Les Deux Visages Du Désir

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Je place mes mains devant mon sexe pour ne pas qu'elle voit mon érection. Je crois qu'elle s'en aperçoit car, je vois un sourire sur ses lèvres.

Tu mérites un bon pourboire. Je me penche vers ma sacoche qui traîne par terre et sans qu’il ne le remarque, je tire sur la serviette pour lui dévoiler ses seins.

En se tournant pour prendre de la monnaie dans sa sacoche, la femme se penche, et, la serviette de bain glisse. Je vois ses seins nus, j’en suis tout ému.

Je surveille sa réaction pendant que très lentement je me relève et je fais la surprise en regardant vers ses seins nues.
Tout le visage de la femme, tant ses yeux pétillants que sa bouche sensuelle me disent qu’elle était très fière de ses seins aux mamelons en érection et très éveillés qui eux, semblent me sourire. Et, je m'imagine même durant une fraction de seconde, que ses mamelons qui me narguent au sommet de large auréoles, semblent me faire signe de venir les caresser.

Je me dépêche de me couvrir la poitrine avec mes bras en tirant innocemment sur la serviette qui elle remonte encore plus au haut de mes cuisses.
La femme se relève lorsqu’elle s’en aperçoit. Elle cache une partie de ses seins avec son bras pendant que son autre main essaie de retenir la serviette sur le bas de son corps. Je suis tout en sueur!, mon cœur oublie de battre pendant quelques secondes. Nous sommes là, l’un devant l’autre sans qu’aucun de nous deux, n’ose bouger.
Je me penche de nouveau pour reprendre ma sacoche par terre.
J’ai le temps de revoir ses seins nues et une bonne partie de ses belles fesses nues. Moi, j’en oublie de respirer tellement, je suis excité.
Presque au même moment, la serviette de bain glisse. Je me tiens-là, à quelques pouce de lui, complètement nue.
Et là, mon cœur se met à battre à tout rompre.
Je suis en admiration devant ce petit bout de femme dont chaque partie de son corps dégage beaucoup de charisme.
Je vais toujours me souvenir de cette belle femme aux yeux pétillants de fierté et de vitalité. Ses yeux si doux qui m’encouragent et qui ont déjà lu tout mon émoi de jeune mâle devant la vision de son corps de rêve pendant que je sens mon visage devenir rouge. Mais, malgré ma gêne passagère, absolument rien au monde ne peux m’empêcher de continuer de la regarder en concentrant mon regard tant sur ses seins que sur tout le bas de son corps.

Je fais quelques pas de danses et je me trémousse à quelques pieds de lui, en m’étirant langoureusement.
Je fais un tour complet sur moi-même avant venir me planter à quelques pieds de lui sans bouger aucun muscles de mon corps, et, cette fois, en ayant les cuisses bien ouvertes.
Pour la première fois de ma vie, je vois une femme nue à quelques pouces de moi. Puis, une belle femme d’environ vingt cinq ans qui me sourit et ses yeux pétillants de sensualité, m’invitent à la regarder! J’en avais l’eau à la bouche!
On dirait que c’est la première fois que tu vois une femme nue?
Je suis si troublé que je ne suis pas été capable de lui répondre. Après quelques secondes sans qu’aucun de nous deux n’ose bouger, la femme me dit :
Surtout, toi, tu ne bouges pas. Je vais nous mettre un CD avec de la musique plus rock’n’roll.
La femme se penche et pour me gâter davantage, elle fait exprès de se bouger les seins et le sourire aux lèvres, elle reprend sa serviette et elle s’en sert pour se couvrir partiellement le bas du dos.

Je marche en me déhanchant d’une façon très provocante pour me rendre près de la table de billard. Et, je lance sa serviette dans les airs, avant de commencer à tapocher à un rythme très accéléré sur le tambour africain que je retiens au haut de mes cuisses. Tout mon corps danse et se déhanche encore plus aux sons du rythme endiablé pendant que lui, la bouche grande ouverte, ne veut rien manquer du spectacle qui lui est offert.
Mon cœur se met à battre à tout rompre quand la femme se trémousse au rythme de la chanson ‘I Will Survive’ de Gloria Gaynor. Et, tout au long de cette chanson, la femme s’amuse comme une folle, en se bougeant les épaules et elle me sourit en se faisant branler les seins.
Je chante à tu-tête en me faisant aller sans arrêt la tête de bas en haut et de gauche à droite pendant que ma longue chevelure pend jusqu’à lui cacher par intervalles une partie de mes petits seins.
Elle a de très beaux seins fermes, en forme de poire. Je te dis que moi, je la regarde pendant que tout le corps de la femme suit le rythme en tapant sur le tambour africaine.
Tambour que je retiens toujours entre mes cuisses pendant que je me fais aller le bas du corps à un rythme de plus en plus infernal.
Je lui souris et je l'encourage en suivant le rythme moi-aussi, tout émerveillé devant ce spectacle improvisé.

Quand cette chanson est terminé, je me retourne pour être dos à lui ,et, en gardant toujours le tambour entre mes cuisses, je suis entraînée tout de suite par le rythme d’une nouvelle musique, cette fois, une pièce de batterie qui résonne en crescendo sur mon CD.
La femme, pieds-nu sur le bout des orteils, tape de plus en plus vite sur son tambour africain. Son corps de déesse est tout aussi séduisant de dos que de face! Tout au long de cette pièce de musique, je peux lui admirer tout son corps, en commençant par ses long cheveux qui lui viennent jusqu’au milieu du dos. Je aussi captivé par le contour de ses seins et de ses hanches de femme adulte, puis, de ses fesses nues, de belles fesses rondes et bien en chair qui elles, m’ensorcelent au même rythme endiablé que la musique.

Il est tout aussi captivé à la vue de mes longues jambes aux cuisses bien galbées pendant que je joue comme une déchaînée en tapant sans arrêt sur mon tambour.
Je vais me souvenir de cette soirée toute ma vie!

Je suis comme ensorcelée par la musique et je danse et bouge tellement tout le corps que lorsque la deuxième chanson se termine, je suis toute en sueur. Et, je cours vers lui et lui dis :
Regardes, je suis une vrai femme.

Elle arrive à la course à mes côtés. Sa poitrine bat à tout rompre. Je vois ses seins se soulever à une vitesses folle. Ses mamelons déjà bien éveillés se pointent vers moi. Ouf!, j’en avais l’eau à la bouche. Je descends mon regard sur son ventre.
J'en profite pour ouvrir les cuisses.
Je vois son ventre, son triangle de poils, même, la forme de son sexe. J`en suis tout ému. J`ai du trouble à reprendre mon respire tellement mon cœur battait vite.

Je lui prend la main et je l'amène à mon sein.
Touches!
Vois, comme c’est doux!
Je veux tout t`apprendre de la femme.

La femme m`entraîne vers la salle de bain. Rendu-là, elle me dit:
Déshabilles-toi.
J`enlève mon chandail.
Je l'aide à enlever ses jeans.
Ses mains impatientes retire mon caleçon.
Un vrai mâle!
Ouais!, tu bandes déjà.

La femme fait couler l'eau, et, elle entre sous la douche avec moi. Ses mains me savonnent en insistant toujours un peu plus sur mon estomac.
Je me mets à genou devant lui, et, je lui savonne le ventre, en le frottant dans la région du nombril durant de long moments.

Je bande de plus en plus. Mon pénis me faisait mal, tellement, il était tendu.
Je regarde son érection un sourire aux coins des lèvres pendant que mes mains lui procurent de nouvelles sensations, en le savonnant l`intérieur des cuisses et des fesses.

Ouf!, j’en perds le contrôle, tellement, ses mains expertes m'excitent.
Malheur! J’éjacule!
Je reçois son sperme dans mes cheveux.
Ouf!, il est tellement gêné qu’il est tout rouge de honte.
Mais, au lieu de me réprimander, la femme me sourit.
Mes mains serrent son pénis, et, lentement, je l`enfonce dans ma bouche pendant que son membre continue de cracher d`autres jets de sperme.
La femme aspire tout en me regardant dans les yeux. Sa bouche, et, sa langue me caressent sur toute la longueur de ma verge.
Je lui lèche tout jusqu`à la dernière goûte.

Lorsqu'elle relève la tête vers moi, elle me demande en me souriant:
Aimes-tu, cela?.

En tremblant d’excitation, je lui réponds: Oui.
Je me penche devant lui, et, mes deux mains lui pétrie les testicules pendant que ma bouche les lèche.
L`eau de la douche me fait du bien.
La femme se relève et elle me dit:

Maintenant, c’est à ton tour de me donner du plaisir.
Tu va me gâter!,
qu'elle me dit en me mordillant une oreille. Sa bouche s’approche de la mienne.
Je lui donne un baiser.
Un vrai!
Sa langue se promène dans ma bouche. Cette langue brûlante bouge tellement, et, elle pousse sans cesse sur la mienne. Je vis de toutes nouvelles sensations.

Mes lèvres se collent aux miennes, telles, des ventouses. Ce baiser fougueux, ne lui laisse pas le temps de respirer.
J’en suis pratiquement après perdre le souffle lorsque la femme arrête notre baiser.
J’entends sa voix sensuelle me dire:

Caresses-moi de tes lèvres dans le cou.
Vas-y doucement.
O!, que c’est bon!
Maintenant, descends lentement tes lèvres sur mes épaules.
J’aime ça.

Sa voix de plus en plus sensuelle me murmure:
C`est si bon!
Continues.
Tu fais bien cela.
Maintenant, avec ta bouche et du bout de la langue, caresse mes seins.

Au premier contact de mes lèvres sur ses seins à la chair très pulpeuse, je me met à bander dur comme jamais.
Caresses-moi lentement du bout des lèvres.
C'est si bon!
Maintenant, changes pour l`autre sein.
C`est cela.
Mes seins durcissent.
Tu vois, ils rallongent.
C’est parce que tu es gentil avec eux.
Maintenant, places tes mains sous mes seins.
Serres-les fort.
Pas trop, tout de même!
Pousses par en dessous
Ils sont encore plus gonflés.
C’est encore parce que tu es gentil avec eux.
C’est tellement bon, ce que tu me fais.
Aie!, tu apprends vite, toi.

La femme me redonne un autre long baiser. Cette fois, moi aussi, je l’explore de ma langue, et, c`est moi qui coupe court au baiser pour retourner caresser ses seins. Ses mamelons sont encore plus durs et plus allongés.
La femme me dit d’une voix de plus en plus sensuelle:
Maintenant, suce mes mamelons délicatement.
C’est si bon!
Continue!
Maintenant, avec tes dents, tire dessus en douceur.
C’est bon!, ce que tu me fais là!
Ouf! J’en suis tellement excité que je lui ferais tous ses caprices. La femme, elle, elle semble jouir autant que moi. Elle ne cesse de me parler, et, de me diriger pendant que mes mains pétrie les seins, et, que mes lèvres les sucent, sans arrêt.

Maintenant, descends tes lèvres sur mon nombril.
Je me penche un peu. J’hésite. Je la regarde pendant que l`eau de la douche coule sur son triangle de poils.
Aie!, tu n’arrête pas là, là, toi.
Continues!, caresse mon sexe comme je l’ai fais pour toi, tout à l`heure.
Places-toi à genou, ainsi, tu vas être plus confortable, et, ainsi, tu vas pouvoir me voir encore mieux.

Pour la première fois de ma vie, j’ai et je vois un sexe de femme à quelques pouces de mes yeux. Je suis vraiment fasciné par la vue de sa fente ouverte.

C’est moi qui l`initie.
Elle prend ma main, et, elle la caresse sur ses poils déjà tous trempés. Sa main serre la mienne très fort, et, cette main me guide sur sa fente.
Ma main promène sa main durant de longues minutes sur mon sexe.
Pendant que la femme se trémousse, moi, je découvre de tous nouveaux délices.
Vas-y très délicatement, et, entres un doigt dans mon sexe.

Lorsque j’entre mon doigt dans sa fente, la femme bouge de plus en plus vite. Il me semble qu'elle se fait aller le bassin, comme si, elle veux que tout le bas de son corps se grimpe sur mon doigt.
J’entends la voix surexcitée de la femme me demander tout bas:
Entre un deuxième doigt.
Tu me fais jouir!
Continues.
Garçon, si tu savais? …

Le corps de la femme me semble être de plus en plus chaud. J’entends son délire :
A!, a!, a!, a,! je jouis!, je jouis! A!, a!, a!, a!

Cette femme veut que je lui serre les fesses de mon autre main. À ma surprise, elle me dit:

Maintenant, caresses, mon sexe avec ta bouche.
En me voyant hésité, la femme me dit :

Vas-y délicatement, et, tu vas connaître comment faire jouir une femme.
Je m'approche encore plus près de son sexe. Je me ferme les yeux. Je commence par sentir son odeur de femme.
Je place mes deux mains derrière sa tête, et, je lui colle le visage sur mon sexe ouvert.
C'est la chose la plus douce que je n`ai jamais goûté. La femme se frotte à moi, et, elle s'excite en démon.

J’entends sa voix délirante me dire d`entrer la langue en elle et de la bouger toujours plus vite.
Je crie, je ne reconnais plus sa voix, tellement, elle semble surexcitée.
Ce jeu dure de longues minutes.

Lorsque je retire mes lèvres de son sexe, ses yeux émerveillés ne peuvent s'empêcher de me regarder.
Je lui vois les cuisses, son sexe ouvert, ses poils tout mouillés, puis, mon regard remonte vers la rondeur de son ventre et ses seins gonflés qui pendent vers moi.
Je dois la faire jouir, car, ses mamelons sont bandés au maximum.
Je lui sourit pendant que mes longs cheveux recouvrent un partie de mes seins.

Je crois qu`elle doit être contente de son élève, car, aussitôt que je relève la tête, c’est elle qui m`attire encore sur son sexe.
Je suis surexcitée. Je presse sa tête sur sa fente.
Ouf!, on dirait qu’elle veut m`aspirer en elle.

Au bout d'un certain temps, je finis par le faire sortir de sous la douche. Je l’essuie, et le conduit au salon en l`entraînant par la main jusqu’à la table de billard, où, je le fais se coucher sur le dos.

Elle s`agenouille au dessus de mon pénis. Mon membre est si bandé, qu`il se tient droit comme une épée.
Doucement, je caresse ses testicules de mes deux mains.
Je te veux.
Tu vas venir en dedans de moi.
Mais, essaies de te retenir avant d’éjaculer.
En me voyant surexcité, elle m’a dit :
Attends au moins pour décharger que je sois descendu en entier sur ton pénis.

La femme se soulève, et, elle empoigne mon pénis de ses deux mains.
Je me place au-dessus de son pénis, et ,le chevauche à un rythme effréné.

La première impression que je retiens, c’est sa chaleur torride. Et, lorsque la femme se met à entrer et à sortir toujours plus vite en descendant toujours plus profondément sur mon pénis, je suis tout de excité.
Je sens monter mon excitation comme lorsque je me masturbe, et, je ne peux pas me retenir plus longtemps.
Il éjacule tout de suite en moi.

La femme est très excitée, elle aussi.
Elle n’arrêtait pas de m’encourager en me parlant sans arrêt.

Crache ton sperme en moi.
C`est tellement bon.
Vides- toi, je veux tout.

C’est si bon! Mais, je dois te dire que mes premiers ébats sexuels n’ont durés que quelques secondes.

Je me démène encore sur lui pendant que j’essaies de reprendre mon souffle.
Je suis épuisé, mais, heureux et fier de moi.
Je m’assagie lentement en restant étendu de tout mon corps sur lui. Je demeure ainsi pour au moins une couple de minutes de repos. Mes mains tripotaient mes mamelons.

La femme se soulève, et, elle caresse ma poitrine de ses seins.
Ouais!, moi qui croyais avoir tout expérimenté?
Je me penche sur son ventre, et, le lèche comme une chatte en ronronnant.
Elle m`a dit:
Tournes-toi, sur moi,
en me guidant pour que j`ai la tête entre ses cuisses.

Tu vas t`en rappeler?
On appelle ça, la position soixante-neuf.
Vas-y, caresses-moi avec ta langue.

Je m’exécute. Je vais toujours me rappeler de cette drôle d`odeur. En plus, je vois mon sperme couler encore de ses lèvres bien bandées. Je me ferme les yeux, et, je plonge à son sexe.

Je me frotte sur ses lèvres.
J’ai la bouche pleine du goût de son sexe, mélangé à mon sperme et à ses sueurs de femme.

Ma bouche le suce, et ,mes mains pétrissent ses fesses et ses testicules.
La femme me demande de remonter mes caresses sur son ventre, ses seins, son cou.
Je lui donne un baiser fougueux.
Sa bouche goûte mon sperme. Déjà, je suis moins réservé, ma langue la fouille autant que la sienne dans ma bouche.

Pour vous conter la fin de l’aventure, j’ai eu ma toute première expérience sexuelle avec une vrai femme. Je dois vous dire qu’elle m’en a appris des choses qu’un homme et une femme peuvent se faire.

Et, je n’ai pas eu besoin de courir ailleurs ce soir-là pour aller vendre d'autres barres de chocolat, car, la femme m’a tout acheté ce qu’ils me restaient de barres de chocolat.

Jesuis

12
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
Partagez cette Récit