Les Deux Visages Du Désir

Informations sur Récit
Initiation d'Éric.
6.5k mots
4.31
25.6k
00
Récit n'a pas de balises
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

La scène se passe à l’intérieur d’une couchette (sleep-car) d’un transport routier. Je m’y repose après avoir fait l’amour. Je vais vous parler un peu de moi. Je suis âgé de trente ans et on me dit beau bonhomme. Je suis un routier depuis toujours. C’est vrai qu’un colosse comme moi de plus de six pieds et deux pouces et de plus de deux cents trente livres, en impose toujours un peu.

Je m’appuie sur un coude, me penche le haut du corps au-dessus de la femme d’une trentaine d’années, une blonde pulpeuse que j’ai rencontré au bar de danseuses, hier au soir. Je prends le temps de m’allumer une cigarette, j’en prends une bouffée et je la passe à la femme. Nous sommes nus et dans cet espace très restreint, nous avons le bas du corps enlacé. Je la regarde cette belle blonde pulpeuse qui me tente et qui elle, tente de reprendre une respiration normale parce que nous-nous faisons pas mal brasser pendant que mon associé, lui, est au volant du mastodonte. Il nous conduit sur la 401 en direction de Toronto. La femme, elle aussi me regarde dans les yeux, j’en profite pour passer la main sur ses seins moelleux et je continue de lui raconter le récit de mes aventures de routier. (c’est tout un curriculum vitae que je me suis bâti au fil des ans)

Pendant que j’entends ma voix, je me revois alors que j’étais encore un jeune homme. Je marche lentement dans l’entrée d’une résidence d’une rue très cousue d’un quartier résidentiel. Je sonne à la porte en replaçant une poignée de barres de chocolats dans mes mains tout en faisant salut à quatre autres de mes copains et copines (deux jeune hommes et deux jeune femmes) qui eux aussi font du bénévolat dans cette rue. (nous faisons de la sollicitation pour ramasser des fonds pour notre équipe de karaté)

Je suis à faire des exercices d’assouplissement sur le tapis du salon. Un pied levé au-dessus de la table de billard sur laquelle je me retiens d’une main pour faire mes étirements lorsque j’entends la sonnette de l’entrée.

Je me se dirige vers l’entrée en jetant un coup d’œil à mes petits seins. Les mamelons se pointent fièrement sous ma camisole détrempée à la hauteur de mes seins et tout le long de mes hanches.

En passant devant un miroir, je prends le temps d’arrêter. Je rentre le ventre. Je me gonfle la poitrine et je me souris satisfaite de l’image que me renvoie le miroir en bougeant des fesses. Je retrousse ma petite culotte pour en faire ressortir encore plus la courbe très prononcée de mes fesses pour faire, moi aussi, toute une surprise à mon petit époux. Et, si mon voisin qui me surveille à tous les jours depuis qu’il est à la retraite, pour essayer de voir le haut de mes cuisses à toutes les fois que je ressors de mon automobile, bien à soir, s’il est encore-là, il va être gâté?

Toi, tu es un ange ou un démon? Je ne le sais pas?. Mais, tu es certainement le plus beau cadeau surprise que Marco ne m'aie jamais fait. Marco est un gars assez timide.
Même s'il a trois ans de plus que moi, c'est moi qui lui a pratiquement tout appris sur les femmes. Aie!, je ne compte plus le nombre de belles poulettes que je lui ai présenté.

Marco, au début, croyait qu'il devait être en amour jusqu'aux oreilles pour coucher avec une femme. Moi, je lui ai fait comprendre que l'amour et le sexe, ce sont deux choses très différentes. Moi, pour ma part, je ne m'attache plus a aucune.
Je me suis fais fourrer assez souvent que j'en ai eu ma leçon. Présentement, la seule personne que j'aime vraiment, c'est mon petit garçon de trois ans. Le reste: les femmes, le sexe. J'en profite lorsque ça passe. Toi, je te vois agir. Tu as l'air de te découvrir. Tu sais, je vois à travers toi comme dans un miroir. On dirait que tu commences juste à jouir de ton corps. Tu découvres de nouvelles sensations et on dirait que tu as peur de manquer quelque chose. Je te regarde aller, et, j'ai compris assez vite, ton petit jeu. Toi, on dirait que tu veux goûter à tout et que tu essaies de ne rien laisser passer de peur de rater le meilleur.

Moi, un jour, l’été où je venais d’avoir dix ans, je me suis rendu à la plage et en passant près d'un petit boisé, j'ai surpris un couple entrain de faire l'amour. Je te garantis que lorsque tu as cette âge, voir pour la première fois de ta vie une femme toute nue, ça te rends fou. À ma surprise, les mamelons de la fille ont durci et il m’a semblé qu’ils allongeaient encore plus. Je te garantis que ça m’excitait à mort. Puis, je te garantis que je faisais attention pour ne pas mener de bruits pour pouvoir continuer à les espionner. Je les ai regardé une partie de l’après-midi, se faire l’amour.

J’ai vu le gars embrasser le ventre de la fille. Sa main a fouillé entre ses cuisses pendant que la femme se démenait comme une couleuvre avant que le gars lui enlève le bas de son bikini. Ils ne sont pas arrêtés-là. J’ai même entendu l’homme, dire à la femme qu’il était pour lui faire tout ce que son mari, le cave, qui ne prenait pas le temps de lui donner. L’homme s’est même vanté qu’il était pour la satisfaire.

L’homme lui a caressé le sexe pendant que la femme en a gigoté un coup. Elle m’a même fait faire le saut, la première fois, lorsqu’elle s’est mise à crier que ça l’excitait
Plus tard, j’ai vu la fille se pencher devant le gars, prendre le pénis dans ses mains et elle s’est mise à le sucer. Je voyais l’homme qui a semblé être aussi excité que moi.
C’était la première fois de ma vie que je voyais un adulte en érection. Je suis resté surpris d’entrevoir un si gros pénis. Moi, le cave!, je me suis masturbé pendant que je n’ai pas cessé de regarder le visage de la femme, j’en étais tout excité.

J’ai été très surpris, lorsque, je me suis aperçu que le sperme de l’homme coulait sur les lèvres de la femme. Puis, la femme, elle, elle semblait aimer cela comme une petite cochonne. Cette après-midi-là, j’ai même vu l’homme caresser le sexe de la femme avec sa bouche. Le jeu a duré de longues minutes. Plus tard, l’homme l’a pénétré. Il la pistonnait, et, elle, elle gigotait comme une folle. Après cela, ce couple a été de longues minutes, juste à se minoucher. Moi, je n’osais pas partir de peur de faire du bruit qui aurait pu les avertir que je les voyais. J’étais comme hypnotisé par le corps de la femme.

Cette après-midi-là, j’ai continué mon éducation lorsque j’ai entendu l’homme demander à la femme de se mettre à quatre pattes. Cette fois, il l’a prise par derrière.
Tout ce temps-là, moi, je me masturbais comme un cave en regardant les seins de la femme tout le temps que l’homme lui a fait l’amour.

 l’âge de treize ans, j'ai eu ma première relation sexuelle complète avec une femme mariée. Durant notre soirée, cette belle jeune femme m’a dit qu’elle fêtait ses vingt quatre ans, ce soir. Qu’elle était mariée depuis à peine trois semaines. Et, que dans deux autres semaines, elle était pour débuter une carrière de maîtresse d'école avec des élèves d’une classe de maternelle.

O.k., je te raconte comment toute notre aventure à débuter.

Lorsque cette femme me réponds à la porte, elle est habillée seulement d'une camisole et de sa petite culotte. La jeune femme en affichant son plus beau sourire, me dit salut en ouvrant la porte et aussitôt elle fait le saut en me voyant comme si elle est surprise et comme si elle se soit attendu à voir une toute autre personne. Moi, je n’ose pas bouger, mais, mes yeux lui dévoilent que je suis tout de suite captivé par ce petit bout de femme très sexée d’environ 4’5 et qui ne doit pas peser plus d’une centaine de livres. Je ne peux m’empêcher de la regarder de la tête aux pieds pendant qu’elle a tout le temps de lire le désir dans mes yeux. Ce petit bout de femme semble très surprise de me voir et pendant qu’elle envoie la main à un de ses voisins (un homme d’âge mûr qui la reluque effrontément), elle m’attrape par le bras en me criant presque de me dépêcher d’entrer dans la maison.

Captivé par cette femme au visage d’enfant et au sourire très chaleureux, j’en profite pour lui regarder les fesses lorsqu’elle se retourne pour prendre une serviette qui traîne sur le tapis du hall d’entrée. Mes yeux lui dévoile toute ma surprise quand la femme se sert de cette serviette pour s’essuyer les cheveux au lieu de s’en couvrir tout le corps comme je l’aurais cru. Nos yeux se promènent sans arrêt en suivant le regard de l’autre, moi, qui ne sait pas comment réagir devant cette jeune femme au sourire très engageant et elle qui continue de me sourire en se faisant de plus en plus aguichante.

Excuses ma tenue, je pensais que c'était mon cher petit mari qui serait revenu pour me jouer un tour. Mon mari est supposé être en meeting pour toute la soirée, mais, avec lui, on ne sait jamais. Bon!, lui, s’il aime mieux passer une autre soirée avec les membres de son club social, on va arrêter de parler lui.

Elle fait une autre pause et en me voyant les mains pleines de barres de chocolat, elle me demande :
Puis, toi. c’est pour qu'elle cause que tu ramasses des fonds?
Moi, c'est pour mon équipe de karaté.
Tu es un sportif, et, toi, avec sa stature tu dois être un bon athlète? Tu sais, moi aussi, je suis une sportive. J’étais justement entrain de faire mes exercices aérobiques.
Après une courte pause, elle me dit:
Puis, toi, aimes-tu cela faire des exercices physique? Toi, tu dois avoir un tas de copains et de copines qui doivent t’admirer, quand tu t’exerces. Toi, avec ton physique si imposant?
Ça m’arrive parfois, mais certainement pas, autant que toi?
Quoi, comment cela, moi?
Je m’enfarge dans mes mots. Je me lèche les lèvres en gardant mon regard à la hauteur de ses seins et de ses cuisses.
Bien, toi, comment que je dirais?

Je l’excite pas mal fort, mais, si je veux l’entendre mon jeune ado, me dire qu’il me trouve sexée, je vais devoir lui tirer les mots de la bouche.
La femme de sa voix la plus sensuelle me dit en me faisant les yeux doux:
Veux–tu dire que moi? Et, pendant que je l’écoute et que j’étudie ses réactions, je me fais tout un scénario dans ma tête. Tout en le regardant dans les yeux, je lui fais ma plus belle moue de femme-enfant et pour l’exciter davantage, je lève mes mains au-dessus de ma tête en faisant semblant de forcer comme si je soulèverais une barre de mes poids et altères. Comme de raison, ma camisole remonte sur son ventre, dévoilant mon nombril où perle quelques goûtes de sueur. Et sans pudeur, je lui souris en sachant que mon jeune visiteur ne sait plus où jeter son regard qui se promène de la hauteur de mes seins à mon nombril. Et, je lui souris en suivant son regard qui descend à la hauteur de ma petite culotte de style bikini brésilien pendant que je fais exprès pour le provoquer encore davantage, car délibérément, j’ouvre un peu les cuisses.
Et, la femme d’une voix très sensuelle, me demande:
Me trouves-tu, plutôt sexée?
Gêné, je lui souris, mais, je me sens plutôt mal à l’aise dans ce genre de conversation.
J’ai remarqué qu’il est mal à l’aise et je me dis tout bas en lui faisant un clin d‘œil:
Il doit me trouver agace, à mon goût!
Et, moi qui m’amuse à jouer la garce!
Et, je lui demande: Aurez-tu quelques minutes pour me rendre un service? Pourrais-tu aller au dépanneur qui est au coin de la rue, pour moi?
Il semble très déçu de devoir me quitter, je me dépêche de lui dire :
À ton retour, on va reprendre cette conversation.
Elle me parle un bon bout de temps. Moi, de temps en temps, je baisse les yeux à la hauteur de sa poitrine qui se soulève sous sa camisole, et, c’est plus fort que moi, plusieurs fois, je baisse les yeux à la hauteur de ses cuisses. Les yeux de la femme suivent chacun des mouvements de mes yeux qui ne peuvent pas s’empêcher de la déshabiller. Mais, malgré tout mon sans gêne, la femme continue de me sourire. Et, quand je lui réponds : Oui!, pourquoi pas?, elle ajoute:
Je m'imagine tout un cinéma dans ma tête.
(Je marche lentement jusqu’à la table de billard pendant que sais qu’il me regarde le bas du dos et je me doute qu’il concentre son regard à la hauteur de mes fesses et de mes longues cuisses. Sans le laisser paraître, je tire un peu sur ma culotte pour lui dévoiler encore plus le gras de mes fesses. Et, je m’offre de dos en prenant tout mon temps pour m'étirer langoureusement en m'appuyant quelques secondes de tout mon corps sur le rebord de la table de billard pendant que je me soutiens du bout des orteils, avant de me faire encore plus chatte et que je grimpe à quatre pattes sur cette table de billard en sachant qu’il doit en baver de désir pendant que je fais exprès pour lui présenter la courbe de mes fesses. Je me tourne la tête vers lui, je lui souris et je bouge légèrement du bassin, en sachant trop bien que de la manière que je me tiens, il doit me regarder le bas du dos et il doit concentrer son regard à la hauteur de ma culotte qui lui entre dans la fente de mes fesses.

Après ces quelques secondes, je m’assoies cavalièrement sur cette table de billard en prenant une autre pose très osée. Assise en califourchon, face à lui, mes deux pieds prennent appuie sur le rebord de la table de billard pendant que j’ai le fessier directement sur le tapis. Je le regarde avec un sourire mystérieux en me léchant le coin des lèvres et en ouvrant encore plus les genoux avec mes deux mains. Je reste assise ainsi depuis quelques secondes. Le voyant de plus en plus affolé devant mon audace, je change de tactique et je déplace mes deux mains au-dessus de ma tête pendant qu’elles agrippent et qu’elles retiennent ma longue chevelure.

Et, je lui souris et lui dit en lui faisant bye-bye pendant que je surveille son regard qui est toujours comme hypnotisé à la hauteur de ma petite culotte.)

Et, lentement, je reviens sur lui près du hall d'entrée.
En revenant, tu sonnes un coup et tu entres. Moi, maintenant que j’ai arrêté mes exercices, je vais prendre mon bain.

J’entre dans un dépanneur et, aussitôt, je m’en vais directement au rayon des revues pour adultes.

Je m’allume un joint et en prend une lente inhalation en me tenant devant le miroir de ma salle de bain. C’est vrai que c’est du bon comme me disait mon copain ce soir, quand il m’a fait goûter à sa nouvelle marchandise. Puis, dire qu’il aime mieux perdre son temps avec sa gang de vieilles moumounes! Pourtant depuis le temps, il devrait le savoir, lui , mon cher petit mari que moi, je n’en prend pas souvent, mais moi, quand j’en prend, je parts, puis, moi, quand je parts, je parts toujours en grand! Bah!, lui, s’il n’a jamais le temps de s’occuper de moi, sa petite épouse, il va devoir apprendre qu’elle sait se débrouiller toute seule, la petite! Fille!, je dois être déjà parti parce que je commence déjà à me poser des questions? Puis, je ne sais pas si je me fais des idées, mais, au moins une couple de fois, me semblait que ce jeune homme avait l’air pas mal, pas mal, jeune?

J’inhale une autre longue bouffée et je fais durer le plaisir un bon moment. Le miroir me renvoie mon visage en gros plan, je me vois de plus en plus grisée sous les effets de ma drogue. Puis, casses-toi, donc pas la tête? Il en bave déjà pour moi En tout les cas, lui le jeune, c’est déjà toute une pièce d’homme! Puis, moi, je vais lui montrer ce que c’est une vraie femme! Pas juste une jeune agace comme celles qui doivent tourner autour de lui à tous les jours?

Le commis du dépanneur (une femme dans la cinquantaine) me surveille du coin des yeux pendant que je m’attarde depuis un bon bout de temps dans ce département réservé aux adultes. Toute mon attention est concentrer à regarder dans une revue Playboy quand je m’aperçois que la femme-commis regarde elle-aussi dans le magasine Playboy en se penchant par-dessus mon épaule. Je prends le temps de regarder une dernière la page centrale pendant que la femme-commis me gronde des yeux, elle semble de plus en plus impatiente et elle me fait signe de se dépêcher de remettre la revue à sa place.

Je reviens vers la maison un large sourire aux lèvres en m’approchant de la porte d’entrée.

Je sors du bain après m’être donner une longue masturbation. Je m’essuie le dos en m’admirant dans le miroir de la salle de bain et je souris en entendant la sonnerie de la porte.
Lorsque je reviens chez elle, je fais comme elle me l'a dit: Je sonne et j'entre. La femme me crie de la salle de bain:
Peux-tu attendre une couple de minutes?
Je vais te payer pour ta commission.
Je m’impatiente tout près de la porte d’entrée, je viens près de partir, mais, je me rapproche de la table de billard et d’un gros tambour haut sur pied de style africain qu’il y a au milieu du salon.

Je prends le temps de retirer un cube de glace que j’avais amené expressément dans un verre sur le comptoir de la salle de bain et en le tenant du bout des doigts, elle m’en frotte délicatement le bout d’un sein. Je suis mes mouvements à travers le miroir. Je me souris même si j'ai des frissons et que je grelotte un peu tout en me concentrant à appliquer de la glace sur mon mamelon déjà éveillé. Je me pince les lèvres de satisfaction lorsque mon mamelon devient en érection, et, je me dépêche d’alterner en appuyant la glace sur l’autre mamelon.
La femme m’a fait attendre de longues minutes.

Je retourne sous la douche, je me sers seulement de l’eau froide et je ne reste sous la douche seulement que quelques secondes. Lorsqu’en ressors, j'attrape une serviette de bain et je m’essuie très sommairement. Je joue avec la serviette de bain à m’étudier à m’en couvrir les seins et le bas du corps en replaçant à quelques reprises la serviette pour qu’elle en cache le moins possible. Je me dis à elle-même en me faisant un clin d’œil dans le miroir quand je l’entends donner une couple de frappes sur le tambour:
Toi, mon jeune, patientes encore quelques secondes et tu vas avoir la surprise de ta vie! Toi, mon jeune, si tu t’es affolé tout à l’heure pour ce que tu as vu, attends de voir ce que je me promets? Moi, qui pour me payer mes quatre dernières sessions à l’université, j’étais devenue une spécialiste des danses à dix, puis, dans l’un des plus chics clubs de la ville!

Lorsqu'elle apparaît à la sortie du bain, La femme est nue sous sa serviette de bain. J’en oublie quasiment de respirer. Je vois l'eau qui glisse encore sur son corps, une vraie déesse!

J'avance lentement vers lui couverte pour tout vêtement de seulement une serviette de bain que je retiens devant moi. Tout en m’approchant, une des mes main retient la serviette au-dessus de mes seins et de l’autre main, je tente tant bien que mal de la retenir devant le haut de mes cuisses.

La serviette lui couvre la poitrine et elle s'arrête au haut de ses cuisses. Mon coeur se met à battre à tout rompre lorsqu'elle s'approche de moi. En voyant la chair de ses cuisses, instinctivement, je bande.

Je suis pieds-nu et j'ondule de plus en plus des hanches d’une façon très langoureuse.
La femme me demande?
Combien, je te dois?
C’est gratuit. Ça vous rend service.
Et, moi, ce soir, j'ai déjà presque deux heures de passer à vendre ces sacrées barres de chocolat et en arrivant au coin de cette rue, j'ai même averti notre entraîneur que moi, je n'ai pas envie de passer tout le reste la soirée à courir les rues de la ville pour essayer d'en vendre d'autres.
Je souris en me disant tout bas: Attends un peu et tu vas avoir la surprise de ta vie.
Moi, tout ce temps-là, je ne peux pas m'empêcher de la regarder pendant qu'elle continue à parler de ma gentillesse.
Il me dévore des yeux.
Je lui regarde les cuisses et mon regard s’arrête souvent à la hauteur de sa poitrine. Ses yeux suivent les miens pendant que je l'admire.

Je lui souris en remarquant qu'il commence à avoir une bonne érection.

12