Le Bois du Loup

"Mes désirs sont liés à quelque chose de bien plus sombre et de beaucoup plus vieux que les humains de pur sang ne pourrait jamais comprendre," dit-il. "Je ne serais pas satisfait avant que tu ne débordes!"

"Alors remplis moi plus qu'assez," dit-elle, pressant ses cuisses contre les siennes. Sa bite la chatouillait presque à l'intérieur, maintenant que son corps était complètement éveillé et revigoré par son orgasme. Si elle n'était pas prudente, elle pourrait devenir une bête, tout comme lui. Mais là encore, l'idée n'avait pas l'air si mauvaise! Elle recommença à caresser son clitoris, le bras tremblant. "Tu ne me battras pas cette nuit!"

"Alors prouve que tu es non seulement digne mais mon égale!" hurla la bête. Il continua de pilonner, son intérieur pulsant de désir. Elle était brillante comme de l'huile et douce comme de la soie. Elle se sentait de mieux en mieux à mesure qu'il la baisait. Il rugit, "Prends tout ce que je peux te donner!" et déchargea un autre lourd jet à l'intérieur d'elle.

Elle fredonna en approuvant. Ça la remplissait et la réchauffait de l'intérieur comme une boisson chaude. Elle commençait à espérer que la nuit ne terminerait jamais.

Le loup-garou sortit d'elle. Ethel était absolument trempée. Il la ramassa, la mit sur le dos, et la tint dans ses deux bras massifs. Il lécha gentiment sa poitrine de nouveau. Il pouvait facilement lécher les deux d'un coup mais pourquoi ne pas faire encore plus simple? Elle attrapa ses seins et les pressa ensemble. Sa langue dansait sur les deux d'un coup, traçant un pattern en forme de 8 sur ses tétons plusieurs fois avant de les prendre en bouche et de sucer fermement. Elle gémit encore, sa chatte frissonnant de plaisir. Il suça fermement, avidement, alors que sa bite, une fois de plus, commença à pousser contre sa fente. Après une minute, il écarta ses lèvres et la poussa sur sa bite.

"Mm, oui~" gémit-elle.

Le rire du loup était entre un ricanement et un grognement. Il continua de la pilonner, un bras autour de sa taille, pressant ses cuisses contre les siennes, tandis que l'autre tenait ses épaules, sa main sur le dos de sa tête pour la tenir stable. Ses coups étaient bruyants et humides, comme une cuillère s'enfonçant dans un pot de porridge. Ses seins bougeaient à chaque coup. Ethel relaxa ses jambes. Elle ne donna plus de tension en dessus de ses cuisses. Elle se rendit complètement à la merci du loup à l'intérieur d'elle. Ca lui donna encore plus de place pour le plaisir. C'était comme si elle avait une bouillotte chaude en elle, nourrée à sa chaleur, faisant fondre la glace de la personne froide et ennuyante qu'elle était, et laissant de la vapeur dans son sillage. Elle commença à haleter. Elle était proche d'un autre orgasme. Elle regarda dans les yeux brillants du loup-garou. Il lui rappelaient cet étranger de nouveau, et d'une certaine manière, elle se sentait encore mieux.

Sans avertissement, le loup-garou sortit d'elle. Il la fit pivoter entre ses énormes mains, obtenant d'elle un autre rire. Un bras lui tenait la nuque, ne serrant pas mais soutenant sa tête. L'autre tenait encore ses cuisses alors qu'il retournait en elle. "C'est le dernier," l'avertit-il. "J'espère que tu es prête."

"Je peux le faire~"

Le loup-garou lui donna son organe en entier. Il recula jusqu'à ce que seul son gland soit à l'intérieur, et se renfonça en entier de nouveau. Il poussa et tira en longs coups de boutoir humides. Sa chatte pulsait à chaque fois. Elle haletait, sa bouche ouverte tremblait comme celle d'un poisson alors que son organe la remplissait. Sa main défila sur sa peau de sa cuisse à son sein, entourant sa main entière autour de la base et serrant juste au téton. Quelque chose de chaud sortit. Elle mordit sa lèvre. Il avait assez joué avec elle pour produire du lait. Elle devrait être honteuse mais à la place, elle en voulait plus. Ses coups furent aidés non plus par ses mains mais par l'entièreté de ses bras qui la tiraient vers sa bite. Elle gémit bruyamment. C'était si bon qu'elle voulait pleurer. Elle était comme un volcan prêt à entrer en éruption une deuxième fois. Son pelvis était serré, prêt pour son orgasme.

"Je veux que tu enfantes ma meute," le loup lui glissa à l'oreille. Ses coups devinrent plus rapides. "Je veux te remplir avec mes louveteaux!"

Un élan de panique perça Ethel comme une aiguille. Elle n'avait pas vraiment réfléchi à devenir mère, même alors qu'il l'avait rempli encore et encore avec son sperme. Elle repensa à sa triste vie dans ce village, remplis de gens aigris qui n'étaient capables que de haine, d'un père qui la méprisait, d'hivers si brutaux que leur population diminuait d'année en année...

Elle revint à l'instant présent, la bite de la bête la remplissant si parfaitement, la bosse dans son abdomen alors que son organe répondait à tous ses besoins à la perfection, le tremblement dans sa chatte, son orgasme si proche d'elle qu'elle pouvait le sentir dans sa gorge... Elle n'avait rien à perdre. Ses muscles commencèrent à se contracter. Ses respirations devinrent plus courtes et plus rapides, ses gémissements devinrent des cris. "P-Pitié..." s'étouffa-t-elle, "féconde-moi."

Son nœud entra en elle de nouveau, sa bite s'enfonçant si profondément en elle qu'elle était dans son âme. Son dos se cambra. Son désir coula le long de sa bite et éclaboussa le sol de la forêt sous eux. Elle prit une grande respiration.

"Donne toi à la nuit!" ordonna-t-il, en s'enfonçant de manière courte, profonde, agressive. Il rugit "Hurle avec moi!"

Elle fit comme on lui ordonna. Alors que le plaisir l'envahissait complètement, Ethel et le loup-garou hurlèrent dans la nuit. Un dernier jet de semence se tira en elle, inondant et remplissant son utérus. Son corps trembla. Même le loup-garou commença à trembler. Il s'agenouilla, la posa doucement, et sortit d'elle. Du blanc coula d'Ethel sur le sol de la forêtIls s'agenouillèrent tous les deux dans les feuilles, le souffle lourd, les corps tremblant, aucun ne parla pendant un moment. Les branches craquelèrent au-dessus d'eux.

"Viens avec moi," dit le loup. Il rampa loin d'elle, gardant son corps au sol.

"Je ne peux pas bouger," dit Ethel, un léger sourire sur ses lèvres.

"Alors monte, et accroche toi bien. Je nous emmène à la maison."

À la maison. Ethel aimait comment cela sonnait. Elle se poussa sur ses pieds tremblants et tituba vers le loup. Elle tomba sur son dos, sa fourrure chaude contre sa poitrine et ses jambes nues. Elle s'accrocha à des touffes de fourrure alors qu'il se leva. Il commença par un pas, puis un trot et puis un galop. Ethel enfonça son visage contre sa chaleur. Il courut à travers la forêt, silencieux comme un fantôme, et ensembles ils disparurent dans la nuit.