Le Pensionnat des Oiseaux Ch. 06

BÊTA PUBLIQUE

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Je suis réveillée en douceur par Jenny qui vient se coller nue, contre moi. Elle est venue avec des gâteaux pris au buffet du petit déjeuner, et deux mugs de café crème. Ses yeux sont exorbités à me regarder, entre mes marques qui ont viré sur des couleurs bizarres, le sang séché sur moi et mes draps, l'ananas par terre qui en dit long. Elle ne me demande rien, elle m'embrasse, nous faisons doucement l'amour, cette tendresse me fait du bien.

Elle rit de moi une fois habillée. Non que j'aie une mine affreuse, j'ai encore la jeunesse de récupérer facilement, mais mes marques... Elle ne sait quoi me dire, je vais avoir plein de remarques, le plus facile toujours est d'assumer avec humour, je dirais que j'ai été une vilaine fille, ce qui fera rire mes élèves.

Et effectivement dès le hall des classes tout le monde me regarde, avec ce même visage interloqué. Les plus gentilles me demandent ce qu'il s'est passé, si je vais bien, ma réponse désamorce toute question supplémentaire. Je suis mortifiée de croiser Paige qui ne me calcule même pas, et je suis convaincue que ce n'est même pas calculé. Je suis un objet pour elle, comme pour toutes, il faut bien l'admettre. Mais elle m'a utilisé un peu différemment.

Cathy la directrice me fait demander de déjeuner avec elle, qui dispose d'un petit salon privé au restaurant, pour des déjeuners un peu plus confidentiels. Je suis un peu stressée, sans doute Jenny lui a raconté ce qui s'est passé, et je ne sais pas trop ce que Paige a pu ou du remonter. Je ne crois pas avoir fait rien de mal. C'est très nerveuse que j'entre dans le salon privé où Cathy est déjà installée, et je suis surprise d'y voir Jenny, mais en tant que responsable administrative, c'est peut-être sa place!

- Marlin, quel plaisir de te voir! Je crois ne pas t'avoir croisée depuis la rentrée!

- Bonjour Cathy, c'est vrai que la rentrée a été très dense.

- Assieds-toi, Jenny a commandé pour toi, je crois qu'elle te connaît bien! (Cathy sourit l'air entendu) J'arrive de moins en moins à la coincer, elle est toujours chez toi (Je souris l'air gêné).

La discussion est légère, elle s'interroge sur le niveau de cette promotion, Jenny intervient très peu, quant à moi j'attends la raison de ce déjeuner, peu dupe des échanges préliminaires. Comme souvent, c'est une fois le café servit que Cathy aborde le sujet de notre rencontre.

- J'ai été saisie d'une requête qui, si elle n'est pas la première, reste exceptionnelle. (Je suis tendue et concentrée, Jenny me regarde en souriant, je me dis donc que ce n'est pas négatif malgré mes craintes). Madame Bensel, la mère de Paige Bensel donc, m'a fait demander de vous recevoir à déjeuner dimanche prochain. Cela implique que vous sortiez du campus, et vous absentiez environ quatre heures.

- Oh, je suis surprise!

- Et moi donc, même si à vous voir, j'imagine de quoi il ressort (Cathy me prend la main et me sourit). Ce n'est pas tant l'absence qui me soucie, mais cette rencontre est absolument exceptionnelle. Je n'ai jamais rencontré Madame Bensel qui est une grande donatrice de notre pensionnat. Cette rencontre représente un enjeu très important pour nous toutes et je voulais m'assurer que vous en ayez conscience, de surtout ne rien faire ni dire qui puisse la contrarier.

- Oh je comprends Cathy, soyez assurée que je ferai mon maximum.

- Je voulais m'en assurer. Cette femme est elle-même hors du commun des milliardaires, c'est vous dire si elle vit dans un autre monde Elle n'imagine pas que quelqu'un ne soit pas d'accord avec elle, cela n'arrive simplement jamais, vous n'avez aucune requête à lui formuler, c'est comme elle veut à chaque instant. Et vous avez dû voir que sa fille est pareille. Elle ne se mélange pas aux autres, c'est une famille et une histoire qui est confidentielle et surprenante, peut-être en connaitrez-vous des pans en y allant.

- J'avoue que je suis intimidée

- Vous pouvez l'être, j'avoue que je vous envie.

Je ressors avec Jenny qui est excitée comme une puce, moi je me demande ce qui va m'arriver. Mais je sais que je vais être avec Paige et cela me plaît beaucoup. La jalousie de Jenny s'est envolée, elle se demande si Paige sera ma propriétaire et que j'ai tiré le gros lot. J'aimerais tellement qu'elle dise vrai, mais en même temps les conséquences sont apocalyptiques. Mais j'aimerais aussi beaucoup que Jenny trouve son bonheur, je l'embrasse tendrement, ma main dans sa culotte, cette fille mouille presque autant que moi!

***

J'ai choisi une des robes achetées avec Jenny à Soho et même si Paige avait apprécié que je sois sans culotte, je me suis dit que ce n'était pas du tout correct pour une femme aussi respectable que sa mère. Je ne suis pas nécessairement impressionnable par les gens qui ont de l'argent, mais par ceux qui ont du pouvoir c'est une évidence. Et Cathy m'a mis une couche de pression supplémentaire, je dois la revoir avec Jenny et leur faire un compte rendu précis de tout ce qui se sera dit ou fait.

Une limousine vient me chercher, je pense que nous allons en ville. En fait elle m'amène à l'aérodrome du pensionnat où un jet stationne. L'échelle est descendue mais avant que je puisse sortir de la voiture, la chauffeure me demande de laisser toutes mes affaires à l'intérieur. De monter nue, elle me le confirme! Je vais être nue pendant le déjeuner avec la mère de Paige? Je m'exécute, me souvenant des instructions de Cathy, et c'est nue, caressée par le vent du tarmac que je monte les quelques marches.

Je suis accueillie par une hôtesse, habillée comme l'était Natacha, mais juchée sur des talons aiguilles impressionnants et avec la taille que je devine corsetée tant elle est réduite, et je devine les contours du corset sous sa veste. Paige est déjà installée, dans une magnifique robe blanche évasée, avec des sandales qu'elle a ôtées, buvant un jus de tomate. Elle claque des doigts, sans même me regarder, me faisant comprendre de venir à ses pieds. L'humiliation devant l'hôtesse est terrible, je tremble de désir tandis que je me mets à ses pieds. Elle se redresse, me regarde avec son sourire qui me fait fondre, et passe autour de mon cou un large collier en cuir clair, avec une laisse en cuir également. Elle le serre autour de mon cou.

- Voilà comme cela tu seras présentable devant maman.

- Merci Paige

- Je n'en attends pas moi de toi, fais attention à ne pas tâcher, Isabelle, venez nettoyer le sexe de ma chienne, elle est en chaleur et mouille abondamment.

Je pique un fard, sans se démonter, l'hôtesse prend une feuille de papier, et m'éponge le sexe, il est vrai débordant d'excitation. Contre toute consigne de sécurité, nous décollons, moi toujours à quatre pattes aux pieds de Paige, personne n'est attaché. Je ne sais pas où nous nous rendons, personne ne pense à me le dire. Le trajet dure une heure, j'ai droit à une gamelle d'eau, tandis que les deux autres femmes se servent whisky et champagne. Dans quoi suis-je donc embarquée? Est-ce que Cathy savait ce qui m'était réservé? Est-ce que je ne donnerai pas tout ce que j'ai pour vivre une situation pareille?

- Tu me suis derrière moi, quand nous sommes dans la maison tu es à quatre pattes.

- Bien Paige

- Tu ne dis rien, tu n'as rien à dire, je pense que je peux te faire confiance.

- Oui Paige, je ferai comme tu voudras.

Nous prenons un trolley électrique tandis que le jet coupe ses réacteurs. Le trajet n'est pas très long, je réalise que la piste fait partie de la propriété, mais je ne suis plus surprise, j'ai compris que je suis dans un autre monde, mais je ne suis pas du tout au bout de mes surprises, ce monde est bien plus fou que je ne l'imagine.

Dès que nous arrivons au pied de la demeure, d'inspiration italienne à ce que je peux en juger, en colonnes magnifiques, à la fois imposante mais épurée, que la grande porte en bois s'ouvre, tirée par... une créature incroyable!

La femme qui nous ouvre est grande, sans doute dix centimètres de plus que moi, mais elle porte des talons vertigineux qui la force à marcher seulement sur la pointe des pieds! C'est incroyable. Ses jambes d'une longueur folle sont couvertes d'une jupe en latex bleu ciel qui la moule et l'empêche sans doute de faire de grands pas. Elle porte un cache-cœur blanc en latex également, pressant son opulente poitrine, sans doute le double de la mienne que je juge déjà énorme, et montrant son nombril avec un large anneau en or. Des anneaux aux tétons se devinent d'ailleurs au travers du latex, tant ils sont gros et épais. Au coup, une sorte de minerve, elle aussi en latex, maintient sa tête immobilisée. Le plus impressionnant c'est le bâillon qui occupe toute sa bouche, gonfle ses joues de façon un peu ridicule, d'autant qu'elle a les joues maquillées avec du rouge.

Une pression sur la laisse me ramène à la réalité et je me précipite à quatre pattes à suivre Paige. Je suis comblée d'être ainsi à ses pieds, qu'elle me tienne ainsi, sait-elle le besoin que j'en ai, comme mon ventre crie sa dévotion? Je ne m'attarde pas au luxe qui suinte partout, nous arrivons dans un salon à la taille assez modeste par rapport au reste, Paige dans un fauteuil, tandis que la femme qui nous a ouvert lui sert un gin glacé, et une écuelle pour moi, sans même qu'un mot ait été prononcé.

- Bienvenue chez moi Marylin, peu de gens ont ce privilège!

- Merci Paige, mais le plus grand privilège est d'être à vos pieds.

- Tu sais où es ta place et comment me parler. Rien qu'en lisant la description de tes aventures, le ton des sms que tu as pu envoyer, je me suis dit que tu ferais un très bel animal de compagnie.

- Merci Mademoiselle

- Tu vas rencontrer ma mère, j'avais envie qu'elle valide mon choix, nous devons malheureusement faire attention. Nous sommes dans une vie uniquement féminine, les hommes n'ont pas le droit de cité ni même d'exister. Maman possède la seule entreprise du Standard and Poors dont le conseil d'administration est purement féminin. Les autres prennent des femmes seulement pour les fonctions subalternes. Sans doute cela explique que notre entreprise soit un des placements les plus recommandés par tous les analystes!

- Mais vous employez des hommes quand même?

- Oui bien entendu, mais toujours à des postes subalternes.

- Mais si votre mère avait eu un garçon?

- Impossible (Paige rit), la sélection des spermatozoïdes permet depuis longtemps de choisir le sexe des enfants, ma grand-mère y avait déjà eu recours. Il faut bien peu d'hommes en fait, puisqu'il est possible d'avoir un nombre important d'enfants avec un peu de sperme.

- C'est vrai

- Et le clonage est à portée de main, ce sera bien plus facile de se cloner.

- Oh!

- N'aie pas une image délirante, quand on clone un animal, celui qui est cloné a certes toutes les capacités de l'animal d'origine, mais son évolution et apparence est très différente. C'est l'épigénétique qui entre en jeu.

- Vous savez tellement de choses! Je suis impressionnée.

- Cela vaut mieux, c'est notre fonds de commerce!

- Mais vous avez bien un père?

- Oui bien entendu. Comment le trouves-tu? (Paige me sourit perfidement)

- Je ne le connais pas Mademoiselle.

- Bien sûr que si, tu l'as croisé. C'est lui qui t'a ouvert la porte!

- Oh mon Dieu! Mais...

- Il était fou de ma mère, qui s'en moquait, et le marché qui a été passé c'est qu'il devrait subir quelques transformations, vivre dans la contrainte et la réalisation des visées perverses et sadiques de la famille, pour pouvoir devenir son mari. C'était évidemment un homme faible et soumit, il a été opéré avant le mariage, un peu de sperme a été prélevé directement dans ses bourses, avant qu'elles ne soient détruites devant lui, comme son sexe qui n'a jamais connu une femme, bourré d'hormones, il a développé un corps plutôt harmonieux, tu ne trouves pas? Sans hanche c'est assez curieux comme physique, d'autant que sa taille est si réduite.

- Oh je comprends

- Je crois qu'il est le plus heureux des maris. Il est assujetti à cette maison, voit ma mère de temps à autre, souffre en permanence, ne pense qu'à elle, puisqu'il ne peut plus parler, ni faire grand-chose d'autre aussi. Il avait exprimé cette envie profonde, quelle chance il a.

- Mon Dieu! Et vous avez toujours vécu ainsi?

- Mais oui, mais si les hommes sont tous des sous-êtres pour nous, les femmes le sont en grande partie. Regarde comme tu te vautres à quatre pattes, comme tu quémandais mes coups, ou la pisse de ta Maîtresse de l'époque, tu vaux à peine plus, mais tu feras un très bon animal de compagnie.

- Oh vous croyez (J'avoue que la perspective n'est pas tout à fait dans ma vision des choses, j'ai besoin de sadisme, de perversion, d'exhibition, d'humiliation)

- Je vois que tu es déçue, ne le sois pas, c'est un terme codifié pour traiter d'un sextoy sadomaso, tu auras ta dose et plus que cela, j'ai du mal à m'endormir sans les sanglots et les gémissements d'une femme suppliciée, une habitude prise depuis bébé.

La porte s'ouvre à cet instant, la mère de Paige entre.

- Maman!

- Ma chérie, quel bonheur de te voir!

Les deux femmes s'embrassent et se retrouvent pour la première fois depuis la rentrée scolaire. Paige lui raconte sa vie et sa scolarité, sa mère la tient au courant des dernières évolutions de la société familiale. Je suis à genoux aux pieds du fauteuil de Paige, j'ai gardé la tête baissée, je n'ose pas regarder Madame Bensel, d'autant que je suis de façon évidente considérée comme sans importance. Ce n'est qu'après une vingtaine de minutes que la mère de Paige s'adresse à sa fille en me pointant du doigt.

- Tu es venue me montrer ton nouvel animal de compagnie.

- Oui je l'ai trouvée assez intéressante, de bien des points de vue.

- Raconte-moi, même si j'ai bien entendu lu le rapport de sécurité la concernant

- Depuis le premier regard, elle est comme hypnotisée par moi.

- Tu es magnifique, tu sais?

- Merci maman, elle n'a cessé de me prendre en photos en cachette, et je l'ai toujours vue troublée à mon contact. Il y a quelques jours je suis allée la tester...

- D'om ces jolies marques j'imagine

- Oui, en effet, et je crois que je vais bien m'amuser

- Mais elle est bien plus vieille que tes anciens jouets

- Mais avec bien plus de potentiel

- Mais il ne faudra pas trop la casser, la dernière n'est pas encore réparée! (Les deux femmes partent d'un fou rire sadique, je commence à me dire que cela va être très intense. J'aimerais exprimer mon accord, pour satisfaire Cathy, mais surtout mon masochisme, entendre parler de moi ainsi est très troublant, excitant, j'aime définitivement être un objet)

- D'autant qu'il faut qu'elle finisse l'année, j'ai besoin de mon SAT

- Penses-tu, ta place est déjà réservée

- Maman, tu sais bien que je veux la mériter cette place

- J'adore ton orgueil, tu es certaine qu'elle est totalement obéissante

- Je pense, j'ai cloué son téton à la table et elle a continué à résoudre les problèmes que je lui avais fournis!

- Intéressant. Elle a un nom?

- Pas encore, je fais confiance à ton imagination

- Je ne vais pas être très imaginative, mais vu son goût appelons la pissotière. (Je rougis encore plus tandis que Paige éclate de rire)

- Très bien maman, regarde une photo qu'elle m'a envoyée après que je l'ai battue, m'écrivant que je lui manquais déjà (Oh Mon Dieu, je n'ai aucun souvenir d'avoir fait cela, est-ce possible, je me connais assez pour savoir que dans la fièvre de l'excitation je peux faire absolument n'importe quoi!)

- Très impressionnant, vraiment très excitant cet ananas, qu'est-ce qu'elle a dû déguster, viens je vais l'essayer, tu me la prêtes?

- Avec plaisir.

- Couchée sur le dos pissotière, la bouche ouverte

J'obéis bien entendu immédiatement, heureuse de la servir ainsi. Cathy sera satisfaite. Mais... non, si elle vient s'asseoir sur mon visage, c'est le cul nu sous sa robe qu'elle me propose. Docilement je le lèche, j'avoue que c'est assez agréable comme contact. Effarée, je vois le sphincter s'ouvrir doucement, ses muscles bandés, et je comprends l'horreur de ce qui m'arrive. Suis-je vraiment obligée? Pas le temps de réfléchir, un étron très formé et dur vient se loger au fond de ma gorge, émergeant entre mes lèvres tant il est long, mon corps est saisi de spasmes que je connais si bien, du plaisir, de la jouissance d'être ainsi rabaissée.

Madame Bensel se relève, elle appelle et je vois une servante approcher, se mettre à genoux et venir la nettoyer de sa langue. Elle semble très jeune et très docile, mais elle me jette un regard d'horreur quand elle réalise ce que j'ai dans la bouche et qui dépasse. Paige prend une photo, se caresse à me regarder, et approuve sa mère. Les deux femmes vont déjeuner dans la salle à côté me laissant seule avec l'étron suintant dans ma bouche, la salive remplie du goût de Madame Bensel coulant dans mon ventre. Je suis plus rabaissée que jamais, inutile et avilie. Je repense à la femme qui nous a ouvert, je me demande à quelle sauce je vais être dévorée par ces deux femmes. Cathy le savait-elle? Elle ne peut pas me perdre, elle a besoin de moi pour les résultats.

Lorsque les femmes reviennent prendre un café, Paige se plaint de l'odeur, et Madame Bensel me donne alors l'ordre d'avaler. J'en pleure d'humiliation, pas cela, s'il vous plaît, pitié. Mais je ne dis rien, j'obéis évidemment, j'avale de gros bouts, finalement assez soulagée de libérer ma bouche, sans utiliser les dents, je ne veux pas les salir. Mon dieu, je suis descendue dans les bas-fonds.

- Pissotière me paraît très bien pour t'amuser cette année. En fac tu en trouveras plein des comme elles. Tu ne peux pas la détourner de sa fonction, le pensionnat a besoin de réussite, c'est un des investissements majeurs que je fais pour promouvoir les femmes, cela passe par les diplômes et l'éducation, c'est pour cela que j'y investis tant.

- Mais je peux quand même la posséder

- Oui, je vais dire à Cathy qu'elle t'appartient jusqu'à la fin de l'année scolaire, tu fais ce que tu veux pendant ses heures de disponibilité, tu vas prendre un bungalow a deux chambres et tu vivras avec elle. Pas de limite particulière, amuse-toi et humilie la le plus possible, qu'elle soit détruite psychologiquement, je ferai en sorte que chaque année ce soit la pissotière d'une élève, et peut-être dans quelques années je vais la récupérer à mon service.

- Ah oui? Maman, c'est censé être la mienne! (Paige rit)

- Je dois avouer que son côté experte me plaît pour la briser et en faire mon WC personnel à emmener partout, cela pourrait être une fonction intéressante. En plus de tout le reste. Pissotière as-tu aimé me manger?

- Je... Oui Madame, je vous remercie Madame de m'avoir ainsi utilisée et d'avoir su que j'étais faite pour cela Madame

- Tu vois Paige!

- Mmmhhh je vais lui faire payer

- J'en suis certaine!

Madame se retire et je reste seule avec Paige, je me frotte à elle, je la désire tellement. Elle appelle la jeune servante et lui demande de me rincer la bouche, en m'appelant par mon nouveau nom horrible, qui m'excite tant. La fraicheur me fait du bien, j'ai faim mais je ne dis rien. Paige me saisit par les cheveux, relevant ma tête, je garde les yeux baissés. La gifle ne me surprend pas, sa violence oui, c'est comme un coup de poing. Si elle ne me tenait pas, je serais tombée. Les coups pleuvent, je pleure malgré mes efforts pour m'offrir, elle le sent, je tends la joue, elle veut que je m'effondre, et elle y arrive, je pleure chaudement à ses pieds, une fois qu'elle m'a relâchée. Pas le temps de reprendre mes esprits, je suis mise à genoux, les jambes écartées, elle se lève, m'interdit de bouger, décoche un coup de pied précis entre mes cuisses, mon sexe est écrasé de douleur, je résiste, je ne bouge pas, malgré son ordre, je sens qu'elle est déçue. Le second puis le troisième coup sont encore plus violents, je crie pitié, je l'implore, je lui promets tout, mais je ne bouge pas. Alors elle enchaîne les sept autres coups, je m'effondre en sanglot, les mains sur mon sexe tuméfié, ne comprenant pas sa colère, puisque je me suis offerte. Paige est sadique, et je touche du doigt à quel point les jeux avec Em et Lyza étaient naïfs et bénins, je rentre dans un nouvel univers.