Le pire jour de Sarah

BÊTA PUBLIQUE

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Sarah déteste être forcée dans cette position, mais s'il y a la moindre chance qu'elle puisse échapper à ce cauchemar et que son identité reste cachée, il faut qu'elle la saisisse. Regardant le garçon droit dans les yeux, elle lèche le bout de sa bite. Thomas gémit et baisse les yeux vers son ex-professeure soumise.

- C'est bien salope, mais maintenant il est temps de me sucer. Ouvre grand !

Sarah frissonne à chaque fois qu'il la traite de « salope », mais elle ne peut pas l'empêcher de faire. Elle rougit à la pensée que quiconque la verrait sucer la bite de ce jeune garçon l'appellerait aussi une salope. Thomas pose sa queue sur les lèvres douces et s'enfonce presque jusqu'au fond de sa bouche. Il n'y a aucune tendresse. Il ne l'aime pas, il la baise et elle ne peut pas l'empêcher de faire ça non plus.

Très vite elle sent le gland gonfler dans sa bouche et elle sait qu'il ne va pas tarder à jouir. Effectivement elle regarde son corps se tendre et sa bite exploser dans sa bouche, le sperme chaud frappant le fond de sa gorge et coulant vers le bas. Elle pense qu'il ne va jamais s'arrêter alors que sa bouche se remplit de foutre salé jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus avaler et qu'il commence à couler le long de son menton. Le garçon doit savoir quand va venir sa dernière giclée, car il sort de sa bouche et gicle son foutre sur son visage pour la marquer comme la salope qu'elle vient de devenir.

Il reste là, sa bite dégoulinante à quelques centimètres de son visage, et, une fois de plus, il sort son téléphone. C'est la meilleure photo, sa jeune professeure allongée sur son bureau, la bouche ouverte, son foutre dégoulinant sur son menton, et son visage strié d'un filet de sperme blanc de façon évidente. Sarah supplie une nouvelle fois.

- S'il te plaît Thomas ! Tu t'es bien amusé, alors s'il te plaît, laisse-moi partir. Et tu as promis de supprimer les photos et les vidéos.

- Non salope, je ne crois pas avoir promis quoi que ce soit. De plus, ça a une valeur inestimable. C'est mon assurance que tu n'impliqueras pas la police. Maintenant, sois une bonne fille et reste-là tranquillement.

Juste pour s'assurer que Sarah reste tranquille, il replace le bandeau sur ses yeux et lui fourre une fois de plus quelque chose d'humide dans sa bouche. Elle sait que ce n'est pas la grosse culotte de Diane, car c'est beaucoup plus petit. Mais ça a un parfum et un goût familier. Sarah se remet à sangloter quand elle réalise que son ex-élève vient de la faire taire avec sa propre petite culotte. Le goût qu'elle reconnaît est celui de son propre jus de chatte qui a imbibé le tissu avant qu'il l'enlève. Pensant que sa situation ne peut pas être pire, elle entend Thomas ouvrir la porte et s'en aller, la laissant à son sort, la porte ouverte, n'importe qui pouvant la trouver dans cette posture.

Elle commence à perdre toute notion de temps, consciente seulement qu'elle va être en retard pour le barbecue du directeur, si jamais elle y arrive. Elle commence alors à penser qu'elle ne sera jamais libérée de ce cauchemar lorsqu'elle entend quelqu'un dans l'embrasure de la porte de sa classe. Elle veut tourner la tête et voir qui est là, le supplier de la détacher, mais avec le bandeau et le bâillon elle en est incapable.

Puis elle entend la personne entrer dans la pièce et fermer la porte. Elle est soudainement soulagée, car elle est sur le point d'être libérée. Elle se dit qu'elle ne sera jamais en mesure d'exprimer suffisamment sa gratitude à son libérateur. Puis elle entend la clé de la serrure tourner une fois de plus. Pour Sarah, cela devient subitement inquiétant.

Le tour de clé a claqué fortement dans le silence de la pièce. Sarah s'imagine alors qu'elle ne va pas être détachée, qu'un autre homme, ou un étudiant, va l'utiliser et la maltraiter une nouvelle fois. Puis elle prend conscience de l'odeur de parfum qui se dégage de la personne. Elle se détend en comprenant qu'il s'agit d'une femme et non d'un étudiant. Il s'agit du parfum d'une femme mûre, sophistiquée, délicate. Sous son bâillon, Sarah commence à dire « merci ». c'est alors qu'elle sent la main de la femme sur sa cuisse nue.

Elle sent la personne changer de position. Elle a l'impression que la femme se met à genoux. Une fois de plus, Sarah essaie de se détendre en imaginant que la personne va d'abord lui détacher les chevilles bien qu'elle aurait souhaité qu'elle commence par le bandeau et le bâillon. Elle veut voir qui vient la sauver et elle veut pouvoir la remercier. Une fois encore, elle pense qu'elle ne sera jamais capable de remercier suffisamment la femme, mais elle essaiera.

En fin de compte la femme ne s'est pas agenouillée pour retirer les liens des chevilles de l'enseignante. Elle a une autre idée en tête. Elle se lèche les lèvres en se félicitant que sa nouvelle meilleure amie lui soit présentée de cette manière. Elle convoite Sarah depuis que la professeure a rejoint le personnel de l'université et maintenant elle a l'occasion parfaite pour réaliser ses rêves. Elle sourit quand la captive sursaute alors qu'elle embrasse ses cuisses lisses l'une après l'autre.

Le filet de sperme sur le visage de Sarah est très évident et il raconte son histoire. Elle n'est pas la première personne à trouver l'enseignante dans cette position difficile et elle se demande si c'est un autre membre du personnel qui a éjaculé sur le visage de son amie. Ou peut-être est-ce Thomas WILSON qu'elle a vu quitter l'établissement longtemps après le départ des autres étudiants. La femme se demande s'il aurait eu le courage de faire ça. Mais une chose est sûre, le mâle inconnu n'était pas le seul à être excité. Quand elle se penche plus près de la merveilleuse chatte de Sarah, elle peut facilement sentir l'arôme d'excitation qui s'en dégage. Elle se demande si son « partenaire » précédent l'a faite jouir.

Sarah est désespérée maintenant. Avec beaucoup d'efforts, elle réussit enfin à pousser la culotte hors de sa bouche avec sa langue. C'est plus facile, car son string est beaucoup plus petit que la culotte sale de Diane. De toute façon l'important est qu'elle puisse parler à nouveau. Elle avale de l'air dans sa bouche sèche, lève la tête du bureau et supplie son nouvel agresseur :

- S'il vous plaît, qui que vous soyez, s'il vous plaît, laissez-moi partir ! Vous n'êtes pas obligé d'enlever mon bandeau, Détachez-moi simplement les mains et je ferai le reste. S'il vous plaît, laissez-moi partir !

Mais l'autre femme est obnubilée par une seule chose, goûter la chatte de Sarah. Elle recommence à embrasser les jambes de la prisonnière, de haut en bas, en s'assurant de ne pas trop se rapprocher de sa véritable cible. Sarah commence à se tortiller sous la bouche insistante. Elle peut sentir sa chatte s'humidifier une nouvelle fois et elle se demande si son corps va vraiment la trahir.

Soudain elle sent un nouveau baiser. Il se pose là où elle le désirait et où elle le redoutait à la fois. Ces lèvres inconnues se posent sur le bas de sa fente humide et remontent jusqu'en haut, où se trouve son clitoris. Un frisson traverse tout son corps. Elle comprend alors que cette femme a envie de la taquiner, de la tourmenter et qu'elle n'a pas l'intention de la libérer.

- S'il vous plaît, je ne sais pas qui vous êtes, mais vous devez savoir que je suis une enseignante ici et vous ne devez pas me faire ça. S'il vous plaît, relâchez-moi et je ne dirais rien à personne.

En réponse, les lèvres chaudes se posent de nouveau sur ses cuisses lisses et voyagent de haut en bas, évitant sa petite chatte désespérée. Sarah comprend que l'autre femme n'est pas une novice, qu'elle a déjà dû jouer avec une personne de sexe féminin. Elle sait exactement ce qu'elle fait. La jeune enseignante ne peut empêcher son corps de se tortiller sur son bureau alors que les baisers finissent par se rapprocher de plus en plus de son intimité. Finalement, quand elle sent les lèvres douces se poser sur ses petites lèvres mouillées, elle ne peut faire rien d'autre que de soupirer de plaisir. Lorsque la bouche de la femme atteint son clitoris gonflé une seconde fois, instinctivement, Sarah lève ses hanches à sa rencontre.

La femme enroule ses bras autour des cuisses de Sarah pour la rapprocher de sa bouche gourmande et finalement, elle commence à lui lécher la chatte avec une passion que la professeure n'a jamais ressentie auparavant. Le sentiment de pouvoir sur l'enseignante attachée est enivrante, et alors qu'elle fait courir sa langue de haut en bas sur le sexe de Sarah, elle sait que la jeune captive apprécie ce traitement tout autant qu'elle. Alors qu'elle commence à enfoncer légèrement sa langue entre les petites lèvres ouvertes de Sarah, elle sourit alors qu'elle entend celle-ci gémit d'un plaisir incontrôlé. Toutefois, même si elle aurait aimé prolongé la torture, elle sait qu'elle doit se préparer pour le barbecue. Alors elle décide d'activer les choses.

Sarah ne peut rien faire contre les réactions de son corps. Elle est attachée à son bureau et elle ne peut pas se libérer pour échapper à la langue qui la conduit à de nouveaux niveaux de plaisir. C'est quand la femme inconnue commence à se concentrer sur son clitoris que Sarah sent ses hanches se soulever du bureau pour se plaquer contre la bouche entreprenante. Elle se met à gémir et hurler alors que le plaisir la submerge, vagues après vagues. Elle ne peut pas arrêter cette langue et elle ne le veut pas non plus, car elle s'active sur son clitoris et Sarah sait qu'elle va bientôt jouir.

Sarah sait qu'elle va jouir là, sur son propre bureau, dans sa propre salle de classe à cause d'une langue et d'une bouche d'une femme qu'elle ne peut même pas voir. Ses doigts se resserrent sur les côtés du bureau alors qu'elle crie de plaisir quand son orgasme la terrasse violemment. Mais la langue ne s'arrête pas, alors elle jouit encore et encore. La langue continue alors qu'elle commence à faiblir et que son corps se détend enfin.

Alors que sa respiration revient lentement à la normale et qu'elle est sur le point de supplier une nouvelle fois qu'on la libère, la femme inconnue donne un dernier coup de langue et un baiser sur son clitoris avant de se lever. Elle embrasse légèrement Sarah sur la joue. Avant que celle-ci, épuisée, ne puisse dire quoi que ce soit, elle entend la porte s'ouvrir une fois de plus. L'enseignante comprend qu'elle est de nouveau toute seule.

Sarah reste allongée là, certaine que son corps vient de subir le plus gros orgasme de sa vie. Elle commence à se rendre compte une fois de plus qu'elle reste exposée à d'autres personnes qui passeraient par là. La personne suivante toutefois ne reste pas silencieuse :

- Que diable se passe-t-il ici ?

« Oh non » pense Sarah. La journée peut-elle être pire ? Que fait encore le directeur ici ? Il devrait être parti depuis longtemps et s'assurer que son barbecue soit prêt. Elle frissonne d'embarras quand elle comprend qu'il regarde son corps nu. Elle est sûre qu'il est capable de voir à quel point les lèvres de sa chatte sont engorgées. Elle est sûre qu'il va voir qu'elle vient de jouir.

Immédiatement l'homme arrache le bandeau. Sarah ne peut pas dire si son visage exprime de la colère ou de la perplexité. Sans dire un mot, il lui délie les bras et les jambes avant de l'aider à s'asseoir. Elle rougit quand elle le voit fixer ses petits seins, ses tétons toujours dressés, et elle a honte en voyant les traces de son propre jus sur le haut de ses cuisses. Enroulant sa robe autour de son corps, elle se force à lever les yeux et à le regarder.

- Je n'ai pas le temps de m'occuper de ça pour le moment. Nous sommes tous les deux en retard pour le barbecue et ma femme va se demander ce que je fais. Heureusement pour vous, je fais toujours le tour de toutes les classes le dernier jour de cours. Maintenant essayez de redevenir décente, je vais vous attendre dans ma voiture. Non, je n'ai pas le temps de discuter. Mes invités m'attendent et vous en êtes une. Voilà, si vous voulez donner des cours ici l'année prochaine, faites ce que je vous dis et retrouvez-moi dans cinq minutes dans ma voiture.

Le trajet en voiture jusqu'à la maison du directeur se passe dans un silence total. Visiblement il est en colère contre elle et Sarah est trop gênée pour même le regarder. Elle est assise sur le siège passager, recroquevillée et reconnaissante que son patron ne dise rien. Elle semble parfaite, à part un détail. Son dernier agresseur avait visiblement décidé de garder sa culotte en souvenir. Sarah est bien consciente de ses fesses et de sa chatte nues sur le siège en cuir froide de la voiture du directeur. Elle espère que sa chatte ne laisse rien couler et qu'elle ne laissera pas une flaque sous elle que l'on pourrait voir quand elle sortira.

Lorsque qu'ils arrivent dans sa grande maison, le directeur rejoint directement ses invités et assume son rôle d'hôte. Sarah est forcée de bavarder avec le reste du personne. Elle se rend compte que de porter sa robe courte était une mauvaise idée, car elle se retrouve nue en dessous. Les professeurs masculins ainsi que une ou deux femmes semblent s'être rendu compte qu'elle est mal à l'aise. Ils deviennent de plus en plus entreprenants au fur et à mesure que la boisson fait fondre leurs inhibitions.

Après quelque temps, le directeur les rassemble pour faire son traditionnel discours de fin d'année scolaire. Il commence à passer en revue tous les points forts de l'année, puis il poursuit en souhaitant à tous de bonnes vacances et qu'ils reviennent tous en forme pour la prochaine année. Sarah est sur le point de croire que sa journée de cauchemar est presque terminée lorsque le directeur annonce qu'il a un autre point à aborder.

- Comme vous le savez tous, nous avons eu une nouvelle enseignante cette année et je pense qu'il est bon de vous informer si elle a réussi son année probatoire et si elle reviendra après les vacances. Jusqu'à aujourd'hui, Sarah a prouvé qu'elle était une professeure exemplaire. Mais je dois partager avec vous quelque chose qu'au cours de toutes mes années à la tête de l'établissement je n'ai jamais rencontré. Ce soir, j'ai trouvé Sarah dans sa salle de cours ligotée et bâillonnée sur son propre bureau, son corps nu exposé à qui passerait par là. Heureusement pour elle, c'est moi qui l'ai trouvée. Mais je pense que nous devons voir ce problème plus en détail. Sarah, voulez-vous venir ici ?

La pauvre enseignante a l'impression que tout le monde s'est tourné pour la regarder. Elle avait bien essayé de reculer derrière tous les autres professeurs rassemblés quand le directeur avait commencé à parler de sa situation. Il y a des cris de surprise quand ses collègues découvrent ce qui lui est arrivée, mais il y a aussi des rires et des regards moqueurs. Son visage devient rouge vif à cette humiliation publique.

Elle commence à se frayer lentement un chemin à travers ses collègues, essayant d'ignorer certains commentaires chuchotés près d'elle. Elle se place debout à côté du directeur et elle le regarde d'un air interrogateur devant l'assemblée.

- Faites face à vos collègues professeurs, Sarah ! Merci ! Donc, cette jeune femme a été trouvée dans une position très compromettante. Elle aurait pu être molestée ou pire encore, elle aurait pu corrompre l'un de ses élèves. Bien sûr, elle nie être la complice de ceux qui l'ont mise dans cette position, mais j'ai bien l'intention d'aller au fond de cette affaire et je vais le faire tout de suite. Toutefois pour faire cela correctement j'ai besoin de l'aide de quelques enseignants masculins. Y a-t-il des volontaires ?

Sarah est complètement bouleversée par l'afflux de collègues masculins qui se portent volontaires. Finalement le directeur fait son choix : M. BATTE et M. MASSON, les deux entraîneurs de football. Sarah n'est pas sûre de ce qui va se passer, mais elle est soudainement effrayée lorsque les deux hommes costauds passent derrière elle et lui prennent les bras. Ils la conduisent vers une longue table en bois dans le fond du jardin et ils la penchent dessus. Puis ils fixent ses jambes aux pieds de la table et ils tiennent ses bars tendus devant elle sur la table.

Sarah sait que tous les regards sont fixés sur sa robe courte et ses jambes nues. Tous ses collègues, tout comme elle, se demandent ce qui va se passer ensuite.

Elle regarde les autres professeurs et voit qu'ils se sont tous rapprochés pour ne rien manquer de la suite. Elle pense que ce traitement est vraiment injuste et humiliant. Que veut faire le directeur ? Elle est sur le point de le découvrir. Elle voit l'homme marcher vers elle, se placer à côté d'elle et se tourner pour s'adresser à l'assemblée alors qu'elle tremble de peur.

- La première chose que nous devons déterminer est si cette jeune femme méritait d'être traitée comme elle l'a été. Je pense que la meilleure façon de s'assurer qu'elle n'a pas excité quelqu'un pour qu'il la ligote est d'examiner ses sous-vêtements.

Sur ces mots, Sarah sent que sa robe courte est soulevée sur ses fesses et jetée sur le bas de son dos. Elle entend un murmure collectif quand tous les hommes voient son joli cul nu. Toutes les femmes réagissent aussi, certaines sont jalouses, d'autres sont autant excitées que les hommes.

Une femme, celle qui avait léché Sarah un peu plus tôt, passe sa langue sur ses lèvres en se remémorant ce moment passionnant. Sarah baisse la tête de honte. C'est vraiment injuste. Si on ne lui avait pas volé son string, son petit trou du cul serait au moins couvert.

- Il semble que vous n'êtes pas entièrement irréprochable sur votre situation, Sarah. Je pense qu'il est tout à fait approprié que je vous punisse maintenant, devant tous vos collègues, afin que nous puissions tourner la page et oublier cet épisode avant de continuer la fête. Si vous acceptez, nous serons ravis de vous accueillir de nouveau l'année prochaine en tant que membre du personnel à part entière. Si vous ne voulez pas, il faudra que j'informe l'académie que vous n'êtes pas assez responsable moralement pour être enseignante. Que choisissez-vous ?

Sarah sait qu'elle n'a pas le choix. Avec ces références, elle ne trouvera plus jamais un autre emploi d'enseignante. Elle doit se soumettre. En réprimant un sanglot de désespoir et honteuse, elle hoche la tête pour donner son approbation à la punition. Elle essaie de se préparer à ce qui va arriver, mais, quand l'énorme main du directeur frappe ses fesses lisses, elle ne peut s'empêcher de crier de douleur.

- Comptez pour moi ! Ordonne son patron.

Sarah ne sait pas s'il lui parle, mais alors que les claques pleuvent sur son pauvre cul, chacune est accueillie par un cri de la foule des professeurs.

CLAC !

- UNE !

CLAC !

- DEUX !

CLAC !

- TROIS !

Et ainsi de suite, chaque claque poussant Sarah de plus en plus fort contre le bord de la table, jusqu'à ce que, une fois de plus, sa chatte frotte contre quelque chose de dur. A travers la douleur infligée par les coups, le plaisir commence lentement à prendre le dessus. Dans l'esprit de Sarah, la foule de spectateurs disparaît et elle se concentre sur le plaisir qui monte entre ses jambes. Elle est sur le point d'en tirer le meilleur lorsque la fessée s'arrête soudainement et que les cris de la foule cessent.

- NON ! NON ! NON ! Crie-t-elle de frustration.

Le directeur commençait à fatiguer, mais quand il l'entend gémir de désir, il trouve de l'énergie pour recommencer. Cette fois, la main de l'homme s'abat alternativement sur les deux fesses et irradie la douleur dans le corps de Sarah.

CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC !

Il n'y a plus moyen d'arrêter le directeur maintenant et bientôt les fesses de Sarah sont aussi rouges que son visage.

CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC !

Elle pleure de douleur, d'humiliation, du fait qu'elle n'a rien fait pour mériter ça.

CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC !

Juste au moment où il est sur le point d'abandonner à nouveau, le directeur baisse les yeux sur l'enseignante et voit que ses jambes bougent d'elles-mêmes. Il regarde de plus près et voit que sa jeune chatte est bien humide et commence à s'ouvrir. Convaincu plus que jamais qu'il punit une petite salope, il reprend sa fessée avec une vigueur renouvelée.