Le Club - Partie 34

BÊTA PUBLIQUE

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Pantkin hocha la tête, Thomas ne faisait que confirmer des conclusions qu'il avait tiré depuis plusieurs jours mais qui l'avaient tellement terrorisé qu'il s'était refusé à admettre. Il savait aussi que malheureusement le vin était tiré et qu'il fallait le boire.

- Il reste un problème et de taille, reprit-il. Il reste une variable qui peut faire capoter notre plan : Angel. Le juge lui-même l'a précisé, il est l'agent stabilisateur du « club » depuis le début. Toutes ces personnalités narcissiques et égocentriques n'auraient jamais réussi à coexister et encore à moins à s'associer si elles n'avaient pas été dominées par celle de Ryan au travers d'Angel. Nous ne savons pas encore comment il s'y prend mais nous savons qu'il manipule sa petite marionnette depuis des années afin d'arriver à ses fins. Dès qu'il apprendra que sa machination connaît des ratés, Ryan prendra des mesures certainement en faisant intervenir ses deux séides, les frères Smith. Nous devons les neutraliser afin d'espérer faire sortir Ryan de son trou.

- Je vois, affirma Thomas. Il n'y a qu'une seule personne qui peut nous donner ces renseignements et je suis le seul à pouvoir les obtenir d'elle.

- Oui, confirma Pantkin. Il est malheureusement temps pour vous de recroiser la route de David Angel.

CHAPITRE 12

Thomas quitta Pantkin pour rejoindre une petite pièce sombre à l'intérieur de laquelle régnait un désordre sans nom. Au fond, une jeune femme d'une vingtaine d'année, brune et une peu rondouillarde se retourna en entendant le bruit de la porte qui s'ouvrait. Elle afficha un sourire béat en le reconnaissant.

- Pénélope Lopes? Demanda Thomas en s'approchant.

- Oui, monsieur, confirma-t-elle. Enchantée de vous rencontrer. Vous n'imaginez pas l'honneur que vous me faîtes.

Elle quitta son bureau pour se ruer à sa rencontre et lui serra nerveusement la main. Thomas pouvait sentir son excitation.

- L'honneur est pour moi, répondit-il. A ce que je sais, vous êtes un authentique génie et notre petit plan n'aurait jamais pu réussir sans vous. C'est vous qui avez piraté la banque de donnée de l'office interrégional pour modifié les données biométriques des officiers de l'unité TCD. La prouesse est de taille.

- Pas tant que ça! Le pare-feu de l'office n'est pas de la qualité affichée. Ils se sont relâchés ces dernières années et leurs techniciens ne valent pas les agences de renseignement.

- Que vous avez déjà piraté aussi, je présume.

Pénélope se contenta de sourire.

- C'est vous aussi qui avez détourné le réseau vidéo d'Angel pour nous permettre de l'espionner en tout quiétude.

- Une formalité quand on possède le bon matériel et d'un relais efficace. D'ailleurs, ce malade a encore trouvé une nouvelle perversion...

- Justement je voudrais savoir s'il serait possible d'envoyer un message directement sur le réseau interne de la résidence d'Angel.

- Bien sûr, donnez-moi votre message et je le transmets dans l'heure.

- Parfait alors allons-y!

CHAPITRE 13

Marius tapa à la porte et il fut ravi de voir une Emily vêtue d'une simple nuisette transparente qui ne cachait rien de son anatomie. Le commissaire se sentit immédiatement envahit par un désir irrépressible et il poussa la jeune femme à l'intérieur de la pièce avant de la faire tomber sur le sol. Elle se laissa faire avec une docilité impressionnante. Sa petite soirée spéciale chez Angel semblait avoir totalement brisé sa volonté et Marius s'en félicita. Il releva le bas de sa nuisette puis l'incita à écarter les jambes. Il admira son intimité désormais finement taillée puis se déshabilla et s'allongea sur elle pour la pénétrer de tout son long. Elle poussa un petit cri sous l'effet de cette intromission qui lésait visiblement son vagin non lubrifié mais ne tenta toujours pas de s'y opposer et il put pleinement profiter de son corps. Il se redressa un peu et fixa sa tête qui allait de droite à gauche au fur et à mesure de ses coups de boutoirs. Il tirait son plaisir autant de l'acte sexuel en lui-même que de l'idée de posséder aussi profondément la dernière protégée vivante de ce maudit William Fossett qui avait si obstinément tenté de l'empêcher d'obtenir la gloire qu'il méritait tant.

Elle serrait les dents pour ne pas crier trop fort et il trouva cet acte de bravoure savoureux et voulut le briser. Il se pencha et lui mordit violement le téton droit lui arrachant le pleur tant espéré. Ce fut le coup de grâce qui le fit jouir. Il dut cependant se résoudre à sortir de cette cavité vaginale si accueillante pour éjaculer sur son ventre plat ; il n'était pas le maître officiel de cette admirable petite chose et ne pouvait pas en disposer comme il le souhaitait. Il oublia cependant rapidement vite cette petite frustration et se redressa en la laissa allongée sur le sol, haletante, cherchant visiblement à reprendre ses esprits. Il se dirigea vers la pièce voisine où Morgan l'attendait.

- Satisfait de l'accueil? Demanda le policier ironique.

- Comblé, répondit le commissaire. Maintenant, nous pouvons parler sérieusement.

- Pourquoi vouliez-vous me voir en urgence?

- Il faut que nous parlions du juge. Il a perdu la tête.

CHAPITRE 14

Son accès de colère n'était plus qu'un lointain souvenir dans l'esprit d'Amandine et elle devait même reconnaître qu'elle ne se préoccupait plus guère du sort de sa fille. La seule chose qui comptait en ce moment était l'enfer qu'elle était en train de vivre. Traumatisée par le viol collectif que lui avait fait subir pendant plus d'une semaine les ouvriers du chantier de la muraille, elle se retrouvait obligée de revivre un calvaire similaire avec les gardes. Cela faisait maintenant plus de deux heures qu'une dizaine de rudes gaillards se relayaient pour la pénétrer dans tous ses orifices. Elle se retrouvait accroupie sur le sexe d'un grand arabe pendant qu'un blond la sodomisait sans vergogne et qu'un méditerranéen l'obligeait à lui faire une fellation bien baveuse. Les trois hommes coordonnaient leurs mouvements afin de rendre l'action la plus efficace et surtout la plus douloureuse possible pour la jeune femme. L'homme qui se trouvait dans son anus poussa un cri de victoire et se crispa en serrant ses mains autour ses hanches. Elle sentit alors l'écoulement de son sperme dans son conduit anal et elle poussa un cri de désespoir. L'homme resta quelques secondes avant de laisser la place à un autre. Cette horreur dura encore presque une heure avant que les hommes ne semblèrent se lasser d'elle et la laissèrent se reposer sur le sol comme une serpillère. Angel qui était resté assis dans un coin à assister à son humiliation s'approcha et s'agenouilla.

- Ils reprennent des forces, expliqua-t-il. Dans quelques minutes, ils vont revenir et tout recommencera comme en quarante et cette fois, je te laisserais seule avec eux. Peut-être que je repasserais te voir demain matin ou alors que je te laisserais toute la semaine comme pour les ouvriers.

Amandine craqua, une nouvelle fois, et rampa vers le monstre qui s'amusait à la détruire. Elle s'accrocha à sa cheville, sans aucune considération pour les derniers atomes de fierté qui pouvaient encore lui rester.

- Je vous en supplie, maître, pleurnicha-t-elle. Par pitié, ne me laissez pas ici. Emmenez-moi avec vous.

Angel exultait devant sa nouvelle victoire sur cette bourgeoise qu'il aimait briser en millions de morceaux sans cesse plus petits. Il ouvrit la bouche pour parler quand l'écran de la caméra qui se trouvait dans la pièce s'illumina d'un éclat anormal. Angel oublia un instant sa victime préférée pour déchiffrer l'étrange message qui venait de s'y afficher.

« Rendez-vous à 17H au Pietro Hall Commercial. Gaël Nobo. »

Et pour la première fois depuis qu'elle le connaissait, Amandine vit la panique se dessiner sur le visage de David Angel.

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