Le Mariage

BÊTA PUBLIQUE

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Laurie fit un effort futile pour se cacher avec ses mains, regardant en même temps Terri avec nervosité.

« Qu'est-ce que tu regardes ? L'horloge tourne, Laurenne. Je te suggère de commencer à t'activer sur la liste... »

Laurie ramassa le petit bout de papier et lut le premier objectif. « T-tailler des pipes à... à tout le monde... » récita-t-elle, se tournant pour faire face à ses bourreaux.

Terri applaudi sarcastiquement. « Excellent. Non seulement elle peut se vanter d'avoir de gros nichons, mais elle sait lire aussi ! » Elle regarda Laurie d'un air renfrogné. « Tu veux que m'en occupe à ta place ? C'est ça ? Eh bien... ça me va... » Terri se tourna vers l'homme le plus proche et se mit à genoux. Elle descendit en vitesse le zip de la fermeture éclair et sortit le chibre à l'air libre. Terri ne perdit pas de temps pour engouffrer l'organe engorgé dans sa bouche.

« Mmmmm REGARDE-moi sucer cette bite bien dure, Laurenne ! » elle haleta entre deux gorgées. Puis elle leva les yeux vers l'homme, « Je veux que tu gicles ton foutre dans ma bouche, mon beau... » juste avant de retourner travailler dessus, jusqu'à la base de ses 20 centimètres de queue. Puis elle s'en extrait pour lancer un rappel à Laurie, « Pense juste à tout le boulot que tu auras pour faire bander celui-là à nouveau.... après qu'il m'ait giclé son jus... »

L'horreur se peignit sur le visage de Laurie en même temps qu'elle se mit à comprendre. Tel que c'était parti, ce serait extrêmement difficile, voire impossible, de finir toutes ces "tâches" dans le temps imparti. Et encore plus, si les bites de ses bourreaux n'étaient pas dures...

Laurie passa un rapide coup d'œil sur la "liste". Parmi les points listés, tous les hommes présents devaient s'occuper de chacun de ses trous -- ou de ceux de Zoey, se rappela-t-elle. Sans perdre plus de temps, la jolie rouquine tomba à genoux devant l'homme le plus proche. Elle se précipita sur la fermeture éclair et après une brève hésitation, mit la queue dans sa bouche. Tout en évitant de penser aux endroits où cette bite -- et toutes celles des autres -- allaient inévitablement se fourrer. À supposer qu'il y ait assez de temps...

Terri avait arrêté de sucer la queue du type, et regardait maintenant Laurie avec intérêt. Elle regarda à nouveau sa montre. « Bravo... on dirait que tu seras dans les temps pour sucer la toutes leurs queues dans les... les.... oh, trente-quatre prochaines minutes... » elle sourit avec malice. « Je suppose que Zoey va elle aussi devoir vivre cette expérience... »

« Non... » plaida Laurie tout en léchant avec application le manche d'un de ses bourreaux. « S'il te plaît Terri... Je ne pourrais jamais faire tout ça... il n'y a pas assez de temps... »

« C'est parce que, » expliqua Terri, « Tu ne penses pas comme la pute que tu es. Une pute doit improviser. » Elle pétillait de joie. « une pute doit savoir comment gérer son temps, et utiliser efficacement tous ses atouts. »

La jeune mariée réalisa avec horreur ce que Terri voulait qu'elle fasse. Elle comprit aussi que c'était la seule façon pour atteindre le quota stipulé sur la "liste" de Terri.

Elle tourna la tête et choisit l'homme qui semblait le moins brutal du groupe. « S'il vous plaît monsieur... » elle dut se battre pour dire les mots. « F-faites moi l'amou- »

Terri la coupa. « Salope... ce n'est PAS comme ça qu'une pute parle. Je "sais" qu'une paillasse à foutre comme toi a un vocabulaire plus varié... » Elle se tourna vers les hommes. « Je vous interdis de toucher cette salope à moins qu'elle ne mendie d'une manière appropriée. »

La folle furieuse était déterminée à exploiter chaque possibilité pour humilier Laurie, à la dépouiller de la moindre parcelle de dignité. Et ça marchait comme un charme.

« S-s'il te plait! » pleurnicha Laurie. « Terri... je t'en prie... » comment quelqu'un pouvait-il torturer un autre être humain comme ça.

Terri se contenta de regarder sa montre, puis à nouveau la mariée nue.

Laurie recommença. « S'il vous plaît... f-fourrez-moi... b-baisez... m-ma chatte... » elle prit une bonne respiration. « Baisez ma chatte, s'il vous plaît... »

Terri hocha la tête en direction de l'homme qui se positionna derrière Laurie. Celle-ci serra les dents et ferma les yeux pour ne pas pleurer alors qu'il se pressait contre elle. Elle eut alors le souffle coupé quand il s'enfonça lentement dans les profondeurs de sa féminité, récoltant le fruit qu'aucun autre homme n'avait eu l'occasion de cueillir. Son innocence, qu'elle avait prévu d'offrir à Steve ce soir, était à présent perdue pour toujours. L'homme à qui elle prodiguait une fellation lui pressait le gland avec insistance contre les lèvres. Honteuse, elle ouvrit la bouche et le laissa entrer. La future mariée était maintenant prise des deux bouts, mais bien sûr ce n'était pas assez pour Terri.

« Mmmmm SUPER, Laurenne. Je vois que tu laisses la sodomie pour le cul de Zoey. » Elle fronça les sourcils. « C'est... PROBABLEMENT... une bonne idée. Après tout, on ne veut pas que

ta démarche soit trop raide quand tu descendras l'allée, dans trente-et-une minutes... »

« MMMMMMPFH ! » protesta Laurie.

Terri était gentiment en train de caresser un autre homme -- qui, Laurie fut horrifiée de le remarquer, était monté comme un cheval. « Laurenne... tu as rencontré mon ami, ici ? C'est... eh bien, on l'appelle juste "Grosse Queue". C'est approprié, tu ne penses pas ? »

Laurie n'était pas sûre que la queue en question puisse "pénétrer" où que ce soit sans la déchirer en deux. Ses yeux s'écarquillèrent de peur alors qu'elle était déjà mise en charpie par les deux chibres que sa bouche et sa chatte étaient occupées à avaler.

« "Grosse queue" est impatient d'essayer le sexe anal... Mais on n'a jamais pu lui trouver une participante volontaire, pour des raisons évidentes ! Il se demande si tu es volontaire, Laurenne... »

La mariée affolée reprit son souffle. « Terri, pitié, » haleta-t-elle, « je n'ai... je n'ai jamais... jamais rien eu... derrière... je-- »

« Ça ira, » se désola Terri, réconfortant le dénommé "Grosse Queue" en le caressant. « Je sais où l'on peut trouver un cul encore plus étroit pour toi. Hmmmmm ? Zoey est plutôt mignonne, tu penses pas ? »

« NOOOOOOON! » hurla immédiatement Laurie. « Terri... s'il te plaît écoute... je ne peux pas... c'est impossible de m'enfoncer quoique soit par derrière... j'ai b-besoin du temps pour me préparer... s'il te plaît... »

« Du temps ? » pouffa Terri. « Tu as très exactement trente minutes ! » Elle se pencha en avant et mordilla l'oreille de la mariée. « Tu as intérêt à te décoincer ma chère... tu sais... Laisser glisser quelques doigts là-dedans... »

Laurie comprit que Terri avait raison. Elle ferma les yeux de révulsion et tendit le bras vers son derrière, glissant délicatement un doigt dans son cul vierge et serré. Il avait du mal à entrer. Elle sentit alors une légère poussée contre ses lèvres et se rappela qu'elle était aussi de corvée de pipe... La rouquine ouvrit la bouche et accepta le chibre en attente... et faillit s'étouffer dessus. En ouvrant les yeux, elle remarqua que "Grosse Queue" avait pris place lui faisait face, et qu'il balançait son outil juste devant elle. Laurie faillit s'évanouir en le voyant de près... Il mesurait près de vingt-cinq centimètres et était gros comme un gourdin! "Comment est-ce qu'on peut s'attendre à ce que..." elle s'arrêtât avant de finir cette effrayante pensée.

« Accueille-la, Laurenne. Je veux voir ce monstre disparaître dans ta bouche, » insista Terri, grignotant toujours le lobe d'oreille de la mariée captive. Laurie gémit doucement sous la sensation d'avoir son oreille mordue, sa chatte baisée et ses propres doigts sondant son cul (elle était maintenant parvenue à forcer un second doigt à l'intérieur.) Elle prit une inspiration profonde, ne sachant pas quand elle aurait à nouveau la chance de respirer, et commença à prendre l'énorme queue dans sa bouche.

Laurie se jugeait plutôt douée pour les pipes. Elle n'avait en tout cas jamais reçu de plaintes... Certes, elle n'était jamais parvenue à maîtriser l'art de la gorge profonde ; mais elle réussissait habituellement à introduire une bonne portion de la marchandise dans sa bouche, et ses amants en avaient toujours tiré satisfaction. Cependant, c'était maintenant différent... la queue en question était si épaisse qu'elle ne pouvait s'enfoncer de plus de cinq centimètres sans que sa bouche ne soit bâillonnée !

Terri, bien sûr, s'en fichait. « Allez... enfonce-la plus. Elle veut TOUT dans sa bouche ! » Elle saisit une poignée de cheveux roux et la tira en avant, forçant la bite au fond de sa bouche. C'était un viol oral obscène, la mariée commençait à s'étouffer et à s'étrangler alors que le chibre s'enfonçait dans sa gorge centimètre après centimètre ; .

Laurie était déjà à bout de souffle à cause de la baise effrénée que lui imposait l'homme à genoux derrière elle. Et maintenant elle était complètement privée d'air. "Grosse Queue" et Terri détournèrent par des gifles les mains de Laurie qui s'agitaient en cherchant de l'aide. Le visage de la jeune mariée passa d'abord rouge, puis au bleu.

Terri se pencha et murmura à Laurie sur le point de s'évanouir : « C'est ça, grosse pute,

évanouie-toi. Choisis la solution de facilité et laisse tout le boulot pénible à ta petite sœur. Je savais que tu n'en as rien à fiche d'elle et de ce qui peut lui arriver.

« MMMMMMMMM !!!! » gémit Laurie désespérée. Elle se battit pour garder sous contrôle son réflexe nauséeux. Puis parvint à inspirer un petit peu de précieux air par le nez.

« Comment tu vas réussir à faire entrer cette chose dans ton trou du cul, Laurenne ? Tu es si étroite par-derrière ! » Elle regarda à nouveau le temps qu'il restait à la mariée. « Tu sais Laurenne... tu vas manquer de temps. Tu ne vas sans doute pas être capable d'accomplir tout ce qu'il y a sur la liste. Mais je te promets une chose. Ça... » elle indiqua le chibre indécemment gigantesque « va entrer dans ton cul avant que tu ne quittes cette pièce. Et tu vas être littéralement déchirée... » Terri était en train de baver : « Tu vas avoir tellement mal, que tu vas supplier pour qu'on baise ta sœur à ta place. »

« Mmmmm mmmmmm, » protesta faiblement Laurie. Ses yeux étaient comme des fenêtres sur son âme torturée. Elle savait qu'elle se ferait écarteler par ce monstre... et que Terri s'en moquait.

« Tu sais ce que j'espère ? J'espère que tu réaliseras presque tout ce qu'il y a faire sur la liste... puis que tu manques de temps et que l'on doive tout recommencer avec Zoey. Parce que le sentiment général, c'est qu'on est tous très impatients de violer ta petite sœur, Laurenne... »

L'homme qui baisait la chatte de Laurie en sortie. Involontairement, elle continua de mouvoir ses hanches d'avant en arrière pendant quelques secondes. Puis un autre homme prit place dans sa chatte qui n'était maintenant plus vierge. Le type qui venait juste de la baiser attendait maintenant son tour pour profiter du plaisir oral prodigué par la rousse.

« Hmmmmmm... Laisse ta place à un autre, mon grand » roucoulât Terri vers "Grosse Queue". « T'as d'autres trous à remplir... » Quand la gigantesque queue sortit finalement de sa bouche, Laurie fut heureuse de pouvoir enfin respirer de l'air.

Mais bien trop vite, une autre queue se présenta à elle, celle-ci était couverte par son jus de chatte. Laurie scruta la pièce pour trouver quelque chose pour la nettoyer... mais Terri l'arrêta : « Tu vas la prendre dans ta bouche telle quelle. Ne fais pas la mijaurée juste parce que tu dois lécher du jus de chatte sur une bite... il y a quelques minutes tu encore avais ta langue enfoncée dans mon con. Et ose me dire que tu n'aimais pas ça... »

Obéissante Laurie abaissa sa bouche sur le chibre qui lui était offert, goûtant à son propre jus gluant et acidulé. Terri avait raison... Ça ne différait pas vraiment du goût de la chatte qu'elle avait dû brouter plus tôt. Au bout du compte, la jeune mariée était heureuse que la queue monstrueuse ne soit plus dans sa bouche.

L'homme derrière Laurie, pendant ce temps, avait commencé à jouer avec son cul tout en baisant sa chatte. Il était déjà parvenu à enfoncer deux doigts dans son petit trou du cul étroit qu'il sondait et fouillait sans ménagement. Ses doigts étaient bien plus gros que ceux de Laurie et son cul se trouvait écarté à l'extrême limite. Mais bien sûr, la pensée suspendue au-dessus de sa tête comme une épée de Damoclès était que ce ne serait rien comparé à l'agonie qui lui était promise. Et pour Zoey... si Laurie se montrait incapable d'accomplir la tâche décourageante.

« Purée, elle est serrée, » grogna l'homme jouant avec le cul de Laurie, alors qu'il essayait de glisser un troisième doigt.

« Plus pour longtemps, » pouffa Terri, qui bien qu'occupée avec "Grosse Queue" qui jouait avec ses seins et sa chatte, ne manquait rien du spectacle.

« Je commence alors, » approuva le type en sortant son bâton dur de la chatte de Laurie, et le pressa contre l'oignon rose de la mariée.

Terri sursauta vivement : « NON ! ATTENDS !... » Le futur enculeur la regarda. « Fais-la mendier pour ça. Devant la caméra. » Elle indiqua la caméra qui tournait toujours. « Je veux un enregistrement complet, montrant quelle pute elle est. Supplie, Laurenne. »

Laurie regarda par-dessus son épaule l'homme qui était prêt et impatient de lui violer son cul vierge. « S-s'il vous plait... Mettez... mettez-la en moi... »

« Tu peux faire mieux que ça, Laurenne. Prouve-nous que tu es une vraie pute. »

« Je vous en p-pr-prie... m-mettez... mettez votre queue dans mon c-cul... »

L'homme frottait son gland contre la porte arrière de la mariée, de toute évidence pressé de passer dedans. Cependant Terri secouait la tête.

« Laurenne... tu ne comportes TOUJOURS pas comme la pute qui est au fond de toi. Si je dois me répéter encore une seule fois, c'est de ta sœur dont on se servira à ta place !

« Nooooon, » plaida la rouquine avec emphase. « S'il vous plaît, baisez mon cul... je vous en prie, fourrez votre queue dans mon trou de cul vierge de jeune mariée, et pilonnez-moi comme une pute. »

« Adorable, » bava Terri. « Steve va ADORER regarder la vidéo de sa fiancée suppliant qu'on l'encule quelques minutes avant le mariage ! » Elle fit un mouvement de tête vers l'homme, qui sans plus attendre commença à enfouir son gland dans le cul de Laurie. D'abord, il parvint à enfoncer le bout en elle... puis, centimètre par centimètre, il se glissa dans le conduit extrêmement serré, jusqu'à une profondeur encore inexplorée. L'homme en face d'elle recommença à lui baiser la bouche, ce qui était tout aussi bien, car autrement les cris de Laurie auraient résonné dans tout le bâtiment et fait accourir toute la foule réunie pour fêter les noces.

La jeune rouquine n'avait jamais subi une telle agonie. "OhpuréedemerdeCAFAITMAL," délira-t-elle, "faiteslasortitPITIEE faiteslasortir ZOEYZOEY...jefaisçapourZOEY OHBORDEL PITIENEBLESSEZPASMASOEUR..." alors que son cul vierge était pris d'assaut, sans aucune pitié.

Les trois se mirent à changer de place... les deux hommes et leur esclave sexuelle forcée. Un autre homme s'était étendu par terre, de face, et Laurie devait maintenant s'abaisser sur lui. Le troisième homme entra dans sa chatte alors même que les autres bites restaient enfouies jusqu'à la garde dans son cul et dans sa bouche. Laurie remarqua à peine que sa chatte était à nouveau remplie, tellement son trou du cul élargi était douloureux. Pendant ce temps une musique de prémariage se mit à résonner dans l'église, et s'entendait jusque dans cette pièce par haut-parleur... et les trois assaillants de Laurie se mirent à lui baiser chacun de ses orifices au rythme de la musique, dans une symphonie obscène et vulgaire.

La caméra enregistrait tout. Terri passa sa tête dans le cadre : « Ceci est notre "charmante" mariée. Tout juste 22 minutes avant son grand moment, quand elle devra prononcer ses vœux ! » Laurie était trop mal en point pour se soucier des railleries de Terri. Elle essayait désespérément de concentrer son esprit sur quelque chose -- n'importe quoi -- qui puisse la distraire des vagues de douleur qui s'abattaient sur elle.

« Laurenne, tu n'as qu'à nous le dire si tu veux que ta sœur prenne ta place... et on arrêtera tout, chérie ! » La voix de Terri lui parvenait de quelque part par-delà les vagues de douleurs et d'agonie. « On te laissera tranquille, tu pourras même t'habiller et aller te marier... »

"Je t'aime, Zoey," pensa Laurie. "Je ne t'abandonnerai pas... mais oh bordel, ÇA FAIT SI MAL..."

Alors tout s'arrêta. La bite qui envahissait son cul se retira soudainement... Tout comme celle violant sa bouche. L'homme sous Laurie la pilonna deux-trois fois avant de s'extirper de sous elle. Laurie sanglota en reprenant son souffle.

« N-n'importe quoi... Terri... » la mariée regardait son bourreau qui la surplombait. « Je... je ferais n'importe quoi... je te donnerais... tout... mais je t'en prie a-arrête tout ça... » Alors elle vit pourquoi tous ces hommes s'étaient arrêtés de la baiser. "Grosse Queue" se mettait en position derrière elle. « Terri pitiééééééééééé !!!! Je ne PEUX PAS prendre cette chose en moi... » elle fuit à quatre pattes, effrayées par son sodomisateur en puissance, et se retrouva une fois de plus aux pieds de Terri à mendier. « Je t'en prie... je ne pourrais pas supporter... »

« C'est absurde, » répondit la blonde. « Depuis la nuit des temps, depuis qu'il y a eu de la baise, il y eut des femmes qui se sont fait violer. Et certaines, comme toi, l'on mérité. »

Elle se lécha les babines. « Je te l'accorde... les circonstances sont plutôt uniques... toi, ma chère, tu vas établir un record en prenant le plus de bites possible dans chacun de tes trous,

et ce moins d'une demi-heure avant ton mariage à l'église !

« PIIIIITIIIEEE... » Laurie savait qu'elle suppliait en vain.

Terri décida de torturer encore un peu la jeune femme. « Laurenne... est-ce que tu regrettes de m'avoir volé mon homme ?

« Oui, » souffla la rousse avec empressement. « Oui je suis vraiment vraiment désolée, Terri !!! » peut-être qu'il y avait encore une possibilité...

La voix de la psychopathe se fit pensive : « Laurenne... dis-moi... si je te laissais partir, qu'est ce que tu ferais pour moi ?

« Je te... je te rendrais Steve... tu l'aurais à nouveau... » Terri avait déjà entendu ça bien sûr... ais Laurie devait répondre rapidement pendant que la foutue salope psychotique envisageait de la laisser partir.

« Il ne voudra pas de moi. Il m'a laissée tomber pour toi, tu te souviens ? Tu me le volerais à nouveau, Laurenne... » elle fit un signe de tête à "Grosse Queue".

Effrayée, Laurie recroquevilla son cul contre jambes, continuant à plaider sa cause. « Non... je te ne le volerais plus... S'il te plaît, écoute... je... je quitterai la ville... »

Cela sembla capter l'attention de Terri. Laurie saisit l'opportunité.

« Oui... c'est ça que je ferai ! Je m'habillerai... je sortirai par la porte arrière... prendrai la voiture et partirai... tu n'auras plus jamais à te soucier de moi, Terri... » Une autre inspiration la saisie « Steve attendra seul à l'autel... il sera si furieux... tu ramasseras les morceaux, Terri ! Il sera tout à toi !!! Je serai sorti de ta vie... tu n'auras plus à t'inquiéter que je puisse voler ton homme avec mes gros nichons...

« Et tu ne reviendras jamais ? l'interrogea Terri.

« Jamais, » promit Laurie, « tu as ma parole, Terri... »

« Eh bien... » se tâta la blonde. « D'accord, ça semble raisonnable... »

Des larmes de soulagement se mirent à couler le long des joues de Laurie.

« ... à une condition. »

« Ce que tu veux... »

Terri ricana : « Que ta petite sœur reste avec nous pour le reste de sa vie. Elle deviendra notre esclave sexuelle personnelle, elle sera aux services de nos queues et de nos chattes chaque jour. Son petit corps de 18 ans, incluant sa bouche, sa chatte et son trou de cul deviendront notre propriété. À toi le choix, Laurenne... »