Le Club - Partie 13

BÊTA PUBLIQUE

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- Eh bien feignasse, lança de Saint Servier à l'intention de Théodora. Tu comptes rester longtemps les bras ballants? Ramène ton cul par là.

Résignée, elle se laissa glisser sur le plancher de la voiture pour prendre la place laissée vacante par Sarah et elle commença à sucer le gland ridé du juge pendant que la voiture du juge partait en direction de la villa des Blenon ; directement cette fois.

***************CHAPITRE 07****************

Jour de la grande soirée, 20h, villa d'Angel.

Christine se retrouvait réduite au rang de simple objet sexuel. Arrivée à 18h conformément aux consignes d'Angel, elle avait été contrainte d'enfiler une de ces tenues de soubrettes qui étaient devenues les seuls vêtements que connaissaient les femmes Blenon. Elle se retrouvait les fesses à l'air et le reste du corps seulement protégé par un petit bout de tissu qu'elle savait si simple à arracher. A dessein, Angel lui avait assigné la tache d'accueillir les invités et ainsi, elle connut l'horrible désagrément de se voir tripotée alors qu'elle les guidait vers le salon. Elle fut hallucinée par le nombre de personnes présentes pour cette soirée. Elle put compter pas moins de 11 femmes en plus d'elle -- même et 11 hommes si elle comptait les deux agents de sécurité d'Angel et son étrange intendant nommé Jasper.

Tous se retrouvèrent dans le grand salon au milieu duquel on avait installé une immense table de banquet mais aussi une bonne douzaine de canapés dont la fonction future ne faisait aucun doute. Un meuble inconnu était dissimulé sous un drap prés de la cheminée qui était allumée en dépit de la température agréable de la nuit. Laura et Amandine Blenon étaient affectées au service. Elles se déplaçaient d'un groupe de personnes à l'autre avec leur plateau ; l'une et l'autre étaient sans cesse la proie de tapes sur les fesses mais les autres femmes n'étaient pas en reste en ce qui concernait les petites humiliations de ce genre. Christine comprit que la soirée allait durer affreusement longtemps.

Angel tapa dans ses mains pour attirer l'attention des convives.

- Messieurs, dit -- il oubliant volontairement de s'adresser aux femmes qui ne valaient rien pour lui. Je suis très heureux de votre présence ce soir pour cette petite soirée entre amis mais avant que les festivités ne commencent veuillez nous excuser mais nous avons à faire.

Et il se dirigea vers une autre pièce accompagné du vieillard qui avait violé Christine lors de la précédente soirée en ce lieu et de deux autres hommes qu'elle ne connaissait pas encore.

***************CHAPITRE 08****************

- Mes amis, déclara Angel en levant son verre au ciel. Au club!

- Au club! répondirent les trois autres en cœur.

Ils s'étaient installés dans ce qui avait été naguère le bureau de Jérôme Blenon et qui désormais servait de salle de repos à Angel. De fait, c'était la première fois qu'ils étaient réunis tous les 4 ensemble depuis le jour où ils avaient signé l'acte fondateur du club et condamné à l'esclavage les 12 femmes qui se trouvaient dans la pièce d'à côté. Ils avaient tous rempli les obligations fixées par les autres et s'étaient donc montré dignes de leur association hors norme. Cette occasion était donc la naissance officielle du club et ce n'était qu'un début. Déjà, ils avaient gangréné une grande partie des instances régionales et locales, il restait encore des îlots de résistance comme la police locale mais ce n'était qu'une question de temps.

Ils burent leurs verres en savourant leur victoire.

- Dîtes -- moi, mon cher juge, intervint Diaz. Qui est donc votre invité surprise?

- Le directeur Laroquette, répondit le juge. C'est une personne très intéressante.

- Je n'en doute pas, le coupa Diaz, mais ce n'est pas un initié. Vous oubliez que le club doit avant tout rester secret et que personne ne doit connaître Nos buts réels. Même mes agents ne savent pas tout sur le club.

- Oui bien sûr mais justement, le directeur est je pense un candidat parfait à l'intégration dans notre club. C'est un érudit reconnu dans le monde des notable et surtout c'est le directeur de la grande école Bono qui vous ne le savez peut -- être pas possède de plus en plus de section d'école préparatoire.

- Que les héritiers des grandes familles de Lilleland préfèrent largement à l'université classique, comprit Angel. C'est vrai que cela peut -- être intéressant mais est -- il vraiment comme nous?

- Oh oui, affirma le juge.

- Alors nous le testerons, décréta Angel. S'il réussit le même test que nous, il nous rejoindra mais s'il échoue...

- Il mourra, termina Uron.

- Parfait, reprit Angel satisfait d'être sur la même longueur d'onde que ses alliés. Maintenant que les choses sont claires, retournons à la fête.

- Attendez! tempéra Diaz. Il reste un dernier détail. Il y a une chose qu'Angel a oublié de préciser. Il ne possède pas 3 mais 4 esclaves.

Les deux autres se tournèrent vers Angel, l'air interrogateur.

- Je sais que la dénommée Opale Apolline est retenue chez vous depuis trois jours.

- Dois -- je comprendre que vous m'espionnez mon cher? s'offusqua Angel sur la défensive.

- Alors c'est vrai? renchérit Uron. Pourquoi n'est -- elle pas dans le salon avec les autres?

- Opale est dans sa chambre, le contra Angel. Elle ne faisait pas partie du contrat de départ. Il ne stipulait que Christine Veron et les deux Blenon.

- Mais vous oubliez la seconde règle du club, insista le juge. La fille d'un membre est la propriété du club dans sa totalité. Nous ne contestons pas votre priorité sur cette jeune femme mais dans ce genre de soirée, elle doit être présente. Il ne peut y avoir aucun sentiment de préférence, c'est dangereux pour nous. C'est vous-même qui avez fixé cette règle.

- Je le sais et je ne renie pas cette règle et je n'ai nullement caché Opale. Seulement, elle est entre mes mains depuis trop peu de temps, je n'ai pas encore eu le temps de la briser. C'est une soirée très spéciale, toutes les femmes présentes ce soir on déjà subi bien des sévices pour en arriver là ; ce n'est pas son cas. Elle n'est pas prête.

- Ne vous cachez pas derrière une si piètre excuse, lui rétorqua Uron, Bella Cathy ou Caroline Georges sont avilies depuis bien peu de temps elles aussi.

Angel resta un instant sans voix cherchant de nouveaux arguments mais il comprit qu'il avait ses trois complices contre lui et que cela faisait trop. Il devait céder même s'il était persuadé qu'ils commettaient là une erreur.

***************CHAPITRE 09****************

Opale restait assise sur son lit à écouter les bruits de la soirée qui se déroulait juste en dessous de sa chambre. Elle était horrifiée par le tournant qu'avait pris sa vie en si peu de temps. Elle, une enfant de la « cour des miracles » qui avait refusé de s'exiler vers les quartiers de la périphérie pour ne pas connaître le sort misérable de sa mère, avait finalement échoué au foyer d'insertion. Les éducateurs l'avaient alors aidé pour qu'elle puisse trouver un emploi décent et un appartement et elle avait cru que cela avait réussi quand Christine Veron lui avait transmis la proposition d'une certaine Théodora Lupa. Elle devait travailler comme vendeuse qualifiée dans son magasin d'antiquité. Un bon emploi et un logement en sus, son rêve qui devenait réalité sauf que le rêve est devenu cauchemar. Au bout de seulement deux semaines de travail, elle s'était retrouvée accusée de vol et un certain Angel, son dossier social sous le bras, s'en est servie pour la faire chanter sous peine de l'envoyer en prison pour de longues années. Et elle s'était retrouvée contrainte de le suivre en ce lieu sans savoir qu'il allait la violer chaque jour et l'enfermer dans une chambre qui avait tout d'une cellule. Maintenant, elle entendait des cris et des paroles qui laissaient penser qu'elle n'était pas la seule dans ce cas.

La porte de sa chambre -- cellule s'ouvrit et Angel entra. Il lui jeta une housse plastique contenant des vêtements qu'elle ne reconnut que trop bien. Il s'agissait de la tenue obscène que les femmes qui vivaient avec eux dans ce lieu infernal portaient en permanence.

- Enfile -- ça, ordonna -- t -- il, et suis -- moi.

- Non, cria -- t -- elle en comprenant qu'il voulait qu'elle descende rejoindre les autres, pas ça!

Son regard se fit plus dur et il s'approcha d'elle. Il lui expédia une paire de claques qui la firent tomber de son lit. Il l'attrapa par ses cheveux bruns bouclés pourtant courts et la força à se plier sur le ventre sur le lit. Il lui arracha sa petite jupe, dernier vestige de sa vie d'avant cet enfer, et la sodomisa brutalement. Ce n'était pas la première fois qu'il tentait de la violer par cet orifice. La fois précédente, il n'avait pas réussi à mener l'acte jusqu'au bout mais elle avait incapable de s'assoir correctement pendant toute une journée. Cette fois, il infiltra presque la moitié de son membre dès le premier mouvement lui arrachant le cri le plus strident qu'elle était capable de produire. Il donna un second coup de rein et ses cris montèrent encore dans les aigus. Il fit mine de donner un nouveau coup de rein mais c'en fut trop pour elle.

- Assez! capitula -- t -- elle! Pitié, je ferais ce que vous voulez.

- Alors enfile -- moi ces frusques tout de suite!

Il se retira immédiatement lui arrachant un nouveau cri, moins douloureux. La tête pleine d'étoile, elle réussit à se relever et retira son tee -- shirt et déchira le plastique protecteur de la housse. Elle revêtit ce tablier blanc qui lui recouvrait l'avant du corps. Ses seins menus étaient bien protégés mais son intimité se trouvait juste à la limite basse du tablier. L'arrière, par contre, était totalement nu et elle dut se faire à l'idée de devoir évoluer cul nu au milieu d'étrangers. Elle chaussa les escarpins et le petit bonnet.

Angel sourit et la prit par le poignet.

- En route, je n'ai pas que ça à faire.

La démarche arquée, conséquence de la douleur qu'elle ressentait dans son fondement, elle le suivit avec l'horrible sensation qu'un drame se préparait.

***************CHAPITRE 10****************

Angel amena Opale au milieu d'une véritable horde déchaînée. Le retour des membres du club avait marqué le déclenchement d'une véritable orgie où les jeunes femmes n'étaient plus que des morceaux de viande à la merci des mâles en rut. Sur tous les canapés, des couples ou des trios étaient en pleine action. Une véritable folie.

Le juge avait agrippé Delphine par la queue de cheval et l'avait plaqué face contre le cuir du canapé. Il la forçait à se cambrer au maximum pendant qu'il baissait sa jupe.

- Tu vois ma belle, lui dit -- il, je vais tenir ma promesse. Ce soir je vais t'arrondir la rondelle. J'espère que tu ne t'es pas encore fait agrandir le cul, ce serait dommage.

Prise au piège, Delphine tentait de se débattre pour échapper au sort horrible qui l'attendait. Depuis quelques jours, Diaz avait autorisé Humberto à user d'elle comme il le faisait déjà avec Muriel mais ce dernier n'était pas plus un amateur de la sodomie que son employeur ce qui faisait qu'elle était toujours vierge de l'anus. Elle savait qu'elle allait perdre cette virginité et elle gardait en souvenir l'horrible expérience vécue par sa collègue Muriel qui était restée prostrée pendant de longues heures après son viol anal par ce vieillard priapique. Malheureusement, elle ne pouvait pas lui échapper ni même éviter de camber les fesses. Dans ce canapé en cuir mou, relever les fesses était la seule chose qui l'empêchait d'étouffer. Le juge, conscient de l'inéluctabilité de sa victoire, décida de jouer avec elle. Il faisait presser son gland sur l'œillet anal de sa victime avant de le retirer au dernier moment. A chaque fois, on entendait Delphine pousser de petits cris d'animal effrayé mais qui n'avaient rien à voir avec ceux qu'elle poussa quand, finalement, le sexe du vieillard força sa dernière virginité. Elle n'eut plus ensuite comme recours que de mordre le cuir du canapé pendant qu'elle se faisait pistonner avec force par un homme qui avait l'âge d'être son grand-père. Les filles du juge n'étaient pas en reste. Le professeur Laroquette avait décidé de continuer ce qu'il avait commencé dans la voiture avec la pauvre Sarah. De nouveau obligée à satisfaire la libido d'un vieillard, elle se retrouvait à genoux la tête entre les cuisses du directeur d'école. La jeune fille qui vivait dans la hantise permanente de subir une nouvelle sodomie, se montrait fabuleusement docile avec ce nouveau partenaire dans l'espoir qu'il se montre plus doux que le juge. Tout à son excitation, Laroquette la saisit par le bras, lui fit passer sa robe par-dessus la tête pour la déshabiller totalement avant de la coucher sur de dos. Il la prit alors jusqu'à la garde en la forçant à le regarder bien en face.

- N'est -- ce pas que je suis fort? répétait -- il. Et je suis aussi très beau? Dis le moi, petite pute!

- Oui vous êtes beau et fort, faisait une Sarah qui avait bien compris qu'elle devait se plier aux caprices de ce vieillard pour éviter un sort encore pire.

Un sort du genre de celui de sa sœur aînée qui était tombée entre les mains des deux gardes d'Angel. Le premier, Lee, un colosse asiatique avait jeté son dévolu sur elle dès son arrivée à la soirée et maintenant il explorait son anus avec gourmandise. Il avait découvert que la jeune fille était une habituée, à son corps défendant mais il n'avait aucun intérêt pour ces considérations, de cette pratique. Il en profita donc pour la sodomiser sans préparation. L'anus entraînée, notamment après son horrible expérience avec Kono, de Madeleine s'écarta aisément devant la pénétration brute du pénis de l'asiatique qui ne manqua pas de remarquer ce fait.

- Regarde Igor, lança -- t -- il à l'intention de son camarade, cette petite salope à un cul aussi large qu'une piste d'atterrissage pour boeing.

- Je vois cela, répondit son comparse l'œil plein de perversité, elle doit être chaude comme la braise. Nous allons lui en donner pour son argent.

Lee éclata de rire et bascula en arrière entraînant la jeune fille avec lui. Elle se retrouva donc dans une posture horriblement désagréable avec les cuisses écartées. Igor en profita immédiatement. Il place le gland de son pénis à l'entrée de sa cavité vaginale. Il la pénétra soudainement et elle ne put s'empêcher de hurler. Il s'agissait de sa première expérience avec deux partenaires simultanée et elle eut l'impression de se faire transpercer en deux. Les deux colosses n'eurent cure de ses cris et se laissèrent aller à fond.

Dans un autre coin de la pièce, Diaz avait entraîné Théodora Lupa et Amandine Blenon vers Kono, le colosse serviteur du juge. Les deux femmes furent contraintes de faire bander le membre impressionnant de l'africain. Dans le même temps, il agrippa la crinière blonde de Bella et s'assit dans un des canapés. Il prit le visage trop maquillé de la jeune femme entre les mains et l'amena à quelques centimètres du sien.

- Je suis heureux de vous rencontrer mon colonel, affirma -- t -- il avec son sourire cynique. Vous êtes tellement excitante dans cette tenue. Je pense que vous seriez intéressée par le fait de savoir que si vous êtes dans cette inconfortable situation c'est uniquement par mon seul désir.

Il pressa sur ses tempes et elle cria de douleurs. Satisfait, il relâcha sa pression pour la laisser redescendre entre ses cuisses et la contraindre à une fellation pendant qu'il reportait son attention sur le spectacle des deux bourgeoises suçant le pénis d'un domestique noir.

Humberto avait jeté son dévolu sur Angelica qu'il avait totalement déshabillée et il vint s'assoir à côté de son patron. Angelica fut contrainte elle aussi de se mettre à genoux pour réaliser une fellation. Diaz se tourna alors vers son employé.

- Ces deux salopes semblent fascinées par la queue de notre ami de couleur, ricana Diaz en indiquant Amandine et Théodora.

- Oui, confirma Humberto, mais comment faire? Un seul pénis pour deux putes en chaleur?

Diaz fit mine de réfléchir une seconde.

- Je sais.

Il se leva en écartant Bella sans ménagement et attrapa les deux femmes par la nuque.

- Alors écoutez moi mes belles. Notre ami Kono ne pourra s'occuper que d'une seule d'entre vous alors vous allez vous battre pour lui. Tous les coups sont permis, la gagnante sera celle qui réussira à plaquer l'autre par terre. La perdante aura l'honneur de se faire enculer par notre ami.

Il vit alors le visage des deux femmes se décomposer. Il les fit se relever et les mit face à face avant de retourner s'assoir.

- Allez mes belles! Cria -- t -- il. Que le combat commence!

Les deux femmes hésitèrent. Diaz se redressa alors et hurla.

- Si vous me faîtes attendre, je trouverais bien un moyen pour que Kono vous enculent toutes les deux. Alors choisissez!

Lupa sursauta devant cette nouvelle menace. Le souvenir de son dépucelage anal par le chauffeur du juge revint à sa mémoire. Elle voulait plus que tout éviter de connaître à nouveau cette horrible expérience. Elle bondit alors sur Amandine en jetant définitivement à la poubelle les dernières reliques de leur amitié. Amandine, comprenant alors qu'elle risquait de se retrouver prise au piège, décida de défendre sa peau chèrement. Elle frappa son ancienne amie au visage pour la repousser et ce fut un véritable combat qui débuta sous le regard plus qu'excité des deux hommes. Diaz, comblé, attrapa Bella et la força à s'empaler sur son pénis en érection. Il commença à violer la militaire tout en continuant à surveiller le déroulement de l'affrontement entre les deux bourgeoises par-dessus son épaule.

Adriano Silva n'était pas resté avec ses habituels complices préférant fureter à la recherche d'une victime idéale qu'il trouva en la personne de Laura. Comme à son habitude, le repoussant personnage n'avait qu'une seule idée en tête, sodomiser. Cependant, il fut un peu déçu de constater que l'anus de la fille Blenon était d'une élasticité consternante, résultat des multiples passages du pénis d'Angel qui était d'une taille conséquente. Il en profita cependant pour baiser la jeune fille à couilles rabattues. Possédant une énorme expérience dans le domaine de la soumission en dépit de son jeune âge, Laura se contenta de se cambrer le plus possible et d'accompagner le mouvement du personnage désagréable qui abusait d'elle en grognant.

La troisième des soubrettes d'Angel tomba entre les griffes d'Uron. Le jeune homme d'affaire l'attrapa par le bras alors qu'elle tentait de se cacher dans la cohue.

- A ce que je sais, lui lança -- t -- il. Tu es une véritable chienne avec des goûts particuliers et je vais les combler jusqu'à un point dont tu n'as jamais rêvé.

Il tourna la tête. Elle vit alors arriver la jeune Muriel et elle comprit alors que de nouveau, elle allait être soumise à une séance de lesbianisme. Avec le temps, elle avait appris à ne plus résister à ses propres penchants et à se laisser emporter par son attirance pour les jeunes filles. Immédiatement, elle eut envie d'embrasser le corps vifs de cette enfants qui devait avoir à peine plus de 20 ans mais quand elle fit mine de s'approcher d'elle, Uron la retint fermement.

- Oh non, nia -- t -- il. Ce n'est pas comme ça que ça va se faire.

Et ce fut à ce moment qu'elle vit que Muriel avait été affublée d'un instrument sexuel : un gode ceinture. Elle réalisa avec horreur qu'Uron voulait que la jeune fille la baise. Elle voulut se dérober mais l'hôtelier la tenait fermement et lui imposa de s'allonger sur le dos. Muriel, obéissante, força la résistance de ses jambes croisées pour infiltrer son gode entre les lèvres de son vagin. La froideur du plastique enfoncé dans son vagin contrastait avec la chaleur du corps qui se lovait contre le sien et elle ne put résister à la tentation de le peloter. Uron sembla totalement enragé à l'idée de la voir prendre du plaisir. Muriel lui obéissait avec tellement de zèle qu'elle commençait à procurer un vrai plaisir vaginal à sa compagne qui ne boudait la jouissance de leur contact lesbien. L'hôtelier sortit alors un interrupteur. Le gode -- ceinture était équipé du même système électrique que celui dont il s'était servi pour torturer Harmony quelques heures auparavant. Il appuya sur le bouton et le courant électrique traversa les deux femmes qui se tordirent alors sous l'effet de la douleur. En quelques secondes, tout notion de plaisir venait de les abandonner toutes les deux.