Le Club - Partie 30

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Les yeux de Muriel devinrent deux grandes soucoupes quand elle sentit le sexe du salaud qui la dominait depuis plus d'un an presser contre son sphincter anal. Dans un grognement rauque, le gros cuisinier empala la jeune serveuse qui se cambra sous l'effet de la pénétration transmettant l'onde de choc à sa sœur. Pour la première fois les deux sœurs crièrent de concert. Humberto sodomisa totalement Muriel et commença alors à la limer et ce fut alors qui donna le rythme de cette saillie incroyable de telle façon qu'il donnait l'impression de violer les deux sœurs à la fois.

Le spectacle excita affreusement le frère Carlos, prêtre bien peu catholique en vérité. Il attrapa Delphine par le cou et l'obligea à s'agenouiller. La jeune femme souleva sa soutane et s'empara de son sexe pour commencer à le sucer avec un talent désormais reconnu par tous les membres du « club ».

Diaz jubilait et il sentait monter une érection irrépressible. Il ne pouvait tenir devant une telle excitation et claqua des doigts pour signifier cet état de fait. Marine se crispa devant ce bruit devenu un signal d'alerte pour elle. Contrairement aux autres esclaves de Diaz qui vivaient sous la coupe de ses acolytes, la jeune assistante sociale était contrainte de rester à demeure dans la résidence du millionnaire hispanique et personne même parmi les serveuses du « Fundo » n'enviaient sa situation. La jeune femme portait sur son corps les stigmates de sa pitoyable situation car Diaz était un amoureux des traitements sadiques. Il n'y avait pas une seules de ses pauvres victimes à avoir échappé à des séances dans son affreuse « tour des délices » mais Marine devait les subir quotidiennement et elle avait développé une réactivité impressionnante afin de devancer les désirs de son maître afin de limiter au maximum les punitions. Ce fut donc presque ventre à terre qu'elle accourut vers le géant hispanique. L'air satisfait devant sa docilité, ce dernier lui intima d'un geste de faire volte-face et elle obtempéra sans ciller, soulevant sa courte jupe de dentelle blanche en se cambrant au maximum avant de lui offrir le meilleur accès son vagin. Diaz ouvrit son pantalon et empala la jeune femme d'un coup sec. Marine se mordit les lèvres pour ne pas crier car elle savait que si elle montrait son dégoût, Diaz saisirait ce prétexte pour la punir dès leur retour à la tour. L'hispanique s'empara de ses hanches et se mit à la pistonner brutalement.

Au milieu de la pièce, le trio formé par Muriel, Sandra et Humberto s'apprêtait à devenir un quatuor. Ronaldo, le tout jeune marié, était pour l'instant resté en arrière mais attendait son heure. Comme, Humberto l'avait fait avec Muriel, il se glissa dans le dos de Sandra qui ne cessait de hurler sa douleur sans se douter que le pire était encore à venir pour elle. Il écarta alors les fesses de sa toute jeune épouse qui était encore vierge de cet orifice. La jeune fille, déjà en nage, enfonça ses ongles longs dans le dos de sa sœur en sentant le sexe du majordome forcer la résistance de son œillet anal. Doucement mais sûrement, Ronaldo s'enfonça dans les entrailles de Sandra qui en réaction hurlait de plus belle et griffait sa sœur qui hurlait à son tour. Il finit par totalement empaler le rectum vierge de la jeune femme et prit quelques secondes pour lui laisser le temps de s'accommoder à cette invasion contre-nature puis il se mit à son tour à la limer lentement avant d'accélérer régulièrement le rythme. L'étrange attelage se mit à tanguer, menaçant de tomber et, par réflexe, Muriel enroula ses mains autour des hanches de Sandra pour retrouver l'équilibre.

Le sexe toujours enfoncé dans le vagin de Marine, Diaz observait la scène fabuleuse des deux sœurs Guri sodomisée alors que l'aînée violait le vagin de la cadette et se disait qu'il était vraiment un génie de la chorégraphie. Ce fut alors qu'il remarqua la petite tête ronde qui dépassait d'une fenêtre du « Fundo ». Un sourire mauvais se dessina sur le visage du millionnaire : Francis Guri était venu assister au mariage de sa petite chérie.

CHAPITRE 4

Lamartine était un homme d'une trentaine d'année dont le visage n'évoqua aucun souvenir à Thomas. Il les reçut dans son appartement discret des quartiers périphériques qui ne laissait rien paraître de ses activités réelles.

- Je ne comprends toujours pas qui vous êtes exactement, avoua Thomas. Vous travaillez vraiment pour le nouveau caïd de Lilleland?

- Vous ne devez pas concevoir le rôle de caïd de Lilleland comme il était naguère, précisa Lamartine en préambule. Le gros Tony et ses prédécesseurs n'ont pas les mêmes pouvoirs que Lino ou bien entendu votre frère Paul. Après la grande bataille de Lilleland, les notables n'ont plus voulu voir se reproduire une situation où ils pourraient se retrouver pris en otage. Ils ont orchestré la destruction de la « cour des miracles » et nous ont tous expulsés dans des banlieues lointaines. Ils ont permis à ce que la mafia tombe dans les mains d'étrangers qui se retrouvaient à la tête d'un royaume réduit à une peau de chagrin. En vérité, le gros Tony et ses prédécesseurs ne contrôlent que les quartiers des docks et ceux de la périphérie où le bourgeois va s'encanailler avec les prostituées qui sont désormais en grande partie des étrangères. Les dealers se font très discrets dans les quartiers centraux même si leur activité reste intense.

Thomas écoutait l'étrange discours de Lamartine en se demandant où il voulait en venir. Il se doutait de cette évolution mais il sentait que le temps pressait et ne voulait pas perdre son temps en digressions.

- Je ne veux pas m'appesantir sur ce sujet, précisa Lamartine qui semblait avoir senti l'impatience de Thomas, mais je veux vous préciser la situation dans laquelle nous vivons. Les temps de la « cour des miracles » sont révolus pour le meilleur et pour le pire. Nous vivons désormais dans des banlieues dortoirs sans avenir. SI cela nous pèse horriblement, sans le savoir ces salauds de notables nous ont libérés. Nous ne sommes plus sous le joug des caïds et nos femmes n'ont plus la prostitution et la drogue pour seul avenir et nous savons à qui nous le devons.

- A Paul, supposa Thomas qui savait l'immense sympathie que les habitants de la « cour des miracles » ressentaient envers son défunt frère.

Lamartine afficha une expression tellement outrée qu'il en fut presque drôle.

- Pas du tout, affirma-t-il. Je parlais de vous Thomas Serfati. C'est vous qui avez libéré le peuple de la « cour des miracles ».

CHAPITRE 5

Françis Guri avait failli faire un infarctus quand il avait reçu le faire-part lui annonçant le mariage de sa fille Sandra avec Ronaldo Gonçalves, le majordome de Diaz. Cette nouvelle affreuse avait été trop douloureuse et il n'avait pas pu résister au besoin malsain de venir constater de ses yeux la vérité de cette nouvelle. Il avait bien conscience que le salopard qui avait été son ami et qui avait perverti ses filles ne le laisserait pas entrer et il se contenta de glisser sa tête par une fenêtre pour assister à l'obscène cérémonie qui dégradait encore un peu plus sa petite Sandra. Dans la salle du « Fundo », l'étrange cohue formée par ses deux filles et les deux hommes qui les sodomisaient continuait son jeu d'aller et retour au rythme des cris des jeunes filles. Francis colla son visage contre la vitre de la fenêtre pour mieux voir et, totalement obnubilé par cet horrible spectacle, il ne vit l'immense ombre qui grandissait dans son dos que bien trop tard.

- Alors Papa, cria Diaz en l'agrippant par le col. On est venu souhaiter ses vœux à l'heureuse mariée?

Il plaqua littéralement le petit homme contre la vitre au point de lui faire mal. A l'intérieur, les protagonistes de la partouze réagirent à peine mais Francis croisa le regard désespéré de Sandra.

- Ecoute-les hurler leur plaisir! Mentit Diaz. Tes filles sont vraiment devenues de vraies petites salopes! Elles sont parfaitement dignes de leur père.

Guri n'en pouvait plus devant la cruauté de son ancien ami. Il éclata en sanglot en tentant de se libérer de la poigne du géant hispanique.

- POURQUOI!?! Hurla-t-il, désespéré. POURQUOI TU NOUS FAIS SUBIR TOUT CELA?!?

- Tu me le demandes, espèce de larve sans nom? Répondit Diaz, la voix tremblante de rage. Tu sais très bien pourquoi!

- Je ne t'ai pas trahi, se défendit Guri. Je voulais seulement réussir dans les affaires comme toi.

- JE NE PARLE PAS DE CA!!!! JE TE PARLE DE MA FEMME!!!

Guri cessa alors de se débattre et tout devint clair pour lui.

- Tu ne dis plus rien, reprit Diaz. Ta conscience te pèse tellement qu'elle t'a coupé la langue. Il faut dire que la vie d'une personne, c'est lourd à supporter.

- Je n'ai pas tué Carina!

- Non mais tu l'as abandonnée et c'est pareil! Je n'ai rien oublié de ce qui s'est passé, il y a 10 ans quand « le frère » et ses alliés militaires ont envahis les rues de la « cour des miracles » pour en chasser les hommes du « caïd ». A cette époque, j'étais encore prêt à me sacrifier pour le bien de notre communauté et c'est pour ça que j'ai pris la décision de te confier la protection de Carina pendant que je prenais la tête d'un groupe d'hommes qui partaient secourir les enfants de notre école primaire. Je te laissais ma femme pendant que je sauvais tes filles des balles. Tu n'avais pas grand-chose à faire puisque vous vous trouviez loin du cœur du combat.

- Je ne l'ai pas tué, insista Guri, c'est cette femme blonde. Nous sommes tombés sur elle alors que nous quittions le quartier alors qu'elle se battait avec un groupe d'acolytes du caïd. Carina a pris une balle perdue. Je t'ai déjà raconté cette histoire et j'ai décrit cent fois cette officier blonde.

- Je sais et crois-moi cette salope est en train de payer le prix de son assassinat au moins aussi cher que toi. Je regrette seulement ne pas pouvoir lui faire payer l'addition moi-même. Cependant, cela ne te dédouane pas de ta propre responsabilité car je sais TOUT!

- Tout?

- Oui. Tout c'est-à-dire aussi le fait que la balle tirée par Bella Cathy qui toucha ma femme ne fut pas mortelle sur le coup, loin de là. D'après le rapport de l'expert, Carina a mis au moins deux heures à mourir et si elle avait été conduite à un médecin rapidement, elle aurait pu être sauvée mais tu ne l'as pas fait car tu t'es enfui en la laissant agoniser dans la rue, seule.

Guri déglutit difficilement, n'osant pas affronter le regard accusateur du monstre qu'était devenu l'homme qui avait son ami.

- C'était la folie, se défendit-il, les balles fusaient de partout...

- Comme à l'école primaire. Pourtant j'ai réussi à ramener tes filles saines et sauves en dépit de la balle qui s'était logée dans mon épaule.

Guri ne trouva rien à répondre tant l'argument était imparable. Durant cette horrible journée, Diaz était devenu un véritable héros et c'était d'ailleurs sur cette réputation qu'il avait commencé à bâtir son immense empire commercial mais ceux qui le connaissaient vraiment savait aussi une horrible vérité. Depuis ce jour-là, Guillermo Diaz n'avait plus jamais été le même révélant le pire de sa personnalité.

- Tu as tué ma femme, répéta Diaz, alors j'ai pris tes filles en guise de remboursement. Alors profite bien de ce spectacle car c'est la dernière fois que tu les voies! Je vais les détruire, en faire les dernières des putes puis je les enverrais au bout du monde comme naguère le « caïd » le faisait de ses victimes.

Dans la salle, les cris de Muriel et Sandra se firent encore plus intense et chacune planta ses ongles encore plus profondément dans la peau de sa sœur laissant des griffures qui mettraient des semaines à cicatriser. Humberto se fixa alors et, quelques secondes plus tard, il éjacula dans entre les fesses de Muriel. Ronaldo continua à limer le rectum de Sandra pendant deux ou trois minutes puis jouit à son tour. Les deux hommes relâchèrent leurs victimes qui s'écroulèrent en sueur sur l'une des tables du bar. Diaz tapa alors à la vitre de la fenêtre et Ronaldo sortit le rejoindre dans la ruelle. Diaz projeta alors Guri au sol et le frappa violement au ventre avec ses bottes en le couvrant d'insultes. Guri adopta alors la position fœtale pour se protéger des coups qui pleuvaient sur lui.

- C'est ça, sale larve! L'insulta Diaz. Je reconnais bien là ta réaction! Celle d'un lâche et d'un mollusque! Profite bien du peu de vie qu'il te reste car dès que ta benjamine sera suffisamment vieille, je viendrais la prendre elle-aussi.

Diaz se calma finalement, laissant un Guri immobile sur le sol. Il se tourna vers Ronaldo.

- Emporte cette ordure loin d'ici! Ordonna-t-il. Je ne veux plus jamais le voir ici!

Ronaldo s'exécuta immédiatement pendant que Diaz retournait dans la salle du « Fundo ». Tous se fixèrent en le voyant revenir, il aimait cette impression d'être le centre du monde. Il se rassit dans un coin de la salle pour profiter de la suite du spectacle.

Muriel et Sandra étaient toujours allongées sur une tables, imbriquée l'une dans l'autre. Elles transpiraient abondamment en cherchant à reprendre leur souffle mais Diaz avait décidé de ne pas leur laisser de répit. Humberto s'approcha d'elle et les obligea à se redresser. Il coucha Muriel sur le dos et contraignit Sandra à chevaucher sa sœur. La plus jeune des deux filles Guri devait toujours supporter la présence du gode ceinture de sa sœur dans son vagin. Le cuisinier l'obligea à entamer des mouvements verticaux au dessus de sa sœur et les sensations désagréables recommencèrent à envahir son corps. Humberto la laissa quelques instants aller et venir sur le membre de plastique puis il se plaça dans son dos et d'un coup sec, il lui enfonça un gode dans l'anus. Sandra s'immobilisa net et poussa un hurlement rauque devant cette nouvelle sodomie. Elle se retrouvait de nouveau pénétrée dans deux orifices mais cette fois par deux membres artificiels. Humberto fit alors pivoter les deux sœurs et ce fut Sandra qui se retrouva sur le dos. Quand elle posa ses fesses sur le bois de la table, le gode s'enfonça encore plus et elle poussa un nouvel hurlement. Muriel plaça ses pieds bien à plat sur le sol et commença à besogner sa sœur qui serra les dents pour cesser enfin de hurler. Diaz claqua des doigts lançant un nouveau signal à l'intention de Marine. L'assistante sociale quitta la position reculée qu'elle occupait depuis la sortie de Diaz pour s'approcher des deux sœurs. Elle était affublée elle-aussi d'un gode ceinture et se dirigea sans hésiter vers le fessier de Muriel. Résignée, l'aînée des filles Guri s'immobilisa en sentant le gode s'immiscer dans son œillet anal. Son visage se transforma en un masque crispé de douleur quand le membre artificiel envahit totalement ses intestins. Doucement Marine commença à donner des coups des reins qui firent se tordre la jeune fille de douleur mais les invectives d'Humberto l'obligèrent à reprendre son pistonnage du vagin de Sandra qui à son tour se convulsa.

Un peu plus loin, le père Carlos avait basculée Delphine sur une autre table et la violait à couilles rabattues. La jeune femme se raccrochait au rebord de la table pour résister aux coups de boutoir de ce prêtre indigne. Diaz s'attarda un instant sur ce couple en pensant à la petite surprise qu'il réservait à cette chère Delphine. L'employée municipale s'était révélée essentielle dans le projet du Club visant à renverser le maire de Lilleland lors de la prochaine campagne électorale. Sur consigne du millionnaire hispanique, elle avait réussi à devenir la maîtresse du maire Andretti et c'était la seule raison qui expliquait qu'elle échappait encore à un sort identique à celui des filles Guri ou à celui de la pauvre Caroline Georges devenue la chose du gnome Adriano Silva.

Diaz oublia cependant rapidement Delphine Leandro pour retourner vers le trio de femmes qui continuaient leur coït forcé sous les ordres d'Humberto qui avait sorti un petit fouet et s'en servait pour frapper celle qui montrait le moindre signe d'hésitation. Diaz quitta alors sa place pour se rapprocher d'elles et se plaça dans le dos de Marine. Il passa la main sur l'une des cicatrices que son fouet avait laissées sur son dos et il la sentit frissonner d'appréhension à ce contact. Elle savait parfaitement ce qui l'attendait et qu'elle ne pouvait rien pour y échapper.

Il n'avait pas pour habitude de sodomiser ses esclaves et Marine n'avait donc pas souvent connu cet outrage ce qui ne voulait pas dire qu'elle était vierge de cet orifice. Diaz avait tenu à lui faire connaître tous les « plaisirs » possibles et surtout le juge de Saint Servier appréciait tout particulièrement profiter des fesses de la jeune femme quand il passait à la tour de Diaz pour discuter affaire. Il pressa le gland de son pénis contre l'œillet anal de l'assistante sociale et il la sentit se détendre au maximum pour faciliter son intromission et ainsi la rendre moins douloureuse. Diaz sourit et brisa les dernières résistances du sphincter anal de la jeune femme d'un coup sec typique de la brutalité que le millionnaire adoptait constamment dans ses relations avec les femmes. Marine ne se plia sur le dos de Muriel quand le pénis de son tourmenteur envahit ses intestins et ce dernier ne lui laissa pas le temps de s'habituer à cette horrible sensation pour commencer son mouvement de va et vient. Une sensation de brulure horrible envahit son rectum et, en dépit de toute sa volonté, elle ne put retenir un cri de douleur. Le sourire de Diaz se fit plus carnassier et il se pencha vers elle.

- Je suis affreusement déçu de voir que je dégoûte toujours autant ma petite chienne, lui chuchota-t-il à l'oreille. J'ai horreur d'être déçu et dès que nous serons rentrés à la tour, je te promets de te le faire regretter.

Les yeux de l'assistante sociale s'emplirent de larmes et elle dut fermer les yeux et serrer les dents pour ne pas hurler encore plus fort à la seule pensée du traitement encore pire qui l'attendait dans l'avenir. Diaz se déchaîna alors et accéléra le rythme de sa saillie et Marine s'accrocha aux épaules de Muriel pour supporter la violence des coups de reins du géant hispanique qui se répercutèrent ainsi comme une onde de choc dans chacune des trois femmes imbriquées l'une dans l'autre par le jeu des godes. Il ne tarda pas à jouir et quand il se retira de Marine, les trois jeunes femmes s'effondrèrent les unes sur les autres. Diaz retourna s'assoir alors qu'Humberto s'approchait des pauvres filles épuisées.

- Debout feignasses! Hurla-t-il en les frappant alternativement avec son fouet. On ne vous a pas dit de vous arrêter!

Mécaniquement, Muriel et Marine reprirent leur position initialement et reprirent le rythme de leur va et vient infernal et les cris reprirent alors de plus belle.

La soirée continua au rythme du spectacle offert involontairement par les trois jeunes femmes. Delphine, la seule à ne pas y prendre part, passait entre les mains des différents hommes présents totalement survoltés par ce qu'ils voyaient et qui ne se privaient pas pour profiter de tous ses orifices pour calmer leur fièvre. L'anus de Marine fut lui aussi visité à de multiples reprises avant que l'assistante sociale ne s'effondre sur le sol de la salle du bar au bord de la syncope. La soirée se termina alors, laissant toutes les jeunes femmes totalement harassées et les hommes comblés au-delà de leurs espérances. Chacun ramassa alors sa compagne attitrée avant de quitter le bar. Diaz s'installa sur le siège arrière de sa limousine pendant que Ronaldo déposait Marine à ses côtés comme un paquet de linge sale quand son téléphone sonna. Il décrocha, surpris d'être dérangé si tard.

- Mon cher Angel, fit-il. Que puis-je pour vous?

- Nous avons une réunion importante et vous y êtes convié, déclara David Angel.

- A cette heure? S'étonna Diaz. Ne pouvons-nous pas attendre demain? J'ai eu une soirée très fatigante.

- Non! C'est vraiment très important, le juge veut nous présenter une solution aux problèmes apparus récemment.