Le Hasard Fait Bien Les Choses

BÊTA PUBLIQUE

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-" Vas-y ma chérie, ne te prive pas et je veux que tu en profites pleinement!"

Elle reprend ses initiatives : je suis couché sous elle et tandis qu'elle m'embrasse sans relâche, elle a ouvert mon pantalon, mais laissé la bite hyper-bandée dans le slip, comme pour se ménager un temps fort, comme du plaisir à venir. Elle se frotte avec vigueur l'entrejambe sur l'énorme boursouflure de mon slip. En fait, elle se branle littéralement la motte et la fente à travers le tissu... J'entends sa respiration qui se fait plus courte en même temps qu'elle murmure de petits gémissements de plaisir. Lui, il continue photographier et de soliloquer :

-" Voyez-vous mon cher Mathieu, par contrat avec ma charmante épouse, j'ignore complétement les dessous qu'elle a mis sur elle lorsqu'elle s'est préparée ce soir pour vous draguer. C'est chaque fois pareil, je le découvre au moment où les choses se passent. Là, ce soir par exemple, je vois grâce à vos mains qu'elle n'a pas de soutien-gorge pour soutenir sa belle poitrine! A-t-elle mis un string, un slip fendu, une culotte ouverte, ou pas de slip...? Je ne sais pas!... Voulez-vous vous en assurer pour moi, mon jeune ami? "

Cela me surprend beaucoup que le mari soit aussi " actif " par les mots et n'arrête pas de parler à l'amant de sa femme tandis que celui-ci s'occupe d'elle... Dans les rares expériences de ce genre que j'ai pu avoir par la suite - oh deux ou trois - le mari était purement spectateur, laissait faire les choses sans rien dire, se faisait tout petit, se contentant de regarder, comme pour se faire oublier... Là, j'ai affaire à un bavard qui commente et accompagne ce qui se passe!! De plus, tout en parlant, il prend des photos...

Comme je suis tout à mon affaire dans les bras de la jolie Hélène, qui ne cesse de m'embrasser à bouche-que-veux-tu, il me repose la question :

-" Dites Mathieu, qu'a-t-elle mis entre ses jambes!". Hélène elle, a entendu puisqu'elle me prend la main et viens la placer entre ses jambes. Je passe ma main sous sa jupe, jusqu'à sa chatte. Puis sans cesser de m'embrasser, ou à peine, elle me dit tout bas dans un souffle :

-" Réponds lui, chéri!".

Je suis dans l'impossibilité de dire quoique ce soit. D'abord parce que ma bouche est squattée par la langue de madame et parce que dans ces moments-là, je suis scotché à ce que je fais... Devant mon mutisme, Philippe passe derrière sa femme, soulève la jupe courte et commente :

-" Voyez, mon cher, cette fois elle n'a mis ni slip ni culotte... Dis chérie, c'est super, tu lui offres tout en libre accès! Il rit et il ajoute :

- " Je vois que vous y avez mis la main! Allez-y mon jeune ami, caressez-là bien, elle adore! N'est-ce pas chérie que tu aimes te faire caresser ta jolie fente? "

Je sens Hélène, qui tout à son plaisir, ne semble pas entendre son mari...

Puis je l'entends qui répond :

-" Oh, oui c'est bon, mon Philippe..."

-" Bravo, chérie! reprend Philippe avec enthousiasme. J'aime t'entendre prendre du plaisir! Tu sais comme je suis heureux quand toi tu jouis bien à fond! ".

Puis, contre toute attente, elle me susurre juste dans l'oreille : " Tu caresses bien, chéri... Mets ton doigt dans le trou et branle-moi bien, chéri. J'aime ça!".

Elle est maintenant à califourchon sur moi. Sa vulve très ouverte et gonflée est chaude et très mouillée. Mes doigts s'y promènent en toute liberté, fouillant les replis et glissant dans les trous.

Il me manque de la voir, mais à défaut je suis obligé à plus de concentration et d'imagination pour m'en révéler tous les détails. Je la branle doucement, deux doigts dans le trou principal et le pouce sur le bouton d'amour qu'elle a fort développé... Mes doigts glissent parfois du trou pour aller derrière, caresser l'œillet. Je sens la Belle haleter et souffler tandis qu'elle ouvre sont corsage, libérant ses seins magnifiques.

La montée du plaisir n'a pas échappé à l'œil attentif de Philippe :

-" Il va te faire jouir ma belle... Tu aimes, hein chérie?! Tu aimes qu'un jeune homme te branle et te fasse jouir?... Tu aimes, hein? ...!".

-" Oui, c'est bon, chéri... Il me branle bien et j'aime ça! ..." répond Hélène, le souffle de plus en plus court.

-" Oh, oui chérie, je sais ; je sais que tu es faite pour l'amour... Dis-nous quand tu jouis chérie, dis-le, que l'on en profite aussi pleinement!".

A son souffle, je sens que la vague du plaisir monte en elle. Outre mes doigts dans sa chatte ouverte par le désir, elle me branle la bite par son ample va-et-vient au-dessus de moi. Le mouvement s'amplifie et je sens que je vais tout cracher dans mon slip. Pour éviter ça, je me force à porter mon attention sur sa jouissance qui monte plutôt que sur mon sexe. Elle retire doucement ma main de son entrejambe ; encore deux ou trois va-et-vient sur la bosse où elle se finit et elle éclate :

-" Aaaahhh!... Ça y est, je jouis!... Aaaahhh!... Putain, c'est bon... Continue chéri, branle-moi encore..., n'arrête pas!! Aaaahhh!... Ça y est..., je décharge!... Putain, je décharge!!", et elle s'affale sur moi effondrée par son plaisir.

Je suis inondé au niveau de mes cuisses et du bas ventre de sa cyprine chaude. Mon slip aussi en est trempé...

-" Oui chérie, vas-y, libère toi bien et laisse -toi jouir bien à fond... J'aime quand tu décharges comme ça...!". Puis s'adressant plutôt à moi, il poursuit :

-" Ne vous inquiétez pas, elle décharge toujours abondamment quand elle a beaucoup de plaisir et cela fait longtemps que cela ne lui est pas arrivé, la pauvre chérie... Mais ce n'est pas fini pour autant! Allez venez sur le lit et vous mon cher Mathieu, enlevez complétement votre pantalon mouillé... Je vais le mettre sur le balcon pour qu'il sèche... Viens chérie, allons sur le lit ce sera bien plus confortable... ".

Ce disant, il l'aide à se relever et va la faire asseoir sur le bord du lit de l'autre côté de la table, tandis que je retire mon pantalon déjà baissé jusqu'aux genoux, mais a attrapé la cyprine de la belle ; mais je n'ose enlever aussi mon slip.

Philippe donne à Hélène une coupe de champagne. Il m'en offre une. Il s'en sert une. Nous trinquons tous les trois. Je bois en observant Hélène qui un instant, sonnée par sa jouissance, refait surface doucement.

Au bout de deux minutes à peine, Philippe revenu du balcon m'invite à rejoindre sa femme sur le lit :

-" Allonge-toi sur le lit dit-il à Hélène et écarte bien tes jolies jambes, ton bel amant va te sucer comme tu aimes!"

Tiens, me dis-je encore, c'est lui qui décide ce que nous allons faire? Curieux! Cela confirme mon idée : c'est un mari complaisant, mais aussi directeur et ce qui plus est, commentateur! Je vois bien qu'il faut qu'il dirige et qu'il commente.

Bien que j'aie très envie de retrouver, au moins pour un temps, les baisers fougueux de mon amante, ne serait-ce que pour faire durer le plaisir, je m'exécute cependant de bonne grâce, tandis que Philippe photographie tout de la scène.

Elle a écarté ses jolies jambes. Vue, splendide un bref instant avant d'y fourrer ma tête : je peux enfin voir sa belle vulve. Cette dernière est magnifique, en accord avec la personne : fine, longue avec de délicats replis dans les limbes qui donnent envie d'y fouiller. Elle est très humide et lisse, sans poils, juste une petite touffe au-dessus du pubis, sans doute colorée artificiellement en blond vénitien. La chatte est bien ouverte, comme si elle venait d'être pénétrée. Le clitoris est encore bandé et fait une belle saillie aux commissures des petites lèvres, longues et bien festonnées. La coquine a une très belle chatte qui n'a rien à envier à celles de beaucoup de trentenaires. Et de plus, elle sent très bon la Femme...

Je l'attaque de la langue juste au niveau du trou à bites. A petits coups répétés, ma langue s'efforce d'élargir l'entrée pour s'y darder le plus avant possible. Je la pousse encore dans l'antre chaud et mouillé, je titille par de petits coups de langue le trou à pipi, qui trône sur son petit promontoire. Frottant le clitoris du bout de mon nez, je sens l'entrée du con frémir. Je vois les lueurs violentes du flash de Philippe qui photographie sans relâche.

La jolie coquine mouille abondamment je sens sa cyprine qui s'écoule doucement de l'intérieur du trou jusque sur ma langue... Elle geint doucement sous mes coups de langue. Philippe que je devine assis à côté d'elle, précise :

-" Mon cher Mathieu, je vous préviens si elle recommence à jouir, elle va décharger de nouveau en abondance et vous allez en avoir partout!"

Cela m'est égal d'en avoir partout, me dis-je... Je redouble mes coups de langue et je l'insinue plus profondément dans le vagin grand ouvert, tandis que d'un doigt, je m'introduis doucement au trou de derrière. Plusieurs soubresauts l'agitent. De sa main droite, elle porte deux doigts à son clitoris qu'elle branle frénétiquement un bref instant et elle décharge, soulevant ses fesses du lit comme mue par un ressort... Plusieurs jets brûlants m'arrivent sur le visage au point qu'instinctivement je me retire.

-" Je vous ai prévenu, mon cher ami!" dit en riant Philippe... Hélène rouge et haletante se relève sur ses coudes, les cuisses ouvertes. Mon visage mouillé, l'amuse.

-" Excusez-moi mon cher Mathieu, mais vous êtes tellement formidable que ce n'est pas facile de se contrôler! Vous sucez formidablement bien... Oh, oui!... Merci". Et quittant sa position à demie allongée, elle se penche vers moi m'enlaçant les épaules et m'embrassant fougueusement.

-" Hélène chérie... Ce serait peut-être un peu à toi de t'occuper plus précisément de notre invité..."

-" Avec plaisir mon chéri... C'était très, très bon, tu sais! ..."

Elle se remet debout et m'invite à faire de même. Puis elle s'accroupit à mes genoux et sans plus de formalités, baisse complètement mon slip. Mon membre y est comprimé et frotté depuis plus d'une demi-heure et le libérer est pour moi un soulagement. Baissant jusqu'aux genoux, elle fait jaillir ma bite qui se redresse à son nez, juste au niveau de ses yeux. Le vit brusquement libéré sort avec la rapidité d'un diable de sa boite, amenant son effet de surprise...

-" Magnifique!" dit-elle dans un souffle comme pour elle-même. Et s'approchant doucement de la bite dressée à fond, les yeux fermés, elle caresse doucement la hampe du bout de son nez.

Evidemment, la surprise joue aussi pour Philippe qui y va de son commentaire :

-" Eh bien dis-donc, chérie! Voilà un très joli morceau, n'est-ce pas? Tout ça pour toi! Tu vas bien en profiter, Hélène chérie... Des bites comme ça tu n'en verras pas tous les jours! Mon petit Mathieu, elle est superbe!... Tu apprécies, n'est-ce pas ma jolie? "

-" Oh, oui, oui chéri ", répond-elle assez machinalement, tandis que Philippe insiste :

-" Une bite d'enfer! Et puis comme, ça bandée à mort! ... Tu as envie de la sucer..., hein chérie?"

-" Oh oui, chéri!"

-" Alors suce-la, chérie. Suce-la bien... Caresse et lèche bien les couilles aussi en même temps..."

Accroupie à mes pieds, Hélène prend l'engin en bouche. Sans vouloir en rajouter sur la taille de mon membre, sa bouche s'ouvre à peine assez pour l'enfourner complètement...

Elle suce merveilleusement bien en aspirant juste au moment où elle pose le bout de sa langue sur la papille du gland... Elle branle aussi doucement la hampe en même temps... C'est super bon! Oh, oui! Mais je crains de décharger rapidement si cela se prolonge trop longtemps...

Philippe s'est approché d'elle il est tout près de son visage et de ma bite par la même occasion... Et il la regarde sucer avec un plaisir non dissimulé. Mais il va de nouveau prendre l'initiative :

-" Tu suces bien chérie, c'est magnifique, mais je sais que tu as besoin de te caresser en même temps... Mathieu, asseyez-vous sur le bord du lit, voilà comme ça et toi chérie, tu vas te mettre debout et te pencher pour le sucer le bel engin de Mathieu, comme ça, il pourra te caresser en même temps... ".

Nous nous mettons comme il dit : je suis allongé sur le dos sur le lit, elle suce par le dessus, ma bite dressée et tendue, ce qui n'est pas plus mal. Je passe ma main sous sa jupe retroussée, j'engage un doigt dans sa fente et autre sur le clitoris, lui aussi, il est "bandé à mort". Elle gémit doucement tout en continuant de sucer ma bite dressée avec délectation. Malgré ses 70 ans passés, elle mouille encore beaucoup et mes doigts glissent avec agilité dans sa fente ouverte...

Philippe se positionne pour mater par derrière l'intimité de la belle Hélène. Je sens que par moment, elle fléchit doucement les genoux pour permettre à mes doigts, de pénétrer davantage sa fente...

Bientôt, fléchissant sur ses jambes, elle s'écroule sur moi en déchargeant de nouveau, mais dans mes doigts cette fois :

-" Ça y est, je jouis!... Je décharge encore!... Aaaahhh!... Chéri, branle-moi encore..., n'arrête pas!!

Ah que c'est bon!!"

-" C'est magnifique, mes amis..., reprend Philippe. Je suppose Mathieu que tu n'as pas envie de décharger maintenant?... Quand je dis, pas envie, je me comprends, plus exactement : ce n'est pas ton intention, devrais-je dire, n'est-ce-pas? "

-" Oui, c'est cela!... C'est exactement ça", dis-je encore sous le charme de la jouissance de la Belle. Je m'aperçois qu'il est passé au tutoiement. Je me dis peu importe.

-" Mathieu, je sais de quoi elle a envie maintenant... Toi, tu n'as pas une petite idée? ". Certes non, je n'en ai pas... Je reste muet. Nu, la bite toujours au garde à vous, je me sens un peu ridicule devant ce monsieur en costume de ville et souliers vernis qui me questionne sur les fantasmes sexuels de son épouse...

-" Eh bien, elle adore chevaucher son amant et se branler la chatte sur le membre de son partenaire... Voilà, mon ami ce qu'elle souhaite par-dessus tout! Un peu comme elle l'a fait tout à l'heure quand elle est venue sur toi... Mais attention : cette fois il n'y a pas l'obstacle du slip, donc, vigilance, on n'entre pas dans le trou, hein... on reste dehors si tu vois ce que je veux dire! On ne pénétrera qu'ensuite avec les précautions d'usage. Tu vas t'allonger sur le lit et notre Hélène va venir sur toi et se mettre comme elle aime... Ça te va? "

-" Oh oui, bien sûr "... Bien que je pense à ce que va devoir encore endurer ma bite à être ainsi frottée sur l'intérieur des lèvres sexuelles de la jolie mature...

Je me mets en place. Elle vient au-dessus de moi, comme ce fut le cas sur le canapé, me chevauchant, les jambes très écartées. Elle s'arrange pour que mon engin soit entre ses lèvres écartées, le gland juste à frotter le clitoris. Elle s'allonge sur moi, ses seins frottent ma poitrine, et elle commence son va-et-vient. J'ai la bite en feu... Elle mouille abondamment et le membre glisse d'avant en arrière de la fente avec une grande facilité. Trop facilement même, car il a une "fâcheuse tendance" à s'immiscer dans le trou à chaque aller et retour...

La vieille coquine halète et soupire doucement. Passant une main derrière ses fesses, je lui titille l'œillet d'un doigt. Les halètements redoublent... Je fais tout pour qu'elle jouisse à fond le plus vite possible sinon je vais lui crépir les bords du vagin... Surtout avec sa jolie poitrine qui me frotte le torse à chaque va-et-vient. Je lui introduis juste le bout du doigt dans le trou de derrière ; je sais que cela est souvent déterminant pour faire aboutir la jouissance chez une femme qui se branle. Cela la met en transes ; elle se penche à mon oreille et me susurre :

-" Oh oui, chéri caresse-moi bien comme ça c'est bon... Tu me branles bien! " Et elle me roule une pelle d'enfer.

-" Elle adore ça!", dit Philippe qui mitraille à qui mieux-mieux avec son appareil.

Encore trois ou quatre va-et-vient et elle part en vrille, se soulevant et s'arcboutant sur ses genoux au-dessus de moi, pissant littéralement sa cyprine en jets brûlants qui m'inondent le bas ventre et le buste.

-" Ahaaah salauds..., je jouis...! Tu me tues... Je décharge encore comme une folle... Je meurs! "...

Sans la laisser finir, Philippe en profite pour enchaîner :

-" Chérie, tu as envie de te faire prendre..., hein, chérie? Tu veux te faire baiser, là, maintenant? "

-" Oh oui, Philippe chéri, oui... J'en peux plus..., s'il te plait! " Et pendant qu'elle termine sa jouissance elle me dit à l'oreille : " Prends-moi mon beau chéri... Viens, prends-moi bien au fond, j'en peux plus d'attendre... Tu es un amant merveilleux!"

Ça fait toujours plaisir, je dois l'avouer!

En réalité lorsqu'elle s'appuie de nouveau sur moi à la fin de sa jouissance, sa chatte sans doute dilatée par le plaisir, s'enfile tout naturellement sur ma bite, se baisant ainsi toute seule, jusqu'au fond... Oh là, quel supplice c'est pour moi : si je ne la maintiens pas plaquée sur moi de mes mains et de mes jambes, afin de lui éviter le moindre mouvement, je vais tout lui envoyer dans le fond du con.

-" Tiens, mon cher Mathieu... Prends ça et enfile-le bien avant la dernière ligne droite... " me dit Philippe en me tendant un préservatif. Manifestement, il ne voit pas que mon vit bandé à fond est déjà entré bien au chaud!

Avec douceur et précautions, je décolle de moi la jolie septuagénaire. Je la désenfile discrètement de ma verge énorme et tendue. Dès que celle-ci est sortie de la fente, la vieille coquine laisse échapper un flot de cyprine que ma bite dilatée tenait comprimée dans l'antre du con.

Je suis de nouveau inondé...

Hélène, sans doute pour me remercier, tient absolument à mettre le préservatif sur ma bite tendue. Et comme si cela en était besoin, elle en profite pour la sucer au passage, juste un peu. Je la repousse car je ne veux pas risquer de tout lui envoyer dans la bouche et je tiens autant qu'elle à la baiser.

J'aime trop les jolies femmes mûres et même bien mûres, pour me priver du plaisir de les baiser bien à fond, comme c'est ici le cas d'Hélène tant elle est avenante et experte... Pour moi, même vue de mes 40 ans de l'époque, elle vaut n'importe quelle trentenaire!

La voilà qui m'enfile le préservatif de ses longs doigts subtils, tandis que ses jolis tétons effleurent mes cuisses. Philippe, lui prend encore de nombreuses photos. Puis elle se glisse sur le dos, s'écarte au maximum, je présente mon membre couvert au trou du joli con, bien encadré de belles lèvres longues et découpées. J'y enfonce doucement et délicatement mon membre turgescent tant ma jouissance est proche... Mais hélas rien n'y fait et dans le mouvement où je l'enfile, je décharge dans le préservatif... Quel plaisir libérateur, mais je suis encore tellement bandé, que je la lime encore de nombreuses minutes, comme ça, à la missionnaire, la faisant monter encore deux fois aux anges... Elle gémit et jouit encore sous mes coups de butoir...

Et que fait Philippe sur cette toute fin des opérations? Dès que je prends Hélène comme je viens de le dire, il passe derrière moi et fait quelques photos de sa merveilleuse femme, le con complètement bouché et dilaté. Puis il me dit :

-" Mathieu, pour le final écarte bien les jambes mon cher, que je vois comment tu la prends. Tu sais, c'est un plaisir pour moi de voir comment elle se fait baiser et de voir comme elle jouit... Et puis, j'ai ma botte secrète pour la faire grimper aux rideaux encore une dernière fois... Tu vas voir ce que ça lui fait... "

Et en effet, je vois tout de suite l'effet produit. Sa botte à lui, c'est de lui mettre un doigt dans le petit trou pendant que l'autre, le grand, se fait prendre ardemment par une belle bite. Et là, elle jouit comme jamais. Elle me mord la bouche, l'épaule, les oreilles. Elle décharge encore en abondance, mouillant le drap et ma bite toujours bandée... Je vois que le vieux coquin a les mêmes repères que moi!

Nous restons ainsi l'un dans l'autre un long moment. Mêlant nos langues dans de profonds baisers...

Puis nous nous relevons lentement et un peu groggy sous l'effet de la jouissance. Philippe nous invite à de nouvelles libations au champagne...