Le Marin en Perdition 10

Un soir, je rentre du boulot vers vingt heures, Marie est devant moi en minijupe, talon haut avec de jolis bas couture, elle prépare le dîner, le désir monte rapidement en moi, car je pense que cette tenue est pour moi, je me lui relève sa jupe avec une main alors que l'autre découvre que Marie n'a pas de string puis elle trouve sa chatte trempée et toute dilatée ? 

Je lui demande :

- Tu viens de te faire encore baiser par Denis.

- Non mon chéri, je te jure que non!

Je la cambre, relève sa minijupe, sa chatte toute lisse laisse encore échapper un liquide visqueux!

- Et ça, salope, c'est quoi?

- OH! Chéri, je vais tout te raconter, je viens de me faire prendre par Max!

Alors là? Je suis sur le cul, je me retourne vers le chien et effectivement, Max lèche sa verge bien bandée. Elle est rouge des coups qu'il a mis à cette salope qu'est ma femme !

- Depuis combien de temps, que tu te fais baiser par notre Max ?

- Ça fait bien trois ou quatre mois mon chéri ! Un matin les enfants sont à l'école, je vois Max rentrer à la maison en boitant. Je me mets à genoux pour inspecter sa patte avant qui semble douloureuse, que j'entreprends de la masser. Ainsi placée, je peux apercevoir le bout de son sexe dépasser de quelques centimètres de son étui, il est vraiment gros.

C'est alors que le puissant Max m'agrippe par le buste et donne plusieurs coups de reins très violents en direction de mon visage. Son sexe est sorti un peu plus, de petites giclées de ce que je pense être son sperme me heurtent les joues, le front et la bouche. J'ai beau tourner la tête, ces jets réguliers me souillent maintenant les cheveux. De mon côté, je tente de m'extirper de cette étreinte forcée, tandis que du sien, il me rapproche à chaque assaut de son sexe sorti.

Au cours de notre lutte, comme il me tient très fermement contre son bassin, il réussit à enfoncer sa verge dans ma bouche. Il a le temps de faire une petite dizaine de va-et-vient, ainsi je peux sentir son sexe doubler de volume entre mes lèvres tandis qu'il déverse plusieurs jets que je suis contrainte d'avaler sous la frénésie de ses mouvements brusques ; c'est d'ailleurs grâce à ça que je peux me dégager. Prise d'une forte toux due à ce forcing et à la pointe de son sexe heurtant le fond de ma gorge, j'ai un mouvement de recul qui me dégage de son emprise et fait sortir son imposant sexe de ma bouche.

Assise sur le sol, le chemisier sorti de ma jupe, déboutonné en haut et recouvert de taches de sa semence, encore choquée par cet assaut imprévu, je suis en train de m'essuyer les lèvres et de tousser afin d'expulser les résidus de sperme encore présents sur ma langue lorsque le Max renouvelle son assaut. Cette fois il grogne, ce qui me glace le sang. Lorsque je tente de me relever, il se met à aboyer et me saute dessus. Sous le poids du chien et craignant de me faire mordre, je me suis agenouillée.

Il se met à tourner autour de moi, essaie de me grimper dessus. Quand je le sens me renifler les fesses avec insistance, je suis terrifiée, car je sais que si je ne me soumets pas aux pulsions de notre chien, il peut me blesser, voir pire. Je fais comme avec le chien de Denis, ce qui me semble le plus raisonnable sur l'instant. Je me suis mise à quatre pattes en écartant un peu les jambes, je relève ma jupe et baisse ma petite culotte à mes genoux pour laisser cet énorme molosse me flairer à sa guise. Je me soumets au mâle dominant.

Après quelques coups de langue sur ma vulve qui me font frémir d'excitation tellement qu'elles sont agréables. Je le sens me monter sur le dos, il est si lourd que je dois lutter pour ne pas crouler sous son poids. Son bassin s'agite, donne des coups en direction de mon puits d'amour. Je sens sa verge me pénétrer brutalement à cinq ou six reprises pendant quelques secondes, en frictionnant mes lèvres sensibles.

Je sens qu'il s'énerve de ne pas réussir sa saillie, alors je décide d'en finir. Je cambre mon dos pour lui offrir ce qu'il veut, pour lui rendre la tâche plus facile. C'est alors qu'après une seconde ou deux de calme, il entre en moi d'une façon soudaine et sans ménagement. Je me rappelle avoir crié un peu, car il ne m a pas investi le vagin, mais il est entré sauvagement dans mon cul. Sa verge est bien engagée, de telle sorte que je ne peux que subir ses va-et-vient incessants et brutaux, tant il me tient plaquée fermement contre son bassin.

C'est un peu douloureux au départ. J'entends mes fesses claquer sous ses coups de bassin, et plus cela dure, plus je commence à aimer. Plus ça va plus, il va de plus en plus loin dans mes entraille, sa verge grossit. Je serre mes deux poings, je grimace de plaisir, je respire fortement pour extérioriser ma jouissance. Cela semble interminable, je me souviens avoir fait tout mon possible pour ne pas hurler mon plaisir, ne voulant pas que nos voisins m'entendent.

Quand il s'immobilise enfin, je peux encore sentir ses mouvements et les battements de mon cœur à l'intérieur de mes fesses ; je ressens une petite douleur au niveau de mon anus qui retient prisonnier l'énorme verge de notre chien. Je le sens comme collé à moi tandis qu'il expulse son sperme chaud dans mon intestin.

Ce n'est qu'après deux orgasmes incroyable et de très longues minutes qu'il se décolle de moi. Je n'ai pas osé regarder dans sa direction. Au moment de notre désaccouplement, je peux sentir son sexe sortir brusquement de mon cul qui tente de se refermer par des spasmes saccadés pour garder sa semence à l'intérieur.

J'ai vécu cette saillie comme un grand bouleversement. Après m'être douchée et brossée les dents, je me suis dite, qu'il faut que je me fasse saillir par la voie normale. Alors, l'après midi je me suis mise nue à quatre pattes dans le salon, il m'est monté sur le dos et je l'ai laissé me dominer, il m'a prise et j'ai pris beaucoup de plaisir lors de ses assauts à répétition !

Avec tous ces aveux de ma femme, je prends un verre et me sers un whisky, je la regarde tout ému et encore dégoulinante de sperme devant moi, d'imaginer ce qui vient de se passer, je me mets à bander.

- A présent, tu vas me montrer ce que tu sais faire avec lui ma bonne chienne !

Je sors ma queue déjà en érection et me masturbe, je lui demande de se positionner à quatre pattes, elle remonte sa minijupe et appelle notre chien.

- Max! vient mon chien !

La pute, je suis à la limite d'éjaculer de la voir se positionner, habiller sexy pour le plaisir de notre chien ! Dès l'arrivée de Max, je vois qu'il a l'habitude de la baiser cette chienne, il se positionne derrière et commence par lécher son sperme encore sur la moule tout lisse de Marie, sa langue très large lèche tout ! Sa chatte, son petit trou comme s'il y avait de la confiture.

Rapidement, elle gémit, elle me regarde avec un petit sourire en voyant le plaisir que je bande en la regardant, puis rapidement son visage se transforme, elle se mord les lèvres et retiens son plaisir. Max grimpe sur son dos, il commence des coups de reins sans vraiment toucher sa cible, alors elle attrape sa verge, elle la guide vers son puits d'amour.

Une fois qu'il la pénètre, il commence des va-et-vient d'une force et d'une rapidité insoupçonnée. Je peux à peine voir sa queue gonfler dans sa chatte, elle se met à hurler de plaisir, elle jouit comme une salope avec la queue de notre chien, qui reste bloqué sur elle sans bouger. Un liquide s'échappe alors de sa chatte, je comprends qu'il vient de la remplir sa chienne comme il se doit.

Cette scène devant mes yeux est un pur bonheur, je prends mon pied de voir ma femme se faire saillir, sans pudeur devant moi, elle vient de prendre son pied, un orgasme tellement fort que dès qu'il se désaccouple, je passe derrière ma femme toujours à quatre pattes, quel bonheur de la prendre à mon tour, cette chatte chaude et dégoulinante de la semence de Max.

Je n'ai plus qu'une envie, c'est de remplir ma femme à mon tour, alors que je la pénètre à mon tour, elle se met à masturber de nouveau la bite de Max, puis elle se met à le sucer là devant moi?

C'est le pied de pouvoir prendre sa femme tandis qu'elle se suce une bonne queue en même temps. Même si c'est celle de notre chien.

À la vue de cette scène, don je suis l'acteur et le voyeur, je ne peux me retenir, j'éjacule à mon tour dans son ventre. Alors, s'ensuivent des râles de plaisir de ma bonne chienne, ensuite, je me mets en position dite de soixante neuf, afin d'offrir ma queue avec celle de Max à nettoyer à ma chienne de femme, pendant ce moment, je me mets à lécher ma femme afin de lui nettoyer sa moule à mon tour et de goûter la semence de ses deux amants de la soirée.

Quel bonheur !

Après cette soirée, à ma demande, ma femme s'est mise à sucer et à se faire saillir par Max en ma présence et sans modération, parfois pendant que je lui fais l'amour Max la sodomise. C'est à présent une complicité à trois, jamais, je n'aurais imaginé jusqu'où ma femme allait s'épanouir.

Depuis, Marie a un nouvel amant : Max ! Il ne se passe pas un jour sans que Madame prenne du plaisir avec notre chien.

FIN