Le Hasard Fait Bien Les Choses

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Une jeune homme vit une première expérience sympathique.
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J'allais sur mes 40 ans, mon travail m'avait conduit à Nice en plein été. Il faisait très chaud, aussi le soir après le travail, je descendais sur les promenades de la côte. Là, je flânais un moment, tout en cherchant un bon restaurant sympa qui proposait des tables en extérieur. Donc, on le voit, c'était un passe-temps très ordinaire.

Un soir, alors que les tables extérieures étaient pratiquement toutes occupées, le serveur me proposa de me placer à la table d'un couple âgé. Ce que j'acceptais volontiers. Le couple était manifestement un habitué des lieux. Il était connu des serveurs et il y avait là ses habitudes.

Lui était un homme d'environ 76 ans ; elle était sans doute un petit plus jeune, peut-être une ou deux années de moins. Tous les deux très bien de leur personne, propres, soignés, un tantinet bourgeois, mais plutôt affables. Je les saluais poliment bien évidemment et nous engageâmes la conversation sur des banalités, du temps qu'il faisait, des estivants qui déambulaient le long de la terrasse... Bref que des futilités.

De notre conversation j'apprends qu'ils résident ici à Nice, une bonne partie de l'année ; que lui est un expert diamantaire à la retraite. J'ai effectivement remarqué que la dame à côté de qui l'on m'a installé, porte de très beaux bijoux au cou, aux poignets et surtout aux doigts. Elle a des mains magnifiques, fines et bien déliées, quoiqu'un peu marquées par l'âge... Des gens huppés et friqués pensais-je, pour vivre ici sur la Côte. Mais cela n'enlève rien de leur amabilité et de leur commerce très agréable.

Lui parle beaucoup plus qu'elle. Bientôt il me complimente sur ma tenue soignée et mon allure sportive ; elle ajoute même avec un joli sourire à mon adresse :

- " Un beau jeune homme comme on aimerait en rencontrer plus souvent! "

Un peu surpris du compliment et certes, plutôt flatté, je prends la remarque comme si elle était venue de ma mère et je lui réponds timidement :

- " Mais comme il en existe beaucoup et heureusement. Je pense que ma personne n'a rien d'extraordinaire! "

-" Détrompez-vous mon jeune ami, vous avez des yeux magnifiques et ne changez rien à vos manières, vous êtes parfait! ", me rétorqua-t-elle avec une pointe de malice.

Je dois dire que là, je tombe un peu des nues, que cela vienne d'une dame qui aurait pu largement être ma mère, cela me fait drôle. Même si ce compliment sur mes yeux très bleus -- je suis un brun aux yeux bleus -- m'avait maintes fois été faite par des femmes. Il n'empêche, cette fois le coup porte davantage, surtout dit comme ça, sur ce ton, et j'en suis donc d'autant plus flatté et un tantinet troublé.

Le repas se poursuit dans la bonne humeur et la convivialité. A plusieurs reprises j'ai surpris le monsieur échanger avec la dame des regards qui me semblent interrogateurs, mais dont je ne saisis pas le sens exact. A la fin du dîner, la dame s'excuse pour se rendre aux toilettes. Lorsqu'elle se lève, je vois immédiatement que cette femme a du charme : un corps mince et bien proportionné, une belle allure, de jolies jambes et de jolies fesses, une poitrine qui parait encore bien ferme. Une femme mature qui a dû être très belle en son temps de jeunesse et à qui il reste encore beaucoup de choses, notamment la classe et le charme. Assurément, ce qu'elle conserve aurait fait envie à bien des femmes de 30 ans ..., me dis-je en la regardant s'éloigner dans l'allée du restaurant.

Nous restons donc seuls un instant, lui et moi. Il en profite pour me dire avec des coups d'œil complices que je semble plaire beaucoup à sa femme. Il m'explique même que, jusqu'à il y a encore une dizaine d'années, ils pratiquaient son épouse et lui, une sorte " d'échangisme à trois ", c'est son expression. En fait, elle a un réel désir sexuel à assouvir et, jusqu'à ses 60 ans passés, elle avait des aventures avec des hommes plus jeunes, soit dans des clubs très privés à Paris ou en Belgique, mais aussi dans des soirées à plusieurs couples. En entendant cela, je mets enfin un sens à ce trouble que j'ai ressenti à plusieurs reprises durant le dîner : elle a ce petit quelque chose "en plus", difficile à définir et à nommer, mais que je ressens fortement quand je suis en présence d'une femme qui aime les hommes et le sexe.

Juste une digression à ce sujet, j'ai épousé par la suite (ce n'était pas le cas encore lors de la soirée dont il est question) une femme qui possède exactement cette caractéristique : elle aime les hommes, leur compagnie, aime s'en faire draguer, bien les allumer et très souvent aussi faire ce qu'il faut pour éteindre les feux!

Le monsieur me parle encore un bon moment de leur sexualité à tous les deux... Que lui est très voyeur et friand de ces situations au cours desquelles son épouse se fait entreprendre et... prendre ensuite, par des amants de passage, parfois plusieurs à la fois. A l'époque, il en était très fier devant la gent masculine qui lui enviait sa position... Mais depuis une dizaine d'années environ, ils avaient tout arrêté. Elle avait perdu beaucoup de son assurance en matière de séduction auprès des hommes, notamment plus jeunes, et n'osait plus se lancer dans ce genre de situations. Je lui assure que personnellement, je trouve son épouse toujours très désirable et d'une classe extraordinaire! Il m'avoue aussi que depuis plus de 8 ans, il est impuissant et ne peut plus honorer sa femme, qui elle, n'a rien perdu de ses envies et de ses désirs de femme...

- " Je sais qu'elle se débrouille seule, si vous voyez ce que je veux dire... Parfois en ma présence, mais le plus souvent quand elle est seule dans la salle de bain ou dans la chambre..."

Tout en discutant je surveille du coin de l'œil son retour des toilettes, persuadé qu'à la suite de ce que je viens d'apprendre, je vais la voir désormais d'un autre œil. Je trouve qu'elle met beaucoup de temps. Trop, tant mon impatience est grande de la redécouvrir à l'aune de ce que je sais d'elle désormais.

Au bout d'un long moment encore, elle revient enfin. Je la vois belle, élégante avec une peau d'une fraîcheur éclatante, de grands yeux très bleus magnifiques, et les cheveux d'un blond cendré qui vont parfaitement avec sa personnalité. Je me lève pour la laisser passer et lui permettre de regagner sa place à table. Sa main fine effleure ma hanche au point que j'en suis très troublé et que je sens monter une violente érection. Tandis qu'elle s'assied à côté de moi, je me dis intérieurement :

"S'ils me proposent un petit moment ce soir, je crois que je vais dire oui! ".

Le mari lui fait remarquer qu'elle a été bien longue aux toilettes.

Elle se penche vers lui et après un sourire d'excuses qu'elle m'adresse, elle lui chuchote à l'oreille quelque chose que je n'entends pas complètement. Je ne comprends du message que trois mots : " fait..., effet..., résister..." L'homme a un petit sourire ironique et dit :

- " Oui, oui, chérie, tu as raison! " Puis dans la foulée, alors que nous nous levons pour prendre congé, il ajoute :

- " Cher ami, disposez-vous ce soir d'un petit peu de temps? Ce serait sympathique que nous terminions la soirée à notre hôtel avec un petit verre de champagne? ... N'est-ce pas chérie? "

-" Mais bien sûr chéri! C'est en effet une très bonne idée. Notre hôtel est deux pas."

Et nous voilà dans la rue.

Sur le large trottoir, pour marcher vers l'hôtel, elle se place entre nous deux et donne le bras à chacun. Je commence à voir la situation comme une aubaine et à la fois comme un peu irréaliste, comme si cela était trop beau pour être vrai! Je sens que je bande fort à la pensée de ce qui va, peut-être se passer, dans une luxueuse chambre d'hôtel. Je sens aussi que la Belle que j'ai à mon bras gauche, glisse des regards qui accrochent la bosse indiscrète qui tend depuis tout à l'heure, mon léger pantalon d'été. Je sens sa main presser mon bras de façon insistante comme pour me dire : " Tu me plais, toi... Je te tiens et je ne te lâche pas! "

En quelques minutes, nous sommes à la porte d'entrée du "Westminster" en plein milieu de la Promenade des Anglais. Là, la dame, nous dit devoir monter seule un instant pour se rafraichir et ranger un peu la chambre, laissée en désordre à leur départ pour le dîner ; elle nous demande 5 minutes pour monter à notre tour.

Le hall est celui d'un Palace. Je ne me sens pas trop à ma place dans un tel établissement où, bien évidemment, je ne mets jamais les pieds!

Quelques minutes se passent, peut-être une dizaine, puis le réceptionniste vient prévenir mon hôte que Madame nous attend. Il prend encore le temps devant l'ascenseur de me donner quelques recommandations :

" J'espère que ma proposition ne vous choque pas jeune homme. Si cela ne vous va pas, il est encore temps de renoncer... Par contre je crois que vous ne serez pas déçu. Elle aime les hommes et leur sexe et depuis déjà pas mal de temps, elle en est très privée! Moi-même, comme je vous l'ai dit, je ne puis plus rien lui proposer... Et puis vous comprenez mon cher, que faire des démarches dans ce sens auprès de gens que nous ne connaissons pas ou a contrario, que nous connaissons trop, ne soit pas chose aisée. En tout cas mon cher ami, quoiqu'il arrive, je vous remercie d'avoir accepté et vous êtes le bienvenu! "

Je suis sur le point de lui dire combien cette situation à vivre me tente et que c'est là un de mes grands fantasmes : depuis longtemps j'ai très envie de faire l'amour à une femme plus âgée que moi... D'où me vient ce fantasme? Je ne saurais dire. En tout cas je bande déjà très fort et depuis déjà un bon moment.

D'ailleurs, tandis que l'ascenseur nous emmène au 5ème étage, je surprends un regard oblique du Monsieur qui mate, lui aussi et sans doute avec envie, la bosse de mon pantalon.

Arrivé à la porte, le monsieur frappe doucement. Une voix douce lui répond :

-" Entrez "

Il me précède en s'excusant. La chambre est en réalité une magnifique suite. Une grande entrée prolongée par un salon avec un grand canapé et deux immenses fauteuils, une petite table basse de salon et 2 portes, une vers la chambre sans doute et l'autre vers la salle de bain. Du moins, c'est ce que je suppose.

-" Hélène chérie, lui dit-il, as-tu fait monter du champagne ou dois-je le commander? ".

-" Non, Philippe chéri, tu sais bien qu'il y a tout ce qu'il faut dans le réfrigérateur..."

Elle s'assied sur le grand canapé, face à l'entrée. Elle est magnifique. Elle a conservé sa jupe noire étroite et ses bas noirs qui lui font la jambe si belle et elle un petit corsage blanc en dentelles et laine bouclée très seyant... Elle a une classe naturelle... Tandis que son mari s'occupe à préparer le champagne, elle me fait signe de venir m'asseoir à côté d'elle.

-" Venez, me dit-elle ; venez vous asseoir, je vous en prie mon cher... Je ne connais pas votre prénom..."

-" Mathieu ". Je suis peu intimidé par tant d'aisance.

-" Mathieu, dit-elle de sa voix suave et sensuelle, c'est un prénom adorable, ça, Mathieu!" Et elle me plante son regard bleu dans le mien... Je suis immédiatement sous le charme...

Philippe à l'autre bout de la grande pièce, m'interpelle gentiment :

-" Mettez-vous à l'aise mon cher ami... Débarrassez-vous de votre veste "...

Je m'exécute, je ne me souviens pas d'avoir été aussi gêné qu'à cet instant. La belle Hélène, me regarde faire et je sens son regard caresser mon corps et l'envelopper. En plein été sur la Côte d'Azur, je n'ai qu'une petite chemisette bleue à même la peau, un slip et mon pantalon tergal, comme c'était la mode à l'époque.

Je m'assieds près de la jolie Hélène et pour me donner une contenance, je lui dis doucement :

-" Vous êtes vraiment très belle... Hélène..." et disant cela j'ai immédiatement conscience de la banalité de mon propos s'adressant à une femme d'une telle classe.

-" Chut... Taisez-vous mon ami, c'est vous qui êtes magnifique! " me répond-elle, en posant sa main fine et douce sur ma cuisse.

De l'autre main elle me tourne le visage vers le sien et me plante son regard bleu acier dans le mien.

-" Embrassez-moi plutôt, mon bel ami ".

Bien que je sache parfaitement ce que je suis venu faire ici, la situation me parait surréaliste et je ne peux m'empêcher d'envoyer mon regard vers le... Philippe, qui continue de préparer les coupes sur un plateau nous tournant le dos... Inconsciemment, ma tête résiste à son geste...

-" Voyons Mathieu, ne faites pas l'enfant... Philippe sait parfaitement ce que nous sommes en train de faire..." dit-elle doucement. Puis elle ajoute à l'adresse de son mari, sans cesser de me regarder dans les yeux :

-" N'est-ce pas chéri? "... L'homme lui répond sans se retourner, tout naturellement :

-" Bien sûr, ma chérie..."

Sur le coup, je n'en reviens pas de tant de complicité.

Elle me tend ses lèvres et incline doucement la tête et c'est elle qui me donne un baiser. Dieu quel baiser, vraiment je n'ai pas le souvenir d'avoir déjà reçu un baiser comme ça léger, tout en étant bien appuyé, délicat et distingué. Puis elle entrouvre les lèvres et me plante la langue dans la bouche. C'est encore une sensation inégalée à ce jour, que cette langue frémissante qui m'arrive dans la bouche. Un goût fruité et subtil me pénètre la bouche. Je manque de défaillir tant le baiser est immense, intense et suave... Nos langues se trouvent, se tournent et se rencontrent encore, glissent l'une sur l'autre se reculent et s'avancent... J'ai la sensation d'une demi-minute de plénitude d'un temps qui ne s'arrêtera plus...

Après un instant, que je trouve trop court, elle quitte mes lèvres et je sens son beau regard bleu sur mon visage... Je lui rends son baiser essayant d'y mettre la même tendresse et la même passion. Je sens sa main qui remonte tout doucement de ma cuisse vers mon bas-ventre. Ça y est, elle est sur la bosse. Et je ne vous dis pas quelle bosse! Elle appuie juste un peu à cet endroit pour me dire qu'elle est là, qu'elle y est, tandis que nos langues se mêlent encore plus langoureusement... Je fonds littéralement et je sens mon membre se durcir encore. Il " lance " dans mon slip comme le ferait quelque chose qui nous gêne et dont on ne peut se défaire... J'entrevois par mes paupières mi-closes la lueur d'un flash. Une seconde encore de ce baiser magnifique et je me recule un peu de ses lèvres humides. Le mari est en train de faire des photos...

Le temps de réaliser et il en a déjà fait 2 ou 3.

-" J'espère mon jeune ami, me dit-il, que vous ne serez pas contre le fait que je fasse quelques clichés en souvenir? "

J'hésitais un court instant.

-" Non, bien sûr, monsieur, si vous m'assurez que ces photos resteront très privées..."

-" Oh! oui, je vous rassure, mon cher. Nous avons, nous aussi, besoin d'une grande discrétion ...".

Puis avec un sourire enjôleur et sans enlever sa main de la bosse de mon pantalon, elle me dit :

-" Oh, oui Mathieu, s'il vous plait. J'aimerais tant garder quelques souvenirs de cette soirée..."

Philippe renchérit :

-" Oui mon jeune ami, comme le dit ma chère Hélène, cela fera un beau souvenir. Et puis il y a si longtemps maintenant, qu'il ne s'est plus rien passé... Enfin je veux dire..., rien passé de ce genre-là! "

-" Oui, je comprends...", dis-je, ne sachant pas quoi ajouter.

Et Philippe d'insister :

-" Oui, d'autant que ces photos sont très importantes pour elle : elle se masturbe toujours en regardant les photos de ses ébats... Et les dernières maintenant remontent à pas mal d'années! N'est-ce pas ma chérie? " Voilà une répartie fort inattendue pour moi!

-" Oui, bien sûr mon chéri, j'ai besoin de ces photos, tu le sais!... Mais fais attention à ne pas offusquer Mathieu en donnant ce genre de précisions...". Puis s'adressant à moi :

-" N'est-ce pas Mathieu chéri, ne prenez pas ombrage de ce que vous dit Philippe, même si c'est la vérité, cela ne concerne que moi... Embrassez-moi plutôt, j'aime beaucoup le goût de vos baisers...", dit-elle en me tournant le visage vers le sien.

Elle m'embrasse longuement, sans aucune gêne devant son mari debout devant nous, de l'autre côté de la petite table du salon. Il fait encore quelques photos de nos baisers d'amants.

-" Profites-en bien ma chérie, embrasse-le comme tu aimes le faire... Je vais servir le champagne ". Philippe contourne la petite table, vient vers nous, puis se penche sur son épouse et l'embrasse passionnément dans le cou pendant que l'on se roule une pelle, puis il repart vers la déserte à l'autre bout de la pièce.

Hélène me prend dans ses bras et m'embrasse avec force et passion. Je ne m'attendais pas à cela, autant de fougue chez une belle septuagénaire! Il faut dire que je fantasme tellement sur les femmes plus âgées et surtout lorsque, comme Hélène, elles sont belles, avenantes et qu'elles prennent des initiatives.

La situation est tellement nouvelle pour moi... Et puis surtout cette décontraction du mari m'interpelle, au point que je me dis que cela cache sans doute quelque chose...

Tandis qu'elle m'embrasse avec ferveur et passion, je sens sa main qui monte vers la mienne. Elle la prend doucement et la redescend lentement vers son corsage. Oh oui, me dis-je, décidément elle prend les bonnes initiatives, vas-tu te laisser guider ainsi tout le temps?

Il faut dire que pour moi c'est une première expérience et que je suis un peu dans l'expectative de voir comment les choses "doivent" se passer! Elle insinue ma main entre ses seins. Leur rondeur est magnifique et ils sont tendres et fermes à la fois. Elle n'a pas de soutien-gorge et pourtant ses seins sont très pointés et tendus. Mes doigts caressent le téton qui déjà est bien dressé... Ma bite dans mon pantalon se redresse encore. Elle le sent et appuie encore plus fort sur la bosse. Elle m'embrasse encore plus fougueusement avec un tout petit gémissement. Sans doute l'effet de ma main sur ses seins ; à moins que ce soit la palpation de mon sexe à travers le tissu du pantalon...

Philippe revient avec les coupes de champagne. Je retire prestement ma main du corsage de la belle. Il pose le plateau sur la table asse et s'adresse à nous très gentiment :

-" Chérie, juste un moment pour une petite coupe avant que vous ne passiez aux choses plus sérieuses... Je comprends que tu sois très occupée et que tu apprécies beaucoup, mais il ne faut pas que ce soit au détriment de la convivialité!"

Puis il ajoute sans aucune gêne après un regard appuyé sur la bosse de mon pantalon : "Je vois avec plaisir que vous avez envie d'elle mon jeune ami, mais je serai bien heureux si avant, nous trinquions à votre bonheur... A notre bonheur devrais-je dire! En tout cas merci Mathieu d'avoir accepté notre invitation ".

- " Mais pas du tout, monsieur... c'est moi... " balbutiais-je.

- " Appelez-moi Philippe, je vous en prie, mon cher Mathieu. Philippe, j'insiste."

- " Bien, Philippe, mais je vous assure que c'est pour moi un immense plaisir et que je ne me force nullement, Madame, enfin je veux dire Hélène..., est si charmante et si désirable!"

-" A qui le dites-vous, mon cher, je le sais mieux que quiconque! "

-" Arrêtez grands fous, vous allez me faire rougir!", dit Hélène.

Là-dessus, elle prend ma tête dans ses mains et m'embrasse avec fougue, me redonnant la gorgée de champagne qu'elle gardait dans la bouche. J'ai les sens sens-dessus-dessous... J'ai le membre qui me fait mal tant il est tendu et à l'étroit dans mon slip...

Elle me bascule sur le canapé, me chevauchant à demi et m'embrassant plus fougueusement encore... Je vois de nouveau le flash crépiter... Elle palpe ma bosse et maintenant elle a complètement pris en main mon membre à travers le tissu. J'ai remis une main sur ses seins...

J'entends Philippe qui ne s'arrête pas de parler, comme s'il se parlait à lui-même. Je suis incapable de saisir tout ce qu'il dit tant je suis concentré sur ce que je fais avec la belle Hélène. Seulement quelques bribes parviennent à ma compréhension et je ne saisis pas toujours tout le sens de ce qu'il dit. Par exemple :