Le Pouvoir à la Belle Epoque Ch. 13

BÊTA PUBLIQUE

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« Je connais bien le grossiste qui fournit les camps et casernes en boissons, je vais prendre langue avec lui pour essayer de savoir ce qu'il a livré récemment. Dis-moi ce que tu bois et je te dirai d'où tu viens ! Cela t'ennuie que nous retournons à la brasserie dès la fin du repas? Je voudrais lui envoyer un télégramme pour annoncer ma visite»

« Non, allons-y mais à pied ou alors tu rentres en fiacre et moi à pied ! »

Bon gré mal gré, il la suivit dans l'ascension de la colline de Cronenbourg où était juché le domaine des Obermeier. Chemin faisant, ils passèrent devant la brasserie Hatt, tout aussi imposante que BrauMeister « Notre principal concurrent » commenta sobrement Gauthier.

Arrivés chez Charles, Gauthier se dépêcha d'envoyer une télégramme à son ami fournisseur de l'armée impériale puis attendit nerveusement la réponse qui ne tarda heureusement pas.

« Je peux aller le voir à Obernai en fin d'après-midi. Avec un bon cheval, j'en ai pour deux heures à l'aller comme au retour donc ne m'attendez pas pour le souper »

« Je vais demander à GustavE de me faire visiter la brasserie. La nôtre doit ressembler à un jouet en comparaison et après, je tiendrai compagnie à Charles ! »

« Hum ... je te vois venir ... n'oublie pas son âge ... »

« Je serai sage, promis ! Mon sexe t'est réservé aujourd'hui mais tâche de ne pas revenir trop tard»

La visite de la brasserie fut aussi impressionnante que Catherine l'avait supposé mais ce qui la fascina le plus, ce fut les caves de garde creusées dans la colline. Cela lui rappela furieusement les galeries des champagnes Mompery.

« Le principe est identique » lui expliqua Gustave « pour la fermentation basse, nous devons maintenir la bière à une température d'environ 10°. Nos caves sont parfaites à cet égard et c'est aussi pour cela que nous avons choisi Epinal dont le climat est en général assez frais pour ne pas nous demander trop de réfrigération artificielle »

Lorsqu'elle rejoignit la maison en fin d'après-midi, Charles l'attendait dans le grand salon de réception du rez-de-chaussée, confortablement installé dans un large fauteuil.

« Ah, ma merveilleuse petite-fille ! Où est passé votre mari Catherine? Ne me dites pas qu'il vous a abandonnée pour une Influencée forcément quelconque? »

« Non, un contact à Obernai qu'il devait voir de toute urgence »

« Décidément, je ne comprendrai jamais le sens des priorités de ce garçon. A son âge, il aurait fallu quatre éléphants pour m'arracher à vous ! »

« Charles, vous maniez le compliment comme aucun autre homme de ma connaissance. Cela ne me déplairait pas que vous l'enseigniez à votre petit-fils » lui dit-elle, mutine, en venant l'embrasser sur la joue.

« Hélas, c'est à peu près tout ce qu'il me reste de ma période de gloire. L'art de la séduction fait partie de mon passé maintenant »

« Ce n'est pas l'impression - ni la sensation - que j'ai eue hier soir » lui rétorqua t'elle et, faisant fi de sa promesse à Gauthier, elle vint s'installer sur le bras du fauteuil du vieil homme.

« Il n'y a que vous pour réveiller un mort, ma très sensuelle bru . J'ai d'ailleurs une question à vous poser : Gauthier ne vous a pas Influencée ni Améliorée et pourtant vous faites preuve d'une résistance hors du commun sans parler de votre capacité à raviver mes gonades que je croyais disparues»

Catherine lui expliqua la théorie de Céline sur les Héraïdes en ajoutant « Jusqu'à présent, j'ai été totalement fidèle à mon mari. Autant si pas plus parce qu'il comble ma sensualité que parce que je respecte mes vœux de mariage mais avec vous, c'est différent : vous m'attirez autant que lui et je ne ressens aucune culpabilité à me partager entre vous deux. »

Elle laissa glisser sa main le long de son torse jusqu'au haut de son pantalon. « Je vois que vous êtes aussi sensible ... Je ne peux décidément pas vous laisser souffrir ainsi... j'ai promis à Gauthier mon sexe mais je n'ai rien dit concernant ma bouche ou mon postérieur .. . »

« Ahem ... nous avons convenu avec Gauthier que votre cul me serait offert lors d'une nouvelle partition à trois corps mais je ne serais pas contre une petite gâterie orale »

Elle se laissa glisser à terre et défit le ceinture du pantalon puis le fit tomber avec le caleçon sur ses chevilles avant de le débarrasser. Comme la veille, la verge du vieil homme se dressait fièrement au-dessus de deux testicules fripées mais néanmoins massives.

« Vous continuez à vous raser malgré votre abstinence? »

« Non, je me suis fait épiler définitivement bien avant votre naissance ... quel gain de temps et ... ooooh ... Catherine ! »

Elle venait de prendre son gland en bouche et le suçait furieusement tout en masturbant la hampe et en caressant les bourses.

« J'avais ... aah .. oublié ... comme c'est ... oooh .. . bon ... Vous êtes ... très talentueuse... oooh ... Catherine ... Si long... temps ... aaah ... n'arrêtez pas ... aah »

Elle n'avait pas l'intention d'interrompre sa fellation avant d'avoir avalé sa semence mais la pression de ses seins devenait inconfortable. Elle abandonna un moment les testicules pour dégrafer son corsage et en extraire sa poitrine libérée de son confinement.

« Attendez ... Cath .. erine ... laissez-moi ... aaah ...profiter de vos ... ooh ... seins somptueux ... s'il .. vous plaît .»

Elle se redressa s'assit à califourchon sur les genoux de son partenaire et souleva ses seins pour les lui présenter. Il comprit le message et se pencha pour les téter l'un après l'autre, aspirant son lait au passage. Elle gémit de plaisir et connut même un mini-orgasme lorsqu'il se mit à mordiller ses tétons.

« Aaah .. Cath .. c'est trop ... oooh ... je vais .. ... aaah ... ARRRGH ! »

Elle eut juste le temps de se laisser glisser à terre pour emboucher à nouveau le gros gland juste au moment où il entrait en éruption. Son éjaculat était loin d'être aussi abondant que celui de son petit-fils et elle parvint à tout avaler sans en perdre la moindre goutte puis garda le membre en bouche jusqu'à ce qu'il redevienne flaccide.

Elle se redressa et l'aida à se rajuster sans prendre la peine de refermer son corsage et il en profita pour caresser ses mamelons encore humides.

« Charles, arrêtez ou je vais devenir incontrôlable ! »

« Je serais ravi d'être le témoin de votre perte de contrôle ma chère ! »

« Dans ce cas .. . »

Elle prit sa main et la guida sous sa jupe jusqu'à sa culotte.

« Vous n'avez pas oublié? »

« Cela fait partie des choses qui ne s'oublient jamais ! »

Elle empoigna ses seins et les malaxa avec délectation tandis que des doigts fureteurs s'emparaient de son clitoris . Elle était tellement excitée qu'il ne lui fallut qu'une minute au grand maximum pour jouir en inondant la main bienfaitrice.

« Ouf ... merci Charles ... avec un peu de chance je pourrai me contenir jusqu'au retour de mon légitime ! Je vous abandonne maintenant, je vais me préparer pour le souper»

« Catherine ... »

« Ouiiii «

« J'apprécie beaucoup le spectacle mais si vous croisez un membre du personnel, cela va jaser »

« Oups .. dommage ... j'aimais bien être dépoitraillée ... hi hi ... et Charles ... je vous aime !... presqu'autant que Gauthier.»

« Je vous aime aussi Catherine ! »

Charles se retira dans sa chambre dès la fin du souper. Désoeuvrée, elle explora la bibliothèque avant de s'installer dans le fauteuil du salon avec un fin ouvrage qu'elle avait déniché entre deux volumes d'une austère encyclopédie : 'Les mémoires de Fanny Hill, femme de plaisir' . L'ouvrage manquait de descriptions à son goût mais son imagination fit le reste et elle commença à se rêver en courtisane passant des bras d'un amant à l'autre.

Vers 22 heures, elle décida d'emmener le livre dans sa chambre ; sa lecture lui avait chauffé les sangs et à défaut de pouvoir compter sur un Lemestre, elle était bien décidée à se laisser aller à des plaisirs solitaires.

Nue, elle s'installa sur le lit et reprit sa lecture et se caressa lentement, sa main passant rapidement sur ses mamelons et ses tétons avant de descendre le long de son abdomen pour se perdre autour de son clitoris. Elle abandonna sa lecture et commença à haleter au fur et à mesure que croissaient les palpitations de son ventre. Elle était au bord de l'explosion quand sa main fut soudain écartée de son bouton. La voix e Gauthier murmura à son oreille « Madame Lemestre, est-ce que votre mari vous manque à ce point? »

« Tu sais bien que oui, Schulmeister ! Il est plus que temps que tu t'occupes de ta femme ... »

Il se déshabilla en un tour de main et se coucha à ses côtés. Elle saisit sa bite et la prit dans sa bouche avant de la repousser avec un air de reproche..

« Elle sent la mouille de femelle en chaleur.. . Tu as Influencé une morue et vous avez forniqué comme des bêtes sans moi !»

« J'avoue ... Il y a eu un malentendu : Bernhardt pensait que je venais pour affaires et n'était pas disposé à me fournir les renseignements que je cherchais. Il m'a planté en plein milieu de ses bureaux mais heureusement il a une secrétaire que j'ai en effet Influencé pour qu'elle me donne accès aux bons de commandes militaires »

« Et bien évidemment, tu n'as pas pu faire autrement que de la baiser ! »

« On a rien sans rien .. mais tes observations ont été confirmées : il a livré du Palinka hongrois, de la Grappa italienne et aussi du Stroh autrichien.... »

« Elle était bonne ta femelle? »

« Je ne sais pas .. . »

« Comment ça? Tu étais inconscient quand tu l'as baisée? »

« Plus ou moins ; je ne pensais qu'à toi. Je serais incapable de dire à quoi elle ressemblait »

« En tout cas, elle t'a laissé assez de mouille sur la bite pour rendre fous une demi-douzaine d'étalons. Dépêche-toi de me fourrer pour effacer cette oooh odeur ... tu bandes .... si dur ... aah ... tu penses ... aah ... à elle? »

« Non... humpf ... à ma femme ... humpf ...c'est toujours ... humpf ...à toi ... que je ... humpf ...pense ... »

« Tu aurais ... dû ... oooh ... penser à moi ...aah... cette ... aah ...après-midi.... Quand j'ai sucé ... ooh ... Chaarles »

L'aveu lui fit prendre le mors aux dents et il la pilonna comme jamais, les amenant tous deux à l'orgasme en un temps record. Toujours fermement planté, il ne put s'empêcher de la questionner :

« Comment cela, tu l'as sucé? »

« Avec ma bouche idiot. J'ai sucé sa verge avec ma bouche »

« Mais pourquoi? »

« Parce qu'il m'avait très bien sucé les seins »

« ARGH ... tes seins ! »

Il recommença à la prendre avec la même fureur sauvage et ils jouirent à nouveau en quelques minutes.

« Et après? »

« J'ai avalé son foutre ... »

« Nooon ! »

La sarabande reprit de plus belle mais le dénouement se fit attendre ; leurs réserves génésiques à tous deux commençaient à être sérieusement entamées.

« Tu as avalé le foutre de mon grand-père ! »

« Normal ... il avait avalé mon lait ... »

« Cathy ... pitié ... je suis à sec mais tu me fais bander comme un âne »

« Je le sens bien, très bien ... très dur même ... cela t'excite de penser à ta femme avec un autre homme?»

« ARGH ... oui ... cela m'excite ... mes Influencées n'y pensent même pas... »

« N'oublie pas ... aah ... que tu as promis ... ooaah... mon cul ...aaaah ... Charles ! »

« AAARGH ... Tu l'auras voulu ... humpf ...on ne défie pas ...humpf ... un Doué ... argh ... impunément»

« J'ai ... toute ...la ... nuit !'

Lorsqu'elle se réveilla, elle était à moitié couchée sur le corps de son mari. Elle s'étira langoureusement, envahie par un sentiment de bien-être jusqu'à ce qu'elle réalise qu'à l'endroit où son pubis chevauchait sa cuisse, il y avait tellement de liquide qu'elle crut d'abord qu'elle lui avait uriné dessus.

Puis la mémoire lui revint : ils avaient fait l'amour comme des fous ; elle ne se souvenait pas du nombre de fois où il avait joui en elle mais elle était certaine qu'une main ne suffirait pas à les compter.

'Si le récit d'une simple fellation suffit à le mettre dans cet état, qu'est-ce que ce sera le jour où je lui raconterai une coucherie avec un autre homme? Non pas que j'ai envie d'un autre homme , à part peut-être Charles ...'

Gauthier s'ébroua. Il commençait à émerger lui aussi.

« Bonjour Madame Lemestre »

« Bonjour mon Doué, comment te sens-tu ce matin? »

« Merveilleusement bien à part ma cuisse qui est trempée ... »

« Simple retour à l'envoyeur .... »

« Un bon bain nous ferait du bien à tous les deux je crois puis il va falloir que nous préparions nos bagages. Il faut que je fasse rapport au 2ème bureau à Bruxelles. »

« Déjà?! Qu'y a t'il de si urgent? »

« Je suis persuadé que si la France entre en conflit avec l'Angleterre à propos de cette histoire de Fachoda, la Triplice va en profiter pour attaquer la Russie. Et une fois l'empire Russe à genoux, je ne donne pas cher de notre peau ... »

« Et tu déduis tout cela de la vente de quelques bouteilles d'alcool? »

« Non mais je crois avoir compris les allusions des officiers allemands sur les manoeuvres communes à l'est. Je croyais qu'ils parlaient de l'est du département mais c'est de l'est de l'Europe qu'il s'agit. Il faut que le nouveau Président du Conseil soit mis au courant et qu'il ordonne l'évacuation de Fachoda. Tant pis pour la liaison transafricaine Dakar-Djibouti ! »

« Tu en sais des choses sur Fachoda tout d'un coup? »

« Grand-père est abonné au Times de Londres ... Ils en parlent quasiment tous les jours. J'ai eu le temps d'en lire quelques extraits avant de te rejoindre pour que tu me racontes tes turpitudes ! »

« A propos de turpitudes, n'oublie pas que tu à promis à Charles qu'il pourrait me sodomiser ! Nous n'avons plus beaucoup de temps pour tenir ta promesse ...»

« Tu es amoureuse de lui ma parole ... »

« Un peu ... mais j'ai surtout envie de vous sentir tous les deux en moi. Je crois même que ce sera encore meilleur avec toi devant et lui derrière. »

« Dans ce cas, allons prendre ce bain en vitesse ... la plaisir avant le devoir ! »

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Anonymous
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2 Commentaires
WalteregoWalteregoil y a 18 joursAuteur

Merci pour ce commentaire. Le chapitre 14 est presque fini et le canevas des trois suivants est prêt. J'ai dans l'idée d'utiliser de plus en plus des personnages et événements historiques dans le récit. Ce sont des détournements assez amusants à écrire; j'espère qu'il en est de même à la lecture :-)

Bien à vous

Walterego

AnonymousAnonymeil y a 18 jours

Je dois avouer que cette histoire suscite chez moi un vif intérêt. À chaque fois, je lis chacun des chapitres avec un appétit croissant. J’espère lire la suite très bientôt…

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