Le Mariage

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

« Pitié non... LAURIE AIDE MOI...» C'était la voix de Zoey... Puis les bruits de Zoey braillant et suppliant. Puis, rien que des lamentations alors que son innocence lui était brutalement arrachée à l'autre bout de la ligne.

« Je suis tellement désolée, Zoey,» Murmura Laurie alors qu'elle était forcée d'écouter sa sœur se faire prendre.

Finalement, Terri éloigna miséricordieusement le téléphone de Laurie.

«Merci... oui, elle a entendu tout ça... Elle était douce et bien étroite ? Oui... ben c'était une pucelle... Évidemment que ta queue allait se salir ! (gloussement) non... on attend pour ça. Je vais voir si l'Épouse Bimbo est prête à suivre les instructions. Sinon, tous les autres pourront avoir leur tour ! Attendez...» Elle posa le téléphone et caressa la chevelure rousse de Laurie ; « Alors... t'as aimé entendre ta sœur se faire baiser ?»

Laurie secoua la tête.

« Ne t'inquiète pas... je suis sûr qu'elle est née pour devenir une sacrée salope, comme sa grande sœur... je parie qu'elle n'attend qu'une chose, qu'on lui remette ça. Est-ce que je dois leur dire de s'y remettre ? »

« Non... »

« Ils lui ont pris sa pastille fraîcheur, Laurenne. Ils lui ont pris sa chatte vierge... Est-ce que tu n'as pas ADORÉ entendre ça ? » Laurie secoua la tête. « Mais si, tu as adoré. Ça t'a fait

te sentir tellement bien, non ? »

« Non ! »

« Si t'as aimé. T'as entendu ta sœur se faire dépuceler et tu étais heureuse de ne pas être à sa place. »

« Non ! J'ADORE MA SŒUR, TERRI ! JE... JE FERAIS TOUT POUR ELLE !!!! J'AURAIS TOUT FAIT POUR EMPÊCHER QUE... QUE ÇA LUI A-A-ARRIVE... » avant que les derniers

morceaux de bravoure ne se dissolvent, Laurie concentra sa rage sur Terri. « Bien sûr... Je ne m'attends pas à ce que quelqu'un comme toi comprenne, quelqu'un qui n'a jamais... jamais

été aimé par personne un seul jour de sa vie ! »

Terri la regarda avec dégoût. « Tu as raison. Je ne sais pas ce que c'est. Mais tu vas éclairer ma lanterne, alors... Tu dis que tu ferais tout pour ta sœur, heinnnn ? »

Apeurée, mais courageuse, Laurie hocha la tête.

« Bien. Ça va être drôle. Écoute attentivement. Mes amis vont se relayer à tour de rôle pour enfoncer leur queue dans le cul de Zoey--

« NOOOOOOONNN !!! PITIE, TERRI NE FAIS PAS---

« Tais-toi et écoute, » la sermonna Terri. « Mes vont amis vont fourrer chacun à leur tour leur bite le cul de Zoey-- À MOINS que tu ne fasses exactement ce que je te demande.

« N'importe quoi, tout, mais ne lui fait pas subir ça... s'il te plaît... »

« Je veux que tu dises quelque chose à ta sœur... » souriant d'une oreille à l'autre, Terri expliqua à sa captive ce qu'elle attendait d'elle. Ensuite, elle se saisit du téléphone. « Ouais. Passez-moi la petite traînée. Sa sœur à "quelque chose" à lui dire. »

Après que les pleurs de Laurie se soient calmés, le téléphone lui fut placé contre l'oreille. Terri se pencha sur elle et lui souffla dans l'autre oreille : « Dis-lui, ou la prochaine voix au téléphone sera la mienne, autorisant tous ces hommes à gangbanger le mignon petit cul de Zoey. »

Laurie prit une longue inspiration.

« Z-Zoey... »

« Laurie ? Laurie, MON DIEU... »

« Zoey... je... j'ai entendu que tu t'es f-fait dépuceler... » Elle ferma les yeux. « Je... je sais que t'as adoré ça... je... je... » Terri la pinça et menaça de reprendre le téléphone. « Frangine... je sais que t'as a-adoré ça... J'ai toujours su qu'en grandissant tu deviendrais une vraie salope... » Ces mots étaient comme autant de coups de canif dans son cœur.

« QUOI ? » Zoey semblait incrédule, et aussi douloureusement trahie. « Laurie qu'est ce qui SE PASSE ? C'est toi qui es responsable de ce qu'ils m'ont fait? POURQUOI ??? » Laurie grimaça devant le ton blessé et désespéré de sa sœur. ILS M'OBLIGENT À DIRE ÇA ! ET JE DOIS DIRE ÇA POUR TE SAUVER... voulait-elle crier. Si seulement tout cela pouvait être fini, pour qu'elle puisse serrer Zoey contre elle et lui dire la vérité...

Terri incita Laurie à continuer : « Zoey... tu... tu dois faire quelque chose maintenant ; Ce... cet h-homme qui t'a baisé... Nettoie... nettoie-le avec ta bouche... comme une pute, parce que c'est ce que tu es, une pute. » La rouquine parla très vite pour finir, et immédiatement après écarta la tête du téléphone pour éclater en sanglots.

Terri coupa la connexion. « Pas mal, » la complimenta-t-elle, assez impressionnée. « Tu t'es totalement humiliée pour épargner à ta sœur de se faire enculer.... POUR L'INSTANT, »

dit-elle en soulignant bien ces derniers mots. « Bien sûr, elle pense sans aucun doute que tu as arrangé toute cette affaire, et elle doit te haïr de tout son être. J'adore ça, » conclut Terri.

« Elle me détesta pas, » pleurnicha Laurie. « Elle comprendra...

La blonde rit avec dédain. « Elle va "comprendre" pas mal de choses dans les semaines à venir. Elle va "comprendre" que sa vie est ruinée à cause des fautes de sa sœur !

« Pour-pourquoi Zoey ? POURQUOI ? »

Terri poussa un soupir fatigué. « On en a déjà parlé, bécasse. C'est le prix à payer pour avoir volé mon homme !

« Par pitié, Terri... JE FERAIS N'IMPORTE QUOI... » sanglota la mariée.

Terri reprit place dans son siège. Elle venait de piger un truc. Il n'y avait rien de plus beau au monde que la femme qui vous avait volé votre chéri, à genoux en train de pleurer le jour

de son mariage et promettant désespérément qu'elle ferait "N'IMPORTE QUOI."

« Prouve-le, » lui donna-t-elle comme instruction en relevant sa jupe et en écartant les jambes.

----------------------

« .... quelque chose de neuf... »

----------------------

Après quelques hésitations, Laurie, le visage révulsé, enfonça sa figure entre les jambes de Terri et se mit à lui lécher les cuisses. Des larmes lui coulaient le long des joues alors qu'elle se trouvait forcer de se rapprocher de plus en plus près de la féminité de Terri.

« Assez de préliminaires, » ordonna Terri en agrippant la tête de Laurie. Laurienne ferma les yeux, et se raidit quand sa face était frottée contre la chatte de Terri.

« Tu sais quoi faire... »

« N-non... je n'ai j-j-jamais... »

Terri siffla comme un crotale, et parla d'une voix aussi froide que de la glace. « Est-ce que je dois passer un autre appel téléphonique ?

« Non... »

« Alors, fais un bisou à ma chatte... » Laurie se pencha et embrassa précautionneusement les grandes lèvres de la chatte de son bourreau. Tout comme Laurie, Terri était rasée de près. « Ouais. Allez, utilise ta langue ! » la mariée récalcitrante donna quelques coups de langue hésitants, puis leva les yeux sur Terri.

« Qu'est-ce que tu regardes ? broute mon con, putain de salope ! » Terri agrippa une poignée de cheveux de roux frisés et enfouit le visage de la fille dans son entrejambe. « Fourre la langue là-dedans. Lape comme si tu étais une vraie chienne. Oui. UNHHHHH.... tu sens comme je suis trempée, Laurenne ? C'est d'avoir dû t'écouter me supplier... C'est comme de la musique à mes oreilles. Ça, et le son de ta sœur se faisant VIOLER... » Terri soupira. « Continue... »

Marc filmait la totalité du calvaire de Laurie sur vidéo. Il était maintenant en train de zoomer en très gros plan sur la fiancée, en train de lécher la mouille sortant de la chatte de l'ex de son mari. « La mariée lesbienne... Partie un ! » dit-il de vive voix comme s'il enregistrait la voix off.

Terri gloussa en agrippant l'arrière du crâne de Laurie. « Première partie d'une vraie SÉRIE... »

Laurie continuait à lécher, impuissante devant l'humiliation, à genoux dans sa robe de marié en face de cette femme dérangée. Ce devait être le plus beau jour de sa vie... et c'était devenu le pire. Ses larmes coulaient sans retenue alors qu'elle était contrainte d'effectuer cet acte de lesbianisme. Tout ce qu'elle pouvait faire était de trouver la force pour ne pas vomir. Terri n'avait pas un goût si horrible... En fait, comparé au moment où elle lui léchait ses semelles de bottes, le jus de Terri ressemblait à du champagne... ! Mais Laurie trouvait la simple idée de lécher un con dégoûtant.

Terri, bien sûr, n'en avait rien à foutre de ce que Laurie pensait. « C'est ça. Et dorénavant tu vas refaire ça TELLEMENT de fois ! »

Le caméraman se dirigea vers la porte et l'ouvrit. Laurie eut conscience que plusieurs personnes entraient dans la pièce. Elle essaya de se retourner, mais Terri l'en empêcha. « Non... continue... ne te fais pas de bile sur ce qui va se passer, de toute façon on ne te demandera pas ton avis... ». Une main se mit à lui peloter les seins, et une autre passa sous sa robe de mariage et frotta contre sa culotte. Elle se raidit, mais continua à lécher l'abricot rasée de terri.

« Elle a une culotte sur elle, Terri... » dit une voix masculine derrière Laurie.

« Eh bien, ça ne va pas ! » Terri fit la moue. « Laurenne, une salope comme toi n'a pas besoin de culotte. Je veux que lorsque tu descendras l'allée de l'église, tu sois les fesses à l'air sous cette robe ravissante ! Personnellement, je ne conçois pas de meilleure manière de t'humilier. Et j'y ai pensé longtemps et avec beaucoup de soin, crois-moi ! » Elle tira Laurie par les cheveux pour que les deux femmes soient face à face. « Je t'avais prévenu de rester loin de mon mec, C'EST PAS VRAI ? »

Craintivement, Laurie hocha la tête.

« Et maintenant, tu vas payer. Je vais faire de toi une publicité vivante pour : "N'emmerdez pas Terri." Laurenne... je veux que tu rencontres nos invités. » Elle lâcha les cheveux de Laurie. La jeune mariée désemparée tourna sur elle-même pour se retrouver face à cinq jeunes hommes debout en demi-cercle autour d'elle. Alors qu'elle les regardait avec crainte, Terri poursuivit : « On va s'amuser un peu. Laurenne... tous ces hommes ont de belles bites bien raides qu'ils aimeraient partager avec toi. Tu "aimes" les belles bites bien dures, n'est-ce pas ?

« Non... » pleura Laurie.

« Oh, arrête de dire de la merde. Tu n'en pouvais plus d'attendre après la queue de Steve. Et tu t'en fichais qu'elle soit à MOI. Et bien tous ces types ils sont aussi à moi aussi. ALORS TU DOIS CREVER D'ENVIE DE GOÛTER À LEURS BITES BIEN DURES, LAURENNE ! JE SUIS SURE QUE TON CON EST EN FRINGALE POUR ELLES !!!! »

« Non ! » insista Laurie désespérée. En dehors de plaisirs oraux, elle et Steve étaient restés purs.

Terri regarda les hommes. « Qu'est-ce que vous en dites les mecs ? vous voulez donner à cette ravissante jeune mariée sa dernière bonne baise en tant que célibataire ? » Les hommes s'empressèrent tous d'acquiescer. « Bien sûr... vous aurez encore plein d'autres occasions de la baiser après qu'elle se soit mariée... »

« Pitié, ne faites pas ça ! » implora Laurie, se recroquevillant face aux hommes qui avaient fini par l'entourer. « Je t'en prie, Terri, arrête tout ça, s'il te plaît... » elle éclata de nouveau

en sanglots. « Pitié ne... je suis v-v-v-vierg... » sa voix trébucha sur le mot.

« Une vierge ? Eh bien, ta sœur l'était aussi y a un peu près dix minutes. On finit tous par perdre notre virginité à un moment ou un autre, chérie. »

« S'il te plaît, non, s'il te plaît, Terri, » ses propos étaient maintenant confus. « je vais annuler... annuler le m-mariage... je parlerai à Steve... je lui dirai... je lui dirai de te reprendre... je t'en prie, arrête ça... »

Un petit sourire aiguisa les lèvres de Terri. « Tu ferais ça pour moi ? »

« Oui ! » Laurie sanglotait désespérément. « Je le ferai ! S'il te plaît laisse moi et ma sœur tranquille... je.... je te r-rendrai Steve ! je ne peux pas supporter ça tous les jours pour le reste de ma vie... »

« Wow... » se moqua Terri. « Alors... c'est ça "l'amour véritable"... » elle regarda la caméra qui enregistrait tout pour la postérité. « N'est-ce pas admirable ? » Elle se pencha sur Laurie. « Écoute-moi bien, pétasse. "Je" déterminerai ce que tu es capable de supporter ou pas. Et si j'ai tort, alors on te jettera dans un fossé quelque part et on s'amusera avec Zoey. Et... merci pour ton "offre"... mais non merci. Tu "vas" te marier aujourd'hui. Tu vois... j'ai pris des mois pour planifier ta nouvelle vie avec Steve, et comment tout allait se dérouler. Alors merde, je ne vais pas certainement pas te laisser revenir à ta vie d'avant... »

« Ma... ma vie avec Steve ? » demanda Laurie à haute voix s'interrogeant sur ce dont cette connasse pouvait bien parler.

La rouquine fut à nouveau tirée en avant, le visage enfoncé dans la chatte de Terri. « Lèche-moi encore un peu, Laurenne. Offre donc un beau spectacle pour nos invités. » Laurie courba l'échine, mettant habilement sa langue au travail sur le clito de Terri pendant que la dingo lui expliquait certaines choses.

« Après le mariage, ta petite sœur et ton époux vont avoir une liaison torride et scandaleuse. Tout le monde en parlera, et crois-moi, vraiment TOUT LE MONDE sera au courant. Je ne t'ai pas dit d'arrêter, salope. C'est ça... lèche JUSTE LÀ... tu resteras avec lui, et tu ne feras rien pour empêcher leur liaison. Cela continuera jusqu'à ce qu'il la mette enceinte. » Terri fut soudainement traversée d'un fou rire et elle dut faire une pause avant de pouvoir poursuivre. « Bien sûr, il perdra son boulot à cause de ça... L'entreprise qui l'emploie ne peut pas se permettre d'avoir un collaborateur qui se tape la petite sœur de sa femme, non ? Oh il essayera de trouver un autre travail.... mais partout où il postulera, les recruteurs entendront quelques on-dit anonymes sur son mode de vie. »

« Tu... tu ne t'en sortiras pas comme ça... Zoey et moi on n-n-ne te lai - »

Terri leva la main. « À chaque fois que toi ou ta sœur me désobéirez, vous serez réuni pour que vous puissiez vous voir l'une l'autre vous faire violer en tournante par plusieurs de mes amis. Des amis assez imprévisibles. Qui ne sont pas aussi... gentils... que je le suis. Ensuite, vous serez jetées dans une chambre où vous devrez vous battre comme des chiennes -- si quelqu'un pose des questions sur les traces de coups, vous répondrez que c'est Steve qui vous frappe -- et si vous refusez encore de coopérer, je ferais cramer les nichons de Zoey au fer à souder. Suivi des tiens. Colle ta langue bien au fond de mon con, » ajouta-t-elle.

Laurie pleurait tout en glissant sa langue dans la chatte de Terri, la sondant comme une minuscule bite. « MMMMMMMM », soupira Terri. « C'est ça. Tu apprends vite ! Notre chère Zoey va déménager chez toi et Steve. Elle sera probablement reniée par vos parents et le reste de la famille et n'aura plus aucun autre endroit où aller... et de toute façon... qui voudrait d'une traînée qui a été mise enceinte de son beau-frère ? Au bout d'un moment, vous finirez tous à la rue, où dans un appartement miteux, vivant comme des marginaux, en parasite survivant grâce la charité du système social... Steve, sa douce colombe de femme et sa petite concubine. Défonce mon con avec ta langue, chiennasse, ne soit pas timide. Et tu resteras avec Steve... tu accepteras ses adultères et ses violences conjugales... tu supporteras tout ça en souriant. Tout le monde croira que tu es une grosse nullos ! Et dire que Steve pensait qu'en me larguant je ne pourrais plus le baiser... Oh je vais le baiser de tant de façons différentes, des façons qu'il n'aurait jamais imaginées !

« Ce n'est pas possible... T-tu ne pourras pas... »

« Oh... si je pourrai ! » éructa Terri. « Et tu vas m'aider à rendre tout ça possible, Laurenne ! Ce sera notre petit secret ! Lèche-moi Laurenne. Mmmmmm, t'as un don NATUREL ! »

La tête de Laurie sembla lui peser une tonne. Elle ne s'était jamais sentie aussi abattue. « S'il te plaît... laisse Zoey partir... laisse-la en dehors de ça... tu.. tu peux me faire ce que tu veux... »

« Non. Zoey est devenue ma propriété, Laurenne. En fait, c'est maintenant "MA" petite sœur, pas la tienne. Tu ne mérites plus d'être appelé une grande sœur, après tout le mal que tu lui as causé -- et que tu VAS lui causer. Broute-moi, espèce de salope. Mets ta langue là-dedans. C'est ça. Je vais "adopter" Zoey. On ira aux boutiques ensemble, je lui achèterai des tenues de salope, de la lingerie en dentelle, et des tonnes de maquillage. Fais des cercles avec ta langue, là... PUTAIN ouais... je lui apprendrai tout ce qu'elle a besoin de savoir pour séduire Steve. Ensuite, je la ramènerai à la maison et la baiserai. Comme tu es en train de le faire avec ta langue, OH BORDEL... après le mariage, toi et Steve n'aurez plus AUCUNE relation sexuelle... Tu te refuseras à lui... et on te surveillera TOUT LE TEMPS ! il aura les couilles les plus remplies qu'un jeune marié n'a jamais eues. Alors... arrivera Zoey portant des décolletés, des mini-jupes, des talons hauts et des lèvres pleine de rouge à lèvres. Il sera incapable de lui résister ! oh oui, lèche ça, LÈCHE ÇA.... OOOOOHHHHHH!!!!! »

La salle fut couverte des bruits d'extase et d'orgasme de Terri, le parfait contrepoint à Laurie et ses sanglots de désespoir et de désolations.

--------------------------

« .... quelque chose d'emprunté... »

--------------------------

« On va rendre les choses intéressantes, Laurenne. Ces types là, » Terri tapota quelques culs, « vont emprunter ton magnifique corps pour la suite, » elle regarda sa montre, « pour quarante minutes! » Terri sortit un morceau de papier et lui tendit. « Dessus, il y a une liste des choses que je veux qui te soient faites durant ce laps de temps. Comme tu peux le voir, tu ne pourras probablement pas tout finir. Mais... si tout n'est pas barré de cette liste, c'est ta petite sœur qui sera ensuite chargée de mettre la main à la pâte. Alors tu vois... cette précieuse sœur avec laquelle tu n'arrêtes pas de me bassiner... son destin dépend entièrement de toi !

« Terri... pitié... je ferais ce que tu veux... Mais s'il te plait, laisse Zoey en dehors de ça ! »

« Tu as fini ? » demanda Terri impatiemment. « parce que tu n'as plus que 39 minutes maintenant.

« Non... », mais bien qu'elle protestât, Laurie était résignée et glissa son corps hors de la magnifique robe de mariage. Terri mata les courbes de la rousse avec jalousie.

« Hmmmm... charmant ! » complimenta la psychopathe, puis indiquant le soutien-gorge en dentelle et la culotte assortie. « Mais une salope comme toi n'en est pas digne. Retire tout ça. »

Lentement, Laurie commença à retirer ses sous-vêtements. Elle était en train de déshabiller pour le plaisir des hommes qui remplissaient la pièce, alors qu'elle allait se marier dans...

« 38 minutes. Mais ne t'inquiète pas, prend ton temps, Laurenne. Zoey sera heureuse de te remplacer, j'en suis sûre ! »

Cela mit Laurie sur les rails. Elle défit son soutif et le jeta sur le côté. Ses melons 90 E jaillirent, provoquant un cri de surprise de toutes les personnes présentes, Terri incluse.

« Alors... voici les fameux nichons que tu utilises pour voler les petits amis des autres. Eh bien, je dois dire que je suis impressionnée ! les mecs, n'êtes-vous pas impressionnés ?

« Je serais impressionné quand j'aurais ma bite entre ces deux loches ! » intervint un des gars déclenchant des rires et des hochements de tête.

Terri tripota les nichons de Laurie. « Ils "sont" ravissants, Laurenne. Je parie que ta petite so.... oups, MA petite sœur, Zoey -- est plutôt jalouse d'eux ! Quoiqu'elle n'a pas à s'inquiéter... je suis certaines que les siens se mettront à gonfler joliment quand elle sera enceinte du bébé de ton mari ! Eh bien, qu'est-ce que tu attends ? Retire-moi cette culotte aussi ! »

Laurie, humiliée, baissa les yeux au sol et retira sa culotte. Les personnes rassemblées dans la pièce furent de nouveau surprises alors que la chatte complètement rasée de la rousse se dévoilait à eux.

« Eh bien... » résuma Terri, « je suppose que ceux qui se demandaient si tu étais une rousse naturelle n'ont pas de pot ! Même si, » ajouta-t-elle « je suis sûre que tu nous le dirais si on insistait vraiment. »