Les Jumeaux Croisés 02

BÊTA PUBLIQUE

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Loïc, fasciné, prit sa verge en main et fit deux trois mouvements de masturbation pour achever de la faire bander et vint à genoux se présenter derrière Lucie qui ne l'avait pas vu venir, la tête perdue dans le creux des cuisses de Léa. Il tâtonna à l'entrée du vagin mais Lucie se cambra, lui facilitant la pénétration. Cette dernière interrompit sa caresse buccale et dit à Léa « mais il est inépuisable! » « oui et insatiable » répondit-elle. Prise ainsi en levrette, Lucie avait l'impression que le membre qui la pénétrait était encore plus gros et serra convulsivement les seins de la jeune fille tandis que Loïc la prenait en force et se mettait à la pistonner sans ménagement. La vue de Lucie léchant la chatte complètement épilée de

sa sœur et lui malaxant les seins le rendait fou de désir A chacun de ses coups de boutoirs, il plaquait la bouche de Lucie sur la corolle de sa sœur déchainée qui l'encourageait de la voix « Vas-y Loïc, encore, défonce-là avec ta grosse bite ». Le garçon répondait à l'appel et ne ménageait pas ses efforts ; Lucie avait l'impression que la verge la soulevait du lit à chacune de ses pénétrations sauvages. Ayant déjà joui, Loïc et Lucie étaient plus longs à la détente et profitaient un maximum du déluge de sensations qui les submergeaient mais Léa, déjà surexcitée par les ébats de ses deux partenaires, ne résista pas longtemps à la langue experte de sa gyneco et jouit bientôt bruyamment, écrasant la bouche de Lucie sur son clitoris en feu. Loïc était comme fou, ses coups de reins devenaient de plus en plus brutaux et il propulsa littéralement Lucie entre les cuisses de sa sœur jusqu'à ce que la tête de la jeune femme se retrouve à la hauteur des seins de celle-ci.

Dans une semi hébétude, Léa noua ses jambes dans le dos de Lucie pour mieux la coller à elle. Leurs deux sexes étaient en contact et chacune des agressions de la verge démesurée du garçon amenait leurs clitoris à se toucher. Léa avait l'impression que Loïc les baisait toutes les deux en même temps tellement les vibrations étaient puissantes. Très vite, elle sentit le besoin de jouissance remonter dans son ventre. Après un nouvel assaut particulièrement violent, Lucie se cramponna convulsivement aux seins de l'adolescente, serrant les lourdes mamelles dans l'étau de ses petites mains. Eperdue, elle porta le mamelon gauche à sa bouche et commença à le téter avec ferveur tandis que l'énorme piston qui la broyait augmentait encore sa cadence.

Loïc avait l'impression que tout son être était maintenant concentré dans sa verge . Le besoin de jouir le tenaillait jusqu'au creux des reins mais il ne voulait pas éjaculer avant d'avoir fait jouir sa partenaire qui ne lui rendait pas la tâche facile en caressant sa sœur avec une avidité qui l'excitait au plus haut point. Enfin, Lucie exhala un long feulement « c'est trop, ça vient, je jouis! Aaaahhhh »

Au paroxysme de son plaisir, elle mordit le mamelon du sein gauche de Léa qu'elle martyrisait convulsivement. Loïc donna un ultime coup de boutoir et commença à éjaculer dans le vagin agité de spasmes de son amante en hurlant lui aussi son plaisir. Léa, prise dans cette vague de lubricité, envoya sa main dégager son clitoris , se caressa quelques secondes et les rejoignit rapidement dans l'extase.

Après s'être vidé dans le réceptacle de Lucie, Loïc s'était écroulé aux côtés de sa sœur , complètement groggy tandis que les deux filles restaient collées l'une à l'autre, la tête de Lucie reposant sur la poitrine de Léa. Après quelques minutes, celle-ci fit basculer Lucie entre elle et Loïc et l'embrassa avec autant de passion que Lucie l'avait embrassée peu de temps auparavant. Cette dernière se laissait faire, savourant la douce euphorie dans laquelle elle baignait . A regret, Léa interrompit son baiser et dit « Lolo, il serait temps que tu remercies Lucie toi aussi » . Loïc se redressa et vint lui aussi embrasser sa première amante et lui dit « merci Lucie, c'était merveilleux » « Mais c'est moi qui vous remercie mes chéris, vous m'avez offert la plus formidable partie de jambe en l'air de ma vie et je vous assure que j'ai de l'expérience! »

« J'espère que tu voudras bien recommencer » commença Léa « maintenant? » l'interrompit Lucie mi-amusée mi-inquiète « mais non, poursuivit Léa, mais tant que je ne peux pas faire l'amour avec Lolo, je voudrais que tu prennes soin de lui » . Elle avait failli ajouter « Il a besoin de se soulager » mais s'était retenue à temps, la douce Lucie était quand même bien mieux qu'une simple femme réceptacle! Elle poursuivit « tu es mon amie et tu es devenue celle de Loïc ; je sais bien que tu ne voudras pas t'immiscer entre nous même si tu seras toujours la bienvenue dans nos jeux! »

« Merci mes chéris , vous n'imaginez pas comme cela me fait plaisir ; tant que vous voudrez bien de moi, je serai à vous! mais pour l'instant, il me faudrait une serviette ; Je sens que le foutre de Lolo va bientôt tâcher le lit» « Loïc, va chercher une serviette , je vais parer au plus pressé » dit Léa . Et tandis que son frère se hâtait vers la salle de bains, Léa s'agenouilla entre les jambes de Lucie et se mit à lécher le sperme qui s'écoulait de son vagin inondé. « Léa, vilaine gourmande » se moqua-t'elle gentiment avant de crier » Non , arrête, je n'en peux plus, Loïc m'a épuisée! » alors que la langue de la jeune fille était venue se nicher sur son clitoris enflé. Léa n'en eut cure et continua à faire aller et venir sa langue entre l'entrée du vagin pour recueillir les sécrétions de son frère et le clitoris de Lucie qui répétait d'un ton geignard « Je n'en peux plus, je n'en peux plus » mais elle ne fit rien pour se libérer de l'étreinte de sa jeune amante . Cette dernière décida de passer à la vitesse supérieure et introduisit deux doigts dans le vagin de son amie, libérant encore plus de sperme et multipliant l'intensité des gémissements de sa proie. « J'aimerais être un homme » se dit Léa « J'aimerais tant la baiser avec une grosse bite comme Lolo ». Elle redoubla d'efforts et fut bientôt récompensée par un long « aaaarrghh » et Lucie sembla disparaître dans le matelas, complètement exténuée.

Sur ces entrefaites, Loïc réapparut, tenant une serviette comme un baluchon et tirant une drôle de tête. Léa , très satisfaite de son dernier exploit , l'appela « Tu peux venir Loïc, je viens de l'achever » Loïc s'approcha lentement, déposa la serviette sur le lit et dévoila le contenu. « mais qu'est-ce que c'est » demanda Léa en découvrant la demi-douzaine d'objets qu'elle contenait. Loïc lui présenta un des six objets : une espèce de gros et long cigare en plastique semi-rigide d'un rose improbable.

« Mais c'est un gode » dit Léa . « Où les as-tu trouvé? »

« Ben , dans l'armoire de la salle de bains, en-dessous des serviettes » répondit le jeune homme.

« Je n'aurais jamais imaginé cela de mam . .. ère » dit Léa, se rappelant in extrémis que Lucie ignorait leur véritable relation . Elle avait failli trahir leur incestueux secret même si Lucie, complètement anéantie, n'avait certainement rien remarqué! En attendant, inceste ou pas, Loïc semblait particulièrement émoustillé par l'image de leur mère se servant de ce genre d'objets car son sexe recommençait à durcir malgré ses précédents orgasmes.

Léa examina les six godes . ils étaient tous plus petits et plus beaucoup plus fins que le seul sexe masculin qu'elle avait connu jusqu'ici mais ce n'était pas étonnant puisque Lucie disait elle-même que Loïc avait un membre hors-normes. L'un d'entre eux, tout noir, était même tellement fin qu'elle se dit qu'elle pourrait le faire pénétrer en elle sans briser son hymen . Cette idée l'excitait et elle s'en empara pour le porter à sa chatte encore bien lubrifiée . Son frère la regardait faire les yeux exorbités et la verge au garde-à-vous. Léa s'adossa à la tête du lit et poussa précautionneusement le petit gode en elle, franchissant la barrière de sa virginité et explorant pour la première fois les tréfonds de son intimité. La sensation était incroyable. Elle continua à pousser et bientôt, le mini-phallus fut complètement logé en elle. Son frère se pencha et sans la prévenir, tourna la bague à l'extrémité de l'engin et Léa sursauta : le gode s'était mis à vibrer , éveillant son vagin encore inexpérimenté à des sensations toutes neuves . Elle fit se contracter ses muscles internes pour mieux profiter des vibrations car la modestie des dimensions du gode la laissait quelque peu sur sa faim. Loïc, fasciné par le spectacle avait commencé à se branler puissamment, assis en face d'elle, ne perdant pas une miette du spectacle qui lui était offert. Léa , n'y tenant plus, se caressa le clitoris et se mis à ahaner de concert avec son frère. S'excitant mutuellement et s'encourageant l'un l'autre , ils sentirent rapidement monter en eux le besoin de jouissance. Mais au moment où Loïc dit d'une voix rauque « ca y est , je viens » , une main écarta la sienne et la bouche de Lucie s'empara de sa verge, bien au-delà de ce que Léa avait réussi à gober jusqu'à présent. Et tandis que le garçon se vidait encore une fois de son sperme grâce à Lucie, Léa atteignait elle-aussi les sommets d'un plaisir solitaire. Elle arracha le vibromasseur de son sexe et savoura les dernières ondes de plaisir qui émanaient de son clitoris.

Lucie qui avait maintenant récupéré de ses excès jouissifs précédents regarda le gode et remarqua

« Quelle bonne idée, un gode anal pour branler une vierge! Il faudra que je m'en souvienne »

« Parce que c'est un gode anal? » s'étonna Léa .

« Mais oui et les autres-là , aussi ; c'est pour cela qu'ils sont plus fins et plus court que notre super-Lolo » « je t'en ferai une démonstration à l'occasion ».

« Uugh, pitié » gémit soudain Loïc qui se tenait le sexe ; « vous allez de nouveau me faire bander et cela commence à faire mal! Si on allait manger un bout pour récupérer des forces avant de me rendre dingue? »

« C'est vrai, j'ai une faim de loup » constata Léa « cela creuse les émotions! Allez, on s'habille et on va se faire une pizza!»

Le temps que Loïc retrouve son bermuda, Lucie s'était emparée de son maillot de foot qui la couvrait comme une robe mais semblait encore rehausser sa charge érotique tandis que Léa avait remis son slip (« non, celui de maman » gémit intérieurement son frère) et s'ingéniait à entrer dans le chemisier de Lucie. Elle abandonna rapidement le combat et se dirigea, poitrine à l'air vers la salle à manger suivie de Lucie et de son frère qui essayait désespérément de penser à un bain d'eau glacée pour calmer ses sens à nouveau en émoi .

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