Le Journal Intime: Chapitre 01

BÊTA PUBLIQUE

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Bien sûr, il eut honte de lui, car comment arriver à expliquer que l'on soit attiré par sa propre mère ?

Au début, il tenta de voir ailleurs en regardant des films pornos ou en sortant avec des filles de son âge, mais il n'y avait rien à faire. Si la personne ne ressemblait pas physiquement à sa mère et ne s'habillait pas comme elle, Paul n'éprouvait aucune sensation.

Il demanda quand même à son ex-petite amie de s'habiller en jupe, collants et talons lors de leurs petites sorties en amoureux et celle-ci accepta pour lui faire plaisir, trouvant quand même curieuse cette demande soudaine. Malheureusement pour lui, cela ne marchait pas, ce n'était pas comme sa mère, elle n'avait pas ce même charme naturel, ce mélange d'austérité dans le regard et l'attitude et de chaleur de braise dans la générosité et la sensualité des courbes.

Ses séances de masturbation devinrent une horreur pour lui, car il tentait tous les scénarios possibles et imaginables pour se faire venir, mais rien ne fonctionnaient tant l'image de sa mère l'obsédait. Ce n'est qu'après s'être résolu à s'abandonner à imaginer de vilaines pensées envers sa propre mère et non plus envers une femme fantasmé qui en serait la copie, qu'il avait pu enfin se libérer et s'offrir un temps de répit pendant lequel il ne pensait enfin plus à sa mère de cette façon si perverse.

Mais le fait d'habiter avec la personne de tous ses fantasmes l'amenait à être excité en permanence et ce temps de répit devenait de plus en plus bref jusqu'à disparaître totalement : impossible de ne pas poser son regard sur elle avec envie, impossible non plus de lui parler sereinement les yeux dans les yeux.

Paul fuyait toute conversation avec elle en allant se cacher dans sa chambre avec une érection d'enfer. Nicole s'aperçut très vite que quelque chose clochait et, étant mère poule, elle lui demandait souvent pourquoi un tel changement de comportement, ce à quoi Paul ne put jamais lui répondre avec honnêteté et sincérité.

Afin de pouvoir se libérer de ses mauvaises pensées, Paul tenta d'écrire un journal intime. Si au début, il parlait de tout et de rien sur sa mère et sa petite vie d'étudiant banal, le journal intime tourna rapidement à un livre de confessions pornographiques d'un pervers sexuel.

Les premières pages furent déchirées pour laisser rapidement place à des récits mettant en scène sa propre mère dans des situations les plus hard possible. Paul prit aussi des photos d'elle à son insu, mais étant très pudique, Nicole ne laissa jamais à son fils l'occasion de la voir nue ni même en petite tenue. Ce journal aidait Paul à pouvoir exprimer son côté pervers tout en gardant ce secret pour lui.

-- Maman, où es-tu ? Demande Paul encore une fois, tout en la cherchant dans la cuisine et le salon. « Tiens, c'est bizarre, pourtant sa voiture est là ! » Se dit-il.

Paul monte alors l'escalier en noyer pour aller dans sa chambre afin d'y déposer son sac de cours. Lorsqu'il ouvre la porte, il tombe sur sa mère assise sur son lit, les jambes croisées, avec le regard sévère qui se pose aussitôt sur lui.

Malgré la surprise de la voir assise là, dans sa chambre, le cœur de Paul se met d'un coup à battre plus fort. Il ne peut s'empêcher de regarder cette femme mature aux yeux bleus, les cheveux châtains coupés courts avec une frange sur le devant. Ses superbes jambes toniques qui brillent grâce au collant chair, chaussées comme d'habitude de ses escarpins à brides noirs avec des talons aiguilles. Du fait de sa position assise, sa jupe courte écossaise à carreaux bleus et verts remonte très haut sur ses cuisses et son débardeur en laine rose lui collant à la peau, faisant ressortir de façon obscène ses énormes seins vers l'avant.

Voilà la femme de ses fantasmes qui l'excite tant, mais qui lui est moralement interdite.

Paul s'aperçoit tout de même qu'elle le tue du regard et ne lui accorde ni un bonjour ni même le câlin qu'ils s'échangent tous les soirs au moment des retrouvailles. Ce n'est pas normal et ça ne sent pas bon pour Paul qui se risque à lui adresser la parole en premier :

-- Ah heu... Ben tu es là ! Je t'appelle depuis tout à l'heure, maman. Pourquoi es-tu dans ma... Oh !!!

La bouche de Paul se fige lorsqu'il s'aperçoit que son journal intime est posé sur le lit, à côté de sa mère. Il ne bouge plus, ses jambes semblent prises au piège dans du béton.

-- Assieds-toi à ton bureau, on doit parler Paul !!! Lui dit sèchement sa mère.

Paul avale difficilement sa salive en arrivant à peine à lui répondre un timide « Oui » tandis qu'il s'assied en face d'elle, les joues rouges, ne sachant pas comment il va pouvoir répondre de ses actes.

Sa mère saisit brusquement le livre entre deux doigts, comme si elle tenait quelque chose de répugnant sorti d'une poubelle et se met à l'agiter sous le regard paniqué de son fils :

-- Peux-tu m'expliquer ce que c'est que ça ??? Questionne-t-elle en appuyant sur le « ça » d'une façon qui traduit sans ambiguïté le dégout qu'elle en ressent.

A suivre...

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Anonymous
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3 Commentaires
AnicetteAnicetteil y a plus d’un an

J ai beaucoup de plaisir à regarder tes fantasmatique dessins. Bravo l artiste! Bisous

Atelier94Atelier94il y a plus de 2 ansAuteur

Je suis content que mes images passent enfin... Je vais pouvoir reprendre tous mes récits pour les illustrées. J'ai du pain sur la planche, aussi, bientôt un blog sera créé. Merci pour vos futurs commentaires.

AnonymousAnonymeil y a plus de 2 ans

Excellent début.

Rudy

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