Le Vrai Métier de Maman

BÊTA PUBLIQUE

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Maman m'embrassa sur la joue et, en se détournant, me fit un petit signe de la main.

--Passe une bonne soirée mon chéri! Ne t'ennuie pas trop sans ta maman !

Oh t'inquiète, je suis sûr que cette nuit sera inoubliable !

- - - - - - - - - -

Je ralentis mon tacot, me préparant à tourner dans le parking de l'hôtel, mais hésitai en voyant une voiture de police approcher en sens inverse. Mon cœur rata un battement et mon estomac se serra alors que le flic sembla ralentir. Je sursautai lorsque le conducteur derrière moi klaxonna, mais mes yeux restèrent rivés sur la voiture de patrouille. À mon grand soulagement, le flic me dépassa et je m'engageai vers le parking, ignorant le type qui m'invectivait derrière moi.

- Détends toi, Antoine » m'admonestai-je en me garant sur une place de parking devant l'hôtel. «  Détends toi. J'envoyai un texto rapide à Amanda pour lui annoncer que j'étais arrivé et j'essayai de ne pas imaginer qu'un flic me répondait. Je sortis de la voiture et m'étirai, prenant quelques respirations profondes, essayant de me vider la tête avec l'air plus frais de la soirée. Je traversai rapidement le parking et, une fois dans le hall de l'hôtel, essayai de marcher avec assurance comme si j'étais un client normal et pas là pour faire quelque chose de sordide.

D'après ce que j'avais entendu, la plupart des hôtels savaient quand des escortes faisaient leurs petites affaires dans leurs établissements. Souvent, ils préféraient fermer les yeux parce qu'elles payaient pour une chambre qui autrement serait vide. Était-ce un mythe? Je n'en savais rien, mais je sentis mon estomac se nouer lorsque la petite vielle derrière le comptoir d'enregistrement me suivit des yeux alors que je passais. J'atteignis l'ascenseur et fronçai les sourcils lorsqu'un autre type entra avec moi et appuya sur le bouton du premier étage. Il portait un blazer par dessus une chemise blanche, mais pas de cravate, et un jean. Un flic en civil ? Lorsque les portes s'ouvrirent, le gars se dirigea vers ma droite et je poussai un soupir de soulagement en constatant que la chambre 123 était dans la direction opposée.

Je marchai dans le couloir recouvert de moquette, les yeux rivés sur les numéros des chambres qui montaient. Il était vide. Les petites lampes qui brillaient d'une lueur douce et accueillante le long des murs sobrement décorés m'ouvraient la voie depuis l'ascenseur, comme autant de phares me conduisant vers une cap que je n'étais toujours pas sûr d'être prêt à franchir. 121...122... Un sentiment d'irréalité m'envahit alors que mon esprit tournait à cent à l'heure. Venait-elle souvent dans cet hôtel? Combien d'autres hommes avaient marché dans le même couloir que moi, en prévision de ce qu'elle allait faire pour eux? Sur combien de moquettes sale s'était-elle agenouillée pour sucer des bites d'inconnus? Sur combien de lits grinçants avait-elle écarté les cuisses contre de l'argent? C'était complètement dingue. Enfin j'atteignis la porte.

Mon cœur battait la chamade alors que je vérifiai et revérifiai la plaque de métal sur la porte en chêne foncé. 123. Oui, c'était bien la bonne chambre. Je pouvais déjà sentir les perles de sueur, dues à ma nervosité, me piquer la nuque. Je les essuyais anxieusement. Avant que je ne puisse perdre mon sang-froid, je frappai à la porte et je me tins là, déplaçant mon poids d'un pied sur l'autre. Pas de réponse. Je me demandai si Amanda m'avait posé un lapin. Je m'apprêtai à frapper à nouveau, lorsque j'entendis le déclic du loquet de sécurité et que la porte s'ouvrit de quelques centimètres.

- Thomas? » demanda une voix douce. - Ou...Oui » répondis-je.

Elle se tenait derrière la porte et tout ce que je pouvais voir était sa main sur le cadre. Ses doigts fins se terminaient par de longs ongles peints d'un noir profond et mon cœur se mit à battre plus vite.

- Tu es pile à l'heure, mon chéri. » ronronna-t-elle, toujours hors de ma vue. « Entre.

La porte s'ouvrit davantage et j'entrai dans la chambre de l'hôtel. Elle était assez spacieuse et assez richement meublée avec une télé écran en face d'un grand lit moelleux qui trônait dans la pièce. Il y avait une table de chevet debout de chaque côté du lit avec une petite lampe sur chacune. La lumière provenait du coucher du soleil à travers une grande baie vitrée donnant sur un petit balcon, et donnait à la pièce une teinte orangée, à la fois chaleureuse et sensuelle.

- Tu as quelque chose pour moi, mon chéri? - Oh, euh, bien sûr! » mettant la main dans ma poche, je retirai l'enveloppe contenant l'argent et m'apprêtait à me retourner pour la lui donner, mais elle me stoppa net. - Non ! Ne te retourne pas tout de suite, je ne suis pas tout à fait prête et je veux vraiment te faire de l'effet quand tu me verras. - D'accord.

Elle parlait si doucement que je pouvais à peine l'entendre et alors que je plaçais l'argent près de la télé sur la petite étagère, je restais debout, dos à elle.

- Belle carrure » ronronna-t-elle, sa voix se rapprochant. « Et jolies fesses » gloussa-t-elle. « Je pense que je vais bien m'amuser ce soir. - Merci » dis-je en résistant à l'envie de faire demi-tour. - Et bien élevé en plus! » Elle rit à nouveau. « Ta maman a vraiment fait du bon travail.

Cette fois, je me contentais juste de hocher la tête et, regardant le lit, je sentis ma bite se raidir et mes angoisses fondre en songeant à tout ce qu'on allait y faire. Ça va être trop trop bien!

- Ferme les yeux et assieds-toi sur le lit mon chéri.

Essayant de cacher le grand sourire sur mon visage, je lui obéis.

- Je peux ouvrir ? » demandai-je. - Oui, mais c'est marrant... tu ressembles quand même beaucoup à un Antoine, Thomas.

Cela fut prononcé presque avec désinvolture. Avec un volume normal. Et surtout avec une voix qui m'était familière, beaucoup trop familière. J'ouvris les yeux d'un coup et me redressai brusquement, comme si le lit était en feu.

- Putain de merde!

Je n'en revenais pas: ma mère se tenait debout devant moi, maquillée, dans un court peignoir en soie blanche, avec ces putains de talons écarlates aux pieds!

- Je t'ai peut-être appris les bonnes manières, mais la morale, par contre... » Un sourire malicieux naquit sur son visage et elle agita son index. « Tu es un très vilain garçon Antoine, et tu seras puni pour ton comportement!

Je restais là, complètement bouche bée, muet de stupeur, tandis que j'intégrai la situation. Ma première pensée fut : Ma mère vend son corps! Ma seconde pensée fut : Putain t'es vraiment dans de sales draps là ! Et la troisième fut: Putain, elle est quand même vachement bien comme ça! Ma mère sortait tout juste de la douche, et sa longue crinière blonde était absolument superbe dans la lueur de la pièce. Elle portait un peu trop de maquillage et je compris qu'elle visait une apparence assez aguicheuse. Le petit peignoir en soie était aussi court que sa jupe de tout à l'heure, et était suffisamment lâche pour que je puisse voir la moitié intérieure de sa poitrine généreuse. Ses longues jambes étaient mises en valeur par une superbe paire de talons rouges, les mêmes que sur son annonce.

- Maman? » demandai-je, surmontant ma surprise. « T'es... t'es une pute?! - Je préfère escort-girl. C'est ce que dit mon annonce. » Elle me fit un clin d'oeil. « N'est-ce pas Thomas? - C'est depuis que papa nous a quittés c'est ça ? Tu n'as jamais travaillé dans la finance ? » Puis j'eus un éclair de compréhension. «  Et j'imagine que ce fameux Pierre aussi était une couverture pour rentrer tard ? - Tout à fait mon chéri. Même si quelque part, vendre son corps c'est un peu comme bosser dans la finance. - Mais... mais qu'est-ce que papy et mamie diraient s'ils savaient que tu faisais ça! - Parce que tu as l'intention de leur dire comment ta mère gagne sa vie? » soupira-t-elle. « Imagine un peu les conséquences. - Mais merde maman! Je veux dire... Tu vends ton corps! - Non, je vends mon temps. Je décide si je couche ou pas. Et tu es bien content que je puisse payer tes études, et le loyer, et la nourriture, n'est-ce pas? Et tu n'étais pas fâché non plus l'autre jour quand je t'ai déniché cette petite voiture pour ton bac » Elle secoua la tête. « J'ai dû travailler dur pour celle-là, deux gars et un couple en une seule soirée, pfiou! - Mais... » J'étais estomaqué. - D'accord, on va recommencer. D'abord, assieds-toi.

Posant brusquement ses mains sur mon torse, ma mère me poussa. Pris au dépourvu, je tombai en position assise sur le lit. Je voulus me lever, mais elle s'approcha entre mes jambes et posa ses mains sur mes épaules. Mon visage était au niveau de ses seins et je ne pouvais pas m'empêcher de les regarder. La moitié supérieure de sa poitrine généreuse était délicieusement bronzée, et le peignoir en dévoilait suffisamment : il n'y avait pas de lignes de bronzage! Je pouvais juste distinguer un soupçon de dentelle noire. Elle portait la tenue que je reluquais depuis deux mois !

Je réalisai à ce moment là que le corps que je convoitais suffisamment pour payer deux cents balles et risquer beaucoup d'ennuis avec la loi appartenait à ma propre mère. Une vague de honte et de culpabilité m'envahit. Je baissai les yeux et aperçus alors ses cuisses galbées. Je pouvais sentir son parfum entêtant et tout cette situation me donnait le tournis.

- Voilà comment je vois les choses Antoine. Si tu dis quoi que ce soit, ça va nous causer beaucoup d'ennuis à tous les deux. Par exemple, papy et mamie vont avoir le cœur brisé et tu vas devoir leur expliquer comment tu es au courant et ça va être un peu compliqué pour toi pas vrai? - Ouai. » Je hochai la tête, essayant de trouver un endroit sur lequel poser les yeux. - Mais comme on dit, l'ignorance c'est la tranquillité. Tu ne dis rien, et tout ira bien. - Mais, et moi.... - Mais toi? Tu sais que je suis une escort-girl? » Elle rit. « Eh bien, ça te donnera juste une raison supplémentaire de te caresser en pensant à moi, non? - Je... je ne fais pas ça. » J'essayais d'avoir l'air convaincant, mais c'était assez difficile avec ses seins à quelques centimètres de mon visage - Oh, non? Tu ne t'es jamais branlé en pensant à moi? - Non je... - Tu n'as pas vu mes vidéos et mes photos sur le site Antoine? » Elle rit quand je baissai la tête. «Tu penses à mon corps? Tu as passé beaucoup de temps à fantasmer sur ce soir? - Je ne savais pas que c'était toi maman » dis-je d'une toute petite voix. - Mais c'était bien moi pourtant. » Dénouant le peignoir, elle le laissa tomber sur le sol. « Et comme tu vois, je ne fais pas de publicité mensongère. - Oh mon Dieu. » murmurai-je.

Alors même que je me disais de détourner le regard, mon corps refusait de m'obéir. Ses seins étaient incroyables! Le soutien-gorge n'avait que des demi-bonnets et ils étaient en dentelle noire, me permettant de voir clairement ses mamelons roses. Ils étaient durs et poussaient contre la dentelle. Son ventre était plat, et ses hanches évasées me donnaient envie de les attraper.

Ses bas, ses putains de bas noirs, montaient jusque aux hauts de ses cuisses et la seule chose au-dessus était la ficelle du string noir en haut de ses hanches. Comme le soutien-gorge, le devant était en dentelle et je pouvais presque distinguer sa chatte derrière. Ouai, sa chatte était entre ces délicieuses cuisses douces et... Délicieuses? Je déglutis difficilement, quel genre de cinglé pensait à sa mère comme ça? Peu importe à quel point elle était sexy et ce qu'elle faisait pour gagner sa vie, c'était la seule femme que je ne devrais jamais regarder avec désir.

- Tu aimes ce que tu vois mon chéri? » ronronna-t-elle d'une voix qui, comme sa tenue, puait le sexe. Elle leva les bras au-dessus de sa tête. « C'est bien conforme à ce que tu voulais?

Son geste remonta ses seins à un angle encore meilleur et ma bite répondit à la femme incroyable qui se tenait devant moi. Ma mère aggrava la situation en se retournant. Le string n'était qu'une ficelle dans son dos et je regardais maintenant ses fesses bien rondes qu'elle gigotait presque directement contre mon visage. Se retournant, elle sourit.

- Alors, mon chéri, qu'est-ce que tu en dis? - Qu... à propos de quoi?

Ma mère soupira et tendit la main pour prendre ma joue en coupe et la caresser gentiment avec son pouce, comme elle faisait depuis que j'étais petit.

- Tu es peut-être un peu trop bien élevé Antoine. Regarde-toi, en train d'essayer de prétendre que tu ne veux pas de moi. » Comme je demeurai silencieux, elle continua. « Alors dis-moi Antoine. Si je n'étais pas ta mère, est-ce que tu voudrais de moi? Si tu venais ici et que c'était une autre femme qui ressemblait à ça, est-ce que tu aurais envie d'elle ? - Oui maman. » Je déglutis difficilement. - Eh bien, c'est bien parce que tu vois, là maintenant, je ne suis plus ta mère Antoine. Je suis Amanda, cette chaude petite MILF que tu allais payer pour te donner la baise de ta vie. - Attends, tu veux vraiment faire ça? » Je secouai la tête. « Mais je suis... - Mon fils? » Elle rit. « Pas maintenant, non. » Elle me regarda lentement de haut en bas, passant lentement sa langue sur ses lèvres rouges et si sensuelles. « Oh, non Antoine, en ce moment tu es surtout un beau jeune homme qui est venu ici pour dépenser son argent durement gagné en échange d'une nuit avec une femme très sexy. - Je... vraiment, tu me trouves beau? » - Oh ouais, et je ne dis pas ça juste parce que tu es mon fils. » En glissant un doigt dans l'encolure de mon t-shirt, elle tira gentiment dessus et ajouta : « Enlève-le mon chéri.

Comme hyponotié, j'obéis. Quelque part à l'arrière de ma tête, une voix me hurla que j'étais en train de faire une énorme connerie et que je devais me lever et partir d'ici en vitesse, mais je n'avais pas l'assentiment du reste de mon corps. Pire encore : à ce moment-là, ma bite était parfaitement d'accord avec ma mère, car elle était maintenant complètement dressée et faisait douloureusement rage dans mon pantalon.

- Maman, je... je te jure, si j'avais su que c'était toi, je n'aurais pas appelé et si tu avais su... - Je savais que c'était toi Antoine. - Quoi? - Tu penses que je ne connais pas le numéro de portable de mon propre fils? Je le connais par cœur!

Oh le con, je n'avais pas pensé à ça! Avant que je puisse répondre, maman balança une de ses longues jambes délicieusement bronzées par-dessus ma cuisse droite et s'installa à califourchon sur mes cuisses. Même à travers mon jean, je pouvais sentir la chaleur entre ses jambes. Elle se pencha en avant, glissa ses bras autour de mes épaules, et plaça ses lèvres juste à côté de mon oreille.

- J'ai vu ton numéro et au début, je me suis dit que je n'allais pas répondre, mais j'y ai réfléchi. » murmura-t-elle. «  Et tu sais à quoi j'ai repensé? J'ai repensé à la façon dont je me masturbais le soir en t'imaginant fantasmer sur moi. Je t'imaginais reniflant la culotte de ta cougar de mère et l'utilisant pour caresser ta bite. J'ai pensé à quel point mon fils était beau, et tu sais à quoi d'autre? - Q... quoi? » murmurai-je dans ses cheveux. Mes lèvres touchaient presque la peau douce de son cou et je dûs lutter contre l'envie de l'embrasser. - J'ai pensé à tout les trucs sales que j'allais te faire et à quel point ce serait excitant de coucher avec mon fils! - Oh putain! Mais...Pourquoi? Qu'est ce qui ne tourne pas rond chez toi maman? »

Mes paroles émergèrent dans un souffle; à peine audible à travers le tonnerre de mon cœur battant dans ma poitrine. À l'intérieur de mon pantalon noir, ma bite était une barre solide et douloureuse, chaque battement de cœur l'envoyant contre les parois trop étroites de mon boxer.

- Qu'est-ce qui ne va pas? Rien. Rien qu'une bonne bite bien dure ne puisse guérir, » sourit-elle Puis, elle soupira. « Je suis fatiguée Antoine; fatiguée de ce métier, fatiguée de tous ces hommes qui ont besoin de Viagra, de jeux de rôle ou d'un fantasme pour se mettre à bander. Je veux ça » continua-t-elle en se penchant en avant, sa paume posée contre mon torse. « Je veux des muscles propres et durs, et un homme qui bande pour moi et qui me veut pour qui je suis réellement et pas parce que je fais ce que sa femme ne peut pas ou ne veut pas faire.

Je clignai des yeux. Soudain, dans un éclair de perspicacité, je compris la vérité.

- Donc en fait, c'est surtout pour toi!

Les yeux de ma mère s'écarquillèrent.

- Quoi? - Tous tes jeux de rôles sur ta page Only Fam. C'est pour toi en fait !

J'étais fier de la façon dont je gardais ma voix stable, malgré le fait que je discutais de la sexualité de ma mère et qu'elle était à moitié nue devant moi, à cheval sur mes jambes et sa chatte nue à quelques centimètres de ma propre bite rigide.

- Ce n'est pas pour eux. Ou pas principalement. C'est surtout pour toi! J'ai regardé d'autres annonces et je n'ai vu personne d'autre qui le faisait autant. Oh, quelques-unes laissaient entendre qu'elles le feraient si on le leur demandait. Mais toi maman tu les proposes tous : infirmières, policière, secrétaire, écolières, professeurs, la voisine sexy d'à côté... Et surtout les jeux de rôles incestueux. Pourquoi ? - Pourquoi? » Sa voix était rauque et laborieuse. « Tu te retrouves là avec ta mère à moitié à poil sur tes genoux et tu me demandes pourquoi Antoine? Parce qu'après des années comme escort, j'avais encore du mal à faire semblant. »

Elle poussa un soupir.

- Tu sais, c'est dur comme métier Antoine. Les hommes achètent surtout un fantasme. Tu dois toujours faire semblant d'être attirée par eux. Et la plupart du temps, j'arrivais à trouver quelque chose qui me plaisait chez mes clients, mais plus les années passaient, plus ça devenait plus difficile, et une escorte vit de sa réputation alors... Si le bruit se répandait que je ne faisais que le minimum syndical, ma réputation en souffrirait. Les jeux de rôles... ça m'a beaucoup aidé. Grâce à ça, je pouvais faire semblant... faire semblant d'être autre chose qu'une prostituée de plus vendant du sexe sans engagement. Je pouvais être... quelqu'un d'autre. Et plus je le faisais, plus j'adorais ça. Surtout celui où j'étais une femme plus âgée séduisant un jeune étalon sexy, lui à satisfaire une femme. Regarde ça. »

Son bras fit un cercle, balayant la chambre d'hôtel luxueuse et l'éclairage tamisé.

- C'est vraiment ça ce que je vends, pas seulement mon corps, pas seulement ce que je peux en faire, mais du rêve et du fantasme. Pendant une heure ou deux, les hommes qui viennent me voir ne sont plus tout seuls, ils ne sont plus des ratés, des vieux, des veufs, des divorcés. Tant qu'ils sont avec moi, ils sont désirables, désirés, » Sa voix baissa. «  Aimés. Et s'ils peuvent avoir leur fantasme, pourquoi je ne pourrais pas avoir le mien? J'ai envie de ça, j'en ai envie depuis des années. Des jeunes muscle durs et une peau lisse et une bite bien raide entre mes jambes. - Ouais d'accord, mais pourquoi moi? - Pourquoi pas toi? » Elle souffla d'exaspération. « Qui d'autre suis-je censée draguer? Un petit jeune prit au hasard en boîte de nuit? Un connard ramassé dans un bar ? Qui est mieux placé qu'un fils pour bien prendre soin de sa mère ? Hmmm oui. » ronronna-t-elle dans mon oreille et je haletai quand sa langue passa dessus. « Une nuit torride avec un jeune étalon qui fait la moitié de mon âge et qui est aussi le jeune homme que j'aime le plus au monde? Oh mais mon chéri, je veux tellement faire ça!

Elle posa ses lèvres dans mon cou et je lâchai un léger gémissement. Ses seins se pressaient contre mon torse et elle balançait ses hanches, frottant son entrejambe contre ma bite douloureuse.

- Chaton, j'ai tellement envie de toi! - Oh merde » marmonnai-je en fermant les yeux tandis que sa langue glissa le long de mon cou. - Toi aussi tu as envie de moi?

Je gémis quand sa main tomba entre nous et qu'elle serra ma bite.

- Oh, je vais prendre ça pour un oui! Je ferai tout pour toi Antoine, ce soir je serai ta petite escort! - Maman je... - Et pas seulement ce soir chéri, mais quand tu voudras! - Quand je voudrais? » répétai-je en perdant la bataille et me tournant pour voir son mamelon rose dur à quelques centimètres de ma bouche. Sans que je le remarque, elle avait enlevé son soutien-gorge. - Hmmm, tu imagines comment ça serait? Faire l'amour à ta mère, dès que tu en aurais envie... - Je... - Et pas juste lui faire l'amour, mais la baiser, lui donner du dur, comme elle le mérite, enfocer ta grosse bite dans ma petite chatte, me regarder te sucer... - Oh ouhlala... » dis-je doucement.