Le Salon de Massage Encore

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Cette fois, le mari est témoin et se fait prendre.
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Partie 2 de la série de 2 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 05/31/2019
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J'ai lu ce que Frédéric a écrit sur moi et mon abonnement au salon de massage. Je vais vous raconter la suite.

Je retourne régulièrement me faire masser puisque j'ai un abonnement qui me permet un nombre illimité de séances.

Mais ce que j'aime le plus, c'est quand nous y allons tous les deux avec mon mari. C'est plus rare parce qu'il travaille, mais cela arrive assez régulièrement le weekend.

Je me suis rendu compte lors de ma première séance qu'une grande partie de mon excitation et de mon plaisir venait de la présence de mon époux pendant que je me faisais prendre. Mais j'ai voulu plus.

Lors de ma première fois, mon mari n'était pas conscient de ce qui se passait. Le plaisir que j'avais était de faire quelque chose en cachette. A notre seconde séance ensemble, je voulais que mon mari voit. Je l'avais expliqué au personnel lors de ma visite précédente. Ils m'avaient dit qu'ils allaient organiser les choses en ce sens pour notre prochain rendez-vous, en utilisant leurs deux cabines contiguës séparées par un miroir sans tain.

Je ne savais pas du tout quelle allait être la réaction de mon mari, s'il serait triste ou en colère, ni quelles conséquences cela pourrait avoir sur notre couple. Mais j'avais conscience que cela allait changer son regard sur ce salon de massage et sur mes rendez-vous futurs. Mais l'envie de me faire baiser devant mon mari était irrépressible.

Puisque je savais que nous serions séparé lors de notre prochaine séance, je préparais mon mari à cette éventualité. Il ne fit pas d'objection.

Un samedi donc, nous sommes retournés ensemble à ce salon. Le personnel nous accueillit chaleureusement comme d'ordinaire. J'ai expliqué que je souhaitais que mon mari et moi soyons traités séparément. On nous conduisit donc chacun dans une pièce distincte.

Je savais que depuis la cabine qu'occupait mon mari, on pouvait voir l'intérieur de la mienne, pour peu qu'on tire la tenture qui masquait le miroir. Ce que mon mari ne pouvait pas savoir, c'est que moi aussi je pouvais observer sa cabine, par le biais d'un système vidéo. Il y avait plusieurs caméras chez lui et plusieurs écrans chez moi.

Pour le moment, le rideau était fermé. On m'installa sur la table de massage. J'étais nue, comme j'en avais l'habitude. Mon masseur, un asiatique, commença à me masser les membres, bras et jambes. Sur l'écran, je voyais que mon mari s'était installé lui aussi et qu'il était tout aussi nu que moi. Je constatais que son masseur était un grand noir, très impressionnant. Je me suis aperçue que nos deux masseurs étaient à peu près synchronisé. Ce qu'on lui faisait, on me le faisait aussi, plus ou moins au même instant, mon masseur observant son collègue sur l'écran. Les directives qu'on me donnait, je les entendais en écho, reproduites avec plus de fermeté par le grand noir.

Ainsi, lorsque nous étions sur le ventre, nos masseurs nous tripotaient les cuisses et le derrière. Je sentais les mains de mon masseur m'écarter les fesses au gré de son malaxage, découvrant certainement largement ma raie. Ses pouces ne se privaient pas d'effleurer mon anus. Je voyais sur l'un des écrans qui cadrait le cul de mon mari en gros plan, qu'on lui prodiguait les mêmes caresses. Pour ma part, j'étais déjà bien mouillée, tant par les manipulations que par mon imagination. J'avais hâte de voir comment les choses allaient continuer.

On nous fit ensuite tourner sur le dos. Mon mari bandait. Il en était gêné et voulait masquer son érection avec ses mains. Mais son masseur l'obligea à les enlever en les déplaçant de force le long de son corps. Puis, il lui fit écarter les jambes et il massa toute la zone autour du sexe. Mon masseur me fit la même chose. Il pétrissait l'intérieur des cuisses en remontant jusqu'à l'aine. En ce qui me concerne, il allait jusqu'à toucher les lèvres. Pour mon mari, il frottait le bord des couilles. Cela accentua encore sa bandaison.

Petit à petit, les mains se rapprochaient en arrivant à l'entrecuisse. Mon masseur finit par passer alternativement chacune de ses paumes sur toute la surface de mon sexe. Mon mari, lui, se faisait masser les couilles avec la main gauche, puis la droite et ainsi de suite.

Le masseur finit par délaisser les cuisses et commença à me masturber en frottant mes lèvres avec ses deux pouces. Je vis que le masseur de mon mari prolongeait sa caresse sur les bourses de plus en plus haut sur le sexe. Puis, ce qui devait arriver arriva. Mon masseur écarta mes lèvres et celui de mon mari lui décalotta la verge.

A cet instant, je vis qu'on tirait sur le rideau qui me masquait à la vue de mon mari. Il fut instantanément paniqué et tenta de stopper la main du masseur sans y parvenir parce que le noir était beaucoup plus fort que lui. Il devait penser que je le voyais puisque lui me voyait. J'entendis le masseur lui expliquer qu'il s'agissait d'un miroir sans tain. Comme je semblais l'ignorer, ne regardant pas dans sa direction -mais vers les écrans cachés à sa vue-, il finit par se convaincre. C'est seulement à ce moment qu'il réalisa que mon masseur touchait ma chatte. Mais son masseur ne lui laissa pas le temps de protester, reprit son sexe en main et le remit en érection.

Je comprenais que bien que mon mari soit choqué de voir qu'on me caressait la vulve, il était en même temps excité par les attouchements qu'on lui faisait subir. Que faire? Protester, c'était refuser son propre plaisir. Laisser faire, c'était laisser son masseur le mener en cachette vers des sensations inconnues de lui. C'était la première fois qu'il se faisait masturber par un homme.

On me demanda de me mettre à quatre pattes. Bien entendu, on dit à mon mari d'en faire autant. Maintenant que le rideau était ouvert, l'ordre s'était inversé. Son masseur suivait le mien. Mon masseur pénétra mon vagin avec son doigt. De l'autre côté du miroir, il ne devait pas y avoir de doute sur ce qui se passait. Nos tables de massage étaient disposées de telle sorte que mon mari avait une vue imprenable sur mon sexe. D'ailleurs, je le vis me regarder d'un air incrédule. Mais pendant ce temps, son masseur, tout en lui masturbant le pénis, lui introduisit aussi un doigt dans son trou. Je pense que c'était une défloration pour lui. Il eut un mouvement de retrait, en projetant son bassin vers l'avant, mais le masseur qui le tenait par la queue appliqua une force contraire et supérieure et réussit tout de même à le pénétrer. Contrairement à ce que j'aurais cru, mon mari ne perdit pas son érection. Par contre, son gland se dilata fortement.

On nous stimula ensemble à la fois l'extérieur et l'intérieur. Mais chacun de nos masseurs avait soin de nous laisser loin de la jouissance. Il ne s'agissait encore que de préliminaires.

Mon masseur vint se placer derrière mes fesses, m'appuya sur la nuque pour m'obliger à poser la tête sur la table tout en me maintenant le cul bien dressé. Puis il me lécha l'entrejambe, du clitoris jusqu'à l'anus. En regardant à l'écran, je vis mon mari forcé de prendre la même position et son masseur lui appliquer le même traitement. Il partait des couilles pour finir sur la rondelle. La bite était raide. Elle semblait battre la mesure sous le ventre. Nos masseurs nous assouplissaient nos sphincters et régulièrement nous pénétraient avec leur doigt salivé.

Mon masseur s'écarta de la table et commença à se déshabiller. Je vis le regard sidéré de mon mari. Mais dans sa cabine, le noir en faisait autant. Nos deux masseurs étaient en érection. Si le sexe de mon asiatique était de dimension normale, celui du noir était impressionnant. On nous fit relever la tête et on nous caressa la joue avec la bite. Mon mari tenta de tirer sa tête en arrière pour éviter le contact. Mais il ne put résister à la poigne de son masseur. Je l'entendis l'inviter à lui sucer la queue et mon mari refuser catégoriquement. Pour ma part, je ne me fis pas prier et je prenais mon asiatique en bouche. Le masseur noir expliqua à mon mari qu'il allait lui donner du plaisir avec son sexe et que pour ne pas trop souffrir de la pénétration, il était préférable qu'il le lubrifie. Il lui maintint le visage entre ses mains et frotta son gland sur ses lèvres. Mon mari finit par ouvrir la bouche et le noir le pénétra.

Nous sucions chacun notre queue. Je vis que mon mari devait ouvrir largement sa bouche pour prendre tout le gland. Mais la répulsion initiale avait visiblement disparue. Il utilisa même sa main droite pour tenir le membre pendant qu'il le pompait avec ses lèvres. Il sortait la queue et léchait la colonne, la faisait coulisser dans sa paume et venait agiter le bout de sa langue sur le frein. Je découvrais de nouvelles techniques de pipe et je m'en inspirais pour ma propre fellation.

Mon masseur se dégagea pour venir se placer derrière moi. Il s'enduisit le sexe d'huile de massage et m'ouvrit mon petit trou avec ses doigts graisseux. Il se guida, poussa, força et finit par m'enculer jusqu'aux couilles. Son masseur l'imita et annonça à mon mari qu'il allait le sodomiser. Il le rassura en lui expliquant qu'il allait le faire très progressivement, avec beaucoup de lubrifiant. Il prit beaucoup plus de temps à lui écarter l'anus, avec un doigt, puis deux, puis trois et jusqu'à quatre. Il le caressait en même temps, lui massant la queue et les bourses pour l'aider à se détendre et à se laisser ouvrir. Puis il a placé son formidable gland au centre du trou ouvert avec ses doigts et petit à petit, le membre a remplacé la main dans le rectum de mon mari. Quand j'ai vu le pubis toucher les fesses, je savais que mon mari en avait plus de vingt centimètres dans le derrière.

Il grimaçait mais en même temps qu'il se faisait enculer, son masseur lui massait la bite qui restait raide. Quant à moi, mon asiatique me prenait vigoureusement -mais j'avais l'habitude- et me pelotait les seins en étirant les tétons. Je devais avoir l'air d'une louve qu'on trait avec ma poitrine qui pendouillait. Le noir avait un flacon de lubrifiant à portée de main et en versait régulièrement entre les fesses de mon mari. Il entrait et sortait toute sa bite et ça me fascinait de voir ce membre forcer le passage et coulisser jusqu'à la garde. Le rythme était plutôt lent, synchronisé avec la masturbation. Mon mari se laissait faire et, même s'il gémissait et plissait les yeux à chaque pénétration, avait un mouvement des reins qui ne trompait pas. Il cherchait à ce que le sexe le remplisse le plus possible.

De voir ce colosse prendre mon mari et de constater le plaisir qu'il en tirait m'a rendue jalouse. Je voulais moi aussi sentir cette queue me combler. J'ai demandé à mon masseur s'il était possible que son collègue nous rejoigne sans éveiller les soupçons de mon mari. Comme celui-ci était plus concentré sur son propre plaisir anal que sur ce qu'on me faisait, mon asiatique n'eut aucun mal par signe de prévenir le noir de venir avec nous.

Il dit à mon mari qu'il le laissait un instant mais qu'il allait revenir. Lorsqu'il sortit sa queue du cul de mon mari, je fus impressionnée par sa taille et son diamètre, d'autant plus imposants que le phallus était à l'équerre.

Le noir sortit de la pièce pour entrer presque aussitôt dans la nôtre. L'asiatique arrêta de m'enculer et le noir pris sa place derrière moi. Il m'enfila en levrette, dans la chatte. Son sexe était encore plus fort à l'intérieur qu'il ne le paraissait à l'extérieur. Mon masseur se fit sucer et bien que sa bite sortait directement de mon rectum, je le pris sans arrière pensée dans ma bouche, avec un plaisir pervers qui me venait de l'image que je donnais à mon mari : sa femme avec un énorme zob dans la chatte et un autre dans le gosier.

Sur l'écran, j'ai d'abord vu mon mari s'asseoir et se toucher l'anus. Il devait encore sentir la dilatation de son sphincter. Il maintenait son érection en se branlant doucement. Quand il a vu son masseur entrer dans ma cabine, il a regardé dans notre direction. Il ne semblait pas comprendre pourquoi le noir venait nous rejoindre. Puis il l'a vu commencer à me baiser. J'aurais pensé que cela l'aurait fâché de me voir prise par deux trous, mais lui aussi semblait ressentir une certaine jouissance cérébrale à la vue de cette obscénité. Il accéléra sa masturbation et se stimula le rectum avec ses doigts. Il nous fixait intensément, fasciné par ce qui entrait et sortait devant et derrière moi. Le noir me niquait avec puissance en me malaxant les nibards et le jaune me tenait le visage pour me pistonner le palais à sa guise. Mon mari ne m'entendait pas, mais je respirais de plus en plus vite et je vagissais la bouche pleine.

La stimulation simultanée de toutes mes zones érogènes -on me pilonnait l'utérus, on me pelotait les seins et on m'astiquait les lèvres et la langue- m'a rapidement fait jouir, ce qui s'est vu parce que je ne peux m'empêcher de faire pipi à cause des contractions vaginales. Etant donnée ma position, je devais ressembler à une vache qui se soulage. Le masseur noir sortait sa queue à chaque giclée et j'expulsais un jet dru vers le bas en poussant sur mes abdominaux. Puis il me reprenait, s'agitait et ressortait pour me laisser me soulager. L'asiatique aussi sortit sa queue et se branla frénétiquement pour m'éjaculer sur le visage et en partie dans la bouche.

Le masseur noir est alors ressorti pour rejoindre mon mari. Celui-ci arrêta de se masturber, sans doute en pensant puérilement qu'on ne verrait pas qu'il avait le goût du voyeurisme et de la complaisance. Il le prit en bouche pour lui redonner de la raideur. Pendant que mon mari se faisait sucer, je le vis prendre le sexe du noir dans sa main et en apprécier le volume. Il pressait la tige pour dilater le gland. Il dit à son masseur qu'il voulait aussi le sucer et ils se mirent en 69, lui étant en dessous. Mon mari devait ouvrir très grand sa bouche pour faire entrer le gland. Je ne sais pas si c'était aussi sa première pipe mais il avait de la technique, faisant coulisser le cylindre dans sa paume, passant sa langue sur le frein, pénétrant le méat pour lécher le jus à la sortie de l'urètre.

Le masseur se releva, demanda à mon mari de se prendre l'arrière des genoux avec les mains et d'offrir son cul, sa bite et ses couilles, dans une position de totale soumission. Il ne discuta pas, resta allongé sur le dos, releva ses jambes, se tint le bas des cuisses et les écarta. Le noir s'agenouilla et travailla le petit trou avec ses doigts pour l'ouvrir à nouveau et caressa les bourses. Il lubrifia copieusement l'orifice avec de l'huile et entra doucement son gland. Il décolla ses genoux et pris la position d'un homme qui fait des pompes, en s'appuyant sur les rotules de mon mari. Il donna un coup de rein et s'enfonça entièrement dans le rectum de son client. Mon mari émit un soupir, comme si le sexe qui l'envahissait lui vidait les poumons. Le masseur commença un lent va-et-vient avec son bassin, mais aussi avec sa main qui tenait la verge de mon mari. Il l'encula et le branla en augmentant progressivement la cadence. Mon mari soufflait de plus en plus fort, ahanait au rythme des coups du noir. Tout d'un coup, il a crié et je vis qu'il éjaculait. Il tentait de contracter son sphincter pour renforcer le jet, mais il avait le cul pris et cela ne fit que resserrer un peu l'anneau et le rectum sur la queue du noir. Cela déclencha l'orgasme du masseur qui se vida au fond de mon mari en plusieurs ruades.

Nous nous sommes rhabillés sans passer par la douche, pour ne pas avoir à expliquer notre état mutuel, lui avec du foutre dans le derrière et moi sur les lèvres et dans les cheveux. Je me suis juste essuyée le plus gros. Nous avons pris congé et sommes rentrés à la maison, muets tout au long du parcours.

Pendant le trajet du retour au bercail, je pensais que l'avenir allait sans doute être radieux puisque mon mari prenait sa part de plaisir. Mais je tenais à ce qu'il ne sache pas que je savais. Nous y retournerions, je me ferai prendre devant lui et je le regarderai se faire prendre devant moi. Décidément, ce salon de massage se rapprochait de plus en plus du paradis pour mon mari et moi.

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