Le premier déploiement de Julia 04

BÊTA PUBLIQUE

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Je repense à la suite, à ces longues minutes que j'ai passées à marcher à quatre pattes. Je m'imagine cette fois m'appliquant à le faire le plus sensuellement possible, en me cambrant au maximum, en ondulant de la croupe à chaque pas, ressentant ce regard sur moi qui me brûle, attise mon désir, me fait couler...

Je repense à ses fortes claques sur mes fesses, ça aussi, c'était particulièrement humiliant... et particulièrement excitant!

« Allez Julia, maintenant, ouverte comme une salope! ». J'obéis à moi-même, je reprends cette posture si humiliante, écartant largement mes fesses des deux mains pour être la plus indécente possible. Je suis trempée, et surtout j'éprouve une violente envie de me caresser. Mais pour le faire, je m'imagine que c'est un ordre que me donne le capitaine, d'un ton particulièrement méprisant : « branle-toi, la pute! ».

Aussitôt, je passe une de mes mains sous mon ventre, à la recherche de mon clito. Il est déjà très réceptif, je gémis dès le premier contact. Je le caresse avec une certaine impatience, mon bas-ventre se contracte sous la montée du plaisir.

Mon excitation me pousse à m'imaginer une nouvelle humiliation : le capitaine ouvre la porte et fait entrer une file de soldats, il les invite à découvrir quelle salope je suis en introduisant leurs doigts dans ma chatte trempée. Ce qu'ils font, l'un après l'autre, entrant chacun à leur tour deux doigts dans ma moule, baveuse à souhait, chacun commentant vulgairement mon état d'excitation.

Cette idée me rend folle, je me caresse frénétiquement. Je pousse de petits cris entrecoupés des saletés que j'imagine qu'ils disent de moi.

-- Ahhh! Oui! Quelle salope! Une chienne en chaleur... AHHHhhh! Ouverte comme une pute! OUUUIIIiiii! Une vraie traînée, regarde comme elle coule! Haaannnn! Offerte comme ça, un vrai trou à bites! AAAAHHHHHHhhhhhhh! OUUUUIIIIIiiii!

Je suis emportée par un orgasme incroyablement violent, je m'écroule, agitée de spasmes. Je sanglote, de honte et de jouissance mêlées.

Puis peu à peu, je m'apaise, flottant dans une semi-inconscience, dont je finis par émerger au bout de longues minutes. Je me rassois au bord du lit et je me prends la tête dans les mains. Je ne peux plus m'aveugler, après ce que je viens de vivre : c'est clair, j'éprouve du plaisir dans l'humiliation.

Je ne peux pas le nier, mais j'ai du mal à l'admettre, je me fais l'impression d'être une perverse qui a un vice inavouable.

Mais l'instant d'après, je tempère mon jugement. Après tout, j'y ai trouvé une indéniable jouissance dont je ressens encore les effets bénéfiques, mais ce plaisir « particulier » ne veut pas dire que je n'aime pas faire l'amour classiquement, comme les deux nuits précédentes me l'ont prouvé.

Cette pensée me réconforte, et je décide de cesser de m'apitoyer sur moi-même. Il ne faut pas que j'oublie que ma situation dans l'unité est maintenant précaire et que je dois me montrer parfaitement disciplinée, si je veux que le capitaine conserve son rapport dans son tiroir.

Comme il reste du temps avant la fin de ma consignation, j'entreprends de faire le ménage et le rangement de ma chambre à fond, en bonne militaire. Je me rends compte à cette occasion que le plaisir que j'ai pris m'a apaisée, m'a libérée de la tension accumulée, je m'active avec la satisfaction du travail bien fait.

Je termine par un tour aux toilettes, où je m'attarde un peu devant le lavabo afin de me rafraîchir et me laver le visage. Je me regarde, j'ai l'air encore fatiguée, mais ma mine est meilleure que lors de mon réveil. Je regagne ma chambre où je me recoiffe et me rhabille avec des sous-vêtements et un treillis propre.

C'est enfin l'heure du dîner et donc aussi de la fin de ma consignation. Je meurs de faim, n'ayant rien mangé depuis la veille. Je me dirige vers le mess sans plus attendre.

Je ne sais pas si notre soirée animée, notre convocation chez le capitaine et les sanctions qu'il a prises sont déjà connues des autres ou pas. Mais je sais que dans le camp, les nouvelles vont vite, alors je décide de me faire discrète.

Je suis dans la file d'attente lorsque je remarque, à une table voisine, deux collègues qui me regardent tout en parlant entre eux avec animation. L'un d'eux fait même un signe de la main pour me désigner.

Au début, j'espère une coïncidence, mais non, clairement ils parlent de moi. Je garde les yeux fixés au sol, ne voulant pas attirer davantage l'attention. Mais je ne peux résister longtemps à la curiosité, je jette un coup d'œil en coin. Au moment où mon regard croise celui d'un de ces deux types, celui-ci me fait un clin d'œil et comme un bisou de loin.

Au moins c'est clair, ils savent. Non seulement pour les sanctions, mais aussi pour la nuit avec Maxime et Vincent. Mais comment le savent-ils?

Cependant la file avance, je récupère un plateau, des couverts, et attends pour être servie du plat du jour. Je vois alors Vincent au fond de la cuisine, lorsqu'il se tourne dans ma direction, il me voit et me lance un regard noir. Il doit m'en vouloir de sa punition. Pourtant il ne devrait s'en prendre qu'à lui-même, personne ne l'avait invité!

Lorsqu'il s'approche du cuistot, je l'entends dire : « tiens, la voilà », avec un ton méprisant. Qu'est-ce que ça veut dire? Qu'est-ce que cet égoïste a pu raconter aux autres? Sûrement il m'a fait passer pour une salope, il est vrai que j'étais chaude cette nuit-là, mais après tout lui aussi.

Une fois servie, je me dirige vers une table éloignée, je n'ai pas envie d'entendre d'autres commentaires. Mais déjà, sur mon trajet je repère deux hommes qui me regardent et me désignent au reste de leur tablée.

Je m'assieds face au mur, pour n'avoir personne sous les yeux. Contrairement aux habitudes, cette fois-ci personne ne me rejoint à ma table. C'est clair, toute l'unité est au courant, mais au courant de quoi exactement? Ils n'ont entendu que la version de Vincent, peut-être aussi celle de Maxime, qui avait l'air de beaucoup m'en vouloir lui aussi. Il est probable que, maintenant, aux yeux de tous, je sois la salope de service, celle qui couche avec plusieurs et qui crie fort quand elle jouit.

Je ne regarde pas autour de moi, mais je sens que je suis le point d'attention général. Je mange le plus vite possible, perturbée par cette atmosphère. Je me lève dès mon repas fini et je retraverse le mess, les yeux rivés au sol. N'empêche que je sens que tous me regardent. Que se disent-ils? Que eux aussi ils aimeraient me baiser? Que je ne suis qu'une Marie-couche-toi-là?

Je pose mon plateau et je m'éloigne, mais je me rends compte que cette atmosphère, ces spéculations sur ce qu'ils pensent de moi, sûrement pas en bien, m'ont excitée... Je sens que mes tétons pointent, que mon bas-ventre réagit. Une fois de plus ça se confirme, cette honte que j'éprouve à être considérée comme une salope, déclenche dans mon corps ce plaisir trouble de l'humiliation. Que suis-je devenue Que va-t-il m'arriver?

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3 Commentaires
APVapvAPVapvil y a 3 mois

Évolution du récit intéressante. La pression du colonel, la vindicte de son collègue et la pression de l'unité vont certainement amener des situations excitantes.

AurailiensAurailiensil y a 3 mois

Evolution très excitante

Tom_du_CantalTom_du_Cantalil y a 3 mois

Sacré changement d'ambiance dans ce chapitre, par rapport aux précédents !

Belle imagination en tout cas, on en redemande...

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