son arrivée, le médecin m'a demandé de retirer mon peignoir et de m'allonger sur le dos sur la table. Il a placé mes pieds dans les étriers, dont les supports étaient très écartés. Je me sentais un peu honteuse, mais surtout très excitée. Le médecin allait sûrement me baiser dans cette position obscène. Lors du précédent examen, j'avais à peine regardé cet homme qui m'examinait intimement. Cette fois, comme je pensais qu'il allait être mon amant d'un jour, j'ai bien regardé son visage. Il était comme très bronzé. Ce devait être un homme du sud de la Méditerranée, me suis-je dit. Il était assez séduisant. Il s'est placé entre mes cuisses ouvertes sans se déshabiller. Je me suis dit que le contraste entre ma nudité et sa tenue devait l'exciter. Cependant, il n'avait pas encore sorti son sexe, ce qui m'a étonnée, aussi ai-je dit :

« Vous êtes bien venu pour me prendre, docteur? »

Sa réponse m'a surprise :

« Non, pas du tout, c'est mon père qui va arriver. Il a toujours rêvé de baiser une femme comme toi et de la féconder. Il vient spécialement pour toi depuis Essaouira, où il passe sa retraite. C'est mon cadeau pour ses 80 ans. Compte tenu de son âge, il faut que je te prépare un peu avant, pour lui faciliter la tâche. Allez, détend-toi bien. Je vais te mettre un spéculum. »

Interrompant un instant son récit, Anna serre fortement la pine de son mari à sa base pour bloquer l'éjaculation qu'elle sentait inévitable. Il faut que son petit cocu profite bien de la suite.

« Le contact froid des lames de l'appareil m'a comme électrisée, puis, lorsqu'il en a tourné la mollette pour les écarter, c'est une douce chaleur qui m'a envahie. Le mouvement des doigts du médecin a continué sans même s'interrompre lorsque je ne pouvais retenir de petits cris. Il est allé jusqu'au maximum des possibilités du spéculum. Je n'avais jamais été si ouverte. Hormis cet excès, cela aurait pu être un examen gynécologique normal. Toutefois le médecin n'était pas en blouse blanche et ne portait pas de gants. Il a alors ouvert un pot contenant une sorte de crème blanche. Il en a mis une grosse quantité au bout de son doigt qu'il a fait entrer en moi, sans toucher les parois de mon vagin. J'ai senti qu'il étalait bien la crème, par des mouvements circulaires, juste sur l'ouverture du col de l'utérus. Il a répété l'opération plusieurs fois. Lorsqu'il a eu terminé, il est allé se laver les mains dans la salle de bain. A son retour, j'ai enfin osé le questionner :

« Que m'avez-vous fait, docteur? »

« Je viens de mettre un produit qui va dilater le col de l'utérus. Après son effet complet, l'ouverture du col pourra atteindre 3 à 4 centimètres de diamètre, comme juste avant un accouchement », m'a-t-il répondu, ajoutant :

« Mais il faut attendre une bonne dizaine de minutes pour un effet complet. Je vais attendre avec toi pour pouvoir vérifier la dilatation. »

« Cette préparation était-elle vraiment nécessaire, docteur? », l'ai-je questionné.

Sa réponse fut aussi claire qu'inquiétante :

« Évidemment ! N'oublie pas que je veux être certain que, pour son anniversaire, mon père pourra aller vraiment au bout de son envie. Si tu veux tout savoir, à son âge les spermatozoïdes sont moins nombreux et moins agiles, alors tout doit être fait pour faciliter leur progression. »

Là, je me suis dit que j'étais peut-être allée trop loin dans la réalisation de mon, ou plutôt de notre fantasme si excitant mais si dangereux. Malgré mon choix initial en toute liberté, je me suis demandée si je n'allais pas abandonner, me lever, m'habiller et partir. Je me suis dit aussi que, si je rompais mon engagement, Bouma et peut-être même Abdul pourraient être violents avec moi, car il y avait certainement une belle somme en jeu.

Pendant que je réfléchissais, le médecin avait sorti de sa mallette médicale 4 bandages velcro et était en train d'attacher mes chevilles et mes poignets aux barres de la table. Alors, ceci fait très rapidement, cela a été comme si il avait lu dans mes pensées, car il m'a dit :

« Comme ça, tu ne risques pas de t'échapper. Pour cette séance très spéciale il m'a fallu payer 3000€. Tu as bien entendu : 3 fois ce que les deux frères ont demandé aux autres clients de cette seule journée. Alors, tu vas aller jusqu'au bout. D'ailleurs, je vais rester ici, avec toi, en spectateur. Je veux être certain que mon père profite pleinement de son cadeau. »

J'étais prise au piège et cela aurait dû faire complètement retomber mon excitation. Cependant, c'était tout le contraire. Il y avait bien les caresses que me prodiguait maintenant le médecin sur ma poitrine et mon ventre, mais cela n'expliquait pas mon état. Je me suis dit que tu allais être furieux, toi qui fantasmait sur mon risque de grossesse mais ne supportait pas une certitude. J'ai pensé aussi qu'un vieillard de 80 ans n'aurait peut-être pas les moyens de me mettre enceinte malgré la préparation que j'avais subie. C'était pour me rassurer un peu, mais je savais très bien que mes chances d'y échapper étaient très faibles. Alors, j'ai de nouveau pensé à toi, mon petit mari cocu, à ta colère en sachant que j'avais dépassé les limites que nous nous étions fixées. C'est curieusement cette idée de transgression, d'opposition à ta volonté qui m'a fait ressentir mon pouvoir sur toi, ma domination nouvelle. Dans mon excitation du moment, je t'ai vu en cocu frustré, privé de relation sexuelles par sa femme adultère. Je t'ai vu en cocu soumis à son épouse volage pour assurer toutes les tâches ménagères. Je t'ai vu en cocu humilié par sa femme qui se laisse engrosser par un inconnu et le force à élever un enfant qui n'est pas de lui. Tu vois, rien que d'y penser en ce moment je mouille comme une fontaine. »

Anna s'interrompt car elle vient de sentir dans sa main la pine de son mari durcir encore plus sous ses doigts, alors qu'elle avait un peu oublié la masturbation qu'elle lui prodiguait auparavant, aussi lui dit-elle :

« Qu'est-ce que je sens là, mon petit cocu? On dirait que tout cela t'excite. Est-ce ma grossesse plus que probable ou ta condition à venir? Ne répond pas ! Je le sais : ce sont les deux, bien entendu. »

Refusant d'entrer dans ce dialogue, Jules se contente de dire dans une souffle :

« Continue, ma chérie, c'est si bon. »

Avant de poursuivre son récit, Anna retire sa main du sexe de son mari et se justifie en disant :

« La petite parenthèse est terminée. Nous revenons aux nouvelles règles. Je ne te touche plus. D'ailleurs, j'ai besoin de mes deux mains pour caresser ma chatte et mes seins. Toi, tu vas mettre tes mains derrière ton dos. Obéis-moi ! Tu me dois bien ça, car tout ce que j'ai fait pendant cette semaine avait pour but de donner du plaisir à mon cocu voyeur, même si c'était souvent en imaginant les scènes que je te raconte. Mon récit à venir devrait te faire jouir sans aucune masturbation, crois-moi ! Pour t'aider, j'écarte encore plus mes cuisses. Je te montre ma chatte toute ouverte pour que tu puisses bien imaginer ce qui s'est passé par là, hier.

Jules, obéissant, place ses mains dans son dos et sa petite bite se redresse encore plus, toute seule, se plaquant contre son ventre. Anna l'a bien vu mais ne fait aucune remarque avant de poursuivre :

« Après une dizaine de minutes de douces caresses, le médecin est venu inspecter l'intérieur de mon vagin, avant de me dire :

« C'est parfait. L'ouverture du col est très bien dilatée, même plus qu'habituellement. Tu réagis très bien au produit. Cela va être l'idéal pour mon père, qui ne va pas tarder à arriver. »

Il a alors retiré le spéculum. mais a laissé attachés mes poignets et mes chevilles. Approchant une chaise, il est venu s'asseoir à côté de moi, reprenant ses caresses sur ma poitrine, avec plus de force cette fois. J'avais bien vu la bosse qui tendait son pantalon à l'entrejambe. J'en ai compris tout de suite la raison, lorsqu'il m'a dit :

« J'aime beaucoup voir une femme attachée comme toi, à ma merci, et je sais que mon père apprécie ça aussi. Nous avons un certain goût pour le sadisme dans la famille. J'aimerais beaucoup te faire subir quelques gentilles tortures. »

« Comme quoi, par exemple? », n'ai-je pu m'empêcher de questionner.

Sa réponse a fait encore monter d'un cran mon excitation :

« Et bien, je m'occuperais d'abord de tes seins et de leurs tétons, puis des lèvres de ta chatte et de ton petit clitoris... »

« Utiliserez-vous seulement vos mains ou autre chose? », ai-je dit, alors que ma chatte se mouillait encore plus.

Il a hésité un peu avant de répondre :

« Tu sais que nous, les médecins, sommes habitués à faire des piqûres. Je pourrais d'abord faire un peu acupuncture, donc superficiellement, puis je passerais peut-être aux aiguilles chirurgicales. Mais, je m'égare. Tu n'es pas là pour ça aujourd'hui. Mais nous nous reverrons. J'ai prévu de faire ton suivi médical, dès que tu seras enceinte, et cela nous donnera bien quelques occasions intéressantes. »

C'est à ce moment que son père est arrivé. Il m'a regardé avec envie et est venu embrasser le médecin, en disant :

« Merci, mon fils, pour ce magnifique cadeau. Est-elle bien prête? »

Et son fils de répondre :

« Elle est là pour ça, mais ce n'est pas une vraie pute. Elle est très excitée par le risque de se faire engrosser. J'ai vérifié son ovulation. C'est le bon moment. Vu comme je l'ai préparée pour toi, tu as bien plus de chances que ceux qui t'ont précédé. »

Alors que le médecin déplaçait sa chaise dans l'axe de la table gynécologique pour avoir une meilleure vue, j'ai bien regardé ce vieillard qui se déshabillait. Son teint était le même que celui de son fils, mais la peau de son visage était ridé comme une vielle pomme cuite. Ses cheveux blancs étaient légèrement crépus. Ses yeux d'un vert très pale lui donnait une impression de dureté et j'ai aussitôt pensé à ce sadisme de famille. Il était d'une grande maigreur et pourtant il paraissait bien solide sur ses jambes. J'ai été très surprise à la vue de son sexe, qui, bien que flasque à ce moment, était extrêmement long, bien plus long que la moyenne. Non, ne te sens pas humilié par la comparaison, mon chéri. Le sien était beaucoup plus fin que le tien. Cela augmentait encore l'impression de longueur. De plus, le gland n'était pas plus large que la hampe et même peut-être un peu moins. C'était presque comme une pointe au bout de ce long membre.

Ce vieil homme s'est avancé entre mes cuisses. Il tenait son sexe en main. Après quelques coups de poignet rapides, son membre était pointé vers moi, dur et tendu à l'horizontale. Ce vieillard avait visiblement des ressources ! Son fils avait sorti son sexe et se branlait, ne perdant rien de la scène.

L'homme n'avait que faire des préliminaires. Il était venu avec un seul objectif, m'engrosser. Alors, il a poussé son ventre en avant et sa longue pine est rentrée en moi. Sa faible épaisseur et mes sécrétions abondantes ont facilité la chose. Il a fait d'abord quelques mouvements lents, sans aller jusqu'au bout. Cela va te faire plaisir, mon petit mari, mais je le sentais encore moins que toi, ce n'est pas peu dire ! Puis il a accéléré et amplifié ses mouvements et, là, j'ai commencé à sentir son gland me toucher au fond. C'était bon, mais je regrettais de ne sentir que la fin de la pénétration, aussi ai-je dit, suppliante :

« Docteur, s'il vous plaît, libérez mes chevilles. Je ne sens pas bien votre père. J'ai envie de serrer mes jambes autour de lui. Ça sera meilleur pour lui comme pour moi. »

Il l'a fait tout de suite, ponctuant son action par un :

« C'est fait, salope ! »

Son père a, comme moi, tout de suite senti la différence lorsque j'ai pris la position. Je le serrai fortement entre mes jambes et, en même temps, j'essayais de contracter mon vagin. Là, je sentais bien sa fine bite frotter sur les parois de mon sexe. Tu vois, mon chéri, si j'avais pensé à faire ça avec toi, j'aurais peut-être bien senti ta petite bite en moi. C'est dommage, mais c'est trop tard, maintenant, puisque tu n'as plus le droit de me pénétrer. Bon, je reviens à mon récit.

Le vieil homme semblait apprécier le contact de mon vagin sur sa pine, car il s'est mis à accélérer. Je n'aurais jamais cru possible que quelqu'un d'aussi vieux puisse se déchaîner comme ça. Il y mettait toute son énergie, comme en témoignait la sueur qui coulait de son front. Des gouttes tombaient même sur mon pubis. Il donnait des coups violents que je ressentais sur le col de mon utérus. A certains moments, j'avais même l'impression que son gland pointu glissait un peu dans l'ouverture. Imaginer ce qui se passait en moi faisait monter mon excitation et, moi aussi, je transpirait beaucoup. J'avais l'impression que mon corps vibrait en permanence. Je savais que j'étais au bord de l'orgasme, mais je faisais tout pour le retarder car j'attendais... j'espérais... une pénétration encore plus complète.

Puis, le vieillard a ralenti progressivement ses mouvements jusqu'à s'arrêter, le sexe bien planté en moi. Relevant un peu la tête, j'ai regardé entre mes jambes et j'ai vu que son long sexe n'était pas totalement rentré dans mon vagin. Environ 5 centimètres restaient à l'extérieur. Bien que son gland soit en butée sur le col de mon utérus, j'avais tout de même l'envie folle de prendre tout ce sexe en moi. Alors, j'ai poussé mon ventre en avant, pour lui faire comprendre ce que j'attendais. Tu vois quelle salope je suis, mon chéri ! Mon mouvement n'avait rien changé, si ce n'est créer une douleur dans mon ventre. Sans se retirer, le vieil homme faisait maintenant bouger le bout de son sexe, lentement, toujours au même endroit, bien au centre, comme s'il cherchait un chemin.

A un moment, j'ai senti son gland juste sur l'ouverture du col, s'y glissant un peu. J'ai réagi immédiatement, impulsivement, en criant presque :