Les malheurs de Clotilde Ch. 20

BÊTA PUBLIQUE

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- D'accord monsieur.

- Ne te loupe pas, c'est ton dernier client- testeur.

- Je serais une très bonne pute, comme à chaque fois, monsieur.

- Parfait, c'est ce que je veux entendre d'une chienne comme toi.

On descend, je suis Greg, il sonne à la porte. Un homme ouvre, il est petit et mince, pas plus de un mètre soixante. Il est vieux, soixante-dix ans au minimum. Sans ces maudites pilules, il n'aurait put me baiser qu'une fois... Mais je ne m'attarde pas là-dessus, je sais qu'il vaut mieux pour moi que je fasse ce que l'on attend. Dès que la porte se referme, je m'approche du vieux, je lui roule une pelle, tandis que mes mains déboutonne son short. Je le descend, il n'a rien en dessous. Je sent Greg derrière moi, mais je n'en tiens pas compte. Je branle un peu le vieux, même mou son sexe est de belle taille.

Je me penche en avant, j'ouvre la bouche, j'avale le sexe du papy. Je fais des bruits de contentement, comme si son sexe est une délicieuse sucette. Comme on m'a conditionnée, je plonge mon regard dans le sien. Il doit voir que je déteste ce que je fais, mais à son sourire, je vois qu'il s'en fou. Comme tout les autres. Je sens Greg se coller à moi, pénétrer mon vagin. Je mouille un peu, mon corps réagit automatiquement maintenant. Mon vagin se lubrifie dès qu'il a du sexe. Ne serait-ce qu'une fellation. Pas par plaisir, je ne mouille pas autant que lorsque je faisais l'amour avec mon époux... Il y a juste assez de cyprine pour que mon conduit soit lubrifié, pour que je ne sois pas blessée, pour que je n'ai pas trop mal. Physiquement du moins, car psychologiquement...

Au bout d'une dizaine de minutes, l'homme frappe légèrement mon front de ses doigts :

- On échange.

J'arrête de le sucer, je me tourne, j'avale le sexe de Greg, tandis que le vieux pénètre ma chatte. On baise comme cela une nouvelle dizaine de minutes, puis j'entends :

- On la prend à deux, debout.

Sachant ce que je dois faire, je me retire du pieu dans ma chatte, tandis que Greg se retire de ma gorge. Je suis une experte en gorge-profonde maintenaient. Je peux hélas, avaler un très gros sexe, sans vomir ni haut-le-cœur.

Je m'approche de Greg, je lève ma jambe, il la tient relevé tout en me pénétrant par devant. Le vieux se colle à moi, il m'encule. Ça me fait mal, mais néanmoins j'arrive à simuler du plaisir, comme je l'ai fais jusque à présent. Jusque à ce qu'ils jouissent tout les deux en moi, je leurs demande de me baiser fort.

Quand ils se retirent de mon corps qu'ils viennent de profaner, je me mets à genoux et suce chacune d'eux pour les nettoyer, à tour de rôle. Je sens leurs semence, en provenance de ma chatte et de mon anus, qui coule le long de mes cuisses. Quand ils ont finis, je reste à genoux, attendant les prochains ordres, comme une bonne putain, comme la bonne putain que je suis devenu.

La voix de Greg résonne alors :

- Moi j'y vais. Je reviens demain à vingt-deux heures pour reprendre la chienne.

- Cela fait plus que vingt-quatre heures...

- C'est le cadeau de la maison, pour un bon client, on vous offre quatre heures de plus, en plus du prix bas pour le test de la chienne.

- Merci, je prendrais bien soin d'elle.

- Vous pouvez y aller fort. Tant que ce n'est pas permanent ou trop grave. Un œil-au-beurre-noir cela se guérit et une dent de moins cela se remplace.

Greg et mon client rigole. J'espère qu'il ne va pas me battre, je ne le supporte pas.

Quand Greg est sortit, le client me dit, en me regardant, tandis que je suis toujours à genoux, tête baissée, regard vers le sol.

- Mets-toi à quatre patte, reste habillée, je vais baiser ta délicieuse petite chatte bien serrée.

Je ne dis rien et obéit. Je le sens relever ma robe sur mes reins. Je me mets à simuler le plaisir dès qu'il me pénètre. Il me prend fort, je dois me concentrer pour continuer à simuler, pour ne pas crier de douleur. Il me viole comme cela, longuement, en levrette, comme une chienne... comme la chienne que je suis maintenant. Le pire c'est qu'il dure longtemps, me faisant entre deux gémissement de plaisir simulé, grogner de douleur. Il fesse mon cul parfait, me pince, passe ses bras sous moi pour tirer et torturer mes mamelons. Puis enfin, il se fiche en moi, lâchant sa purée dans mon utérus. Quand il se redresse, je nettoie sa queue de ma bouche. Le regardant dans les yeux.

- Va au bout!

J'obéis, lui faisant une pipe savante, le prenant dans ma gorge, mettant pas mal de bave, grognant là encore, de plaisir simulé. Quand il est prêt à jouir, il m'ordonne :

- Peint ton visage en blanc!

Je retire sa queue de ma bouche, sans le quitter des yeux, je le masturbe rapidement, comme les hommes aiment. Très vite il éclate, envoyant sa semence humiliante sur mon visage, guidé par ma main. Quand il a fini de jouir, je ne gobe que son gland, que je nettoie de ma langue. Une fois propre, je reste à genoux, baissant de nouveau la tête, mon regard pointé vers le sol.

- Merci monsieur pour avoir bien voulut me baiser et me laisser vous sucer. Votre éjaculation faciale fut divine pour la sale chiennasse que je suis...

Il sourit, mais pas un sourire chaleureux, non, un sourire pervers annonçant un enfer sexuel pour moi et mes orifices.

- Pour une chienne, tu en es une belle. Je vais te baiser jusque au bout des effets de la pilule. Puis j'en reprendrais une autre, après la fin des effets de la deuxième, on iras dormir. Demain je te baiserais non-stop dans tout tes trous de salope, jusque à ton départ.

- Bien monsieur, la pute que je suis est à votre entière disposition pour vous faire plaisir.

De nouveau son sourire pervers reviens :

- Je sais, Greg me l'a dit, si tu n'obéis pas bien, je peux en outre te battre autant que je le souhaite, tant que je ne te tue pas.

- Je sais monsieur. Si la pute que je suis n'arrive pas à vous satisfaire entièrement, alors sa vie n'a plus lieu d'être.

- Alors lève-toi et suis moi. Pour commencer je vais fister ta chatte, puis ton cul pour finir par les deux à la fois. J'ai toute latitude pour te faire ce que je veux, Greg m'a dit que si tu es trop large après être passée chez moi, il a un chirurgien très doué pour les reconstructions anale et vaginale.

- Comme vous le voulez, monsieur.

Je suis horrifié, même si je ne le montre pas en continuant à sourire. On ne m'a pas fistée une seule fois depuis la reconstruction de mon corps effectué par l'américain. Là, je vais de nouveau souffrir à mort. Vivre la seconde pire chose que je n'ai jamais vécu, après les chiens.

Horrifiée par ce qui m'attend, je commence à la suivre. Je pleure en silence. On prend un long couloir, il y a plusieurs portes, on se dirigent vers celle du fond, sûrement sa chambre. La terreur me fait trembler, sa main dans mon sexe, entre mes fesses, cela va vraiment me déchirer. Je vois un guéridon, un vase dessus... là mon cerveau reptilien prend le dessus sur moi.

Je me vois comme dans un film, prendre le vase, le rattraper, le lui casser sur la tête pour l'assommer... Mes mains bougent toutes seules, je prends le vase, il cogne contre le mur. Le vieux se retourne, je n'ai plus l'effet de surprise. Alors je lance le vase, il me semble avec pas assez de force. Le bas du vase tape son front, le vase s'écrase contre le mur. Le vieux cri, puis s'écroule à plat-ventre sur le sol. Je ne bouge plus, je pense l'avoir tué. Mais quand il gémit quelques secondes plus tard, cela m'électrise. Si il se réveille, je ne pourrais plus fuir, il paraît même à son âge, encore plus fort que moi. Alors ma punition sera sûrement létale, si ce n'est de la part du vieux, ce sera de la part de Greg. À moins que ce ne soit pire que la mort.

Alors malgré mes orifices dégorgeant encore de sperme, malgré la semence sur le visage, malgré ma robe de putain, je me retourne et courre. Je fonce vers la porte d'entrée. Je me retourne, le vieux tente de se relever, puis s'écroule de nouveau au sol. J'ouvre la porte, je sors en trombe de la villa. Je n'ai pas de téléphone, le commissariat le plus proche est trop loin. Je me dis que le vieux aura sûrement prévenu Greg, que si il n'est pas loin, il ira m'attendre là. Le plus prés c'est chez moi. Je peux passer par derrière, il y a un trou dans le grillage que personne ne connais, je n'aurais qu'à rentrer par la porte de la cuisine, à l'arrière. Mon mari préviendra la police, me protégera. Je vais faire cela. Ce sera guère plus long que de passer par devant, mais plus sûr, ils sont trois, si ils sont au courant de mon évasion, l'un d'eux m'attendra aussi devant chez moi. Pas à l'arrière, c'est certain.

Je suis certaine de moi, si des fois le vieux à prévenu Greg, si il a le temps de bouger avec Meyer et Jérôme, si ils ont trois voitures, ils n'iront donc sûrement qu'a trois endroits où je suis censée aller après m'être échappée : Le commissariat de police, chez moi et le poste de gendarmerie. C'est ce que mon instinct me dicte. Donc je dois les surprendre, il n'y a pas d'autre option : passée par derrière.

Je coure aussi vite que je le peux. Mes pieds nus me font mal, je sens qu'ils sont en sang, mais je ne ralentis pas, si je perd, mon sort sera pire que la mort. J'ai vu le reportage sur ma disparition à l'hôpital, on me cherche encore. Les flics viendront vite quand mon mari les appellera. Même si Greg et les autres entrent de force chez moi, la police suivra rapidement. Si je rentre dans ma maison, je suis sauvée, je le sens au plus profond de moi.

Je n'ai pas de montre, mais je coure depuis plus de trente minutes quand enfin j'arrive à mon grillage. De ce côté-ci, il n'y a qu'un grand pré puis la forêt. J'ai fais attention, il n'y a pas de voiture garé dans le pré. Je m'approche de ce trou, plusieurs fois j'ai demandée à mon époux de le réparer ou de le faire faire. Il ne l'a jamais fait ou fait faire. Je l'ai engueulée une fois pour ça, aujourd'hui je remercie dieu qu'il ne m'ait pas écoutée. On vis dans un quartier calme et sûr, il n'y a pas de cambriolage, ce n'était pas un objectif prioritaire que de réparer ce petit morceau de grillage. Tant mieux. Je l'écarte de mes mains, mes pieds me font mal, je grimace, ils dégoulinent de sang. Peu importe, dans peu de temps je serais sauvée, soignée. Je m'accroupis, je m'avance, mais les morceaux saillant de grillage déchirent ma robe fine. Je passe, pas ma robe, tant pis, mon mari me verra arriver nue. Il sera surpris par mon corps, ses modifications, ses stigmates. Au moins, de visu, il verra l'enfer que j'ai vécu.

Je vois que la pièce de vie est éclairée, j'en pleure, mais pour la première fois depuis des semaines, c'est de joie. J'avance doucement, je grimace encore, j'ai mal au pied. Je sens le sperme séché entre mes cuisses et mes fesses, sur mon visage. Je me doucherais une fois en sécurité. Je jure que plus personne ne touchera mon corps.

J'avance avec précaution. Je me mets à quatre pattes pour avancer dans la nuit noire. Autant pour ne pas être vu au cas ou Greg surveille, que pour que mes pieds ne me torture plus. Pour la première fois depuis longtemps, j'avance ainsi, pas comme une chienne, pas comme une esclave sexuelle, mais comme une femme libre.

Pour l'instant je n'ai pas de haine, je n'ai pas de colère en moi, je suis juste épuisée, détruite, abattue. Mais une fois complètement en sécurité je ferais payer tout mes agresseurs, je les ferais aller en prison pour longtemps. J'y mettrais toutes mes économies si il le faut, mais aucun ne s'en sortira impuni! Je me le jure!.

Je traverse le jardin, me cachant autant que je peux. Je m'approche de la porte de la cuisine. Je m'accroupis devant. Je saisis la poignée, elle tourne. Comme à son habitude, la porte n'est pas fermée, je l'ouvre. Je l'ai, là aussi, souvent engueulée pour ne pas fermer systématiquement cette putain de porte arrière. Aujourd'hui je béni mon mari pour ça aussi. J'entre et referme la porte sans un bruit. Je me redresse. J'entends le bruit délicieux de la télé dans la pièce de vie. Je me redresse, je cache ma poitrine de mon bras gauche, je mets ma main droit sur mon sexe, pour le cacher également. En pleurant autant de joie que de soulagement, j'avance vers le salon. Tout est enfin fini, ils vont payer cher, mais moi, ça y est, j'ai réussit, je suis LIBRE.... Tout est enfin fini... C'est la fin de mon calvaire... Cette terrible épreuve va nécessiter de long mois, de longues années de thérapie, mais tout est derrière moi. Comme dans un film, je peux enfin le dire : THE END.

J'entre dans la pièce de vie, je n'en ai pas franchis les limite, où je peux voir sans être vue. Là, je me fige. Ce que je vois m'horrifie. Mon mari est assis dans le fauteuil en face le canapé, sur lui une blonde, empalée sur son sexe, monte-et-descend à un rythme rapide. Se roulant une pelle, ils ne font pas de bruit. Je ne peux pas voir le visage de la salope, mais vu le corps qu'elle a, vu son cul de fou, cela doit-être un putain de canon. La fille est coiffée avec une queue de cheval, la queue bouge de droite à gauche, au rythme où elle baise mon époux. Si ce ne sera pas le retour que j'ai rêvée, mon mari me prenant dans ses bras en pleurant... je ne ressens aucune jalousie, c'est moi qui l'ai autorisé pour sauver notre mariage. Je ne ressens aucune colère non plus. Même si j'ai disparue, c'était il y a des semaines, voir des mois. Mon époux a des besoins, c'est un homme. J'ai pus voir à mon corps défendant que les mâles ont d'ailleurs, pour la plupart, beaucoup de besoin sexuel.

Ce qui me blesse, ce qui me mettrais dans une colère folle, si je n'étais pas si épuisée, c'est qu'il le fasse chez nous. Dans notre maison. Il baise en outre cette salope dans mon fauteuil, celui dans lequel je m'assois tout le temps quand je lis, quand je regarde la télé. C'est mon fauteuil préféré et lui baise sa morue dessus.

C'est plus fort que moi, je n'avance pas. J'attends qu'ils aient finis pour entrer. Je dois avoir un blocage, cela doit être mon conditionnement. Il va me falloir beaucoup de temps pour passer outre. Je m'en rends compte.

Tout en baisant mon époux, sans cesser de l'embrasser, la blonde défait ses cheveux blonds. Ils sont longs, presque jusque aux fesses. Elle accélère ses montées et descente, puis se fige au bout de deux ou trois minutes. Je comprends qu'il jouit en elle. Quand il a fini, elle se retire, je peux voir un peu de sperme qui commence à sortir d'elle. Elle s'agenouille devant mon mari, toujours dur, l'avale, commence une fellation. Je ne peux toujours pas voir son visage. Mais la fête est finie, je vais récupérer mon mari, la morue va se casser, on va appeler les flics. Il est temps de mettre un terme à tout cela.

J'entre, la fille est de dos, je vois son cul, son sexe dégorgeant du sperme de mon mari. Ses cheveux qui montent et descendent sur la hampe. Je l'ai tellement fait, pas avec mon époux, avec des bâtards qui m'ont forcée à le faire. Je sens une envie de vomir m'envahir en pensant à mon calvaire. Il ne faut pas, pas avant que les flics ne soient chez moi.

Mon mari qui regarde la morue le sucer ne me voit pas. J'attire alors son attention en parlant :

- Chéri...

La blonde va pour redresser la tête, mon mari appuie sur son crâne pour qu'elle continue sa pipe. Le salaud. Il me retrouve, il pourrait cesser sa partie de baise. Mais je suis tellement soulagée, que je ne lui en tiens pas rigueur.

- Tu étais où?

- J'ai été enlevée... violée... torturée... j'ai vécu un calvaire... il faut appeler la police... c'est urgent...

Je me rends compte qu'en disant cela, je pleure.

Il ne réagit pas comme je m'y attends. Il ne se lève pas d'un bond, ne me prend pas dans ses bras. Je ne reconnais plus mon mari si aimant, si protecteur. Au lieu de cela, il laisse sa pute continuée à la sucer...

- C'est juste ça? Je me suis inquiété quand même! J'ai même prévenu la police!

Là, je vois rouge...

- « Juste ça »??? Tout ce que j'ai vécu? J'ai même été violée par des chiens!

- J'ai toujours su que tu aimais les animaux...

Ce n'est pas possible??? Il ne peux pas faire de l'humour là-dessus!

- Je reviens de l'enfer! Toi, tout ce que tu trouves à faire, c'est te moquer! Tout en te faisant sucer par ta putain!

- Attention à tes mots, il faut être précise. Ce n'est pas une putain, elle est gratuite, je ne la paie pas. Le mot juste est salope.

- Quoi?

Je ne comprends rien. C'est surréaliste. Je dois faire un cauchemar, c'est ça.

- C'est une putain de grosse salope. Voilà ce qu'elle est, avec moi du moins. Et quelques proches aussi. Car avec les autres, oui, c'est une putain, puisque ils la paient pour la baiser.

Il raconte quoi ce malade? Je reviens du pire, et lui me parle de la fille qu'il baise.

- Après, je pense que j'ai toujours su qu'elle été une salope avide de bites. Je crois que toi aussi, au fond de toi, tu l'as toujours su...

Si je n'étais pas autant meurtrie, je l'aurais massacré ce connard. Je suis tellement sidérée que je suis incapable de quoique ce soit...

- Je pense que tout le monde le savais, mais que personne ne le disais...

Il attrape les cheveux de la blonde, la retire de sa bite. Il tourne son visage vers moi. Et là...

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Anonymous
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9 Commentaires
liviolheureliviolheureil y a environ 1 anAuteur

Moiaunaturelle merci pour ton gentil commentaire. Je suis d'accord avec toi, et je m'en excuse, c'est parfois redondant. J'ai écris ce texte sur plusieurs années, sans jamais me relire pour éviter ce défaut. Cela est je me reconnais, une petite erreur de ma part. Promis, cela ne se reproduira plus dans mes prochains textes.

Par contre en effet, je fais de la prévention en début de texte pour prévenir de la violence du texte, mais certains neuneu soit ne prennent pas le temps de la lire, soit ne la comprenne pas.

Dans tout les cas, merci de m'avoir commenté, cela fait toujours plaisir, et c'est important pour un auteur de savoir que son texte plaît. Bien à toi.

MoiaunaturelleMoiaunaturelleil y a environ 1 an

Bonjour , j'ai commencé cette séries depuis le début et oui elle est fortement déroutante voir même malaisante MAIS l'auteur nous préviens plus que de raison en début de texte donc je ne comprend pas les gens offusqués !

Pour l'histoire en elle-même j'ai eu des passages à vide car certains chapitres sont un peut redondant à mon gout mais je reste une fervente lectrice car le fond est intéressent et le sujet peut commun ;)

Voila mon humble point de vu :)

liviolheureliviolheureil y a environ 1 anAuteur

Merci à Hopheu et aux deux anonymes pour vos commentaires et votre soutien.

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Soyons courtois. Si ce texte s'éloigne en effet pour la plupart des stéréotypes de litterotica, il n'en est pas mauvais pour autant, ni moralement ni dans le style.

Le traffic humain existe, c'est un fait.

J'espère une fin "heureuse" à au moins une des protagonistes de ce thriller.

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Assas 78 est volontiers critique négatif : tantôt en matière de littérature, tantôt en matière d'orthographe, tantôt encore quand il est incapable de suivre une histoire avec quelques personnages et encore ici en matière morale ou juridique. C'est quand même un comble pour quelqu'un qui écrit , somme toute, des histoires banalement pornographiques sans guère de génie. Choisissez vos lectures M. Assas et gardez vos observations négatives pour vous. Elles ne servent personne. Cordialement toutefois.

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