Le Sacrifice d'Une Mère

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Une mère se sacrifie pour soulager son fils handicapé.
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LE SACRIFICE D'UNE MERE

Au décès de l'abbé Lavergne, qui avait été curé de la paroisse de Champballe pendant plus de vingt ans, Monseigneur Deslandes, évêque du diocèse, me confia la charge de lui succéder. J'avais alors une trentaine d'années. Dès les premiers jours de mon installation, je fis rapidement la connaissance de la plupart de mes paroissiens (je devrais plutôt dire de mes paroissiennes car elles constituaient l'essentiel de mes ouailles). Quelque temps plus tard cependant, une quinzaine de jours si je me souviens bien, j'allais voir s'agenouiller un samedi soir dans mon confessionnal, à l'heure où je n'attendais plus de nouvelle pénitente, une femme élégamment vêtue qui devait avoir dépassé depuis peu la quarantaine. Je m'étais apprêté à quitter l'isoloir et en étais déjà à demi sorti quand elle entra dans l'église par la porte latérale. Le portail était pourtant encore ouvert et les paroissiens l'empruntaient en général. Plus encore par ce choix inhabituel et par l'heure tardive de son arrivée, je fus intrigué par le regard furtif et comme craintif qu'elle portait sur les lieux. Elle s'assurait en fait qu'aucun fidèle attardé ne s'y trouvait encore. La raison de cette attitude insolite n'allait pas tarder à m'être révélée.

A entendre sa voix légèrement tremblante lorsqu'elle entama sa confession, je compris aussitôt que cette dernière allait sortir de l'ordinaire des péchés véniels d'envie, de jalousie, de masturbation en cachette, dans les cas les plus sérieux de ce genre d'affaire d'adultère le plus souvent banale auxquels les prêtres sont habitués.

« Pardonnez-moi mon Père parce que j'ai péché... » chevrota-t-elle. Je l'encourageai d'un ton patelin :

« Allons ma fille, ne craignez rien, la miséricorde de Dieu est infinie...

Elle sembla hésiter, sa respiration se fit plus courte, puis, comme si elle se jetait à l'eau, elle se lança, et ce fut alors un déferlement de paroles qu'elle semblait ne pas pouvoir arrêter, en un débit haché, saccadé :

« C'est que voyez-vous mon Père, j'ai un enfant... un enfant... pas comme les autres. Gérard est... comment dire... il souffre de ce que les médecins appellent une arriération mentale. Il n'a jamais su s'exprimer et il ne saura jamais. Mais... mais dès l'adolescence il... il a eu des... des envies... physiques... normales à cet âge, vous comprenez. Seulement il ne sait pas se contrôler... ni faire la différence entre le bien et le mal, le pauvre petit. Alors à plusieurs reprises, il a... il a essayé de toucher des jeunes filles de son âge, et même des femmes mariées... Mon mari et moi nous avons été obligés de déménager et de nous installer loin de la ville que nous habitions... Seulement ça ne pouvait rien changer à ses... à ses envies, n'est-ce pas? Quand il a recommencé avec notre voisine et qu'elle est venue se plaindre à nous, nous avons réussi à la faire taire en la dédommageant financièrement, mais nous savions bien qu'il ne pourrait que recommencer, avec elle ou avec d'autres. Il allait avoir dix-huit ans et il pouvait encore être admis dans un établissement spécialisé. Mon mari a décidé de l'y placer. Je... je ne pouvais pas accepter ça... c'était au-dessus de mes forces. Alors... »

Elle s'interrompit brusquement et je l'entendis déglutir.

« Alors? » l'interrogeai-je doucement... » Elle respira soudain plus fort, comme oppressée, puis se lança :

« Alors... j'ai décidé de... de l'aider...

-De l'aider? »

J'avais, bien entendu, une idée de la nature de cette aide et je commençais à ressentir les premiers effets de l'excitation, mais il fallait qu'elle la précise elle-même...

« De l'aider comment, ma fille?

Elle chuchota d'une voix quasi inaudible

-A... avec... avec ma main...

- Votre mari était au courant?»

Elle eut un brusque recul :

« Oh non! Je... je faisais ça quand il était au travail!

-Et... seulement avec la main? »

Sans pouvoir la distinguer nettement dans la pénombre du confessionnal, je la devinais virer brusquement à l'écarlate. Elle se racla la gorge.

-Au... au début... au début oui mon Père... Et puis...

-Et puis?

-Eh bien... un jour... pendant que je le faisais... il... il m'a... touchée...

-Touchée? »

En posant cette question, j'avais pleine conscience de quitter la fonction de confesseur, mais son récit avait fini par m'exciter à un point tel que je n'étais plus capable de m'en tenir à mon devoir pastoral. Depuis un moment, mon sexe se dressait impérieusement sous ma soutane et j'avais un mal fou à me retenir d'y porter la main.

Elle répondit en murmurant :

« Oui mon Père... il a tout à coup... relevé ma jupe... jusqu'à... vous savez... Et sa main s'est portée sur... mon intimité. »

Je ne pus me retenir de lui demander :

« A travers la culotte ou à même la chair?

-Sous... l'élastique... mon Père... »

Depuis un moment ma voix s'était altérée sous l'effet de l'excitation et je me rendais compte qu'elle ne pouvait pas n'avoir pas perçu mon trouble. Alors pourquoi continuait-elle à répondre à mes questions, qui ne laissaient aucun doute sur l'état dans lequel ses réponses me mettaient? J'allais bientôt avoir tous les éclaircissements nécessaires...

« Et ensuite? poursuivis-je sans plus essayer de donner le change. Ensuite? »

«Je l'ai caressé... plus rapidement pendant qu'il écartait mes... mes lèvres... d'en bas. Et il est venu très vite... »

Elle soupira.

« Seulement ça n'arrangeait les choses que sur le moment... Maintenant qu'il avait franchi cette... nouvelle étape, il n'allait pas s'arrêter là désormais, je le savais! C'est... c'est alors que j'ai pensé à demander conseil à l'abbé Lavergne... »

Encore sous le coup de sa révélation, je sursautai :

« L'abbé Lavergne? Mais pourquoi? Que pouvait-il bien faire? »

C'était là la question cruciale. Je sentis que tout allait s'éclairer. Une fois de plus elle se racla la gorge et expliqua d'une voix tout à coup plus assurée :

« Eh bien... tout le monde au village le respectait. Il était toujours prêt à aider chacun, sa porte était toujours ouverte... Il n'y avait qu'une personne à penser qu'il n'était pas... ce qu'il paraissait. C'était mon voisin... Dès notre arrivée, il avait cherché à nous convaincre mon mari et moi que l'abbé Lavergne était en réalité un... un obsédé sexuel qui cachait bien son jeu. Il l'avait un jour surpris par hasard dans le quartier de la gare du Havre alors qu'il abordait une prostituée et qu'il l'emmenait dans un hôtel de passe. Il avait attendu qu'ils ressortent de l'établissement au bout d'une demi-heure l'avait laissé s'éloigner et... il était à son tour monté avec cette femme. « Pour l'interroger » avait-il ajouté. C'est ce qui nous avait en réalité convaincu mon mari et moi qu'il affabulait en nous détaillant les... les exigences de l'abbé. Toujours est-il qu'il avait aussitôt voulu répandre la nouvelle au village mais personne ne l'avait cru et depuis, c'était de lui qu'on se méfiait. Mon mari et moi partagions l'avis général, mais dans mon désarroi... »

Elle s'interrompit. Suspendu que j'étais à ses lèvres, je la pressai :

« Dans votre désarroi... dites!

-Eh bien... ce que nous avait dit notre voisin m'est tout à coup revenu à l'esprit. Je ne voyais aucune solution à... à mon problème, alors je me suis dit « Et s'il y avait du vrai dans ce qu'il nous a dit? Tant pis, je ne perdrai rien à me confesser... S'il est comme on nous l'a dit...» Et c'est comme ça que tout a commencé... Je suis allé trouver l'abbé et... le voisin... avait raison. Nous... nous avons fini par nous... arranger, l'abbé et moi... »

Soutane relevée, je me branlai à présent ouvertement, sans souci de prendre de précautions : elle et moi avions compris que nous allions nous accorder et nous aussi nous « arranger »...

Je la tutoyai brusquement :

« Votre arrangement... dis-moi tout! «

Mon excitation avait dû la gagner car ce fut d'une voix changée qu'elle continua :

« On... on allait tous les matins par derrière au presbytère, Gérard et moi, quand mon mari était parti au travail...

-Et?

-L'abbé nous ouvrait et nous faisait entrer discrètement par la petite porte qui donne sur les champs. Et on montait dans sa chambre.

-Et? Dis tout, bon Dieu!

-Je devais ôter ma culotte et trousser ma jupe en le retenant levés pour qu'il me voie bien mes fesses...

-Dis « mon cul »!

-Oh mon Père! Mon...oh j'ai honte! Mon... cul...

-Et ton fils?

-Je devais me mettre à genoux devant lui et... le prendre dans ma bouche...

-Jupe toujours relevée et cul exhibé?

-Ou... oui... L'abbé me demandait de... me tendre en même temps...

-Tu suçais ton fils jusqu'au bout?

-Pas... pas toujours... Quand il était... prêt, je devais souvent me retourner contre le mut et... le faire venir en... en le guidant de la main...

-Salope... ça te faisait mouiller?

-Je... c'est-à-dire... je... ne suis pas de bois...

-Et l'abbé?

-Quand Gérard... avait fini, il me prenait à son tour...

-Dans la jute de ton fils?

-Parfois oui... parfois... autrement...

-Ton fils regardait?

-Oui, et presque toujours ça lui redonnait envie... L'abbé devait alors bien vite lui laisser la place.

-Il devait être frustré?

-Oh non, il... il me finissait après... »

Je n'en pouvais plus. Je lui ordonnai d »une vois rauque :

« Relève ta jupe et branle-toi avec moi, salope!

-Oui, oui mon Père! Oh oui! »

Je perçus un froissement d'étoffe lorsqu'elle se troussa. Comme l'abbé Lavergne, je n'aurais plus besoin d'aller moi non plus dans le quartier de la gare du Havre pour me soulager... Je venais d'hériter d'une pute à domicile, et qui plus est d'une pute vicieuse sous ses dehors d'épouse et mère respectable... J'avais hâte de la voir s'occuper de son fils en se pliant docilement à ses exigences!

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