Le Club - Partie 20

Angel quitta son bureau pour se diriger vers la fenêtre de sa chambre pour observer l'arrivée des invités de la soirée. Il espérait que ses soubrettes ne lui feraient pas honte. Comme il avait été le seul à augmenter son cheptel de manière importante, il avait consenti à envoyer ses esclaves les plus anciennes à l'extérieur. Ainsi Laura et Amandine servaient culs nus au « fundo » de Diaz pendant que Christine se faisait sauter par tous les pervers de Lilleland au « chat brulant ». Le problème était donc qu'il devait compter sur des filles qui n'étaient pas encore totalement formées à la docilité et il craignait toujours une réaction du genre de celle d'Opale. Il avait fait tout pour éviter cela en rappelant plusieurs fois les règles aux filles et notamment à la sauvage Jennifer à laquelle il avait promis que si elle se rebellait à n'importe quel moment de la soirée, elle passerait une semaine entière attachée sur la table du salon à se faire sodomiser par toutes les autres soubrettes. Le message était passé, il en était persuadé.

Une lueur attira son regard, il s'agissait des phares de la voiture de Diaz. L'homme d'affaire hispanique arrivait accompagné comme à son habitude d'une garde rapprochée de fidèles composée cette fois d'Adriano Silva et de son majordome Ronaldo Lima. Il avait laissé Humberto au « Fundo » pour surveiller le travail des filles envoyées par Angel et ce dernier avait donné son autorisation au cuisinier pour qu'il dispose de Laura comme il le faisait habituellement avec Muriel ou Delphine. Ces deux dernières étaient bien entendu du voyage comme lors de la dernière soirée ainsi que la pauvre Caroline qui faisait peine à voir. Angel savait qu'elle devait subir les assauts permanents d'Adriano Silva qui la sodomisait plusieurs fois par jours la réduisant presque uniquement au rôle d'objet sexuel, d'ailleurs si elle n'avait pas été une ingénieure aussi talentueuse cela aurait fait longtemps que Diaz l'aurait enfermée au fond de sa tour « aux plaisirs » comme la pauvre Amanda-Jean Carpenter. L'ancienne policière interrégionale accompagnait le groupe également et elle faisait encore plus pitié que Caroline avec ses meurtrissures visibles sur toutes les parties dénudées de son corps, son regard de petit animal apeuré et son teint horriblement pâle.

Alors que Sandrine ouvrait la porte à Diaz et ses accompagnateurs, la voiture du directeur Laroquette se gara à son tour. Le vieux professeur descendit, immédiatement suivit par les trois jeunes filles qu'il avait subornées. Angel ricana en constatant qu'il les traînait toutes trois par des laisses de chiens attachées à des colliers en cuir. Au bout de quelques pas, il s'arrêta et dit quelques mots. Le visage de Sonia se décomposa alors que Morgane toujours aussi docile devant celui qu'elle considérait comme l'homme de sa vie s'agenouillait déjà pour se mettre à quatre pattes. Anita mit quelques secondes à réagir mais suivit la jeune lycéenne au sol et il fallut que le directeur de l'école Oscar Bono hausse un peu le ton pour que Sonia imita ses deux collègues. Visiblement satisfait, Laroquette se retourna pour reprendre sa progression vers l'entrée de la villa toujours suivie de ses esclaves qui avaient désormais tout de petites chiennes obéissantes.

Uron arriva ensuite avec ses trois esclaves et Angel s'attarda un instant sur la pauvre Bella Cathy. L'homme d'affaire remarqua qu'elle portait cette fois une tenue de marin très courte qui mettait en valeur toutes ses formes mais ce qui le choqua furent toutes les traces de coups de fouets qui apparaissaient sur ses membres nus. Il ne faisait aucun doute que la jeune femme avait déjà connu de longues séances dans la tour aux supplices de Diaz qui semblait décidément avoir une rancœur toute particulière contre elle. Angel et le juge avaient tout de suite senti cette hostilité voire cette haine et c'était la raison qui les avaient conduit à obliger leur allié à faire de Bella la figure imposée de Uron au lieu de la chasser lui-même ; il était hors de question qu'il la possède lui-même car il aurait été tout à fait capable de la tuer alors qu'elle était si précieuse pour leurs projets. Angel lui-même aurait bien voulu s'amuser un peu avec cette blonde incendiaire juste histoire de lui faire payer le mal que son père lui avait fait subir mais en le faisant de manière trop ostentatoire il savait qu'il aurait révélé trop d'information sur les raisons qui l'avaient conduit à Lilleland.

Deux nouvelles voitures se garèrent dans le parking de la résidence d'Angel. Antonin Marius venait d'arriver et comme à son habitude, il ne venait pas seul. Il avait cependant réduit son « escorte » à ses deux plus proches collaborateurs Igor Ustinov et Hassan Mekloufi. Angel savait qu'à l'origine le commissaire avait prévu de venir accompagné de bien plus d'hommes de main dans le but d'affirmer son pouvoir et de réaliser un coup de force sur le Club mais le juge l'avait en partie remis à sa place et certains événements de la nuit précédente l'incitaient aussi à se montrer humble. Hassan et Igor encadraient Margaret Carpenter, la jeune sœur d'Amanda-Jean, qui avait servi d'appât à Marius pour piéger sa grande sœur mais sur laquelle le commissaire n'avait jamais posé les mains. En fait, la jeune fille vivait en permanence dans une petite chambre placée au dessus d'un petit bar servant de QG aux hommes d'équipe à Marius et était devenue leur pute. Marius, quant à lui, tenait sous son bras la jeune technicienne Anna Belknik à laquelle il semblait un peu trop tenir et Angel avait déjà prévu un traitement particulier pour cette jeune femme. Ce soir Anna allait connaître le vrai sens du mot enfer et cela dans le seul but de bien faire comprendre à Antonin Marius qu'il ne pourrait jamais s'opposer aux autres membres du Club quand ils avaient pris une décision de concert.

Le dernier à arriver fut le juge de Saint Servier accompagné comme toujours de son chauffeur-garde du corps Kono et de son trio d'esclaves constituée des sœurs Bonnet et de Théodora Lupa mais Angel ne s'attarda pas sur ces femmes car la seule chose qu'il remarqua fut l'expression du juge. De Saint Servier était visiblement enragé et certaines personnes allaient devoir donner des explications.

CHAPITRE 10

-Vous avez fait sauter votre propre bureau? manqua s'étouffer Marius. En plein cœur du palais de justice. Deux de mes hommes sont morts dans cette histoire...

-Justement, le coupa le juge pas du tout impressionné par cette colère. Que faisaient-ils donc dans mon bureau à cette heure de la nuit?

-Vous le savez comme moi, ils intervenaient pour un cambriolage, se défendit Marius.

-Parce que vos superflics se déplacent pour de simples casses, s'étonna le juge, surtout quand il y a toute une compagnie affectée à la sécurité du lieu concerné. Excusez-moi d'être étonné.

-Je ne tolèrerais pas ces accusations ridicules.

-Ne jouez pas les vierges effarouchées. Vous me prenez pour un idiot. Comme par hasard, une effraction se produit au palais de justice, comme par hasard le voleur se dirige tout droit vers mon bureau et comme par hasard cela se produit le lendemain même de notre petite discussion « amicale ». Cela fait beaucoup de trop de hasards à mon goût.

-Je n'ai pas inventé ces cambrioleurs.

-Alors où sont-ils donc? Si je ne m'abuse, vous n'avez pas retrouvé leurs corps.

-Vous savez comme moi que les courants du Golot sont puissants et qu'ils ont très bien pu être emportés vers le large et je vous rappelle que j'ai perdu deux de mes hommes dans cette histoire dont l'un se trouve à la morgue municipale si vous vous voulez le voir.

-Vous auriez très bien pu le sacrifier quand vous avez senti que les choses tournaient mal. Vous l'avez déjà fait.

-COMMENT OSEZ-VOUS!!!

-ASSEZ!! intervint Angel qui comprit que la dispute allait trop loin.

Depuis que les membres du Club s'étaient isolés dans le bureau pour discuter des événements de la veille, l'ambiance était électrique. Tous espéraient que les explications du chef de la police apporteraient des lumières sur cette sombre histoire qui semblait avoir coûté la vie à au moins 4 personnes et surtout révélé l'existence d'un mystérieux ennemi mais le juge avait visiblement une autre idée en tête, une idée très dangereuse pour le Club.

-Pour l'instant, je pense que nous devons considérer que Marius nous dit la vérité, proposa-t-il pour calmer le commissaire. Nous sommes des alliés et nous avons besoin les uns des autres. Cependant, si c'est le cas et même si l'action un peu extrême du juge a éliminé ces cambrioleurs audacieux, je ne peux pas penser qu'ils œuvraient pour leur propre compte. Nous devons savoir pour qui ils travaillaient et aussi tous prendre des mesures pour renforcer notre sécurité.

Tous les autres membres hochèrent sombrement la tête mais Angel sentait que les tensions étaient loin de s'être apaisées et lui-même ne pouvait se cacher qu'il doutait des explications de Marius concernant ces mystérieux cambrioleurs disparus bien à propos.

-Je vais faire déplacer Amanda-Jean Carpenter vers un lieu bien plus sécurisé dès demain, assura Diaz et je peux affirmer que personne ne la retrouvera et ne pourra se servir d'elle contre nous.

-Je propose que mes hommes assurent une surveillance des esclaves qui vivent encore seules, proposa Marius.

-Certainement pas, s'opposa le juge. Nous devrons nous occuper nous même de la sécurité de nos propres filles.

Marius n'insista pas et Angel jugea utile de reprendre la main pour ne pas laisser de nouveau le malaise s'installer.

-En tout cas, nous ne devons pas perdre de vue nos objectifs. La campagne des élections municipales va bientôt débuter et elle marquera une nouvelle étape importante dans notre prise de contrôle de la ville.

De nouveau, ils opinèrent de la tête et il sentit qu'il avait cette fois leur totale acceptation ; rien de mieux qu'un objectif commun pour ressouder un groupe comme le leur. Il décida d'en rester sur cette note positive.

-Je propose maintenant de passer à des choses plus amusantes, déclara-t-il. Il y a une quinzaine de jolis petits culs tout chauds qui n'attendent que nous pour être fourrés.

CHAPITRE 11

Les membres du Club eurent la mauvaise surprise de découvrir que leurs convives ne les avaient pas attendus pour déclencher les hostilités. Angel grogna devant cette preuve d'indiscipline et il chercha du regard les deux gardes méritants qu'il avait choisis pour participer à la soirée et constata avec satisfaction qu'ils ne s'étaient pas laissés emportés par leur excitation. On ne pouvait pas en dire de même des lieutenants de Marius. Ils s'étaient jetés sur les deux sœurs Bonnet comme la misère sur le pauvre monde. Placées toutes les deux en levrette côte à côte, les deux blondes de moins de 20 ans haletaient déjà sous les coups de boutoir des deux policiers. Adriano Silva avait lui aussi perdu sa discipline et succombé à l'attrait des fesses si alléchante d'Anita Fuentes qui devait maudire tous les dieux de la terre de ce fait. L'ingénieur avait en effet trouvé ce qu'il aimait le plus, un anus jeune et vierge à déflorer et il ne se contenait plus, faisant hurler sa victime dont il avait totalement perforé la cavité rectale. Ronaldo semblait lui bien plus intéressé par les soubrettes d'Angel et il avait finalement jeté son dévolu sur la pauvre Anne-Marie qui se retrouvait contrainte de lui faire une fellation en plein milieu du salon. Angel fit signe à ses gardes qui, tels des diables sortis de leur boîtes, bondirent sur Anna qui était assise sur un des divans. La jeune technicienne n'eut même pas le temps de crier avant de se retrouver totalement nue et embrochée des deux côtés. Ses hurlements se répercutèrent dans la pièce et arrivèrent jusqu'aux oreilles de Marius dont le visage se décomposa en voyant son esclave préférée violée et sodomisée en même temps par deux sous- fifres. Il voulut se diriger vers le trio mais Angel s'interposa en silence. Le commissaire, le visage rougi par la colère, se détourna alors pour se diriger vers une victime expiatoire. Angel l'oublia immédiatement pour se diriger vers Bella car il était bien décidé à assouvir enfin sa vengeance à l'encontre du général Cathy. Il attrapa la jeune militaire dans le dos et la força à se pencher en avant et lui releva sa jupe blanche de marin. Il caressa doucement sa fesse droite avec un plaisir immense à l'idée de constater que sa marque puisse ainsi être gravée sur la fesse de la fille de celui qui avait participé à la destruction de son existence. Il se pencha en avant afin de se placer de manière idéale pour la sodomiser et lui pénétra l'anus avec la brutalité dont il était coutumier. Bella poussa un cri quand le puissant mandrin s'enfonça dans ses entrailles puis elle sentit le souffle de son violeur dans son cou.

La soirée se continua alors et de nouveau, les esclaves, nouvelles et anciennes furent les proies des débordements sexuels de ces pervers. Puis au cœur de la nuit, de nouveaux cris encore plus stridents résonnèrent quand James Hunter, le nouvel intendant d'Angel endossa son rôle de tortionnaire et que le marquage au fer rouge des dernières venues commença.

Assis confortablement dans son divan, une Sandrine, la fesse droite toute juste marquée, entre les jambes en train de lui faire une fellation, Angel profitait du spectacle de l'humiliation de ces femmes qui lui faisait oublier l'empoisonnante conversation qui s'était déroulée peu de temps auparavant. Il ne se doutait pas que ce moment même une alliance était en train de se nouer pour précipiter sa perte.

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