Le Vrai Métier de Maman

BÊTA PUBLIQUE

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Ma bite palpitait douloureusement et ses seins se balançaient devant moi. Une seule pensée occupait mon esprit : mes mains étaient entre mes jambes, et je n'avais qu'à les lever légèrement et elles seraient entre ses cuisses écartées.

- Tu aimes cette idée? » demanda-t-elle et elle me fit haleter quand elle prit mon lobe entre ses lèvres. « C'est aussi simple que ça mon chéri: tu gardes ta bouche cousue sur mon métier, et celle de maman restera grande ouverte pour ta bite. »

Elle me donna un doux baiser juste sous mon oreille et je poussai un gémissement pathétique.

- Oooooh » ronronna-t-elle dans mon oreille. « Mon petit garçon est nerveux? » Elle posa sa langue sur mon cou et lécha lentement jusqu'à mon lobe d'oreille. « Il a besoin d'une cougar sexy pour faire de lui un homme? - Maman s'il te plaît.. - Tu n'as pas à me supplier, Antoine. » Elle rit. « Mais sans vouloir me vanter, je dois reconnaître que je t'ai vraiment bien élevé.

Maman glissa lentement à genoux entre mes jambes et me regarda.

- Laisse-moi m'occuper de toi bébé! » Elle me fit la moue et chuchota. « S'il te plaît, maman veut être une grosse coquine. - Maman.... » répètai-je, puis j'ajoutai. « Putain c'est sexy. - C'est toi qui est sexy mon chéri. » me dit-elle, et attrapant mes poignets elle retira mes mains de mon entrejambe. « Et tellement dur! » s'exclama-t-elle.

Je baissai les yeux. Mon short était étiré au bord de la rupture par ma bite douloureuse. Maman était agenouillée là, me regardant et je vis à quel point ses mamelons étaient durs. Mes mains commencèrent à s'égarer vers eux, mais je me forçai à m'arrêter.

- Maman...» murmurai-je « Ce n'est pas bien... On ne devrait pas faire ça. - C'est vrai, ta maman est une énorme salope » répondit-elle et elle me fit gémir en attrapant ma bite et en la serrant à travers mon short. « Mais cette grosse bite me dit que mon garçon n'est pas beaucoup mieux. Telle mère tel fils après tout. » Elle me sourit et lécha ses lèvres. « Alors profitons-en ! - Oh putain. » gémis-je quand elle commença à me caresser à travers le pantalon.

Maman se pencha et, ouvrant la bouche, la posa sur ma bite à travers le tissu. Elle me regarda avec ses grands yeux bruns et me fit un clin d'œil en glissant sa bouche de haut en bas. Je bougeai mes mains pour essayer de la repousser, mais attrapant mes poignets, elle tira mes bras vers le bas et plaça mes mains sur ses seins.

- Comment tu les trouves bébé? » demanda-t-elle. - Oh merde » dis-je doucement et incapable de m'en empêcher, je commençai à lui caresser les seins.

Ils étaient lourds et fermes au toucher. Alors que je glissais mes mains dessus, je sentis ses mamelons frotter contre mes paumes et maman lâcha un doux soupir.

- C'est bien mon chéri, continue.

La façon dont elle murmura ça envoya un frisson dans ma bite déjà lancinante et je commençai à masser ses seins plus fort. Maman se pencha en avant et je gémis alors qu'elle commençait à m'embrasser et à me lécher le ventre. Levant les yeux vers moi, elle chuchota.

- Allez bébé, enlève ce pantalon et laisse maman s'occuper de toi.

J'hésitai un instant. C'était totalement mal, c'était pire que de savoir que ma maman se faisait sauter pour de l'argent ; c'était moi qui allait le faire, et gratuitement! Ma mère super sexy qui était agenouillée entre mes jambes me promettait tout ce dont j'avais toujours rêvé. Elle leva les yeux et passa lentement sa langue le long du contour de ma bite à travers le jean. Trop, c'était trop. Retirant mes mains de ses seins, j'attrapai mon froc, levai mes hanches, et le tirai vers le bas. Bien ou mal, à ce stade, je m'en foutais. Je n'allais pas laisser passer la chance de regarder ma mère me sucer la bite!

- Voilà bébé! » Elle rit, puis regardant ma bite qui s'était libérée, roucoula, « Oh regardez moi ça! Tout ça pour ta petite maman? - Tout est pour ma petite maman » lui dis-je, puis je haletai quand elle enroula sa main autour de ma bite. - Tu veux que ta maman suce cette belle grosse bite? - Oui » répondis-je à bout de souffle alors qu'elle donnait au bout un petit bisou. - Alors dis-le moi. » insista-t-elle alors qu'elle donnait des petits coups de langue partout sur la tête de ma bite, comme pour m'encourager, me faisant gémir. « Dis-moi ce que tu veux. - Je veux que tu...» Je m'arrêtai alors qu'elle passait lentement sa langue d'un côté de mon sexe puis sur l'autre. « S'il te plaît... - Alllez dis-moi ce que tu veux » répéta-t-elle en commençant à pomper lentement ma bite dégoulinante. « Je ne suis comme ces gamines avec qui tu sors » gloussa-t-elle. « Je suis une sale cougar et une escort girl, tu te souviens? Dis-moi ce que tu veux, comme un homme, comme tous mes clients le font! - Je veux que tu suces ma bite » chuchotai-je - Dis-le encore, plus fort! » exigea-t-elle, et elle baissa la tête et passa sa langue sur mes couilles. - Oh...» Je haletai. « Je... » Elle arrêta de lécher et je prononçai les mots tabous avec force. « Je veux que tu suces ma bite maman! - Oh chéri! » Elle rit. « Maman est tellement fière de toi!

Maman ouvrit la bouche et glissa lentement ses lèvres sur la tête de ma bite. Je gémis doucement alors qu'elle serrait étroitement ses lèvres autour de moi et commençait à faire glisser sa bouche chaude et humide le long de mon sexe. Je restais assis là en retenant mon souffle; mes jambes tremblaient alors qu'elle enfournait ma bite dans sa gorge centimètre par centimètre. Maman m'avala jusqu'à ce que je puisse sentir sa lèvre inférieure toucher mes couilles. Pendant tout ce temps, ses yeux bruns étaient plongés dans les miens et quand elle atteint la racine de mon sexe, ils roulèrent dans leurs orbites et elle gémit autour de ma bite.

- Oh putain! » m'exclamai-je quand je sentis sa langue glisser et lécher mes couilles pendant qu'elle me gardait enfoui dans sa gorge.

Maman fit sortir ma bite de sa bouche avec une lenteur exaspérante et la relâcha en soupirant:

- Oh mon Dieu, cette jeune bite a vraiment bon goût! Oh, dire que j'ai raté ça!

Elle ouvrit la bouche et laissa une traînée de salive mélangée à mon pré-sperme s'écouler de sa bouche et le long de ma hampe. Maman baissa la tête et lécha le tout avant de me sucer à nouveau, me reprenant profondément. Elle commença à bouger lentement la tête et je gémis de plaisir en regardant ma mère me sucer comme une possédée. Elle la relâcha à nouveau et retenant ma bite, cracha sur mes couilles avant d'aspirer sa salive avec un bruit obscène. Puis, plaçant ses lèvres au bout de ma bite, elle laissa couler de la bave autour et tira lentement sa tête en arrière, une traînée de salive reliant mon gland à sa langue. Avec un fort bruit de succion, maman ramena le crachat dans sa bouche comme un spaghetti et après avoir embrassé ma bite, elle me regarda.

- Tu penses souvent à ça? Tu imagines ta mère sexy qui te fait une pipe bien sale, tu te branles en m'imaginant prendre une charge bien chaude en plein visage? - Oui. » dis-je rapidement. « Sur tout ton visage. - Partout sur mon visage de grosse salope? » demanda-t-elle. « C'est ce que je suis Antoine, ta gentille petite maman est une grosse salope? - Tu es... » Je fis une pause puis je chuchotai. « Une énorme salope. - Oui! » s'exclama-t-elle en serrant ma bite, m'arrachant un petit cri. « Et que font les énormes maman salopes? - Elles adorent sucer des jeunes bites. » dis-je, gagnant en confiance. «  Les bites de leurs fils ! - C'est bien vrai! » Ensuite elle fit une petite moue. « Mais même les pires salopes aiment qu'on s'occupe d'elles, alors sois un gentil garçon et joue avec les seins de maman pendant qu'elle te suce.

J'avais l'impression d'être en plein rêve à ce stade et alors que sa bouche incroyable engloutissait à nouveau ma bite, je me baissai et je caressai à nouveaux les plus beaux seins que j'avais jamais vus. Maman gémit son approbation alors qu'elle commençait à bouger lentement sa tête de haut en bas sur ma bite. Je roulai ses mamelons durs entre mes doigts et elle soupira doucement autour de ma queue. Pendant que je jouais avec eux, je la regardais faire de même avec ma bite. Elle gémissait doucement et ses yeux étaient fermés. Avec un frisson, je réalisai qu'elle ne faisait pas semblant, mais qu'elle aimait vraiment ça. Elle me veut vraiment!

Cette pensée me poussa à saisir brusquement ses épaules et à la relever. Maman éloigna sa bouche de ma bite et me penchant, je pris son visage dans mes mains et je l'embrassai. Elle sembla un peu surprise au début, mais m'embrassa rapidement en retour. Je me sentis fondre en pressant ses lèvres douces contre les miennes et un instant plus tard, sa langue serpentai sur la mienne. Je m'en fichais qu'elle venait juste d'être sur ma bite ; je rêvais de faire ça depuis des années, et la réalité de notre baiser incestueux était encore meilleure que tout ce que j'avais pu imaginer. Maman gémit doucement et, s'éloignant de moi, me fit un sourire étonnamment doux.

- C'était gentil bébé » dit-elle doucement. « Peut-être qu'on pourra faire ça comme ça la prochaine fois, mais pour l'instant mon chéri ta vilaine petite maman, a besoin de goûter ton sperme et ensuite de regarder le joli visage de son fils entre ses cuisses. Qu'est-ce que tu dis de ça? - Tout ce que tu veux! » m'exclamai-je alors qu'elle attrapa ma bite et recommença à la sucer.

Je voulus ajouter un truc, mais je ne pus que pousser un croassement étranglé alors que je regardais la bouche de ma mère descendre sur ma bite dégoulinante, engloutir mon gros gland et le sucer fort, sa salive et mon pré-sperme mêlés tourbillonnant autour de mon bout sensible alors qu'elle le traitait comme une délicieuse sucette de chair.

— Mmmmh... Mmhmmmh... » roucoula maman en avalant le mélange mousseux de pré-éjaculat et de crachat, son plaisir évident faisant trembler ma bite d'excitation.

Elle ne laissa qu'une main à la base de ma bite, me pompant doucement. Elle déplaça son autre main vers sa propre chatte déjà humide, caressant son clitoris paresseusement alors qu'elle glissait ses lèvres plus loin sur ma colonne de granit, serrant ses lèvres pulpeuses autour de ma queue veinée, plongeant jusqu'à ce que je sente la tête spongieuse et dégoulinante de ma bite pousser contre le l'arrière de sa bouche, puis arriver à l'entrée de sa gorge. 

A ce moment-là elle commença à bouger la tête en arrière, laissant mon pénis palpitant sortir lentement. Elle suçait et bavait en poussant des gémissements de contentement tout du long de ma queue, me lissant avec sa salive afin de forcer encore plus de ma bite dans son œsophage au prochain plongeon.

Les yeux de maman étaient de nouveau fermés; elle aimait ça, c'était évident, ce qui rendait la scène mille fois plus chaude. Je commençai à pousser sur sa tête alors que je poussais ma bite encore plus profondément et elle gémit de nouveau autour de moi. Je ne pouvais pas croire que cela se produisait. J'étais assis ici entrain de baiser le visage de ma ma mère après avoir appris qu'elle vendait son corps !

Ma mère continua comme ça, les yeux fermés, ronronnant de plaisir alors qu'elle se masturbait tout en me suçant, sa gorge me massant quand elle me fourrait profondément dans sa bouche, sa tête se balançant sur toute ma longueur épaisse jusqu'à ce que ses lèvres rencontrent enfin sa main toujours enroulée à la base.

— Ggg... Gg... Ggg...

Bientôt, elle manqua de s'étouffer à chaque fois qu'elle descendait, essayant de pousser plus de ma bite dans sa gorge, ne laissant finalement que son pouce et son index former un mince anneau à la base pour stabiliser mon membre charnu et l'aligner afin de l'insérer plus facilement dans son œsophage. Elle s'abattait sur moi avec force, s'étouffant avec la bite de son propre fils, puis tirant ma hampe de sa bouche avide pour cracher de longues trainées brillantes de salive sur mon membre pulsant histoire de le lubrifier et d'en avaler plus. Ma mère contractait sa gorge experte autour de ma bite alors qu'elle s'étouffait avec, pour me traire, me faire grogner et frissonner avec les secousses d'extase provoquées par sa pipe magistrale.

— Ooooh putain! Maman... tu suces tellement bien...

J'avais l'impression que j'allais m'évanouir à cause de l'énormité du plaisir que ma mère m'offrait. Jamais, pas une seule fois dans ma vie, je n'avais été si bien sucé, avec autant d'amour, d'enthousiasme et de désir, et je ne m'étais jamais sérieusement attendu à ce que quelque chose d'aussi bon que ça m'arrive un jour. 

Elle avait à peine entendu mon compliment. Elle n'arrêtait pas de me sucer avec enthousiasme, gémissant et geignant alors qu'elle s'étouffait en descendant, puis roucoulant et ronronnant en remontant, bavant et tétant et tournant sa langue autour de ma viande visiblement savoureuse.

C'était parfait. Au moins, cela me semblait parfait, car elle m'adorait baveusement, crachant partout quand elle avait besoin d'air avant de me remettre dans sa bouche, me poussant dans son gosier, engloutissant autant que possible dans sa gorge, faisant des mouvements de déglutition pour forcer l'entrée, ses parois se serrant pour me traire pendant qu'elle s'étouffait, me faisant gémir de plaisir absolu alors qu'elle exerçait avec diligence ses talents de suceuse accomplie sur ma bite. 

Mais heureusement, même si ma bite était suffisamment grosse et épaisse pour mettre au défi ses compétences de suceuse, elle n'était pas énorme au point de l'empêcher de prendre plaisir. Alors qu'elle se faisait plaisir sur ma grosse bite, j'eus l'idée folle, érotique et coquine que cette bite, ma bite, la bite de son fils, était exactement celle qu'il lui fallait, qu'elle avait été spécialement conçue pour elle. Après tout c'est elle qui l'a fabriquée !

— Ooooh, puuuutain... Tu es tellement douée! Je n'ai jamais eu de pipe comme ça maman! Je ne peux plus résister, je vais bientôt jouir!

Elle ouvrit les yeux quand elle m'entendit, émergeant de sa propre petite bulle de luxure. Elle leva les yeux vers moi, me branlant avec amour à la base avec juste son pouce et son index serrés autour de ma circonférence, faisant courir sa langue de haut en bas sur le dessous sensible, m'embrassant partout sur ma bite en faisant une petite moue pour me caresser avec ses lèvres chaudes et soyeuses.

— Fais-le mon chéri. Vas-y, fais-moi bouffer ton sperme. Jouis pour moi chaton, jouis dans la bouche de ta mère et laisse-la avaler tout ton sperme...

Je gémis en écoutant les paroles de ma mère, en entendant leur sincérité, savourant son empressement, m'excitant de voir le plaisir évident qu'elle prenait à me donner du plaisir. J'ai vraiment la meilleure maman du monde !

Je baissai les yeux sur son visage, plongeant dans ces yeux bruns profonds qui me regardaient, ce doux visage, ces lèvres sensuelles, douces et chaudes serrées autour de mon membre, s'efforçant de le faire disparaître dans sa bouche humide.

Sans rompre le contact visuel, maman prit mes mains dans les siennes et les guida vers l'arrière de sa tête. Elle déplaça ensuite ses deux mains derrière moi, posant ses paumes sur mon cul solide, saisissant mes fesses, m'attirant dans sa bouche.

Je compris le message. Comme j'avais vu dans une de ses vidéos, j'attrapai ses cheveux en une queue de cheval d'une main et l'arrière de sa tête de l'autre et commençai à pousser mes hanches vers le haut alors que je forçais son visage vers moi, pour qu'elle engloutisse ma bite dans sa bouche grande ouverte.

— Ggghh... Gggh..

Après quelques poussées, je la sentis abandonner tout contrôle. Ses mains quittèrent mes fesses et allèrent toutes les deux vers sa chatte, doigtant son sexe pendant qu'elle caressait son clitoris, me laissant complètement aux commandes, me faisant comprendre qu'elle était à moi. Nous nous regardions toujours dans les yeux, et je vis dans ses yeux bruns si doux qu'elle le voulait autant que moi. Elle cligna des deux yeux et hocha légèrement la tête en signe d'encouragement. Je hochai la tête en retour, sachant que j'allais bientôt exploser, c'était tout simplement trop sexy. Puis je commençais à baiser sérieusement la face de ma mère.

— Ggggghhh !... Ggghhh !... Ggghh !... 

Je lui tenais la tête par une poignée de ses cheveux blonds, des larmes provoquées par l'étouffement roulaient sur ses joues, ruinant son maquillage, et une lueur brûlante de luxure faisait briller ses yeux. Elle roucoulait et gémissait de plus belle alors que je me servais de son beau visage, les vibrations de ses gémissements massant ma bite à chaque fois que je l'enfouissais profondément dans son gosier, savourant les contractions. J'enfonçais ma bite rapidement dans sa bouche, la baisant comme si c'était une chatte, un trou rempli de crachat humide et chaud et grand ouvert, rien que pour mon plaisir, et à chaque poussée, je sentais ses lèvres douces et obscènement étirées cogner mon aine. 

Un instant je glissais sa tête loin de ma queue alors qu'elle me faisait une gorge profonde sur toute ma longueur.  Puis l'instant d'après j'étais enfouis jusqu'aux couilles au fond de la gorge de ma mère. Je regardai ses cils battre et son épaule droite trembler alors qu'elle commençait à bouger plus vite, et je savais qu'elle devenait folle sur son clitoris, approchant de son orgasme alors que je m'approchais du mien.

— Oooooh maman puuuuutain! Oooh!

Je gémis bruyamment à chaque fois que j'envoyais ma bite, appréciant le mouvement de contraction et de déglutition de ses muscles, restant là un court instant avant de me retirer à nouveau, ses lèvres glissant docilement le long de ma bite qui coulissait comme un piston bien huilé, jusqu'à ce que je les sente frôler légèrement la couronne de mon gland enflé, le signal pour que je m'enfonce à nouveau, profondément, encore et encore et encore.

Les bruits d'étouffement me montaient à la tête, leur longue accumulation faisait des ravages, et le plaisir que je prenais à baiser ma mère si sexy devint tout simplement trop pour moi.

— Je vais jouir, maman. Aaah putain! Je aaaah...

J'étais tout au fond de sa gorge lorsque j'explosais, ma première décharge de sperme se jetant directement dans l'estomac de ma mère, puis la deuxième et la troisième, les jets épais, crémeux et fondants tombant dans son gosier.

— Mmmh!... Mhmmmhhh!... Mmmmmh!...

Mes genoux fléchirent. Ma vision se brouilla alors que je continuais à éjaculer, à exploser encore et encore, à pomper plus de sperme que je ne croyais possible, mais je vis quand même les yeux de ma mère rouler derrière ses paupières lourdes, et je savais qu'à force de se doigter elle avait fini par jouir aussi.

Je jouissais toujours aussi fort alors que je sentis ma bite glisser rapidement hors de sa gorge et ses mains douces s'enrouler autour de ma queue en pleine éruption, la guidant jusqu'à ce que seul mon gland spongieux et explosif soit encore à l'intérieur, reposant sur sa langue avide, coincé derrière le doux sceau de ces lèvres qui me suçaient parfaitement.

Je tremblais et haletais en regardant à travers mes yeux embués les joues de ma mère se gonfler et se contracter alors qu'elle avalait les jets de semence épaisse, comme si je la nourrissais avec ma crême. Elle ronronnait en avalant, me regardant avec une lueur étincelante de satisfaction dans les yeux.

Je haletai et lâchant ses cheveux, je m'effondrai sans grâce sur le lit, essayant de reprendre mon souffle. Entre mes jambes, maman me regarda et, ouvrant la bouche, elle tira la langue et laissa le reste de sperme s'en écouler paresseusement et revenir sur ma bite. Baissant la tête, elle regarda mon sexe :

- Ahalala même à vingt ans, c'est encore maman qui nettoie » plaisanta-t-elle.

Aucune réponse ne me vint, en dehors d'un profond grognement de joie alors que ma mère ouvrait grand la bouche et inhalait à nouveau ma bite épaisse et recouverte de sperme. Centimètre après centimètre disparaissaient dans sa cavité buccale, jusqu'à ce qu'elle ait tout mon énorme membre obstruant à nouveau sa gorge humide et terriblement talentueuse.