Le pire jour de Sarah

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Sarah va vivre la pire journée de sa vie.
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Traduction d'un texte de 0131aj

*****

Sarah se regarde dans le grand miroir. Normalement elle n'aurait jamais porté une robe aussi courte au travail, et elle n'aurait sûrement pas porté les sous-vêtements qu'elle vient de choisir. Mais aujourd'hui il s'agit de la fin de l'année scolaire. Elle a enfin réussi à terminer sa première année en tant qu'enseignante titulaire et elle se dit qu'elle a bien le droit d'être détendue.

Elle est de loin la plus jeune professeure de l'université, et même si elle n'en est pas consciente, c'est elle qui fait tourner la tête des autres enseignants, hommes ou femmes. N'ayant que quelques années de plus que certains de ses étudiants, elle a exactement le même effet sur certains d'entre eux. Mais il n'y a pas que les garçons de dix-huit qui voudraient mieux la connaître, il y a aussi certaines filles. Mais Sarah n'est pas consciente de tout cela.

Elle a encore les cours du matin à assurer avant que les étudiants partent en vacances pour l'été et que le personnel se dirige vers la maison du directeur pour le premier barbecue de la saison. C'est pourquoi elle a choisi cette robe d'été, elle savait qu'elle n'aurait pas le temps de rentrer chez elle pour se changer. Toutefois elle reste consciente de la longueur de sa robe qui arrive à peine à la moitié de ses cuisses lisses. Elle est encore plus consciente de la minceur de ses sous-vêtements, mais elle veut se sentir bien dans sa peau aujourd'hui. Sarah est toujours intimidée par les enseignants plus âgés, donc elle se dit que si elle peut se sentir sexy sous sa robe, ça lui donnera plus de confiance pendant le barbecue.

Elle se regarde une nouvelle fois dans le miroir et elle se sourit. Elle prend ses clés et son sac avant de se diriger vers la porte. Il fait déjà très chaud, même à cette heure matinale et elle est contente de s'être convaincue de ne pas porter sa tenue austère et habituelle de travail. Elle sent la brise chaude sur son visage et elle se réjouit à la pensée d'un été long et chaud.

Le trajet pour aller à l'université est court et elle n'a pas vraiment besoin de prendre sa voiture. Mais elle en aurait besoin plus tard pour se rendre au domicile du directeur et rentrer chez elle plus tard. En arrivant au travail, elle se gare dans son emplacement habituel et elle sort de la voiture. Elle est sur le point de la fermer avec la télécommande lorsqu'elle se rappelle qu'elle a laissé des livres sur le siège passager. Sans réfléchir, elle ouvre la portière et tend la main pour les prendre.

Presque aussitôt elle se rend compte qu'elle a fait une erreur en se penchant en avant. Elle sent sa robe courte remonter sur l'arrière de ses cuisses et exposer ses jambes fines. En même temps, la brise qui avait caressé son visage un peu plus tôt chez elle, revient et retourne le fin coton de sa robe, exposant ses fesses fermes. Pire encore, comme elle avait choisi de porter un minuscule string blanc et que la ficelle s'était nichée entre ses fesses pendant le trajet, si quelqu'un s'était trouvé derrière elle, il aurait pu penser qu'elle était cul nu.

Remettant sa robe d'une main, elle attrape ses livres de l'autre avant de se redresser et fermer la portière. Son visage est rouge à la pensée de cette exhibition par inadvertance. Mais elle est horrifiée lorsqu'elle se retourne et qu'elle voit Thomas WILSON à un mètre d'elle. Son visage prend des nuances de rouge plus profond alors qu'il la regarde en souriant. Et même si Thomas ne dit rien avant de s'éloigner, elle sait qu'il a eu une bonne vue, bien que rapide, sur son fessier apparemment nu.

Thomas WILSON est bien la dernière personne qu'elle s'attendait à voir derrière elle. C'est son dernier jour d'université et il n'aurait pas dû se trouver sur le parking du personnel. Il s'agit d'un des étudiants le plus attirant physiquement de l'université. Mais ce n'est plus un garçon. C'est un homme adulte, beaucoup plus grand et évidemment beaucoup plus costaud que Sarah. Mais il a une mauvaise réputation et l'université est soulagé qu'il parte autant que lui est content de partir.

Le reste de la matinée se passe sans incident, bien que Sarah prenne de plus en plus conscience que son string s'enfonce encore plus entre ses fesses et sa chatte s'humidifie de plus en plus alors que le petit morceau de coton s'accroche à ses petites lèvres.

Maintenant, le dernier cours est sur le point de commencer. C'est le dernier cours de la matinée, le dernier cours de l'année scolaire, mais il s'agit de la classe de Thomas WILSON.

Tous les étudiants sont joyeux et de bonne humeur et Sarah n'a vraiment pas envie de leur demander de se calmer. Elle veut juste que cette dernière heure se passe bien afin qu'elle puisse se féliciter d'avoir accompli sans problèmes sa première année en tant qu'enseignante titulaire. Certains des garçons deviennent de plus en plus bruyants et elle se dit bientôt qu'elle va devoir intervenir avant qu'ils ne dépassent le cap. C'est une grosse erreur qu'elle fait là.

Elle se dirige alors vers l'endroit où un groupe est rassemblé pour leur demander de réduire le volume sonore. Quand elle y arrive, elle voit les garçons se séparer. Elle voit aussi que Thomas est au centre du groupe en train de montrer aux autres une photo sur son téléphone portable. Voulant garder une atmosphère conviviale dans la salle, Sarah demande alors :

- Est-ce que je peux y jeter un œil aussi ?

Thomas a un sourire vicieux, un sourire que seul un jeune homme peut avoir. Il lui tend son téléphone. Sarah est choquée, elle est étonnée que la photo soit aussi claire et elle est choquée de s'apercevoir qu'elle regarde son cul apparemment nu qui sort de sa voiture. Immédiatement son visage devient rouge vif et instinctivement elle redevient l'enseignante sévère qui gronde les étudiants assis devant elle. Elle supprime alors la photo du téléphone. Quand elle le rend à Thomas, celui-ci se rend compte de ce qu'elle vient de faire et commence à être en colère.

Le jeune homme saute sur ses pieds et commence à crier et insulter sa professeure. Comme il la domine, Sarah a peur de son visage rempli de rage et elle se recroqueville juste un peu devant sa fureur. C'est suffisant pour Thomas. Voyant sa chance de pouvoir se venger de l'université, il se tourne vers ses amis et dit :

- Attrapez-la !

Sans hésitation, les autres font ce qu'il demande. Thomas est un chef de bande et ils veulent tous voir plus de cette jeune enseignante sexy que leur ami a photographié ce matin, cul nu.

Sarah lutte, mais elle n'a pas la force de tous ces garçons. Elle se retrouve bientôt jetée sur son propre bureau. Ses longs cheveux l'aveuglent alors qu'elle balance la tête d'un côté à l'autre en leur criant de la libérer.

- Quelqu'un peut faire taire cette salope ? Entend-elle.

Une main charnue est placée fermement sur sa bouche, réduisant ses cris en gémissements. Puis ses yeux sont bientôt couverts par un morceau de tissu sale. Elle ne peut plus voir qui participe à cet évènement. Commençant à se sentir assez effrayée par la tournure des choses, Sarah essaie de se relever, mais ses bras sont à nouveau saisis et attachés à deux pieds de son bureau. Maintenant, avec seulement ses jambes libres, elle essaie de donner des coups de pieds à ses assaillants invisibles. Mais ses jambes sont aussi rapidement attachées. Sarah commence vraiment à avoir peur alors qu'elle est allongée sur son bureau, à la merci de ses étudiants.

Quand la main est retirée de sa bouche, elle essaie alors de se sortir de cette situation difficile en essayant de raisonner le principal instigateur.

- D'accord Thomas, tu t'es bien amusé ! Maintenant, laisse-moi partir et nous n'en parlerons plus !

- Je n'ai même pas commencé à m'amuser mademoiselle. Vous me devez une photo.

- Que veux-tu dire ? Demande Sarah, terrifiée.

Elle sait exactement ce qu'il veut dire, mais elle ne veut pas y penser. Elle sent sa robe courte sur ses cuisses lisses et elle sait qu'il ne faudrait pas la remonter beaucoup pour exposer son string à toute la classe. Son visage est rouge d'embarras et elle se sent rougir encore plus quand elle sent quelqu'un, probablement Thomas, se pencher sur elle et commencer à déboutonner le haut de sa robe d'été.

- Non, s'il vous plaît, ne faites pas ça ! S'il vous plaît, laissez-moi partir !

- Si vous ne vous taisez pas mademoiselle, nous allons vous ferons taire et, je vous le promets, vous n'aimerez pas ça !

Ne sachant plus si elle est plus effrayée qu'humiliée, Sarah ferme la bouche et se tortille d'embarras alors qu'elle sent les boutons sur ses petits seins s'ouvrir, exposant ainsi son petit soutien-gorge aux yeux de ses étudiants.

- Waouhh ! Regardez ces magnifiques seins ! Je dois prendre une photo.

Sarah reconnaît la voix. C'est celle de l'une des filles les plus calmes de la classe. Ça ne peut être Marie, une fille dont on ne sait même pas si elle est là à moins de l'avoir noté dans le registre de présence. Sarah entend beaucoup d'agitation autour du bureau alors qu'elle est allongée dessus, complètement à la merci de ses étudiants. Elle se rend compte à leurs commentaires qu'ils ont tous leur téléphone et qu'ils prennent des photos de ses seins qui ne sont couverts que par le plus petit soutien-gorge qu'elle ait jamais acheté. Mais il s'agit avec son string d'un petit ensemble assorti dans lequel elle se sent très sexy lorsqu'elle le porte. Toutefois, aujourd'hui, elle se sent terriblement exposée et elle regrette le jour où elle l'a acheté et encore plus la décision de le porter ici.

Alors qu'elle sent que d'autres boutons sur le devant de sa robe sont ouverts, elle secoue la tête et implore une fois de plus.

- S'il te plaît Thomas, tu dois arrêter maintenant. Je peux encore oublier tout ce qui vient de se passer, mais tu dois arrêter maintenant. Et vous devez supprimer toutes vos photos.

- Je vous avais prévenu mademoiselle ! Ne dites pas que vous n'avez pas été prévenue ! Diane, as-tu quelque chose pour la bâillonner ?

Diane n'est pas une étudiante tranquille. Il s'agit de la plus grosse salope de l'université. Sarah avait toujours été intimidée par cette fille, même si elle n'était qu'une élève.

- J'ai exactement ce qu'il te faut !

Ce sont les mots de Diane. Sarah se demande ce qui se passe quand elle entend un rire nerveux de la part des autres filles. Elle ne peut pas savoir que Diane vient de remonter sa jupe courte et retire sa culotte, la même culotte imbibée du sperme de Thomas qui l'a baisée avant les cours ce matin.

Quelqu'un pince le nez de Sarah pour l'obliger à ouvrir la bouche pour respirer. Puis Diane fourre sa culotte sale dans la bouche de la jeune enseignante. Elle s'assure bien que le tissu imbibé de foutre se trouve contre sa langue. Ainsi elle est sûre que Sarah a bien le goût du sperme mélangé à son jus. La professeure a des hauts le cœur, elle ne sait pas trop quel est ce goût et elle ne veut pas trop y penser. Diane, n'étant pas mince, sa grosse culotte remplit la bouche de Sarah et la rend silencieuse.

L'enseignante est sur le point de pleurer, mais une nouvelle humiliation lui est infligée. Alors que les derniers boutons de sa robe sont enlevés, elle sent que l'on ouvre les deux côtés. Elle se trouve encore plus vulnérable. Il y a des petits cris parmi la foule d'étudiants alors qu'ils jettent tous un œil sur sa petite culotte. Un des garçons dit alors :

- Quelle salope, regardez, sa culotte est trempée !

Sarah sanglote sous son bâillon. En effet, sa chatte dégouline et elle réalise qu'elle ne s'est jamais sentie aussi excitée. Chaque humiliation infligée par ses élèves semble l'exciter encore plus. Maintenant elle sait qu'ils connaissent la vérité. Sa chatte est humide, sa culotte est trempée et elle sait très bien qu'ils peuvent tous voir les contours de ses petites lèvres rasées à travers le coton fin rendu transparent par son jus.

- Tout le monde voit bien ça ! Demande Thomas.

Sarah sait qu'ils prennent de nouvelles photos avec leurs portables, des images qui vont montrer ses sous-vêtements sexy et sa chatte humide de salope. Pourtant, plus ils l'humilient et plus elle est excitée. Elle ne sait pas à quel point elle aurait pu être dégradée si la sonnerie n'avait pas annoncé la fin du cours à ce moment-là.

- Eh bien, il est temps pour nous de partir maintenant. J'espère mademoiselle que vous passerez un bel été, et rappelez-vous, si jamais vous parlez à qui que ce soit de cette histoire, les photos se retrouveront sur internet avant même que la police nous arrête. Alors réfléchissez bien avant de faire quoi que ce soit de stupide.

Sur ces mots, Thomas et le reste des étudiants la laissent à son sort. En fait Sarah s'était un peu détendue en entendant la sonnerie, elle pensait que ça signifiait la fin de son tourment. Mais son humiliation n'est pas terminée. Elle écoute les élèves quitter sa salle de cours et elle sait qu'ils ont laissé la porte ouverte. Elle aurait du les supplier de la libérer, mais c'est trop tard maintenant. Elle est laissée exposée et attachée à la merci de quiconque la retrouvera. Elle ne peut même pas crier à l'aide, car Diane, manifestement, avait décidé qu'elle n'avait plus besoin de sa culotte sale.

Au bout de quelques instants, les bruits des étudiants qui s'éloignent s'éteignent. Mais soudain, elle croit entendre quelque chose provenant de l'embrasure de la porte. Son corps sursaute et elle essaie de tourner la tête pour découvrir la source du bruit. Puis tout d'un coup, elle entend la porte se fermer et être verrouillée. Des pas s'approchent d'elle et elle sent quelqu'un s'accroupir à côté de sa tête. Une voix menaçante lui murmure à l'oreille :

- Vous me devez encore une photo, mademoiselle.

Sarah lutte contre ses liens qui la maintiennent attachée sur son propre bureau. Elle sait qu'elle ne peut rien faire, mais elle lutte toujours en essayant de cracher la culotte sale de Diane. Sa chatte est de plus en plus humide sous son string.

- Je crois que nous pouvons nous débarrasser de ce bandeau, non ? Demande Thomas.

Il a un sourire insolent en libérant ses yeux. Elle lutte un moment avec la lumière, puis elle se concentre sur l'étudiant penché sur elle. Elle veut essayer de parler, le supplier de la libérer, mais il se contente de rire.

- Je ne peux pas comprendre ce que vous dites, mademoiselle. Mais par contre, je veux que vous me compreniez. Je suis en colère que vous ayez supprimé ma photo de votre jolie cul. Alors maintenant, vous devez me rembourser. Et avec des intérêts.

Sarah a peur de ce que peut signifier « avec des intérêts », mais elle pense qu'elle va le savoir bientôt. Et elle a raison. Thomas sort son téléphone et le met en mode vidéo. Il va s'assurer qu'elle paie pour ce qu'elle a fait, et il aura encore de meilleurs souvenirs de son dernier jour à l'université.

- Commençons par ton visage, d'accord ? Je veux m'assurer que tout le monde sache exactement qui est la salope qui a permis à ses élèves de l'attacher à son bureau avant de les laisser prendre des photos coquines de son corps. Ne détournez pas la tête mademoiselle !à

Sarah secoue la tête afin que ses cheveux recouvrent son visage et cache son identité, mais son bourreau n'est pas d'accord. Il attrape ses longs cheveux à pleine main et il tourne Sarah ver son téléphone, s'assurant que son visage taché de larmes soit bien visible et filmé. Puis il relâche la chevelure et descend le long de son corps tremblant.

La pauvre enseignante ne peut que rester allongée, et honteuse alors que l'étudiant passe son téléphone sur chaque centimètre carré de son corps. Il prend son temps en passant des seins au ventre plat, puis sur son entrejambe. Il filme alors avec soin les petites lèvres sensibles de sa chatte clairement visibles à travers le coton humidifié de sa culotte.

- Très bien mademoiselle, très bien. Je pense que j'appellerai cette vidéo « La professeure apprend une nouvelle leçon ». Maintenant qu'allons-nous faire ? Ah oui je sais, faisons un cours d'anatomie !

Sarah a honte, elle est mortifiée, mais aussi tremblante de désir. Et puis elle est terrifiée. Elle se demande ce que son élève veut dire, et elle crache presque la culotte dégoûtante de Diane quand elle voit Thomas sortir un couteau.

- Ne vous inquiétez pas mademoiselle, je ne vais pas vous faire de mal. Je veux seulement voir ce que vous cachez sous ces sous-vêtements sexy.

Arrivant enfin à pousser son bâillon avec sa langue, Sarah supplie :

- Non Thomas, s'il te plaît, ne fais pas ça. Je suis ta professeure, tu ne devrais pas me regarder de cette façon. S'il te plaît, ne me touche pas !

Ignorant ses plaintes désespérées, Thomas glisse son couteau bien aiguisé sous la fine lanière entre les deux seins et tire une seule fois. Le couteau coupe le tissu avec facilité et Sarah sent que son soutien-gorge se détache de sa poitrine. L'étudiant sourit, presque gentiment, en balayant d'une main le morceau de dentelle qui recouvrait à peine ses seins. Puis il recule pour admirer son travail.

- Vous n'êtes plus ma professeure, mademoiselle. Je viens de quitter l'université. Je pense que je ne devrais plus vous appeler « mademoiselle », non ? Comment vais-je vous appeler à la place ? Sarah ? Non ? Que diriez-vous si je vous appelle « salope » ou « petite pute » à la place ? Je pense que ces termes conviendraient à la façon dont vous vous êtes habillée aujourd'hui.

Comme Sarah ne répond pas et secoue simplement la tête de désespoir, Thomas continue :

- Vous appréciez ça, non ?

Ne sachant que dire, elle murmure :

- Non !

- Non ? Alors pourquoi vos tétons sont si durs ? Vous mouillez alors que vous êtes allongée là pendant qu'un jeune homme vous déshabille et joue avec vous ? Continuons, d'accord ?

Sarah ne peut rien faire d'autre que de rester allongée et accepter son destin, le visage rouge et son esprit rempli de honte. Elle peut sentir le poids de son regard alors que ses yeux se déplacent le long de son corps, sur ses seins nus, sur son ventre et sur ses jambes attachées. L'étudiant s'approche d'elle et elle peut sentir sa bite dure se presser contre sa chatte à travers son pantalon. Elle est contente d'avoir toujours sa culotte, même si elle est minuscule et trempée. Elle prie pour qu'il s'arrête là et lui épargne l'humiliation ultime. Mais elle connaît assez bien Thomas pour savoir qu'il se moque d'elle.

Comme s'il lisait dans ses pensées, le jeune homme fait un pas en arrière et sort son couteau de nouveau. Le glissant sous la lanière du string, il le coupe d'un côté puis de l'autre et arrache le minuscule string du corps tremblant. Mettant le tissu mouillé dans sa poche de jean, il la regarde. Sarah ne s'est jamais sentie aussi humiliée et honteuse. Mais Thomas n'a pas encore fini.

Il range son couteau et reprend son téléphone. Il passe de nouveau en mode vidéo et recommence à la filmer en commençant pas son visage, continuant sur les tétons engorgés jusqu'à sa chatte rasée. Tenant le téléphone d'une main, il passe un doigt de l'autre le long des petites lèvres humides puis il l'insère lentement avant de le retirer et de le filmer en gros plan. Il veut s'assurer que l'on voit bien le jus intime de Sarah dessus.

Celle-ci sent que sa chatte la trahit en devenant de plus en plus humide à chaque minute de son humiliation. Mais c'est lorsque que Thomas lui montre ce que ça lui fait qu'elle a vraiment peur. Il revient près de son visage et sort sa bite. Elle fait bien vingt centimètres de long avec une épaisseur de cinq centimètres. L'étudiant attrape les cheveux noirs de son enseignante et lui tourne le visage. Sarah ne peut rien faire pour l'empêcher de barbouiller ses lèvres étroitement fermées avec la goutte de liquide pré-éjaculatoire dégoulinant du gland.

- Lèche salope ! Lèche ma bite ! Regarde-moi pendant que tu le fais et alors je pourrais peut-être supprimer tout ce qui est sur mon téléphone.

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