Les Jumeaux Croisés 02

BÊTA PUBLIQUE

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Ayant repris leurs esprits, ils terminèrent de laver et ranger la vaisselle et remontèrent mettre de l'ordre dans la chambre parentale. Léa n'avait pas refermé le chemisier et son étourdissante poitrine s'affichait fièrement aux yeux de son frère qui avait le plus grand mal à se concentrer sur les tâches les plus simples. Léa se pencha pour remettre en place les oreillers et il poussa un gémissement intérieur en voyant les lourdes mamelles ballotter devant ses yeux. Il contourna le lit pour la rejoindre et la fit basculer sur le couvre-lit.

« Loïc! » protesta-t'elle, « on vient de refaire le lit! »

Mais il n'avait cure de ses protestations et il l'embrassa goulument tout en palpant sa poitrine avec délectation. «

Tu es vraiment incorrigible » lui dit-elle quand il libéra sa bouche.

« C'est de ta faute » lui répondit-il , « tu ne te rends pas compte de l'effet que tu me fait avec tes seins magnifiques et ta culotte trop petite ». Léa rougit mais ne lui avoua pas la provenance de la lingerie. Même si elle avait enfin retrouvé sa vieille complicité avec son jumeau, elle n'osait --pas encore -- lui avouer l'étendue de sa perversité. Elle le laissa donc s'amuser un moment avec sa poitrine avant de lui dire « Bon , assez joué, on a des choses à mettre au point! »

« De quoi veux-tu parler lui demanda son frère?, on a déjà convenu de rester discrets et à la rentrée , ce sera différent : les parents ont déjà loué un studio pour nous deux près de l'unif de Lille donc on sera à l'abri là-bas! »

« Oui mais on doit encore tenir six semaines avant de pouvoir emménager et, insatiable comme tu es, on va finir par se faire prendre si tu ne te calmes pas »

« Ma chérie, je te promets que je saurai me tenir en public mais dès qu'on sera entre nous, je te sauterai dessus ; tu pourrais damner un saint surtout avec ta façon de t'habiller! »

Léa pouvait sentir contre sa cuisse tout l'effet qu'elle faisait à son frère et lui dit

« il faudrait qu'on trouve un moyen de te calmer jusqu'à ce que tu puisses me baiser sinon tu vas péter un cable . J'ai bien aimé quand tu m'as enfoncé un doigt dans le derrière mais je ne me sens pas encore prête pour que tu m'enfonce ton monstre par-là ; il est tellement gros » .

Elle se rendit immédiatement compte qu'elle avait fait une erreur en évoquant le sujet car la verge se remit à pulser de plus belle.

« Insatiable » lui reprocha-t'elle, mi-fachée, mi-amusée.« J'ai bien une idée un peu folle mais je ne sais pas si cela peut marcher » Loïc lui lança un regard interrogateur.

« Quand j'ai été voir ma gyneco, J'ai parlé de toi -- pas de mon frère mais d'un petit ami - elle a semblé plus qu'intéressée par la dimension de ton engin. Je crois qu'elle est célibataire pour le moment et un peu en manque . Elle a environ trente-cinq ans ; elle est blonde et plutôt bien roulée dans le genre maigrichonne . Je sais que cela parait dément mais j'ai envie de lui téléphoner pour lui demander un nouveau rendez-vous . On ira ensemble et je lui demanderai si elle ne voudrait pas t'apprendre à être un bon amant jusqu'à ce que je puisse faire l'amour sans risquer d'être enceinte ».

Loïc la regardait , stupéfait « Mais je ne veux pas une autre que toi » lui dit-il

« Je ne fais que te prêter et de toute façon, ce n'est pas gagné. Même si elle est partante, c'est un peu limite pour la déontologie ; je suis sa patiente après tout . Son cabinet ouvre dans une heure, je vais tenter le coup. En attendant, remballe ta marchandise, on s'habille et on va faire une heure de jogging, cela nous calmera ».

Loïc rouspéta et traina les pieds mais sa sœur sut se montrer inflexible et il se retrouva bientôt en train de trottiner derrière elle, ce qui s'avéra des plus pénibles vu qu'il avait une vue imparable sur sa croupe enserrée dans un short moulant. Il décida de prendre la tête pour ne plus subir ce supplice de Tantale mais Léa, bien entraînée, n'entendait pas lui laisser les commandes aussi facilement et elle se porta à sa hauteur. Loïc aperçut du coin de l'œil la poitrine de sa sœur qui tressautait malgré le soutien-gorge de sport et le T-shirt très ample qu'elle portait et il sentit son souffle s'accélérer. « mais comment veut-elle que je reste calme » se dit-il « Elle ferait bander un mort dans un congélateur » . Il parvint à encore accélérer l'allure, se porta en tête et parvint à y rester . ils terminèrent ainsi le parcours et se retrouvèrent bientôt à la maison . Léa récupéra son GSM et téléphona aussitôt à Lucie tandis que Loïc la regardait en coin, sans savoir si la perspective de cette rencontre avec une femme mure l'excitait ou l'effrayait ou si la perspective d'un échec le décevrait ou le ravirait.

« Bonjour Lucie, c'est Léa Delmotte , est-ce que tu pourrais-nous recevoir en derniers patients mon petit ami et moi ce soir? ........ Ou demain soir ... ah non c'est samedi ..... pardon? ....... C'est encore mieux ; ce serait même formidable! ..... et après, on pourrait manger un bout ensemble, c'est nous qui invitons! ...OK, à tout à l'heure! »

Léa se tourna vers Loïc « Mon gros loup, direction la douche, Lucie n'a pas de consultations le vendredi après-midi en juillet mais elle a proposé de passer ici pour nous voir. . Elle sera ici vers midi. Je crois qu'elle est vraiment curieuse de te rencontrer! »

Léa poussa son frère en direction de leur salle de bain et se réfugia dans celle des parents pour éviter qu'ils ne s'excitent l'un l'autre avant l'arrivée de Lucie. Elle mit le T-shirt ( qui appartenait en fait à son père!) au linge sale ainsi que son soutien-gorge et, après une certaine hésitation, le slip de sa mère. Elle prit une douche en vitesse puis se rendit dans sa chambre pour s'habiller. Elle choisit ses sous-vêtements favoris, très classe mais plus sages puisqu'à sa taille et elle hésitait quant à la robe qu'elle allait mettre lorsque Loïc, nu comme un ver mais les bras chargés de vêtements, fit irruption dans sa chambre en lui demandant « Short, bermuda ou jeans? Il la regarda d'un œil torve et lui dit , coquin,

« hum je préférais ta culotte de ce matin ; elle était beaucoup plus excitante »

« Je m'en doute » répondit-elle « mais c'est celle de maman et elle sentait trop le sexe, plus question de la mettre aujourd'hui! » ...

« tu t'es branlée dans la culotte de maman? » demanda Loïc abasourdi .

« Oui et c'était très bon » rétorqua-t'elle mutine « Bermuda, pas de caleçon et ton vieux maillot de foot qui est bien serrant. Je veux que tu sois le plus désirable possible! »

Bien que le bermuda soit particulièrement ample, Loïc eut du mal à y introduire son sexe à nouveau gonflé ; l'idée de sa sœur se branlant dans le slip de leur mère le mettait dans tous ses états. Il enfila le maillot de foot sous l'œil approbateur de Léa qui lui dit « Parfait, va préparer la table du salon pour un apéro léger, je te rejoins dans 5 minutes ».

Dix minutes plus tard, Léa descendait à son tour dans le salon. A l'insu de son frère ou plutôt, sous l'influence de son regard lubrique, elle avait finalement décidé de mettre à nouveau un slip de Cécile, presque identique à celui du matin et avait remisé le soutien au placard. La robe d'été qu'elle avait choisi mettait particulièrement en valeur ses seins qui s'agitaient librement sous le léger tissu. Loïc qui l'avait regardé descendre la saisit au bas de l'escalier et l'embrassa presque férocement « Ma chérie, si ton plan ne marche pas, je te préviens, tu vas devoir t'occuper de moi parce que je n'en peux déjà plus! » Avant que Léa n'ait eu l'occasion de répondre, la sonnette de la porte d'entrée retentit et elle se précipita pour aller ouvrir. Au moment où Lucie apparut dans l'embrasure de la porte, Léa comprit que les chances de réussite de son plan venaient d'augmenter spectaculairement : Lucie qu'elle avait toujours vue habillée très professionnellement d'un tailleur très strict avait abandonné la veste et déboutonné son chemisier presque jusqu'au nombril! En la faisant passer devant elle vers le salon, Léa aperçut un petit sein complètement nu par l'entrebâillement du chemisier. Même le soutien-gorge s'était fait la malle! Elle sentit son vagin s'éveiller et une humidité familière la gagner « Si cela ne marche pas, Lolo ne sera pas le seul à avoir besoin qu'on s'occupe de lui » se dit-elle.

Ledit Lolo était assis très droit dans le divan et tâchait tant bien faire se peut de cacher une énorme érection dans les plis du bermuda et du maillot. Léa fit les présentations puis , Lolo n'étant vraiment pas en mesure de se lever, elle alla chercher une bouteille de rosé que ses parents gardaient dans le refroidisseur et trois verres.. Par politesse, elle s'enquit de la matinée de Lucie qui écarta le sujet d'un geste de la main « De la routine ; à votre santé les amoureux, vous m'avez l'air bien assortis l'un à l'autre mais racontez-moi plutôt pourquoi vous vouliez me voir. J'espère que ce n'est rien de grave?»

« Ouch, nous voilà déjà au pied du mur » pensa Léa qui se racla la gorge

« Je ne sais pas très bien par où commencer .. Nous nous aimons et nous nous désirons énormément ; je veux dire que nous nous désirons sexuellement énormément .. On a déjà fait presque tout ce qui était possible de faire sans prendre le risque que je tombe enceinte mais Loïc est en train de devenir dingue : il a de gros besoins et nos caresses ne suffisent pas à le calmer, que du contraire »

« Tu ne veux quand même pas que je prescrive un anaphrodisiaque? » l'interrompit Lucie? « Non, pas du tout » reprit Léa, « je voudrais faire appel à ma thérapeute et surtout à mon amie : Lolo est aussi vierge que moi , et .. euhh ...est-ce que tu accepterais de le dépuceler et lui apprendre comment me faire l'amour d'ici que la pilule me protège contre ses petits soldats? Tu es la seule qui peut nous aider, s'il te plait Lucie, je sais que tu n'es pas bégueule et il est vraiment bien mon Loïc»

Complètement éberluée, Lucie regarda la jeune fille qui était devenue rouge pivoine puis le jeune homme qui se tortillait sur le divan avec un gigantesque problème dans le bermuda. Lorsqu'elle s'était arrangée pour venir, elle pensait que le problème amoureux du jeune couple se limitait à la mauvaise connaissance de leurs corps et elle espérait pouvoir en profiter pour se livrer à des explications exhibitionnistes comme elle l'avait déjà fait avec d'autres patients qui lui plaisaient. Et voilà que Léa lui offrait -- non , Léa la suppliait --de coucher avec son magnifique étalon! Elle resta silencieuse trois longues minutes qui parurent trois heures aux deux adolescents. Elle réfléchissait pourtant à toute vitesse : d'un côté elle avait toujours eu une approche plutôt élastique de la déontologie : jusqu'à preuve du contraire , le sexe consensuel n'avait jamais fait de tort à quelqu'un. Par ailleurs, les amoureux étaient majeurs mais tout juste . Si cette histoire venait à s'ébruiter, sa réputation n'y survivrait pas. Mais d'autre part, cela faisait six mois qu'elle n'avait partagé la couche ni d'un homme ni d'une femme et les amoureux étaient de vivants appels à céder à la tentation!

« Au diable les torpilles » se dit-elle en terminant son verre de vin et regardant la jeune fille dans les yeux dit à voix haute :

« Première condition ... » Léa exhala un long soupir de joie ... « Discrétion absolue! »

« Deuxième condition : je veux que tu participes Léa »

« Troisième condition : si Loïc est un bon élève, je veux pouvoir vérifier ses progrès après que tu sois devenue opérationnelle .

« Quatrième condition : il me faut un lit ; j'ai passé l'âge des divans »

Loïc était comme pétrifié mais Léa sautait de joie en criant « Oui, oui, oui oui! Quatre fois oui!! » Elle se précipita sur Lucie et l'enlaçant, la souleva du sol en disant « merci Lucie, je t'aime, nous t'aimons! » cette dernière profita de sa soudaine élévation pour entourer de ses mains le visage de l'adolescente et l'embrassa sur les lèvres . Léa ouvrit les siennes pour laisser le passage à un baiser profond qui n'échappa pas à Loïc qui gémit de désir inassouvi.

Léa reposa Lucie et dit « venez, la grande chambre nous attend » et gardant la main de Lucie, elle l'emmena dans l'escalier tandis que Loïc les suivait en se dandinant comme un canard. Une fois arrivés dans la chambre, c'est Lucie qui prit le contrôle des opérations . Elle attira à elle le garçon et le fit se pencher vers elle pour qu'ils s'embrassent comme elle avait embrassé Léa quelques secondes auparavant et elle en profita pour palper l'entrejambe du garçon. Léa n'avait pas menti : il était gigantesque! Sa vulve trop longtemps délaissée mouillait de joie à l'idée d'accueillir le plus grand mandrin qu'elle ait jamais connu. Haletante, elle se tourna vers la jeune fille et lui dit d'une voix rauque « Déshabille-nous ma chérie! » Léa obtempéra avec empressement et commença par celui qu'elle ne pouvait surtout pas appeler son frère : Elle arracha le maillot puis, tout en s'accroupissant elle dégagea le bermuda du mat de cocagne qu'il recouvrait.

« Ne me touche pas » supplia Loïc « sinon je vais jouir » .

Léa arbora un sourire carnassier et se tourna vers Lucie. Elle défit tout d'abord la jupe de tailleur puis s'attaqua au chemisier dont les derniers boutons ne résistèrent pas longtemps à ses mains expertes. Elle passa derrière son ainée et commença à soupeser les petits seins pour mieux les présenter à son frère. Elle caressa les mamelons puis sa main droite descendit le long du ventre légèrement rebondi de la doctoresse pour venir explorer la lisière su slip de celle-ci. Loïc poussa un grognement rauque et empoigna la base de sa verge dans un effort désespéré pour arrêter l'explosion de sperme qu'il sentait monter à la vitesse d'un express. La main de Léa descendit encore plus bas et , pour la première fois de sa vie, elle découvrit une autre chatte. Et cette chatte étrangère couverte d'un très fin duvet blond mouillait autant que la sienne! Elle ne résista pas à la curiosité et s'empara du clitoris qu'elle caressa comme elle s'était caressée le matin même sous le slip de Cécile . Cette seule pensée l'excita à nouveau tellement qu'elle enserra Lucie comme dans un étau , se frottant contre ses fesses et son dos et la branla sans ménagement tandis que Lucie geignait de plaisir . mais avant que Léa ne parvienne à ses fins, Lucie s'arracha à son étreinte en haletant « Pas si vite, n'oublie pas Loïc » .

Elle entraîna le garçon vers le lit et le fit s'allonger. Elle s'extasia devant la colossale verge hyperbandée et dit à Léa

« Je n'en n'avais jamais eu d'aussi grosse ; si tu me l'avais montrée avant, j'aurais payé pour l'avoir! Maintenant , viens m'aider : tiens la bien droite que je puisse la faire entrer en moi»

Aussitôt dit, aussitôt fait, Léa se précipita et maintint la verge en position verticale tandis que Lucie enjambait le garçon et présentait sa vulve au-dessus du gland violacé. Elle se laissa retomber mais eut l'impression de se heurter à un mur tellement son diamètre était imposant . Elle s'aida des deux mains pour mieux s'ouvrir et enfin, son vagin dégoulinant parvint à absorber l'intrus. Elle continua à pousser jusqu'à ce qu'elle sente le gland buter contre sa matrice. La sensation de plénitude qu'elle ressentait était tellement merveilleuse qu'elle sentit monter en elle les prémices de sa jouissance mais avant qu'elle ait pu esquisser le moindre geste, Loïc, à bout de frustration, l'empoigna par les hanches et donna deux grand coups de reins qui les firent tous les deux hurler de grands « AAAHH » et il se répandit en elle . Lucie eut un mini orgasme qui se répéta à la troisième ou quatrième éjaculation du monstre.

Lucie fit passer sa main sur les couilles du garçon mais ce qu'elle découvrit la stupéfia : bien qu'elle se sente empalée jusqu'à la garde, il avait encore 5 bons centimètres à lui offrir alors qu'il venait de jouir! Léa se jeta sur le couple en criant « Comme c'était beau » et elle embrassa son frère en demandant « comment c'était mon amour, tu te sens mieux? » Mais Loïc ne répondit pas tout de suite ; les yeux fixés sur les petits seins de Lucie, il semblait perdu dans ses pensées « J'ai encore envie » finit-il par dire. « Moi aussi mon grand » répondit Lucie « mais cette fois nous allons prendre notre temps. Embrasse-le Léa, même Superman a parfois besoin d'encouragements » Sur ces mots, Léa se pencha et embrassa passionnément son frère qui ne put résister au plaisir de lui peloter les seins .

Pendant ce temps, Lucie avait commencé des mouvements de va et vient qui lui arrachaient des petits gémissements de bonheur . La verge regrossit en elle, recouvrant sa taille maximale et elle commença à ahaner. Quelques mouvements de plus et elle explosa dans un orgasme ravageur qui la fit s'abattre sur le torse du garçon en criant « OUI JE VIENS, JE JOUIS » . Loïc l'embrassa dans le cou puis Léa qui s'était couchée à leurs côtés vint les embrasser tous deux , caressant le dos et les fesses de son amie. Elle avait une folle envie de participer à cet accouplement frénétique mais elle se dit que son tour viendrait ; aujourd'hui, c'était la journée de Loïc et aussi celle de Lucie à voir le plaisir qu'elle tirait de son partenaire.

Ladite Lucie avait déjà récupéré et avait recommencé à faire aller ses hanches de haut en bas du piston qui l'écartelait. Son souffle était rauque et elle geignait chaque fois qu'elle s'empalait à nouveau. Loïc n'en n'était pas de reste et venait à sa rencontre, tentant en vain de faire pénétrer l'entièreté de sa verge dans le vagin très serré de sa partenaire. Les mouvements de Lucie devinrent plus saccadés tandis que les coups de reins du garçons se faisaient plus véhéments. Devinant que leur jouissance était proche, Léa vint se placer derrière la jeune femme et s'empara de ses seins d'une main tandis qu'elle caressait les couilles de son frère de l'autre. Loïc poussa un rugissement , se cabra, soulevant Lucie du lit et il jouit en elle, ce qui déclencha l'orgasme de son initiatrice. A nouveau, celle-ci perdit le compte des éjaculations qui se déversaient en elle et se laissa emporter par la marée du plaisir .

Léa regarda les deux corps enchevêtrés avec des sentiments mitigés. D'un côté , elle était fière de la réussite de son plan et heureuse pour son frère mais elle se sentait abandonnée par les deux amants et surtout plus frustrée sexuellement qu'elle ne l'avait jamais été. Elle avait besoin de jouir elle-aussi! Elle s'assit à la tête du lit, retroussa sa robe et commença à se caresser sous le slip de Cécile. Très vite, elle commença à haleter. Elle se remémorait toutes les phases du grandiose accouplement qui avait eu lieu sous ses yeux et s'était conclu avec son aide. Elle abaissa le décolleté de sa robe pour exposer ses seins et en tritura les mamelons turgescents de désir.

Lucie avait ouvert les yeux et était fascinée par le merveilleux corps de l'adolescente. Elle l'avait déjà vue nue dans son cabinet mais sans la charge érotique qui les entourait ici. Elle se dégagea de la verge semi-placide qui la retenait encore et vint se positionner à quatre pattes à l'intérieur des jambes ouvertes de Léa, fixant avec intensité les doigts qui s'agitaient sous le slip. Loïc avait également rouvert les yeux lorsque Lucie l'avait abandonné. Bien qu'assouvi, il avait ressenti une impression d'abandon lorsque Lucie s'était dégagée mais la vue de sa sœur en train de se masturber (« de nouveau un slip de maman » découvrit-il) sous les yeux de son amante lui donna une véritable décharge électrique et il sentit sa verge durcir à nouveau.

Lucie ne résista plus, elle commença à ôter la culotte de Léa puis la débarrassa de sa robe. Puis, la regardant dans les yeux, elle lui dit : « laisse-moi te donner du plaisir ma chérie » . Léa poussa un gémissement que Lucie interpréta comme une approbation. Elle était surprise mais heureuse que l'adolescente se laisse aller aussi facilement à accepter les attentions d'une femme mais elle décida d'en profiter et plongea sur la chatte trempée qu'elle commença à caresser furieusement de la langue. Ses mains remontèrent le long du ventre de la jeune fille et elle pétrit presque brutalement les gros seins qu'elle jalousait en secret.